Création

!!!

(Peut-être) un one shot

IMMONDE VIRUS

En vingt ans de carrière, le Dr. Mauppin n'avait jamais vu un cas pareil. Il mordillait son stylo, et cela trahissait sa nervosité. Plaqué contre le mur, Marlène, sa secrétaire, arborait une mine à la limite de la déconfiture.

"Apportez-moi un coca, s'il vous plait. Ordonna le Docteur. Et un seau de Texirhoplasmine.
- Un seau ? s'étonna la jolie blondinette.
- Oui, un seau.
- Mais, Docteur...
- Je m'en fous, Marlène. Videz tout les tubes de l'armoire, débrouillez-vous, mais ramenez moi ce foutu seau, et plein si possible."

Le patient dit alors une chose qu'une énorme protubérance buccale violacée rendait incompréhensible. Mais le docteur devinait tout.

" La Texirhoplasmine ? C'est comme une potion magique, vous verrez. Dit-il avec un sourire rassurant. Avec ça, tout vos abcès disparaîtront, ainsi que l'odeur de cadavre en putréfaction que vous dégagez. "

Discrétement, le Docteur parfuma son cabinet avec une pchit pour les chiottes qui traînait sur son bureau. Il jetta un oeil sur l'horloge digitale accrochée sur la porte. Pourquoi ce type difforme, qui ne faisait même pas partie de ses clients habituels, s'était-il pointé cinq minutes avant la fermeture ?

" Vous voyez cette seringue, Monsieur ? " demanda-t-il

Non, le patient ne pouvait pas voir cet outil, pourvue d'une aiguille épaisse et dorée : Deux bubons purulents, prêt à exploser, l'en empêchait strictement. Le Docteur avala sa salive, franchement dégouté par de telles immondices.

" Vous m'entendez, Monsieur ? "

Le patient secoua difficilement sa tête, alourdie d'une bonne dizaine de kilos.

" Vous semblez atteint d'une sorte d'Elephantiasis Fulgurant, mais en plus dégeulasse. "

Sa jambe vibra. Sa maîtresse venait de lui envoyer un texto, pétrit d'amour et de promesses. D'une maine moite et hésitante, il annula le rendez-vous. Il passerait certainement la soirée à nettoyer son cabinet. De plus, la main du patient semblait fondre littéralement, recouvrant le banc d'oscultation d'une susbtance visqueuse et malodorante.

" Pour être franc je n'ai jamais rien vu d'aussi répugnant, sans vouloir vous vexer. Je ne sais pas ou vous avez pu choper un truc pareil, franchement..."

Tournant rapidement sur son siège en cuir véritable, le Docteur ferma sa page Meetic et tapa l'adresse d'un site médical. Mais ses recherches furent infructueuses. Il prit sa tête dans sa main et soupira. Dire qu'il avait faillit faire skieur professionnel. Foutu blessure au genou qui l'éloignait des pistes...

" Il n'y a plus qu'un tube de Texirhoplasmine, Dr. Mauppin.
- Comment ça se fait ? dit ce dernier, dissimulant tant bien que mal sa nervosité.
- C'est pour endormir les hippopotames, normalement, Docteur. "

Mauppin tapa du poing sur son bureau, et Marlène sursauta, lâchant l'ultime tube de Texirhoplasmine.

" Vous êtes gourde, Marlène. Déclara le docteur. Appelez l'hôpital, les pompiers, TF1 et la Brigade du Paranormal. Je n'ai jamais vu un truc aussi incroyable."

Tetanisée, la jeune assitante assistait en live à la décomposition nauséabonde du patient.

"Allez, on se remue, Marlène ! dit-il, plus insistant. Miranda a eut la bonne idée de prendre son jour de congès aujourd'hui, et cet enfoiré salope mon cabinet, alors on s'active !"

L'apprentie se rua alors sur le téléphone fixe, composant à toute allure les numéros requis par son patron à la bedaine naissante.

" Vous êtes toujours avec nous, Monsieur ? "

Le patient anonyme remua sa tête, et l'excroissance installée dans sa bouche tomba. Sur le sol. Une éclaboussure sanglante. Un truc de plus à nettoyer. Un hurlement, déchirant.

" Monsieur, maintenant que vous avez la bouche libre, pourriez-vous me dire votre prénom et votre nom, s'il vous plaît ?
- Ri'ard Cle'y
- Plaît-il ?
- Ri'ard Cle'y
- Avec un P à la fin ?
-...
- Ecoutez, Monsieur Clehy. Je vais percer les deux bubons sous vos yeux , car il risque d'exploser avec votre crâne, et je ne tiens pas à ce que vous repeigniez intégralement mon cabinet. Surtout qu'il y a des toiles d'une valeur inestimable sur les murs.
- Alo's 'aites 'ites !
- Comme je n'ai pas de matériel approprié à ce genre de... de problèmes, je vais utiliser mon couteau suisse. Peut-être que vous serez aveugle, ou peut-être pas. En tout cas ne venez pas vous plaindre après, je suis en dehors de mes heures de travail (je ferme a 19h30 d'habitude) et de ce fait je n'ai aucune responsabilité en ce qui vous concerne. A vrai dire, d'après la loi, vous n'êtes même pas mon patient. Ne bougez pas."

Lentement, et après avoir stérilisé la lame affutée du couteau, il se rapprocha du bubon gonflé par le pue... et le perça comme un ballon de baudruche. C'est alors qu'il fut submergé par l'ignoble liquide de la tête aux pieds. Répugné, il ne put s'empêcher de vomir les côtes de porcs englouties plus tôt dans la journée, avant de s'attaquer au second ballon infecté et grouillant. Les sirènes retentirent. Mauppin regarda à nouveau l'horloge : 19h53. Le temps de rentrer prendre une douche et de se changer les idées. Il composa le numéro de sa maîtresse, inscrit dans son répertoire sous le nom de Jean-Louis... Et puis non. Il allait même lui faire une surprise.

" Bon Marlène, vous expliquez tout aux types et vous n'oubliez pas de montrer mes diplômes aux gens de la télé. Intima-t-il, tout en glissant un billet orange dans le soutien-gorge de son assistante. Et vous me faites le ménage, et que ça brille !
- Mais Docteur ! portesta la jeune blonde. Mon gosse m'attend déjà depuis vingt minutes. Je ne peux pas le laisser comme ça ! Il n'a que cinq ans !
- Et mon coca ?
- ... Pardon ?
- Mon coca. Répéta Mauppin, le regard noir. Je vous avez bien demandé un coca-cola. Vous l'avez oublié.
- Mais...
- Silence ! Je peux vous virer pour ça ! Alors, faites ce que vous avez à faire, et ne m'emmerdez plus. A demain. "

D'un geste brusque, il claqua la porte, laissant seule Marlène au milieu de ce carnage.

Aucun respect pour les horaires, ces patients.

Salut

J'ai lu et j'ai bien aimé.

Le texte en lui-même est assez simple. (Je veux dire au niveau du vocabulaire et des constructions de phrases) Mais il est drôle et honnêtement tu dois être la première à avoir réussi à me faire rire en parlant de pus et de médecin adultère, donc tout bénèf. L'idée est sympathique, tu n'expliques à peu près rien sur les causes de la maladie, etc mais je suppose que ce n'était pas le but.

Par contre, mais peut-être est-ce moi qui suis ignorant, mais les bubons sont des gros kists qui se trouvent au niveau de la gorge, à cause de la peste BUBONique justement. Donc en voir sous les yeux, ça m'a choqué.

Bon texte court et agréable. ^^

Plus jamais je ne mange de pomme en lisant tes textes.

Mwahaha. Très sympathique.
Bon par contre on finit par être habitué, donc je me doutais bien de la fin cynique ou autre, donc j'ai pas été surpris ni quoi que ce soit.
Va falloir innover un peu moi j'dis.

Mimi : Merci et pour le coup des bubons et bien dit toi que c'est un virus inconnu, et que la brigade du Paranormal est sur le coup ^^

DavidGG93 : Heureusement que c'était pas le reste de tartiflette ^^

Az : Ben j'ai envie de te dire que c'est peut-être pas la fin et justement c'est ce genre de remarque qui me donne envie de faire une p'tite suite ^^

Bien de se rattraper aux branches Cheetah? Avoue que ça sonne quand même comme une chute volontaire (et cynique)...

Certes la chute est volontaire mais je demanderais à Tarzan le primate de lire le début de mon premier post

(peut-être) un one shot

Ouais j'ai lu le premier post mais je l'ai oublié devant l'évidence d'une chute.
Et au cas où tu saurais pas, une chute c'est à la fin.

Bien trippant, comme d'habitude. J'aimerais bien voir à quoi pourrait ressembler une suite à ça...

"En vingt ans de carrière, le Dr. Mauppin n'avait jamais vu un cas pareil. Il mordillait son stylo, et cela trahissait sa nervosité. Plaqué contre le mur, Marlène, sa secrétaire, arborait une mine à la limite de la déconfiture."

Le cas ou le docteur, qui mordille le stylo? Et 'Plaquée' contre le mur.

"Deux bubons purulents, prêt à exploser,l'en empêchait strictement" manque un S. Et 'empêchaient'.
"D'une maine moite et hésitante"
"car il risque d'exploser avec votre crâne," ils risquent

"- Mais Docteur ! portesta la jeune blonde"

Toujours les mêmes éléments que d'habitude, ça plait ou pas, moi ça me plait plutôt, même si j'ai des réserves la plupart du temps.

AZ : Et au cas où tu saurais pas, une chute c'est à la fin.

ah bon ?

Zang : Ben tu verras ça en fin de semaine si j'attrape pas moi même le virus

Moicesmoi : pour les corrections !! Quand tu dis "toujours les mêmes élements que d'habitude", tu parles de l'esprit qui plane sur le texte ? De son atmosphère ? Où autre chose ?

Bah la quotidienne de chaque texte que tu fais, en gros, le cynisme, l'humour noir, de légers stéréotypes, et la chute légèrement absurde. Plus deux trois trucs dont j'arrive pas à trouver le nom qui font qu'un texte de toi, est un texte de toi, niveau atmosphère, style, et tout le patatouwère.

rien de constructif à dire, je plussoie les autres. Une suite serait bienvenue je pense, car avec un prologue de cette envergure y'a moyen de faire quelque chose

Voici la suite.

• • • **

La nuit était définitivement tombée. Pas un chat sur l'autoroute. Sauf cette voiture italienne, une fiat Punto noire plus précisément, filant à toute vitesse sur l'asphalte humide. A l'intérieur, deux hommes, vêtus de costumes identique. Le passager avait la peau sombre, les lèvres charnues, un long bouc et de cours cheveux bouclés. Le petit chauve aux grande oreilles tenait fermement le volant. L'autoradio crachait "Big Ego's" un ancien morceau de Dr. Dre, célèbre rappeur originaire de Californie. Le black chantait les paroles, qu'il connaissait sans doute par cœur, tout en remuant la tête à la manière d'une poule.
Le conducteur , les yeux rivés sur l'interminable ligne droite, déclara :

"Enlève moi cette merde, Hakim. Tu sais bien que je déteste ce genre de boucherie musicale...
- Quoi ? s'étonna Hakim, offusqué. Tu veux écouter quoi d'autre ? Est-ce que tu connais un rappeur plus complet que Dr. Dre ?
- T'es lourd quand t'es bourrés, Hakim. Met Renaud, où je vais péter une durite.
- Renaud ?
- Ouais, Renaud"

Hakim éclata de rire, et fit dangereusement tanguer la voiture.

" Met Renaud tout de suite, Hakim, je te signale que j'ai pas le permis, et j'ai besoin de concentration. Si t'es pas content, tu reprends le volant
- Bon ok, ok, Môsieur l'Agent Revel..."

Le black à cravate rouge inséra la galette dans la fente prévue à cet effet.

"J'étais tranquille / j'étais peinard / Accoudé au flipper / Un mec est entré dans le bar / A commandé un jambon beurre..."
En quelques secondes seulement, l'Agent Revel retrouva le sourire
" Tu sais Hakim, je me demande si un jour tout ces trucs horrible qu'on cache aux gens vont finir par se savoir...
- Oui...admit le passager, pensif. Tout finit par se savoir un jour. Et ce jour-là, on aura plus de boulot.
- Imagine le bordel. Poursuivit Revel. Une vraie révolution. Tu sais, à force d'être au courant d'autant de trucs bizarre, je deviens parano. Je crois que je deviens fou, Hakim.
- Ouep...avoua Hakim, le crâne collé contre la vitre humide. C'est sans doute pour ça que t'as des valises sous les yeux. Ca fait longtemps que t'as pas roupillé ?"

L'agent Revel ne répondit pas. Il savait pertinemment qu'exposer ses problèmes personnels au collègue n'était pas une bonne idée. Depuis qu'ils bossaient ensemble dans la Brigade du Paranormal, leur relation n'allait pas au-delà d'une bonne soirée picole, comme ce soir-là par exemple, et c'était mieux ainsi. En effet, l'agent Hakim et l'agent Revel avaient des profils très différent l'un de l'autre :

Hakim D'Almeida était le genre de type très sportif, très volontaire et efficace sur le terrain. Après avoir obtenu sa licence de d'Histoire option Idéologie Contemporaine des Sociétés Européennes avec mention parfait (19,99/20), il décida d'introduire la Brigade du Paranormal par goût de l'aventure et surtout pour son attrait envers les phénomènes étranges. Très vite, sa condition physique hors pairs et son implication firent de lui le meilleur élément de la Brigade, spécialisé dans l'élimination des témoins trop encombrant. Un tueur à gage, pour faire plus simple.
Léonard Revel, petit, chauve et trapu, avait beaucoup souffert de son physique dans sa jeunesse. On l'appelait "Parabole" à cause de ses grandes oreilles. De ce fait, il se renfermait beaucoup sur lui-même. C'est ainsi que naquit en lui cette passion dévorante pour les extra-terrestres. Seul dans sa chambre, il passait ses nuit à observer les étoiles avec son télescope. Il allait jusqu'à les sentir parmi nous. Un jour ,Il soupçonna fortement l'une de ces professeurs en classe de terminale. Vers la fin de l'année, il l'attendit masqué dans le parking sous-terrain de son immeuble et la roua de coups de pied de biche. Malheureusement, la pauvre enseignante était bien humaine. Mais Léonard Revel n'abandonna pas pour autant. Sa détermination et sa paranoïa l'ont logiquement conduit vers la Brigade du Paranormal. Aujourd'hui, après dix ans de carrière en dent de scie, Revel carburait aux Anxiolytiques. Il était à bout de souffle.

" Hakim, je commence à en avoir marre. Dit-il
- Tu veux que je prenne le volant ?
- Nan, c'est pas ça que je veux dire. La Brigade. Les secrets. Les meurtres et les mensonges... Tout ça, quoi.
- Tu savais à quoi t'attendre, quand tu t'es engagés : "Je jure devant dieu de garder le secret professionnel jusqu'à ma mort et même après."

L'agent Hakim se redressa sur son siège, et alluma une cigarette. Depuis un moment déjà, il se doutait que son collègue filait un mauvais coton.

" Tu ferais quoi, si je balançais tout ? reprit Revel, sur un ton léger
- Sans hésitation, une balle entre les deux yeux."

Surprit, Revel tourna la tête vers son collègue. Il faillit envoyer la Punto dans un fossé.

" Je sens que je vais crever, Hakim. déclara Revel, en ouvrant la fenêtre. J'en peux plus, je vais craquer.
- Ne sois pas égoïste, Revel ! Si tu craches le morceau, je serais au chômage ! La Brigade n'aurait même plus lieu d'être !"

Léonard ne répondit rien. Après tout, son collègue avait raison. Il ne pouvait pas capituler. Face à cette situation épineuse, le suicide restait la meilleur alternative.

Et soudain, alors qu'un silence oppressant s'installait peu à peu dans la voiture, le téléphone d'Hakim sonna. Après avoir baissé le volume de l'autoradio, il décrocha.

" Oui ? Oui Patron, comment allez-vous ? Mal ? Ah d'accord. Oui, d'accord Patron. Mh...Mh... Au revoir, merci de nous avoir mit sur l'affaire.
- Quelle affaire ? questionna Revel.
- Un virus inconnu. Rétorqua Hakim en balançant écrasant sa cigarette dans le cendrier métallique. Met toi sur la bande d'arrêt d'urgence, je prends le volant.
- Mais ? Je croyais que tu voyais trouble
- Mais le monde est trouble, Revel. Le monde est trouble."

Intéressant. Quelques touches d'humour bien à la emy par-ci par-là (d'ailleurs ça passe bien mieux que lorsque tout le texte en est rempli, là ça donne une "patte" plutôt sympa ), le reste est plutôt bien écrit.

J'attends la suite, maintenant.

Lu.

Je me demandais comment tu allais faire une suite. Je pensais que tu continuerais avec ton médecin mais il n'en fut rien. C'est pas mal. J'ai un peu moins ri, mais le style est selon moi meilleur que dans le premier chapitre.

Bref c'est du bon, je veux la suite.

Premier commentaire depuis... pffiout !
J'ai donc lu les deux chapitres, et j'ai de loin préféré le deuxième.
Le premier, je saurai pas trop dire pourquoi mais quelquechose m'a rebuté, j'ai pas réussi à rentrer dans le trip. Pas assez imagé et assez précis dans la description de la dégueulasserie pour être prenant peut être. C'est à dire que ça passe un peu pour du gore pour le gore, avec des choses plutôt communes au niveau de ce vocabulaire.
Le reste du texte, niveau lexical est plutôt correct, pas de tournures alambiquées, pas non plus de simplisme, correct :d.
Le personnage du docteur reste "sympathique" parce que tu réussis quand même à introduire de l'humour dans ses répliques, même s'il reste malgré tout un peu le cliché du personnage antipathique à la docteur house un petit peu.

Pour le deuxième texte, comme l'a dit Az', c'est beaucoup moins dans l'esprit humoristique du "regardez y'a une vanne", c'est plus en finesse et du coup c'est plus agréable, je trouve, à suivre. Rien de particulier sinon sur ce chapitre mis à part l'ambiance que j'ai trouvé sympa, des deux potes collégues en voiture etc.

J'attends de voir la suite pour savoir sur lequel des deux premiers chapitres lorgnera le suivant.

C'est vrai qu'il y a comme une sorte de coupure stylistique entre les deux chapitres, mais peut-être est-ce volontaire, et ma foi je trouve ça pas mal du tout ! Le premier m'a fait grassement rigoler, j'ai beaucoup aimé le coup de TF1 par exemple, et les descriptions bien crades sont sympas. Le second amène plus la trame, l'histoire se dévoile gentiment. Finalement, la différence entre les deux styles donne une sorte d'originalité à ta narration qui n'est pas pour me déplaire.

J'attends une suite également, j'aimerais voir où tu veux en venir...

Beaucoup plus étoffé, beaucoup plus professionnel, humour beaucoup mieux dosé.
J'attends la suite.

Lu.
J'ai pas grand chose à rajouter. Si ce n'est, qu'à l'inverse des autres, je trouve le deuxième chapitre plus commun, moins fun que le premier... mais impossible de dire pourquoi?