J'ai écris un petit texte et chaque "phrase" décrit un grand classique de la littérature, à vous de deviner lequel .
Des hordes, dites héroïques, de gens qui s'étripent, dix ans de suite, sous les murs d'une bourgade, à cause d'une vieille femme séduite ; le voyage d'un vivant dans l'entonnoir des morts, prétexte à médire des morts et des vivants ; un fou sec et un fou gras qui s'en vont par le monde à la recherche de coups de bâton ; un guerrier qui perd la raison pour une femme et s'amuse à déraciner les chênes des forêts ; un lâche qui, pour venger son père assassiné, fait mourir une jeune fille qui l'aime et divers autres personnages ; un diable déhanché qui découvre les toits de toutes les maisons pour en exhiber les hontes ; les aventures d'un homme moyen qui fait le géant parmi les pygmées et le nain parmi les géants, importun et ridicule toujours ; l’odyssée d'un idiot qui, à travers une filière de mésaventures burlesques, soutient que ce monde est le meilleur des mondes possibles ; les infortunes d'un professeur démoniaque servi par un démon professoral ; l'ennuyeuse histoire d'une provinciale adultère qui s'ennuie et, à la fin, s'empoisonne ; les sorties loquaces et incompréhensibles d'un prophète accompagné d'un aigle et d'un serpent ; un jeune homme pauvre et fiévreux qui assassine une vieille femme, puis, l'imbécile! ne sait même pas jouir de son larcin et finit par se livrer à la police.
Pour ce que je reconnais à la volée, l'iliade, l'enfer de dante, le quichotte, gulliver, candide, faust, mme bovary, zarathoustra, crime et chatiment.
J’ajoute Roland Furieux sur les arbres déracinés.
L’homme qui plantait des arabes (sic)
Des hordes, dites héroïques, de gens qui s'étripent, dix ans de suite, sous les murs d'une bourgade, à cause d'une vieille femme séduite ;
Homère, L'Illiade
le voyage d'un vivant dans l'entonnoir des morts, prétexte à médire des morts et des vivants
La Divine comédie de Dante
un fou sec et un fou gras qui s'en vont par le monde à la recherche de coups de bâton ;
Don Quichotte de Cervantes
un guerrier qui perd la raison pour une femme et s'amuse à déraciner les chênes des forêts ;
Je sais pas
un lâche qui, pour venger son père assassiné, fait mourir une jeune fille qui l'aime et divers autres personnages ;
Je sais pas
un diable déhanché qui découvre les toits de toutes les maisons pour en exhiber les hontes
Je sais pas
les aventures d'un homme moyen qui fait le géant parmi les pygmées et le nain parmi les géants, importun et ridicule toujours ;
Gulliver de Swift
l’odyssée d'un idiot qui, à travers une filière de mésaventures burlesques, soutient que ce monde est le meilleur des mondes possibles ;
Candide de Voltaire
les infortunes d'un professeur démoniaque servi par un démon professoral ;
Je sais pas
l'ennuyeuse histoire d'une provinciale adultère qui s'ennuie et, à la fin, s'empoisonne
Madame Bovary de Flaubert
les sorties loquaces et incompréhensibles d'un prophète accompagné d'un aigle et d'un serpent ;
Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche
un jeune homme pauvre et fiévreux qui assassine une vieille femme, puis, l'imbécile! ne sait même pas jouir de son larcin et finit par se livrer à la police.
Je sais pas