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Blabla 35 ans et plus

Sujet : Que n'a-t-il eu envie d'un tout nouveau départ...ou la découverte de soi. 1/2
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soliloquer
Niveau 2
10 décembre 2017 à 19:01:37

''''''''''''https://youtu.be/x9WARWHVDhw

''''''Que n'a-t-il eu envie,d'un tout nouveau départ
De croire par ces mots,à un si bel espoir
S’épanche de ces lettres l’émoi secret touchant
Frénésie de sa main mène fébrilement
Au vaisseau inconnu, interpréter l’histoire
Viennent clés du langage lui donner le pouvoir
Clairvoyante vision perception de l’instant
Intense sensation qui sublime présent
Et soudain réalise qu’existe un autre part
Apparaissent alors regrets de sa mémoire
Naufrage de soupirs puis de sanglotements
Trop mure de souvenirs brisent le contenant
Comme barrage cède à furie d’un lahar
Débris de ses élans d’autres âges prennent part
Perceptions par milliers jaillissent brusquement
Et racines s’étanchent au plus profondément
Comme bête haletante qu'on mène à l'abreuvoir
Assoiffé de ces mots comme encre sur buvard
Pensées de s'éclairer à ces mots tournoyants
Fusent claquent et l’entourent en le bouleversant
Rêves de s’enrouler sur le grand dévidoir
Des illusions rendues ce nouveau défouloir
Ne marche déjà plus s’envole à travers temps
Il s'écrit à lui-même en se remémorant
Et ses joies et ses peines en vide réservoir
De ce trop-plein de dire resté dans l’isoloir

Que de terres promises l'ont oublié un temps
Mais que souffles nouveaux,fondent si beau moment
Il jubile de plaisir,il ne peut pas y croire
C'est pourtant à présent,relevant son regard
Par-dessus les écueils,de longs atermoiements
Se propulse d'un bond,plus haut qu'au firmament
Il découvre en ce texte,un de ces moments rares
Et dans la vie d'un homme,que l'on nomme aussi phare
Il espère et bien plus,que se fixe l’instant
En son for intérieur,il y croit à présent
Qu'en sera-t-il demain ?Cela le laisse hagard 
Se peut-il que d'un coup,a nouveau il s'égare ?
Et que joie et délices acquis si fraîchement
Aussi vite venus,s'en aille subitement
Non cela ne se peut,et il n'est pas trop tard
Pour que si beau cadeau,de son cœur ne s'empare
Fasse naître en son sein la lueur permettant
Laisser dos au passé et affronter le temps
Oubliés les remords serviles désespoirs
Effacés déceptions et regrets,il repart
À l'assaut de ces mots, de ces monts ,il le sent
Il ne pourra les vaincre qu'en ne les gravissant
Sur ces vierges sommets où porte son regard
Le front haut et si fier ,de courage il se pare
Et clamer verbes fort,désormais qu'il est temps
Que du fond de son âme sortent pressentiments
Ne reculera pas, maintenant il s'empare
De ce qu'hier encore paraissait illusoire
Il ne peut contenir les frissons du moment
Tient le cap s'acharne, il en fait le serment
Et ce serait trahir,ou bien pire ne pas croire
Que ces bienfaits du ciel ne puissent être de gloire
À tout prix, ne laissez aucun homme, même cent
Entraver le destin de tous ses sentiments
Chaotiques ordonnés , méritent leurs histoires
Et comment pourrait-il les laisser ainsi choir
Ils n'ont soif que de vivre et plus qu’intensément
Ne jamais plus souffrir d'un tel enfermement
Le carcan sur son cœur cédera aux nectars
Cette soif de partir, de nouveaux territoires
Il ne vivait qu'hiver et son renoncement
Aujourd'hui et demain lui seront son printemps
Qu'en leurs absences hier au milieu du brouillard
Il avait vécu seul sans jamais percevoir
Qu'ils étaient là en lui attendant patiemment
Qu'on leur ouvre la porte pour sortir du néant
Ne pas se résigner et surtout ne pas croire
Qu'au milieu de la boue on ne puisse entrevoir
Maculé de lumière cet émerveillement
Sens qu’un homme debout son épanouissement
Et dans la résonance d'un ton déclamatoire
Voix pleine de puissance de nous conter l'histoire
D'une vie sans relief , apparences seulement
Collé de bout d'ennui se font jaillissements
Aspirant un ailleurs qui tutoie les victoires
Et laissant loin de lui lendemains de cafard
Tous les maux de la terre dont il était souffrant
D'abdiquer sur l'autel du juste jugement
Loin de vie pointillé ou instants accaparent
Années jours et minutes sans autres échappatoires
Que la triste rengaine du recommencement
À moins qu'éclat ne viennent initier mouvement
Que l'alchimie obtienne le glas de l’accessoire
Loin de ses mornes jours qui soudain se séparent
De ce temps avachi terne et assoupissant
Qui nous anéantit enferme l'éloquent
Bientôt il se reprend élocution rembarre
Son être bannira pensés diffamatoires
Il ne saurait plus taire désormais il attend
De faire face à l’austère il leur jette le gant
Tentant dernière fois de leurs réquisitoires
De le faire vaciller et le doute en poignard
Geôliers l'entraveront lui diront méprisants
Qu'il a gâché sa vie qu'il vaut peu,qu’il le sent
Que jamais le corbeau ne devint sur le tard
Pareil au rossignol même dans cauchemar
Qu'il est tard,qu'il est creux ,que personne ne l'attend
Forces le quitteront et ses désirs ardents
Écrire il ne pourra lui pauvre scribouillard
Qu’à la source des mots il ne pourra reboire
Hors de lui chassera sinistre règlement
Les jettera en l’air lui et ses partisans
Avoir voix au Chapitre face à ces goguenards
N’est pas pour lui déplaire dresse des traquenards
Qu'importe la césure et son requis tranchant
Qui inflige morsure lui cassera les dents
Hémistiche coupure de son grand découpoir
Qui toise qui se fiche du plus pur nous dépare
Des syllabes se moque lui est bien plus seyant
Et ce texte les troque en s'en débarrassant
Riches ou pauvres rimes ne pourront que valoir
Que ce qu’elles procurent provoquent grand chambard
Masculines féminines, est-ce donc suffisant ?
Singulières ou plurielles, en les utilisant
Elles qui se contrefichent du discriminatoire
Explosent poudrière de tous ces papelards
Répétitions de mots les assume bégaiements
Jamais ne nous déçûmes de tels rabâchements
Que mélanges des temps les veut ostentatoires
Présent passé futur bien plus évocatoires
De ce mètre comptable fait feu d’enjambement
Que ne trébuchent pieds ainsi en se faisant
Rigueurs académiques dans leur lourd corbillard
Les pulvérisera balaiera ces vantards
Rudesses sémantiques nous privent en se coupant
Des promesses captives lyriques envolements
De l’impact n’en a cure lui qui n’est pas Ronsard
N'a que faire de censure de son grand écumoire
Il compose décompose et inlassablement
Alphabet a pour plaire à son contentement
Et bien qu’il vous assène de ces quelques brocards
Il faudra vous y faire Il tiendra le crachoir

Ne vous y trompez pas il n’est pas bien méchant
Son vœu n’est que d’écrire il est même attachant
Ne surtout rien omettre que se vident tiroirs
Du lancinant passé qui perce de son dard
Et ressasse nos vies en nous empoisonnant
Du venin du peut-être aurai-je fait autrement
Au-delà du paraître et de son air criard
Qui nous impose à tous le manipulatoire
S’il ne ressemble à rien, ce texte ,saignement
N’a que pour s’en remettre, ces mots en pansements
Tribuns ,griots, conteurs héritiers lui font-part
Et l’écho d’égaler dans l'éclat se mouvoir
Il n’a pas de tribu et encor moins de clan
L’important est de n’être ni le noir ni le blanc
Langage est sans frontières d’essence migratoire
Là où il passe, il reste résiste et contrecarre
Folies couleurs de peaux, nations empires mourants
Qui saignent humanité depuis la nuit des temps
Que vérité console l’auguste pleurnichard
On ne peut la chasser sortez donc vos mouchoirs

Il baignera visage du levé ravissant
Promesses d’une page aux reflets saisissants
Son passé il le sait n'est pas fruit du hasard
Le cancre qu'il était peut enfin prendre part
À récolte des fruits en a rêvé souvent
Tout au fond de la classe, sans oser pour autant
Montrer que lui aussi devant un auditoire
Ne tremble déjà plus il va au tableau noir
Mots devenus amis hier encore distants
De sa main les unit se montrent alors aimants
Et ses doigts de puiser au vaste répertoire
De l'Alpha l'Oméga ses lèvres s'accaparent
De leur sens désaltère ses écrits balbutiants
Aspergent de leurs gouttes affection se répand
Avide de leur goût s’en délecte à en boire
S'en humecte la bouche du fabuleux pouvoir
De ces mots qui nous touchent traduisent l’émouvant
Le vieillard farouche le transforme en enfant
Qu'hier il a été et le passé s’effare
Parvient du bout des lettres qui lui laissent entrevoir
Qu’entièreté de vie lui donne attachement
Que discours viennent à lui si naturellement
Ils fracassent les murs de tous ces échaudoirs
Que sont ces écorcheurs maîtres du péremptoire
Contemplateurs serviles du malheureusement
Et leurs langues habiles griffent déchirements
Assassins de lueurs aux dires inquisitoires
Les hautains arrogants aux discours braillards
Il n’attend rien de l’homme pas un remerciement
Il puise aussi sa force dans le renoncement
N’en déplaise aux extrêmes de droite ou laïcard
Qu’indispose l’idée qu’indigène blédard
De n’être que racaille peu ou prou approchant
Aligne ,ose, réplique, soit de taille et se fend
De dire haut et fort qu’il est assez bizarre
Au nom de république et de nous, décevoir
Idée si pathétique tel obscurcissement
Qu’on n’accepte que l’autre s’il n’est pas différent
La patrie des lumières s’éclaire d’un bougeoir
Où sont ses droits de l’homme devenus rêves épars
Aux frontons la devise se défait lentement
Liberté pas venue ,était-elle au courant?
Égalité pas vue enfermée au placard
Fraternité vaincue à grand coup d’assommoir
Pas venu pas vu et vaincu, si seulement!
Et comme il lui faut rendre bien lui appartenant
À illustre grand homme jamais ne se compare
Veni, vidi, vici il le laisse à César

Assister en muet n’est pas cautionnement
C’est aussi par silences qu’il combat en dedans
Les calomnies sur lui glissent sans prévaloir
N’a que faire des on-dit et de leurs racontars
Qui font taire les hommes et leur discernement
Lui dont les mots résonnent seront-ils raisonnants?
Reddition mots à terre ne peut se concevoir
Que mieux vaut lettres mortes que mots capitulards
Que son droit à la vie il le veut il le prend
Forteresses et prisons jamais plus châtiments
Il est fruit des tempêtes lettres sur aiguisoir
Qui tranche et interprète la fin de l’abattoir
Que son pire ennemi et depuis bien longtemps
N'était autre que lui il le sait à présent
Désormais table rase de sa vie ce prétoire
Médisances des hommes ne pourront le déchoir
Il a de même appris en se désenchaînant
Que c’est en liberté qu’oiseau a plus beau chant
Qu'inspiré par Icare s'évade des couloirs
Les lettres l'ont sauvé du dédale qui égare
Que ses ailles et sa cire mots en enseignement
Qu'à soleil Plumes écrivent pour qu'il soit indulgent
Et vient enfin renfort alexandrin nous narre
Prince de rhétorique Conquête concevoir
Et pour se faire, appelle le roi des conquérants
Qu'est son illustre Aïeul Alexandre le Grand
Qu'il sorte de ses tripes symphonies oratoires
Tableaux énigmatiques qui hantent invocatoires
Qu'océan se retire annonçant imminent
La déferlante vague , grand bouleversement
Ce cri du fond de soi qui lève les amarres
S'amplifie peu à peu et d'un seul coup prépare
Bataille qui s'annonce qu'il soit grandiloquent
Que chemin accompli couronne ce tournant
Que gronde la revanche de son grand tintamarre
Déclenche furibonde le tout nouveau devoir
Que sa verve s’attache comme aboutissement
Que recueil fasse mouche avec ses sentiments
Atteigne émoi farouche qu’il en soit l’amorçoir
De ce remue-méninges de ce grand Trafalgar
Que légions de consciences y prennent engagement
De n'inviter qu'au bien réduire mal au néant
Cette voie cette route ,l’épuisent à la barre
Le récit se précise et libère ces bagnards
Rêverie si fertile dit malhabilement
Que ce texte il y tient qu’il est plus qu’impatient
Qu’il prenne forme et vie qu'enfin il puisse voir
Ce qu'esprit devenu, ce grand laboratoire
Ses ambitions cachées début chuchotements
Murmureront d'abord dans l’enchevêtrement
Des secrets inavoués ces proies du moratoire
De la sincérité qui aujourd'hui déclare
Que celui qu'il était eut faveur de l'élan
Des phrases qui déversent réflexions en torrent
Mots aujourd’hui sur lui se sont mis a pleuvoir
Et ces pluies salvatrices effacent laminoirs
Leurs ondées bienfaisantes en inondent les rangs
Souffles d'inspirations pris de saisissement
Alors allégories fusent de toute part
Et de leurs artifices feux hallucinatoires
Font luire l’édifice de l’étincellement
Qu’est son seul vœu d’écrire en le cristallisant
S'étreignent les désirs et s’éteignent éteignoirs
Rencontre d’une lettre et de son Écritoire
Ses seules armes sa foi son effort l’invitant
Chaque jour au jihad son âme combattant
Qu'il a réalisé que parfois a s’asseoir
Quand tout autour de vous n’est que le dérisoire
D’une réalité sempiternellement
Gâché à ne courir qu’après moulins à vent
Il est bon de sentir et d’entrapercevoir
Que toutes créations n’est que de vibratoire
Délicieuse harmonie de ce contentement
Qui le pousse à l’envie et de voir autrement
Toutes ces particules pléiade de savoir
Heureuses d’exister quittent leur tour d’ivoire
Maintenant elles respirent différentes d’avant
Le succès est si proche fin du renoncement
Elles qui sont maintenant des millions des milliards
Lancent dernières forces du haut des promontoires
Et ses troupes en présence de s'allier chevauchant
Au milieu du tumulte du grand bouillonnement
Elles seront là debout comme des étendards
Et brandies par sa bouche comme les derniers remparts
Face au désert de vie d'où naissent les tourments
Et dont il ne veut plus se soumettre à présent
Ce combat d’une vie voudra faire valoir
Verbe crépitera à leur tête prend part
Et ses inspirations formeront régiments
Endurance et patience en sont les lieutenants
Feront face aux murailles hérissées d’étouffoirs
Ils les éventreront à grands coups de boutoir
Bataillons d’émotions montreront dévouement
Sensations en cohortes derniers retranchements
Repousseront bien loin doutes qui désemparent
Qui lui ont fait baisser les yeux face au miroir
Ses paroles en archers formeront nombreux rangs
Leurs flèches décochées lui perceront le flanc
À ce silence hurlant pareil au laminoir
Soudainement fait place a envie d'émouvoir
De ces blessures coulent les desseins abondants
Et du sang de l'obscure jaillit rayonnement
Connaissance est un art l'abandon un ignare
Dire n'est pas savoir, mais écrire est y croire
Fatigués de subir ultimes combattants
Pensés martyrs s’immolent pour que paisiblement
Poussière d’existence puisse s'apercevoir
Que ce qui nous est proche n’est que de provisoire
Qu’être tout simplement c'est mourir chaque instant
Mort n’est que fin de ligne, mais pas achèvement
Que futur et passé ne sont que dérisoires
Et que seul le présent amène au méritoire
Métaphores surgissent fin de l’isolement
Mènent les paraboles dans leurs cheminements
Aux confins de son être s’enfuiront charognards
Qui venus se repaitre dans sombres croupissoirs
Voulant faire renaitre insidieusement
Sur sa main les effets du vile tremblement
Et que mots ne se turent qu’en ne restant avares
À ce flot de vertu qui surgit par égard
À ce vent de valeurs le berçant insouciant
Audace ne se vit qu’avec brin d’inconscient
Inextinguible envie que sorte du pressoir
Sa vérité perdue en sera l’attisoir
Ni épitre ni ode à rien ne ressemblant
Ces propos sont les siens sans titre l’affublant
Matin Fleurs et bourgeons lui ont sans crier gare
Confié de sous leurs voûtes caresses qui réparent
Incapable de dire ce qu'il a et ressent
Dorénavant frissons planent intérieurement
À cime du langage phrases ont trouvé perchoir
Dominant canopée palabre grand bavard
Avec toutes leur branches ses amies l’accueillant
Il s’exprime elles écoutent il leur confie patient
L’invitent le convie au fabuleux au rare
En lui fleurissent alors lettres qui lui font part
Tous ces mots sur ses branches comme pollens au vent
Il aime a le penser s’en iront consolant
''''''
Copyright "©" SOLILOQUER

Headspin
Niveau 61
10 décembre 2017 à 19:13:05

Ca fait un peu beaucoup pour moi à cette heure ci.
Surtout si il y a un deuxième topic du genre.

Oeuf_de_Poule
Niveau 45
10 décembre 2017 à 19:29:02

:pave:

Fat-Freddy
Niveau 10
10 décembre 2017 à 19:33:38

Quel flood MINABLE.

castrol
Niveau 8
10 décembre 2017 à 19:39:44

Le temps de faire quelques provisions liquides surtout, puisque on meurt de soif avant de mourir de faim et j'attaque la lecture ...

... Ou pas

Oeuf_de_Poule
Niveau 45
10 décembre 2017 à 19:42:46

De plus le titre ne veut absolument rien dire...

KingCool
Niveau 10
10 décembre 2017 à 19:45:56

Junon par sa blanche toison,
Avide et chaste par cette oraison,
Imagine une réponse littéraire
Pour tout ces va-t'en-guerre.
Amis de la poésie,
Sages et ravis
Lirons cette prose
Utile à qui l'ose.

Copyright KINGCOOL

Pseudo supprimé
Niveau 8
10 décembre 2017 à 19:50:28

Rien que le titre m’a fait pleurer de rire, incompréhensible :rire:

Docom
Niveau 10
10 décembre 2017 à 20:06:38

C'est de l'écriture automatique non ? Genre un logiciel automatique prédictif avec des phrases générées aléatoirement ? Parce que bon, j'en ai lu une bonne partie, mais ça part dans tous les sens et ça paraphrase à gogo. Non pas que je dénigre, c'est bien fait en réalité, mais ça semble artificiel. Peut-être que j'ai tort, que c'est de l'art, en tout cas merci pour le partage. :-)

Docom
Niveau 10
10 décembre 2017 à 20:07:41

Eh les bas du front, le titre ne veut pas rien dire, élevez-vous avant de ricaner bêtement. :sarcastic:

Docom
Niveau 10
10 décembre 2017 à 20:16:52

@ l'OP, comme demandé sur Youtube, pourquoi citer "Bab Aziz" de Levon Minassian" pour la musique et ne pas citer Karl Jenkins (Adiemus) pour les 7 à 8 premières minutes ?

Gotainer
Niveau 3
10 décembre 2017 à 20:17:07

Un bas-du-front de plus à recenser :cool:

Moi quoi ... je préfère ce genre de prose :)
https://www.youtube.com/watch?v=_C8RY3W8NW8

Le reste donc (le texte proposé dans ce topic) n'est qu'une grosse tartine gluante et répugnante d'un trop-plein de confiture sans âme, ni gout, ni saveur.
Un alignement de mots, dit alignement qui ne suscite aucune émotion, aucun plaisir à la lecture d'ailleurs.

Docom
Niveau 10
10 décembre 2017 à 20:27:56

Bah oui, bas-du-front, c'est le principe du "soliloque". :sarcastic:

Japhet
Niveau 22
10 décembre 2017 à 21:00:52

Crise de pas-lu-disme

soliloquer
Niveau 2
10 décembre 2017 à 21:04:28

Le 10 décembre 2017 à 20:17:07 Gotainer a écrit :
Un bas-du-front de plus à recenser :cool:

Moi quoi ... je préfère ce genre de prose :)
https://www.youtube.com/watch?v=_C8RY3W8NW8

Le reste donc (le texte proposé dans ce topic) n'est qu'une grosse tartine gluante et répugnante d'un trop-plein de confiture sans âme, ni gout, ni saveur.
Un alignement de mots, dit alignement qui ne suscite aucune émotion, aucun plaisir à la lecture d'ailleurs.

Bonjour
Je préfère celle-ci:
https://www.youtube.com/watch?v=_YqzuE-5RE8

soliloquer
Niveau 2
10 décembre 2017 à 21:05:19

Le 10 décembre 2017 à 20:16:52 docom a écrit :
@ l'OP, comme demandé sur Youtube, pourquoi citer "Bab Aziz" de Levon Minassian" pour la musique et ne pas citer Karl Jenkins (Adiemus) pour les 7 à 8 premières minutes ?

Bonjour
C'est un oubli de ma part que je rectifierai.

Gotainer
Niveau 3
10 décembre 2017 à 21:09:23

Le 10 décembre 2017 à 21:04:28 soliloquer a écrit :

Le 10 décembre 2017 à 20:17:07 Gotainer a écrit :
Un bas-du-front de plus à recenser :cool:

Moi quoi ... je préfère ce genre de prose :)
https://www.youtube.com/watch?v=_C8RY3W8NW8

Le reste donc (le texte proposé dans ce topic) n'est qu'une grosse tartine gluante et répugnante d'un trop-plein de confiture sans âme, ni gout, ni saveur.
Un alignement de mots, dit alignement qui ne suscite aucune émotion, aucun plaisir à la lecture d'ailleurs.

Bonjour
Je préfère celle-ci:
https://www.youtube.com/watch?v=_YqzuE-5RE8

Nous ne faisons pas partie du même clan de canailles alors.
Je préfère les cinoches de Sarcelles (voir Créteil) ainsi que la bière que l’on boit assis sur le capot d'une voiture :-)

soliloquer
Niveau 2
10 décembre 2017 à 21:10:59

Le 10 décembre 2017 à 19:50:28 Lap1Rennais a écrit :
Rien que le titre m’a fait pleurer de rire, incompréhensible :rire:

Bonjour
Je t'accorde qu'il n'est pas commun mais s'il t'a fait pleurer et rire à la fois Diantre quel exploit.

Gotainer
Niveau 3
10 décembre 2017 à 21:13:53

Le 10 décembre 2017 à 21:10:59 soliloquer a écrit :

Le 10 décembre 2017 à 19:50:28 Lap1Rennais a écrit :
Rien que le titre m’a fait pleurer de rire, incompréhensible :rire:

Bonjour
Je t'accorde qu'il n'est pas commun mais s'il t'a fait pleurer et rire à la fois Diantre quel exploit.

Ce texte ne m'a fait que pleurer.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué au point que l'ensemble devient illisible et indigeste.

soliloquer
Niveau 2
10 décembre 2017 à 21:21:29

Le 10 décembre 2017 à 21:13:53 Gotainer a écrit :

Le 10 décembre 2017 à 21:10:59 soliloquer a écrit :

Le 10 décembre 2017 à 19:50:28 Lap1Rennais a écrit :
Rien que le titre m’a fait pleurer de rire, incompréhensible :rire:

Bonjour
Je t'accorde qu'il n'est pas commun mais s'il t'a fait pleurer et rire à la fois Diantre quel exploit.

Ce texte ne m'a fait que pleurer.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué au point que l'ensemble devient illisible et indigeste.

Désolé pour l'indigestion.Et relativise ce n'est qu'un texte.

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Sujet : Que n'a-t-il eu envie d'un tout nouveau départ...ou la découverte de soi. 1/2
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