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Astronomie

Sujet : Exercice de penser
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testone4
Niveau 3
09 février 2020 à 10:35:25

:hello: Bonjour à tous, Alors voici mes questions pour cette exercice penser donc il peut avoir même que ça des choses tirer par les cheveux mais le but est principalement d'échanger.

I) Première question

Ma première question est lorsqu'on traverse un trou de ver que durant sa traverser il se scinde en deux que se passe-t-il ?

Ce qui m'interroge sont les points suivants :

I-1) Ou on se retrouve au point de l'espace et du temps qui correspondrait à notre chemin normal sans se raccourci ?

I-2) Ou on est coincé dans un entre deux soit un univers parallèle coincé entre le trou noir et le trou blanc du trou de ver ?

I-1-a) Dans ce cas on aura traversé un trou noir et avant qu'il se ferme est-ce qu'on sentirai les effets de la singularité (spaghetthi effet marée and co) ?

I-2-a) Si on est donc coincé dans un univers parallèle la question est peut t'il s'étendre et qu'est qui en est à l'origine le trou noir (singularité) ou trou blanc ?

II) Deuxième questions

Pour la deuxième question : Ici vafaloir faire preuve de juste d'écrire un principe physique impossible réelement, mais d'imaginer ce qui pourrai se passer si cela était "possible" étant donner que ça va être une question assez farfeleu à propos des trous noirs donc je vais vous mettre dans le contexte.

La sonde voyager à pu bénéficier d'une accélération par la gravitation et ma question est si on le fait avec la force de gravitation d'un trou noir un objet pourrait t'il en sortir avec une vitesse de lancement nécessaire qui permettrai à cette objet de dépasser la vitesse de la lumière sachant que rien ne peut théoriquement en sortir?

III) Troisième questions

La troisième question est sur le rayonnement d'Hawking je suis pas un scientifique ou quoi et j'ai vu une vidéo de vulgarisation (e-penser) qui en parlais de particule à l'extérieur du trou noir et une à l'intérieur.

Une positive et une négative Il y'en a une qui va directement dans la singularité et une autre s'en échappe du trou noir et maintenant ma question est bête mais si c'est la particule qui est chargée négativement qui tombe dans la singularité il se passe théoriquement quoi formation d'un trou de ver?

De plus j'aimerai que vous m'éclairez plus sur le rayonnement d'Hawking juste peut être m'expliquer plus en détails de comment ça fonctionne . :merci:

IV) Quatrième questions

Enfin la dernière question :

Mais pourquoi lorsqu'il y'a un rayonnement d'Hawking la singularité est au plus faible concrètement ça veut dire quoi physiquement parlant qu'on pourrait l'approcher (Dans cette question c'est un trou noir supermassif dont je fais référence) ?

Merci de votre attention ,désolé pour les fautes d'orthographes et passer une bonne journée :gni: :pave:

Jooord
Niveau 10
09 février 2020 à 14:11:04

Ce n'est pas du tout comme ça que fonctionne la science.Là tu prends de la science vulgarisée et t'essayes avec de pousser le questionnement de la science. Sauf que la science n'avancera jamais en se basant sur sa vulgarisation, et le quidam ne comprendra jamais réellement la science en se contentant d'en faire de la vulgarisation.

Un trou de vers c'est une entité mathématiques, à partir de là si tu veux faire des expériences de pensée avec, soit ce sera de la pure gymnastique de pensée avec laquelle on peut produire tout et son contraire, soit elles ont un véritablement sens mais dans ce cas il est exclusivement mathématiques. Problème, je ne vois aucun symbole ni nombre dans ton message.

Tu dis toi même ne pas être scientifique donc il ne faut pas prendre mal mes propos, mais il faut que tu en déduises que les questions que tu te poses ne sont pas des questions scientifiques. Toi tu te les poses parce que tu confères à l'objet physique des propriétés extrapolées (à partir de sa vulgarisation) qui n'existent pourtant pas au sens physique (et donc mathématiques). Tu dis toi même dans ta question 2) qu'on part d'un principe qui n'est pas physique. A ce moment, qu'est-ce que tu veux véritablement en déduire si ce n'est tout et n'importe quoi?

testone4
Niveau 3
09 février 2020 à 19:21:34

L'idée ici est de se poser des questions qui peuvent être posé assez bêtement, et naïvement à la science. De la part de quelqu'un qui ne s'y connait pas et de pouvoir y répondre et d'expliquer ce qui manque à cette dite vulgarisation. Ce que je veux dire par la c'est que si un jour quelqu'un se pose une question sur une vulgarisation et que ça pose un problème à la science faudra être capable d'y répondre . Se questionner permet de se demander qu'est qu'on connait réellement ou non "est-ce que dans ce cas précis je sais ce qui se passe" c'est plutôt la ou je veux en venir la science je la vois un peu comme une ia qui ingurgite tout un tas de chose pour qu'ensuite elle s'adapte pour trouver une solution.

Justement un trou de vers c'est une entité mathématique ici j'en parle pas car il n'est pas de questionnement mathématique mais physique. Car les mathématiques ont pu trouver les trous noirs avant son observation comme tout un tas de chose avant qu'on en décide de s'y intéresser physiquement. Car t'aura compris que maths et physique sont liés car inutile sont les mathématiques sans physique et inutile est la physique sans mathématique les deux sont liés. Donc pas de symbole ou nombre sans poser un contexte dans lequel travailler non ? Tu fais des calculs avant sans poser un cadre précis ? Personnellement si je dois faire un calcul je voudrais d'abord connaitre ce qui se passe physiquement pour savoir à quoi je dois m'attendre en terme mathématique

(Les travaux pratiques se base la dessus. On observe puis on avise un résultat mathématique bien évidemment dans le cadre ou nous sommes impossible d'observer et d'ensuite aviser un résultat mathématique) (Einstein lorsqu'il a fait ses calculs sur la relativité(cadre précis avant d'effectuer des mathématiques) lorsque le cas du trou noir est arrivé estimais plus ce résultats de curiosité mathématique)

Or il s'avère un élément physique bien réel, et qui pousse au questionnement de son temps à aujourd'hui mais ce que je note, est qu'il y'a un tel contraste entre physique et mathématique (le contraste est que par le calcul on peut tomber sur des choses qui nous semble pas pertinent pour celui qui fait le calcul mais va au bout du raisonnement pourtant mais pour celui qui est dans le monde physique ça serai peut être le petit truc qui débloquerai des choses)mais les deux sont liés.

Pour la question deux il s'agit d'un positionnement sur l'énergie en réalité car voila le raisonnement derrière cela on sait que pour s'approcher de la vitesse de la lumière il nous faudra beaucoup d'énergie et donc est-ce qu'un trou noir est suffisant pour ça mais c'est beaucoup plus vaste car potentiellement une source d'énergie "méconnue" (bien évidemment quand je dis que ça n'a pas de sens physique réel car il y'a tout un tas de paramètres à prendre en compte frottement,capacité a s'en approcher du trou noir et à s'en extraire etc qui font que physiquement c'est pas possible d'ou la volonté de s'en affranchir pour poser un cadre pour les mathématiques théoriquement simple puis on rajoute les variables et voir ce que ça donne)

Je tiens à préciser j'affirme rien car de Galilée à aujourd'hui beaucoup de chose se sont avérer fausse car un scientifique B à démontrer que le scientifique A avait tort mais dans ce contexte C mais également vrai le scientifique B à démontrer que le scientifique A n'avait pas totalement tort dans le contexte D ce que je veux dire par la c'est que la science évolue. Parfois je me remets dans le contexte au moment de l'éther ça devait être gênant d'être un scientifique à ce moment incapable d'expliquer physiquement ce qu'il se passe et je me demande par moment si le postulat d'Einstein sur la vitesse de la lumière serai faux pas mal de théorème deviendrai bidon non ?(Attention je le redis c'est physiquement et mathématiquement vrai le postulat d'Einstein mais je pose juste dans le contexte ou si on un jour on découvre que c'est faux dans un contexte précis) Et on se retrouverai avec une science sans réponse à devoir se réinterroger pour pousser les concepts précédents plus loin.

Le but de la science vulgarisé est de pouvoir parler de science mais la simplifier pour que tout le monde comprennent une science bien précise mais en soit les principaux points découverts sont expliqués mais simplifier en image donc en soit poser des questions avec des faits de vulgarisation est une bonne chose car cela confronte le manque d'information avec la totalité de l'information ("Qu'est-ce qu'on sait sur un tel cas X on sait des choses sur un cas Y etc etc) Car en général une question doit recevoir une réponse 'En général' si on ne sait pas répondre à une réponse on touche une limite à ce qu'on sait le moins de limite qu'aura la science le mieux ça sera.

Dernière chose est que combien même on arrive à prouver des choses mathématique et physique, il y'a un questionnement qui est important pour se poser les bonnes questions pour la science est notre présence dans tous ça ce que je veux dire étrange pour le moment seul présence intelligente notre terre dans cette univers à notre connaissance mais pour quoi faire et surtout plus de personne qui y participe mieux sera la rapidité du développement de la science?

kzekox
Niveau 15
10 février 2020 à 13:39:21

Dernière chose est que combien même on arrive à prouver des choses mathématique et physique, il y'a un questionnement qui est important pour se poser les bonnes questions pour la science est notre présence dans tous ça ce que je veux dire étrange pour le moment seul présence intelligente notre terre dans cette univers à notre connaissance mais pour quoi faire et surtout plus de personne qui y participe mieux sera la rapidité du développement de la science?

Pour commencer la faute du "combien même" m'agace autant que celle du "comme même", à croire que vous parlez sans comprendre ce que vous dites.
Ensuite les sciences ne se font pas à base de débats entre béotiens et scientifiques, encore heureux.
Poser les bonnes questions est en effet un prérequis mais il faut se les poser dans un contexte donné que seuls ceux qui étudient maîtrisent.
Si tu ne connais ni la relativité ni la MQ n'imagine pas pouvoir poser une question pertinente (du point de vue scientifique) sur les trous de ver et n'imagine surtout pas pouvoir améliorer le développement de la science.
A un moment donné il faut savoir reconnaître nos limites et nos compétences, c'est pas un bricoleur du dimanche qui va apprendre à un maçon à poser ses briques.

Jooord
Niveau 10
10 février 2020 à 14:03:36

testone4 tu as une vision à l'envers de la science.

Aujourd'hui les interprétations des objets physiques sont postérieures à leurs découvertes mathématique. Par exemple la théorie des cordes, c'est pas l'histoire d'un mec qui s'est dit "Tiens et si en fait l'infiniment petit c'était des cordes qui vibrent?" et a développé une théorie derrière, non c'est l'histoire de plein de mecs qui ont écrits des équations et des solutions et qui ont remarqué que pour certaines d'entre-elles les propriétés mathématiques ressemblaient à celles des cordes macroscopiques, et c'est donc seulement après qu'on a commencé à parler de cordes.

Avec de la vulgarisation on ne peut qu'expliquer que ce que la science dit déjà. Si dans ta question vulgarisée il y a des termes que la science elle-même n'explique pas, ça n'a aucun intérêt (sauf à faire de la métaphysique de comptoir). Par exemple une question du genre "Si je me tiens à 5m de l'endroit où à eu lieu le Big Bang il m'arrive quoi?" ne présente strictement aucun intérêt ni scientifique ni philosophique car déjà pour lui donner un sens confère implicitement à un objet scientifique des propriétés que les scientifiques ne lui confèrent pas (en l'occurrence ici on confère au Big Bang une origine alors qu'il n'en a pas). De même, si tu demandes ce qu'il se passe quand on scinde un trou de vers, le gros problème c'est qu'on ne sait pas ce que veut dire "scinder un trou de vers". Alors on peut soit s'amuser à le définir comme on veut de façon métaphysique, mais dans ce cas on peut répondre tout et n'importe quoi à ta question et ça n'a pas d'intérêt (autre que de la métaphysique de comptoir de nouveau).

Al1_Proust
Niveau 10
10 février 2020 à 21:23:02

Les mathématiques sont un langage poétique où l'imaginaire toise le réel.
L'homme se soustrait du commun pour produire un raisonnement dont la somme n'a d'égale que les théorèmes.
L'expérience se veut juge implacable de cette rêverie humaine.
Nos poètes scientifiques sont des faiseurs de ciel.

Ce qu'il faut comprendre avec la vulgarisation, ce sont ses limites. Aussi, et surtout, pour le profane rien n'est moins intéressant que se redéfinir en tant qu'homme. On touche plus à la poésie, métaphysique, art qu'à la science. Ce n'en est pas moins important dans un autre domaine. Aussi peu nous pouvons la toucher , par le biais de la vulgarisation, des révolutions se déclenchent quand bien même elles sont peu présentes. Les terriens que nous sommes, produits de l'évolution terrestre millénaires, ne peuvent que difficilement sentir autre chose que ce que Newton nous a bien décrit, à travers nos sens, palpables, intuitifs, visibles. Et encore que, et encore que, cela est difficile et Galilée l'a bien montré. Toutefois, si on fait l'effort de s'accaparer, autant que faire ce peut, les représentations de l'univers du XXe siècle, voir même de la physique quantique, des particules où comment la nommer, les limites de la représentation humaine sont toujours repoussées. De ce fait, l'homme se redéfinit lui-même dans le temps et l'espace qui n'ont plus la même saveur que ce qu'il pensait intuitivement. N'est-ce pas magnifique de savoir qu'auparavant, et toujours maintenant car terriens, les histoires ne pouvaient s'extraire des notions de temps, d'espace, des émotions, des couleurs, des formes, des directions, des mots, des langages ? Avec les révolutions scientifiques, le monde s'appréhende différemment et, si peu pouvons nous le toucher par la vulgarisation, il en arrive à repousser les limites de l'intelligibilité humaine. Ainsi, les mathématiques sont le langage d'une poésie de la nature, sans cesse interrogé par ces mêmes poètes. Ce que l'homme ne peut comprendre de sa limite intellectuel fondé sur les sens et l'intuition, bref son corps humain essentiellement formé par la nature, il le trouve ailleurs dans le dialecte peu commun mais ô combien expressif des mathématiques.

Il y a poésie sous deux aspects : élaborer une théorie pour voir ce qu'elle a dans le ventre quitte à ce que la nature ne la valide pas par expérience. Cela suppose l'imagination non pas à partir de rien mais à partir de lois mathématiques et physiques, mais imagination quand même. Puis, trouver un résultat expérimentalement valide qui pourfend les représentations du réel du commun des mortels. Vulgairement intelligible par la liaison intime de l'espace-temps par exemple. On pense à Feynman et sa citation : Si vous croyez comprendre la mécanique quantique, c'est que vous ne la comprenez pas. C'est pas juste jeté en l'air, c'est essentiel car difficilement intelligible mais, malgré tout, complètement révolutionnaire dans notre approche du monde. Mais l'approche du monde, est notre redéfinition en tant qu'homme par réinterrogation de cette représentation. Représentation -> Redéfinition -> Expression.

Feynman ne dit pas seulement que ce domaine est compliqué, il met le doigt sur quelque chose qui semble être le bord du gouffre de l'intelligibilité humaine. Il sait, en disant cela, que c'est tellement hors de la représentation sensible, mais n'est-ce pas la science en générale par essence telle qu'on l'a conçue qui renverse les présupposé intuitifs ?, tellement hors de la représentation sensible qu'il faut un effort prodigieux pour modeler l'intellect et toucher ce monde imaginé : les mathématiques. Après, on peut parler de la questions : les maths sont-ils le réel ou ce que nous voulons en voir, mais c'est autre chose puisque la nature nous en donne toutefois des réponses qu'elle ne semble plus négocier.

Bref, pour résumer : l'homme biologique, intelligence dépendante de repères, intuitive, sensible, émotionnelle = essentielle = prisonnier de ses sens. Se définit et s'exprime à partir de cela = art.
L'homme scientifique, dépasse ses intuitions, repense ses limites, notamment par les mathématiques et l'expérience.
Imagine à partir de lois et non plus du corps = S'extrait de l'intuition (bien que cela est impossible totalement voir mythe).
Se redéfinit et s'exprime à partir de cela = art renouvelé = révolution intellectuelle pour les plus importants changement.
Mais difficile à saisir pour les profanes car non maîtrise des mathématiques + difficulté (Feynman) à s'extraire de son intuition quotidienne et de son intelligence essentielle : couleur, forme, directions, mots, langages, émotions, voir, toucher, sentir. Comment mettre des mots sur un phénomène qui n'a ni les formes ni la couleur qu'on connait ? Voilà. Un chat oui, Un chat vert pourquoi pas, Une brise rectangulaire de chat vert. Non, l'esprit s'y bloque. Les maths débloquent.

Al1_Proust
Niveau 10
10 février 2020 à 21:49:02

Ps : les maths ne sont pas les seuls à définir la science, ils imposent surtout de toucher ce que l'on ne peut penser intuitivement. C'est plutôt ça qu'il faudrait dire.

pigeonsurpatte
Niveau 9
29 avril 2020 à 16:40:20

Je trouve certains commentaires vraiment à l'opposé de l'esprit scientifique.
Même si l'on a pas un cursus scientifique ni de connaissances approfondies en astrophysique, je trouve que c'est plutôt sain que les gens se posent des questions.
Ensuite on peut prendre le temps de répondre et corriger avec humilité et pédagogie lorsque l'on oscille entre physique et métaphysique, sans passer pour un pseudo scientifique arrogant comme il en existe tant, qui répondent à coté et avec mépris...

Mais je suis content de voir qu'il y a quand même des personnes essayant de répondre de bonne foi à Testone4.

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Sujet : Exercice de penser
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