Salut à tous, je permet de me présenter avant toute chose.
J'ai découvert ce forum il n'y a pas très longtemps et vu que j'avais envie de m'exprimer je me suis dis que c'était le bon endroit pour le faire parce que vous m'avez l'air plutôt sympas !
Concernant le poème qui va suivre, je ne me fais pas d'idées, je ne pense pas qu'il soit très bon. Je n'ai pas une grande culture littéraire et je pense que malgré mes efforts ça se ressent dans mon vocabulaire ou dans ma syntaxe. J'espère réellement m'améliorer et tous les conseils que vous pourrez m'apporter sont les bienvenus.
Sinon, pour parler du poème en lui même, ce que j'ai essayé de faire c'est de représenter l'émotion d'un jeune homme (moi étant lycéen) qui se sent seul et rêve de la femme parfaite. C'est (je pense) assez commun comme sujet mais j'avais vraiment envie de mettre ça sur papier. Au début je voulais me fixer des règles, je pensais à peut-être faire un sonnet ou quoi mais je n'arrivais pas à dire ce que je pensais réellement et respecter les règles à la fois. Du coup j'ai choisis d'écrire librement. Des fois ça rime, des fois ça ne rime pas (quand ça rime c'est un pur hasard).J'ai l'impression qu'il y a un certains rythme dans mon poème que j'ai produis sans vraiment m'en rendre compte. J'ai lu plusieurs fois (ici et ailleurs) qu'il fallait écrire "avec son coeur", mettre ses émotions ect...
J'ai fais ce que je pouvais, je serais ravi de lire vous impressions (soyez pas trop méchants c'est l'un de les premiers poème) !
Printemps Décevant
Dans cette pièce éclairée par les derniers jours d'hiver
J'attend avec peine le printemps
Pendant que mon désespoir grandit, mon coeur lui espère
Et je reste là, seul, je t'attend
Tu ne viendras pas, je le sais trop bien
C'est pourquoi, collant ma tête contre la vitre
Je t'imagine m'ouvrir cette porte vers un endroit merveilleux
Un jardin chaleureux où les azalées fleurissent
Pendant que la lointaine brise du Pacifique
Fait valser les fleurs encore nouveaux nées des cerisiers
Qui filtrent les premiers rayons de nos jours
Pour donné à nos longues promenades la couleur de l'amour
Tu ne viendras pas, je le sais trop bien
Et je suis réveillé de mes songes par les premiers chants des oiseaux
Qui sont pour moi comme l'expiration d'un bourreau
De cette jeunesse que je perd je suis déjà nostalgique
Car j'entend derrière moi d'éternelles lamentations mélancoliques
Je ne vis que pour toi et tu n'existe pas
Je ne vis que pour toi et je ne vis pas
Merci de m'avoir lu !
