Création

Bonjours/Bonsoirs tous le monde.
Je publie ici un petit extrait d'une nouvelle que je publierai sur Wattpad (je la poste sur Wattpad à 16 heures donc attendez pour le lien). Je poste aussi l'avant propos.
Donc si cela vous intéresse n'hésitez pas à aller voir.
Merci beaucoup et bonne lecture.

Avant propos

Je me suis beaucoup demandé comment j’allais présenter cette petite nouvelle donc je vais essayer de faire simple c’est un mélange d’une histoire d’amour, de gangster et même un peu adolescent d’un certain point de vue.
Cette nouvelle a été écrite en une nuit et le début de matinée qui a suivi donc ne vous attendez pas à quelque chose d’aussi travaillé que Little Asia, d’ailleurs en ce qui concerne Little Asia la parution de cette nouvelle ne changera pas du tout le rythme de parution de Little Asia.
L’histoire est divisée en 5 parties. En ce qui concerne les sorties :
- Première partie le mercredi 7 mars à 16 heures
- Deuxième partie le samedi 10 mars à 16 heures
- Troisième partie le mercredi 14 mars à 16 heures
- Quatrième partie le samedi 17 mars à 16 heures
- Cinquième partie le samedi 24 mars à 16 heures

Voila. Bonne lecture.

Synopsis :

Alexandre est un petit chef yakuza qui décide de couper les ponts avec Jennifer une fille pour laquelle il avait des sentiments. Une manière de se venger qui va déclencher une série d’évènements incontrôlables.

Première partie : Alexandre

Il lui avait enfin sorti. Il ne s’était jamais senti aussi bien auparavant. Cette manière de lui dire « c’est fini je ne veux plus te voir ou te parler » en lui sortant ces quatre vérités le libère d’une souffrance énorme, celle de cet amour. Ce n’était pas par jalousie qu’il venait de faire cela pourtant c’était une manière de se venger de Jennifer.

Jennifer était une fille qu’Alexandre avait beaucoup aidée sachant qu’Alexandre appartenait ouvertement au milieu du crime organisé japonais beaucoup de gens le craignaient au lycée chose qui ne rendait pas ses rapports sociaux avec les autres élèves très faciles. Lors de sa relation avec Jennifer Alexandre avait été menacé plus d’une fois d’excommunication par ses supérieurs car celons eux il passait trop de temps avec elle au lieu de rapporter de l’argent mais malgré toutes ces menaces il n’avait jamais renoncé à la voir. Il l’avait soutenu pendant plusieurs semaines après un évènement dont Alexandre avait été témoins sans pouvoir y faire grand-chose. Il était prêt à mourir pour elle juste par amitié mais au fil du temps cette amitié se transforma en amour. Mais comme toutes les bonnes choses avaient une fin pendant les vacances de noël alors qu’il voulait tenter à le rentré de la convaincre de lui laisser une chance, cependant alors qu’il devait se voir en plein milieu des vacances mais la veille elle lui envoya un message, lui disant qu’elle avait trouvé un petit ami sans donner un nom et que de ce fait ils ne pouvaient plus se voir.

Dans un premier temps Alexandre avait essayé de l’accepter. Cependant très vite il comprenait que Jennifer avait changé. Avec le temps qui passait leur relation se dégrada jusqu’à arriver à la rupture actuelle.
Pourtant malgré son attachement qu’il avait envers elle il se sentait bien voir soulageait. Il regarda quelques minutes son téléphone en attente d’une réponse mais rien.

—Tant mieux dit-il.

Il bloqua son numéro avant de jeter son portable sur son bureau. En allant se coucher il s’imagina la journée de demain car inévitablement au lycée ils allaient se revoir.

Comme prévu au premier temps mort il l’aperçut pourtant elle cherchait à le fuir du regard comme si elle sentait une forme de culpabilité envers lui. Bien sûr elle n’était pas seule son petit ami Grégoire était à côté d’elle. Grégoire était un type qui se disait étre l’ami d’Alexandre pourtant malgré le fait qu’Alexandre lui avait confié ses sentiments pour Jennifer cela ne l’avait pas empêché de sortir avec elle. Quant Alexandre l’avait appris il avait sombré dans une colère folle et une soif de vengeance un sentiment qu’il n’avait jamais ressenti.

Alexandre remarqua les regards de Grégoire. La seule chose qu’Alexandre attendait et chose qui devait étre logique était une confrontation entre les deux mais chose sûr ce n’allait pas étre Alexandre qui irait le voir, lui il avait réglé ses comptes. Beaucoup de gens à sa place auraient été voir Grégoire pour lui régler une bonne fois pour toute son compte mais Alexandre avait jugé bon de lui accorder un sursis surement parce qu’au fond de lui il aimait toujours autant Jennifer et qu’il ne voulait pas la voir malheureuse pourtant Grégoire était sur la ligne rouge et Alexandre attendait juste le pas de trop.

La journée défilait dont la longue pause de midi pourtant Alexandre n’avait pas encore eu la fameuse discussion. Ils se contentaient juste de l’observer de loin quand il se croisait.

À l’interclasse de l’après-midi alors qu’Alexandre marchait dans le couloir pour se diriger à son prochain cours. Une enseignante avec plein de dossiers se dirige vers lui pour le bousculer volontairement, Alexandre jouait le jeu. Quand les deux rentrèrent en contact elle lâcha tous les documents qui s’étalèrent sur le sol pourtant les étudiants continuaient leur chemin. Alexandre et elle s’abaissaient pour ramasser les documents. Lorsque qu’Alexandre lui remettait le dernier document il n’y avait plus personne dans les couloirs, ils se regardaient tous les deux avant de laisser s’échapper un petit éclat de rire en souriant bêtement tous les deux.

—Tu n’as pas cours Alexandre ?
—Si mais je m’en fiche, répondit-il en lui caressant la joue.
—Ça marche toujours aussi bien ton coup des dossiers, dit-elle en poussant un petit rire.
—Oui.

Ils s’adossaient ensembles contre un mur dans le couloir.

—Joanne m’a appelé. Elle m’a tout dis. Tu comptes faire quoi maintenant ?
—Rien hormis attendre. J’en ai fini avec cette histoire après c’est à eux de voir ce qu’ils vont faire. Et toi tu t’en sors comment ?
—C’est bon… Tu avais raison c’est fini, dit-elle d’un air rempli de chagrin.
Elle commençait à avoir des larmes qui se formaient sur ses yeux.
—Diana. Tu as encore cours cette après-midi ?
—Non. Pourquoi ?

Il se leva et la prenait par la main.

—Tu viens je t’invite à boire un coup.
—Quoi ? Tu es sérieux ? Et mes dossiers ?
—Il y aura assez de place dans mon sac.
[...]

Voila le lien Wattpad : https://www.wattpad.com/story/141135319-vengeance-sans-moral

Ils partirent tous les deux en direction d’une sorte de café bar pas très loin du lycée. L’endroit était très populaire parmi les étudiants mais très désert lorsque ces derniers avaient cours.
Ils commandèrent une bouteille de jus de fruit rouge et ils se mirent à discuter de n’importe quel sujet.
—Du coup Diana tu compte faire quoi ?
—Sincèrement je n’en sais trop rien. Me reposer un peu et puis j’improviserai. Toi et Joanne vous sortez ensemble d’après ce que l’on dit ? On vous aurait tout les deux surpris au restaurant japonais se midi on dit même que tu l’as embrassé.
—Non pas du tout se ne sont que des rumeurs. Je suis son patron c’est tout et elle travaille pour moi rien de plus.

Alexandre croyait voir en Diana une lumière se rallumer dans ses yeux.
—Ah bon ?
—Oui. Mais pourquoi tu me demandes ça ?
—Je suis curieuse tu me connais.
—Cela doit venir de Grégoire. Se connard il a détruit ma relation avec Jennifer et maintenant il cherche à me nuire de cette manière c’est tellement pathétique.
—D’ailleurs en parlant de lui. Tu sais déjà que parfois Grégoire nous surprend quand on discute tout les deux dans le lycée ?
—Oui. Il joue avec mes nerfs.
—Et bien de temps en temps même quand tu n’es pas là je le voie et il n’arrête pas de me regarder. C’est peut étre idiot mais dans ces moments-là j’ai peur.

Alexandre quitta sa place pour aller s’assoir à côté d’elle. Elle s’abandonna progressivement à lui son corps s’inclinait pour finir dans les bras d’Alexandre.
—Ne t’inquiètes pas. S’il touche à toi je le ferais souffrir comme il n’a jamais souffert.
A l’entente de ces mots Diana déposa un petit bisou sous le menton d’Alexandre alors que celui-ci caressait ces cheveux.
—Excusez-moi patron, dit-une voix féminine.
Ils sursautèrent tous les deux. En relavant les yeux ils virent Joanne s’incliner devant Alexandre.
—Vous avez ratés le contrôle de math. Le prof va vous tuer la prochaine fois.
—Oui et toi la prof de français va te tuer. Tu m’as fait peur, crie Alexandre. Tu fais quoi ici ?
—Je viens rattraper mes heures de retard vous me payez moins que le SMIC il faut bien que je compense et puis c’est vous qui m’avez trouvé ce travail ici.

Elle passa de l’autre côté du comptoir.
—Un jeune yakuza et deux filles dont une jeune yakuza et une enseignante, dit Diana.
—On dirait le début de l’un de nos films porno patron.
La blague eut son petit effet malgré son aspect un peu dérangeant.
—Dis Diana, tu fais quoi demain ?
—Je suis occupé. Ma journée est complète. Pourquoi ?
—Non rien je pars manger dans un restaurant japonais avec mes hommes celui qui est prêt de la gare. Et je voulais te proposer de venir mais rien qu’à deux.
—Après demain alors, je n’ai rien de prévu aux alentours de midi ?
—Oui si tu veux.
—Patron les cours vont bientôt finir. Elle devrait mieux partir.
Alexandre accompagna Diana jusqu’à sa voiture.
—Bon on se revoit après-demain. Passe une bonne soirée et appelle-moi si t’as besoin Diana.
—Merci.

Elle déposa un baiser sur la joue d’Alexandre avant de partir.

Deuxième partie : Diana

Jennifer ne le laissait pas paraître mais le message d’Alexandre l’avait beaucoup blessé. Pas dans son égo mais dans l’amour qu’elle éprouvait pour Grégoire chose qu’il l’énervait profondément. Au final elle supprima le message sans y répondre et elle allait reprendre une vie normale comme si Alexandre n’avait jamais existé. Cependant elle en parla à Grégoire dès le lendemain.

La journée suivante alors qu’Alexandre mangeait à la cantine accompagnée de Joanne, Grégoire et Jennifer s’étaient installés à une table pas très loin. Ils l’évitaient toujours du regard.
—Laissez tomber patron. Ces mauviettes ne feront rien. Vous devriez passer à autre chose. Moi et Diana trouvons que ça fait gamin.
—Oui Diana à surement raison… Je vais passer à autre chose hormis s’ils font quelque chose. Et toi Joanne t’a des vues sur quelqu’un ?
—Non pas particulièrement.

Diana passa prêt d’eux en souriant à Alexandre qui lui renvoyait. Grégoire observa se moment de loin.
Grégoire sécha les cours durant l’après-midi pour acheter une seringue de drogue a un des dealers du lycée l’un des rares à avoir échappait aux massacres de masse que le clan d’Alexandre avait organisé chez les dealers du lycée les peux de survivant liquidaient leurs marchandises pour quasiment rien. N’importe qui pouvait s’en procurer même un enfant de huit ans avec son argent de poche.
Une fois cela terminé. Il se postait devant la sortie du lycée attendant la fin des cours.

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Lorsque la dernière sonnerie retentissait les trois quarts des élèves avait déjà quitté la classe de Diana. Au moment où le dernier élève sortait elle s’étala sur la chaise de son bureau son téléphone sur la table. Elle prenait une grande inspiration. Les petites vibrations du téléphone l’amenaient vers elle. En regardant le message qu’elle venait de recevoir il s’agissais de Joanne « N’oublie pas ton rencard avec mon patron. », elle tapa sur l’écran tactile sa réponse « Mais se n’est pas un rencard. ». Cinq minutes plus tard le téléphone se remettait à vibrer « Oui bien sûr c’est ça… » « Mais je te jure c’est vrai. » « Tu lui as fait les yeux doux hier et lui aussi. T’attend quoi pour l’embrasser ? » « Même si s’était possible je ne pourrais pas donc lâche moi avec ça. » « Ben pourquoi pas. On ne t’a pas en cours et si vous restez discret se serait possible. Alexandre serait même prêt à abandonner la vie qu’il mène pour toi. Alors tu l’aime au final ? » « Je fais déjà rentrer me préparer pour demain. Passe une bonne soirée. » « Ah non me plante pas sur ça », par la suite il n’y eut aucun autre message à cette conversation.

Diana sortit très tard du lycée les rues étaient désertes. En allant sur le long chemin qui séparait le lycée de sa voiture elle sentait une présence la suivre. Elle accéléra le pas et alors d’un coup on la tira par le bras, elle sentit quelque chose comme une seringue entrer dans son bras. On lui injecta la substance avant qu’elle pût hurler. Cette personne la retourna et elle le reconnut immédiatement Grégoire.

Il l’attira dans une ruelle à deux pas et une fois seule loin de tout il commença à lui arracher ses vêtements. La substance l’avait ramolli a tel point qu’elle avait l’impression de ne plus avoir de force. Diana avait un trou noir sur la suite des évènements quand elle reprenait enfin ces esprits la plupart de ces affaires était sur le sol. Il ne restait plus que sur elle ses sous-vêtements. Au moment où Grégoire remontait avec ces mains ces cuisses pour lui arracher sa culotte Diana réussissait à réunir le peu de force qui lui rester pour donner un violent coup sur la tête de Grégoire, il la lâcha à cause d’une grande perte d’équilibre il était sonné et Diana réussit difficilement à s’enfuir.

Craignant d’être poursuivis par Grégoire elle essayait de courir mais ne réussit qu’à marcher en ayant cette horrible impression d’avoir les jambes molles. Grégoire mit un certain temps pour revenir à lui quand il se lança à sa poursuite elle avait réussi à prendre une grande avance, elle était sortie de la ruelle.
Diana avança avec beaucoup de mal sa vision était trouble mais elle réussissait au loin à reconnaitre des silhouettes. Elle tendit la main vers eux. Quand Grégoire la retrouva dans son champ de vision il stoppa nette sa course pour se retrancher dans l’obscurité les hommes envers qui Diana tendait la main étaient Alexandre accompagné de Joanne et de plusieurs hommes de son clan. Au moment où son regard se posa sur Diana à moitié dénudé et dans un sale état il courut vers elle.
Voyant la silhouette d’Alexandre accourir vers elle, Diana sentait tous ces muscles la lâcher. Les bras d’Alexandre l’entouraient déjà lorsqu’elle s’évanouissait. En les voyant tous les deux Grégoire comprenait tout de suite qu’en ayant cherché à se venger du fait qu’Alexandre était amoureux de Jennifer de la sorte il allait s’attirer de graves ennuis. Il partit.
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Le lendemain Diana se réveilla à l’hôpital. Dans sa chambre elle ne trouvait qu’Alexandre fessant les cent pas. Dès qu’il la voyait ouvrir les yeux Alexandre se précipita vers elle.
Elle lui raconta tout dans les moindres détails. Elle n’oublia pas de lui mentionner le prénom de Grégoire chose qui ne choqua pas Alexandre d’extérieur pourtant une grande colère comme il en avait jamais connu se déclencha en lui.

Bien plus tard dans la journée deux agents de police lui rendirent visite. Elle décrivait la scène comme elle l’avait fait pour Alexandre. Quand elle avait fini Alexandre alla voir les deux agents. Il leur donna une grosse liasse de billets.
—Je veux que personne le sage. Aucune poursuite en justice laissez-nous régler ça.
—C’est vous le patron, dit un des agents en prenant une des liasses de billets sans hésiter avant son collègue.

Ils partirent aussi vite qu’ils sont venus. Joanne arriva après eux.
—Mizuno est là avec quelques-uns de nos hommes.
—Parfait attend moi là je reviens.

Mizuno était le second du clan d’Alexandre et aussi son frère de sang. Il se comprenait tout les deux en parlant à peine, un regard pouvait suffire. Pendant qu’ils discutaient Joanne alla auprès de Diana.
—Alors Alexandre t’a embrassé ?
—Quoi ? T’es sérieuse c’est pas le moment.
—Tu n’as pas vue c’est main ? Quand il t’a ramené ici au bout d’une heure il a pété les plombs et à fracasser le miroir de la salle de bain avec ces poings.

Diana ne répondit pas. Joanne repartit pour aller voir où Mizuno et Alexandre en étaient. En attendant Diana se leva pour aller voir la salle de bain. Elle ouvrit la porte et voyait les morceaux de miroir ensanglanté étalé sur le sol et une petite flaque de sang dans le lavabo.
Elle n’entendit pas Alexandre revenir dans la chambre. Il lui posa sa main sur l’épaule et elle vit les bandages autour de sa main ainsi que quelque goutte de sang. Elle le serait fort contre elle.
—Tu n’as pas cours Alexandre ?
—Je n’en ai rien à foutre. Le plus important c’est toi.

Troisième partie : Yakuza

—Quoi ? Vous vous foutez de moi ?
—Non ça vient directement du grand patron.
—Mais pourquoi ?
—Depuis le massacre des dealers le patron ne veut plus que tu attires l’attention de la police sur ton clan. Le grand patron veut que tu tues le dealer mais si jamais ça s’apprend le grand patron t’excommuniera.
—Ah bon ! Je n’en ai rien à foutre !

Il raccrocha subitement le téléphone. En réalité il ne s’en foutait pas du tout il pensait à l’avenir de ces hommes. Dans leur bureau il se remettait à faire les cent pas. Il pensa beaucoup à Diana et à Joanne.
Plus tard dans la journée après une réunion éclair avec tous ces hommes où il ordonna à Mizuno de rester avec Diana avec quelques-uns de ses hommes en attendant qu’elle sortait. Alexandre et Joanne restèrent dans leur bureau.
—Alors ?
—On ne peut rien faire. Si on fait quelque chose envers Grégoire le grand patron me menace de dissoudre le clan. Cependant ils veulent que l’on se débarrasse du dealer. Ils craignent qu’il soit assimilé à nous s’il fait trop parler de lui et que cela détériore l’image du grand patron.
—Il serait peut étre temps que vous décrochiez patron. Laissez-moi réglé cette affaire a ma façon. Allez voir Diana et rester avec elle le temps qu’elle se rétablisse et laisser moi prendre les rênes.

Il agitait légèrement la tête de haut en bas.
—D’accord… Mais Grégoire doit rester en vie il ne doit rien lui arriver.
—À vos ordres patron.
—Et le dealer ne lui fait rien. Ramène-le-moi. Je veux le tuer de mes mains.
—Très bien patron.

Alexandre quitta le bureau puis Joanne sauta sur le siège de son patron.
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Le lendemain Grégoire reçut chez lui une lettre très particulière. En l’ouvrant il sentit un éclair le traverser « Grégoire suite a des évènements que nous avons jugé immoral et intolérable sur notre territoire, nous vous bannissons de celui-ci avec une interdiction formelle d’y retourner sous peine de lourde représaille pour vous ou votre famille. Sachant que notre territoire comprend votre lieu de scolarité ainsi que le centre-ville vous étés obligés de partir. Un arrangement a déjà été fait avec votre établissement vous êtes depuis ce matin rayé de la liste des élèves. »

Grégoire écrasa la lettre dans son poing.
—Enculé d’Alexandre.

Le lendemain Grégoire n’avait d’autres choix que de retourner au lycée, il n’avait pas encore trouvé le moyen d’expliquer la situation à ces parents. Il n‘alla pas en cours cependant trop dangereux il se cacha en ville.
Jennifer le rejoignit à la pause de midi.
—Alors ?
—La ferme, répondit Grégoire. Assieds-toi !
—Mais il se passe quoi ?
—Alexandre et son clan m’ont fait dégager. Je vais devoir étudier ailleurs.
—Il ton vu Grégoire.
—Comment ça ?
—Joanne est venu me voir en plein cours et elle a dit qu’un de leur homme t’avait vu en ville. Alexandre t’accorde un sursis à la couché du soleil tu ne pourras plus aller sur leur territoire sans que ça dégénère et il me menace de me bannir moi aussi si jamais il te revoit.
—Putain et comment je vais faire pour venir chez toi ? Tu devrais déménager tu vis en plein milieu de leur territoire tu me fais chier !
Il se leva et commença à partir.
—Grégoire attend s’il te plait…

Il ne se retourna pas.
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Joanne trainait dans les impasses où les lieux mal fréquentés, des endroits parfaits pour vendre de la drogue. À une impasse elle y rencontra un homme qui trainait souvent avec Grégoire.
—Tu vend de la came à combien ?
—Trois euros la seringue. Vous en voulez combien ?
—T’en as vendu à Grégoire récemment ? 0n vous voit souvent ensemble.
Il lui fit de gros yeux avant de la pousser pour s’enfuir. À la sortie un des hommes d’Alexandre lui donna un coup au ventre qui le fit s’écrouler au sol. Joanne le relevait en le tenant par la gorge.
—C’est bon c’est lui on le tient appelle le patron.

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Alexandre arriva en pleine nuit dans un ancien entrepôt désinfecté près du lycée. Joanne et ces hommes les attendaient avec le dealer en pleur. Ils l’avaient très peu amoché car il avait tout avoué quasiment immédiatement. Alexandre alla devant lui.
—Tu sais pourquoi tu es ici je suppose ?
—Mais je vous ai dit tout ce que savais… J’ai vendu de la came à Grégoire cette journée là c’est vrai mais je ne savais pas se qu’il allait en faire. Pitié relâchée moi, dit-il en pleurant.
Alexandre prit une perceuse qui se trouvait près de lui sur le sol.
—Tendait lui les bras.
—Qu’est que vous allez me faire ?

Alexandre posa le bout de la perceuse sur son épaule. Il appuya sur la détente et la perceuse commença à tourner et à entrer dans sa chair provoquant de grand hurlement. Lorsque la perceuse entama l’os on entendit les craquements, des giclées de sang éclaboussait le visage d’Alexandre. La perceuse continua de creuser l’os jusqu’à ressortir de l’autre côté en traversant la chair. Il retira la perceuse et ils lâchèrent son bras devenu complétement inutilisable. Alexandre fit de même avec son autre bras et Joanne qui assistait à cela commençait à éprouver des frissons d’angoisse.
Après avoir détruit son autre bras Joanne l’interpella.
—C’est bon patron il a eus son compte. Dégageons d’ici.

Alexandre regarda Joanne d’un sale œil. Il pointa la perceuse au niveau de ses cotes droite en réalité il visait un de ses poumons. Le chant de la perceuse reprenait comme les cris du dealer. Quand elle transperça le poumon le dealer se mit en quelque sorte à suffoquer. Du sang en abondance sortait de sa bouche et sa respiration devenait de plus en plus faible, il vomit une quantité importante de sang avant de s’immobiliser complétement. La vie quitta son corps définitivement la minute suivante.
—Découpez le et brulez-le puis enterrez les cendres dans la forêt. Je ne veux plus entendre parler de lui.

Quatrième partie : Joanne

Une petite semaine était passée. Diana était sortie de l’hôpital. L’exclusion de Grégoire avait jeté un froid sur sa relation avec Jennifer il se voyait toujours et continuait à se parler mais Jennifer pleurait souvent, pas pour Grégoire mais le fait d’avoir perdu à jamais Alexandre commençait à réellement l’attrister.
De son côté Alexandre très satisfaits du travail de Joanne lui avait donné plus de responsabilité dans le clan.

Un après-midi alors que Joanne s’ennuya elle envoya un simple message pour demander des nouvelles de Diana car elles ne s’étaient pas reparlées depuis sa visite à l’hôpital. Sa réponse l’étonna au plus haut point « Dégage salope je ne veux plus te parler. » « Pourquoi ? » « J’ai parlé à Mizuno très longuement. Sincèrement tu me dégoutes je ne veux plus te parler. » Attends-vous avez parler de quoi ? » « De se qui se passerai lorsqu’Alexandre déciderait de quitter le clan ou se ferait tuer, et bien manque de chance pour toi on n’est pas encore ensemble et il n’a pas l’intention de quitter son clan même pour moi car je l’accepterai comme il est. » « Mais putains de quoi avez-vous parler ? » « Mizuno t’as vue ce jour-là. Ça fait depuis que moi et Alexandre on se connait que tu nous pousse à sortir ensemble pour qu’Alexandre quitte son clan. Je sais pourquoi maintenant. » « Attend, t’en as parlé à Alexandre ? ». Diana ne répondit pas.
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Il y avait six mois juste après le massacre des dealers Alexandre avait décidé de rédiger une forme de testament pour son clan dans son bureau avec l’aide de Mizuno.
—Alors on y est mon frère, dit Alexandre. Je ne pensais pas que se moment arriverai aussi vite
—Moi non plus comme quoi on vieillit plus vite que ce que l’on croit.

Alexandre commença à rédiger la mise en forme. Joanne arriva à ce moment là n’étant pas invité elle se colla contre la porte entre ouverte pour entendre leur discussion en vrai elle était arrivée ici par pur hasard.
—Tu es sûr que tu ne veux pas hériter du clan Mizuno ?
—Non je suis un bon second mais dirigé un clan…
—Continue.
—C’est bizarre mais ce n’est pas comme ça que j’imaginais ma carrière. Je suis bien là où je suis.
—D’accord c’est ton choix. Dans se cas je ne vois qu’une seule solution. Joanne.

En entendant son nom elle sentait en elle une forme d’envie monter comme une sorte de joie ou d’egos qui s’amplifier. Maintenant elle voulait prendre la place d’Alexandre elle le voulait elle le désirait au plus profond d’elle.
—Je ne sais pas. Elle est très ambitieuse mais elle me donne l’impression que pour atteindre son but elle serait prête à tout peu importe le sacrifice. Cela changera beaucoup de toi.
—C’est vrai mais actuellement on n’a pas de meilleure solution.

Il écrit son nom. Ensuite il se coupa légèrement au niveau de la paume de la main et se servit de son sang avec son pinceau pour écrire son propre nom pour signer. À ce moment Mizuno regarda en direction de la porte, il lui sembla voir Joanne en train de partir mais il n’était pas sur donc il n’en parla pas à Alexandre.

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Diana n’avait pas encore expliqué sa découverte à Alexandre. A vrai dire elle n’en avait pas l’intention en tout cas pas aujourd’hui car effectivement Alexandre l’avait invité à aller enfin manger au restaurant japonais.
Alexandre alla chercher Diana a la dernière salle où elle avait cours ce qui l’avait surpris. En voyant Alexandre elle ne le trouvait pas différend de d’habitude il portait toujours son costard mais pourtant elle avait l’impression qu’il était plus détendu que d’habitude. Elle aussi avait pris des vêtements pour cet évènement mais en cours cela ne passerait pas. Elle avait embarqué sa tenue de soirée dans un sac. Lorsque les derniers élèves sortirent ils s’enfermèrent tous les deux dans la salle.

Diana commença à enlever délicatement chacun de ses vêtements pour enfiler sa tenue. Elle n’avait pas spécifié si Alexandre devait se retourner alors ce dernier ne savait pas trop quoi faire. Finalement son regard se planta dans les yeux de Diana malgré qu’elle fût en sous-vêtements.
Sa tenue de soirée était très belle sans étre moulante. Diana n’avait pas tant de forme que cela pourtant Alexandre trouvait en elle une beauté qui l’attirait.

Ils partirent en direction du restaurant toujours le regard planté dans celui de l’autre.
Durant le repas ils fixèrent tous les deux leurs bouches. Ils ne parlèrent pas pourtant ils avaient l’impression de se draguer mutuellement. Au milieu du repas Alexandre caressa de son pied une des cuisses de Diana.
—Tu viens chez moi après Alexandre ?
—Oui pourquoi pas.

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En arrivant chez Diana il était plus de minuit, aucun d’entre eux avaient bu mais pourtant ils étaient en chaleur.

Ils s’installèrent devant la télé et regardèrent un film de Kitano cependant le film était en arrière-plan, ils se regardaient toujours. Ils se firent mutuellement des caresses aux joues, aux jambes ou aux bras. Puis d’un coup Alexandre embrassa Diana très longuement. Lorsqu’il retira ces lèvres il commençait à légèrement paniquer.
—Désolé, je ne voulais pas…

Diana l’embrassa. Ils se regardèrent un moment. Alexandre l’embrassa et Diana s’allongea sur le canapé. Ils commençaient tous les deux à se déshabiller.
—Par les dieux que tu es belle.

Ils se retrouvèrent très vite en sous-vêtements. Ils s’embrassèrent, se caressèrent et aucune partie de leur corps avait été épargné par leurs lèvres. Alexandre arracha le soutien-gorge de Diana.

Au même moment Joanne était dans le siège de son patron au bureau. Elle passa un petit coup de fil.
—Allo. Jennifer c’est Joanne.
Elle entendit au bout du fil des bruit de pleurs.
—Jennifer, ça va ?
—Oui…
—Dis ça te dis que ton petit ami puisse revenir et qu’il ne soit plus embêter avec le clan d’Alexandre ?
—…
—Je peux t’aider Jennifer. Alors ça t’intéresse ?
—Oui…
—Dans ce cas tu as juste à me rendre un petit service…

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Lorsque les premiers rayons de soleil illuminaient le ciel Alexandre et Diana étaient toujours autant en chaleur. Ils avaient fait l’amour une vingtaine de fois et ils en voulaient toujours.
Leurs températures redevenaient normales aux alentours de midi heureusement Diana n’avait pas cours dans la matinée.

Ils rentrèrent ensemble au lycée ils s’embrassèrent une dernière fois juste avant le premier cours de Diana.
—À ce soir Diana.
—Je t’aime Alexandre.

Alexandre se dirigea vers un parc tout proche du lycée seul. Il était heureux au plus profond de lui. En s’asseyant sur un banc malgré son attachement à son clan il pensa soudainement à le quitté pour vivre avec Diana.

Il y pensa beaucoup. La chose qui le sortait de ces pensées était les pleurs d’une jeune femme sur le banc à côté de lui.
—Jennifer. Je croyais t’avoir dit que je ne voulais plus te voir !
—Je suis désolé pour tout…
—Laisse-moi tranquille retourne te jeter dans les bras de ton connard de petit ami et laisse-moi.
—Je suis désolé pour tout…
D’un coup Alexandre senti une douleur à son ventre. Jennifer avait planté un couteau qui traversa certains organes vitaux au niveau de l’estomac. Un petit peu de sang commençait à couler. Jennifer ne donna pas un second coup elle enleva la lame et partit en pleurant. Alexandre tomba sur le banc entièrement et mourut très lentement. Une cascade de sang s’écoulait du banc. Des larmes de sang coulèrent de ses yeux.

Cinquième partie : Grégoire

Les hommes d’Alexandre annoncèrent la mort de leur patron quelques heures plus tard à Diana. Elle était dévastée. Le directeur lui accorda sans réellement savoir la cause une journée de congé exceptionnel.
Dans la soirée elle apprit en regardant les informations à la télévision que Mizuno lui aussi était mort. Sa voiture avait pris feux pendant qu’il était à l’intérieur, personne ne savait qu’elle était la cause de cette mort brutale. Cette nouvelle n’aida pas Diana. Elle fondit en larmes et pleura pendant une grande partie de la soirée.
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Le jour d’après Joanne alla au bureau se préparant à devenir la nouvelle chef de son clan. Dès qu’elle entra dans le bâtiment elle sentait une petite odeur de bruler. Elle sortit un pistolet qu’elle gardait toujours sur elle.
En se rapprochant de la source de l’odeur elle voyait le testament d’Alexandre ouvert avec son nom en train de bruler posait sur le fauteuil de son défunt patron. Le papier avait déjà brulé à moitié. Joanne accourut en espérant en sauver le peu qui restait mais on la frappa à la tête. Elle tomba au sol sur le ventre en lâchant son arme qui s’en alla sous un des bureaux loin d’elle. En se retournant elle vit Diana tenant un marteau.
—Attend Diana ! On peut s’arranger ! Dis juste combien tu veux !
—Tu as tué Mizuno salope. Pourquoi tu as fait ça ?
—Il m’aurait gêné. Aller tu ne va pas me buter en me frappant à mort avec un marteau ?
—Et Alexandre c’est à cause de toi qu’il est mort ?
—Non c’est à cause de Jennifer elle m’a appelé en disant qu’elle voulait le tuer, je lui ais juste donner le couteau, je le jure c’est la vérité. Dis-moi juste combien tu veux pour te refaire tes formes et tu te retrouveras un copain dans la semaine qui suit.

Diana lâcha le marteau pour aller récupérer le pistolet de Joanne. Elle le pointait sur le crâne de cette dernière.
—Attend si tu me descends mes hommes te traqueront. En me tuant tu te condamneras toi même espèce de conne.

Elle tira un premier coup dans la jambe de Joanne.
—Je ne suis pas sur qu’en te tuant je me condamne à mort.

Les anciens hommes d’Alexandre arrivèrent. Tous étaient présents et ils avaient tous entendus ce que Joanne avait dit concernant Mizuno puis Diana ne s’était pas prive de leur dire ce qu’elle savait concernant la succession d’Alexandre et les intentions de Joanne. Ils avaient l’intention de ne rien faire et se rangèrent tous derrière Diana. Joanne comprit très vite que cette fois elle était foutues.
—Je fais en finir une fois pour toute avec cette histoire.
—Atten…

Une balle tirait par Diana entra dans son cerveau en emportant quelque morceau de crâne et de cervelle dans une petite explosion de sang. Elle mourut sur le coup.

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Le cours de Jennifer venait de se terminer et Diana venait d’arriver en prétextant un rendez-vous en urgence avec Jennifer. L’excuse de cette rencontre n’était pas si convaincante que cela, un problème avec une copie du bac blanc qu’elle avait rendu il y a deux semaines pourtant Jennifer y crus.

Ils restèrent dans la même salle et dès qu’ils furent seuls avec la porte bien fermée. Diana sorti un couteau qu’elle planta directement dans Jennifer. La lame lui embrocha le cœur elle mourut sans aucun bruit. En retirant la lame une giclée de sang éclaboussa les vêtements de Diana ce qui allait causer un possible futur problème mais elle avait embarqué avec elle des vêtements de rechange. Pas n’importe lequel elle avait réussi à piquer au bureau des vêtements de rechange qui appartenait à Alexandre, son fameux costard gris et noir. Aujourd’hui ces couleurs lui parlaient plus qu’avant.
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—Hé Jennifer ça va ?
—Oui. Et toi Alexandre ?
Ils étaient tous les deux assis sur un banc dans le parc au même endroit où elle le tuera dans un mois.
—Je survis comme d’habitude.

Jennifer se colla contre lui.
—Dis je peux te poser une question comptes-tu un jour arrêter d’étre yakuza ?
—Cela dépends. On peut arrêter d’étre yakuza pourtant au fond on le reste et on n’efface pas le passé en cherchant à le fuir car il nous rattrapera toujours. Nos actes passés peuvent avoir de lourde répercussion.
—Tu ne réponds pas vraiment à la question.
—Tu me connais à force.
—Ben essaye au moins de répondre à une question simple. Par exemple pourquoi tu t’habits toujours en gris et noir ?
—Oh je vois…
—Alors répond ?
—Parce que je ne suis pas heureux.

Jennifer déposa un long bisou sur sa joue.
—Et là es-tu heureux ?

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Grégoire reçu un message venant du portable de Jennifer. « Retrouve moi au parc en fin de journée. J’ai truc en particulier à te dire et je veux te le dire à haute voix en face à face. ». Il se prépara immédiatement à y aller sans se poser aucune question.
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—Merci pour se bon temps Alexandre.
—Pas la peine de me remercier on est ensemble maintenant se genre de chose est normal.

Diana était encore nue et Alexandre commença à remettre son pantalon suite à leur nuit et mâtiné d’amour. Diana observa particulièrement son tatouage au dos, un dragon japonais.
—Dis un jour tu m’amèneras à Tokyo ?
—Bien sûr.

Il retourna auprès d’elle. Ils s’embrassèrent très longuement. Leurs langues se touchèrent. En décollant leur lèvres Diana chuchota à l’oreille d’Alexandre.
—Es-tu heureux ?
—Oui.

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Grégoire attendait au parc l’arrivait de sa bienaimée. Diana arriva derrière lui elle portait les vêtements d’Alexandre et avait le pistolet de Joanne.
—Grégoire tu te souviens de moi ?

Il se retourna. Une balle traversa son estomac puis transperça sa colonne vertébrale avant de ressortir par le dos. Elle tira une deuxième balle qui connut à peu près le même parcours. Il s’écroula sur le sol dans un lac de son propre sang. Diana pointa le pistolet sur la tête de Grégoire encore conscient.
—Pardon… pardon…, essaye de dire Grégoire en commençant à pleurer.

Elle tira trois balles dans son crâne puis elle regarda le corps sans vie de Grégoire dans son sang avant de partir.

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FIN

Voila c'est la fin de cette très courte nouvelle. N'hésitez pas à donner votre avis même si c'est un texte qui a été fait principalement pour la détente. A très bientôt. (voilà son impériale majesté est-elle contente ?)

Si tu fais un écrit sur un pays particulier, fais au moins l'effort de leurs donner des noms du pays en question.

Le 29 mars 2018 à 20:50:30 Orion-Is-Back a écrit :
Si tu fais un écrit sur un pays particulier, fais au moins l'effort de leurs donner des noms du pays en question.

Je n'ai pas voulu situer l'action dans un endroit en particulier (même si ça se passe France catégoriquement) et puis je me voyais mal faire qu'un clan de yakuza constitué uniquement de blanc en faite (d'où l'intégration de Mizuno) car autant deux blancs dans un clan de yakuza ça doit étre possible mais tout un clan, non (surtout en dehors du Japon).

Ah je croyais que ça se passait au Japon c'est pour ça

Le 30 mars 2018 à 09:46:07 Orion-Is-Back a écrit :
Ah je croyais que ça se passait au Japon c'est pour ça

Seul et unique d'ailleurs j'ai oublié le "e" à la fin de "moral" dans le titre