L'hymne de la débandade
Si tu es né dans leur haine
Je te dédicace ce poème
En espérant qu'au fond de tes yeux ternes
Tu puisses y voir un petit brin d'herbe
Assieds-toi près d'un vieux chêne
Et compare-le à la race humaine :
L'oxygène, l'ombre qu'ils t'amènent
Et avec les coups de hache qui le saignent
Lève la tête, regarde ses feuilles
Tu ne verras plus un seul écureuil
Assieds-toi auprès d'un lit
Imagine toi, l'eau et son coulis
Au bout du chemin, c'etait une mer
Un rien devenu juste éphémère
Comprendras-tu que tu n'es rien ?
Tout comme celui qui vient
Une porte ouverte pour ne rien dire
Que tu dévores pour une envie de rire
Mais l'aliénation est ton avenir
Soumis pour que tu respires
Il est fini le temps de la prose
Pour le parfum d'une rose
De brader une vie morose
JFS inspiré par TRYO
C'est plus qu'inspiré là, y'a sept vers qui sont exactement les mêmes que dans leur chanson, et beaucoup d'autres qui ne diffèrent que de quelques mots... Tant qu'à travailler si peu, tu aurais pu nous refaire toute la chanson...