"Continue Corentin."
La nuit est tombée sur la province marseillaise. La cité phocéenne dort à poings fermés pourtant il’y a jamais eu autant de vie dans une des nombreuses maisons individuelles de l'habitation. Sur les draps rouges d'une chambre jonchée de lumières tamisées, une jeune fille dénudée jouit de plaisir, blotie sous la chair ruisselante d'un homme redressé de tout son long au dessus d'elle.
Ses hanches se resserrent progressivement sur le bassin du mâle tandis qu'elle mordille tant bien que mal ses lèvres tentant de garder ne serait-ce qu'une once de contrôle sur son corps rosé des coups frénétiques qui s'abat sous ses plis. La pauvre est sur le point de lâcher prise. Son bourreau prend pourtant un malin plaisir à contorsionner, griffer ou lécher les parties érogènes du corps de sa muse. Ses mains caressent ses hanches voluptueuses avant d'attraper vigoureusement ses fesses divinement galbées, il arrive difficilement à saisir toute cette profusion de chair dans ses mains. Il malaxe sa paire comme un boulanger jouerait de sa patte. Lassé, son index parcourt la route sinueuse de sa Vénus longeant le creux de son nombril jusqu'à enfin s'arrêter aux mamelons de la jeune fille prise d'une transe mimant la démence. Tous ces mouvements de hanches bousculent ses reins ; mouvements sublimés par toutes ces caresses près de régions si sensibles pour elle.
Pourtant le firmament de sa jouissance vint avec les gestes audacieux qu'entreprit désormais l'homme sur sa créature. Après avoir humé ses seins généreux, il lèche la rondelle sucrée de la jeune femme avant de finalement gober ses tétons colorées d'un rose éclatant redressées de toute leur vigueur. Depuis quelques minutes déjà, ses 2 fruits mûrs narguaient l'homme attendant qu’on s’occupe d’eux. C'est chose faite puisqu'il suce l’opulent sein gauche de l'adolescente et tire sauvagement la partie érectile de son sein droite. Elle crit et gémit à mesure que cette entreprise s'intensifie. Elle le sent. Elle va lâcher prise. Ses jambes spasmodiques dégoulinent désormais de plaisir pendant que son esprit quitte son corps pour atteindre bientôt le 7eme ciel. L’excitation du jeune homme monte tant les collines qu'ils ne cessent de palper sont amusants et bandants. Alors que la jeune fille ne s'exprimait que par des râles de jouissance, elle réussit enfin à réunir ses dernières forces pour prononcer du bout de ses lèvres mouillées une ultime volonté :
- Finis dans ma bouche.
Retirant progressivement son s*xe des cuisses moites de sa moitié, le jeune homme grimpe sur sa proie approchant dangereusement son membre des lippes entrouvertes de l'adolescente captivée par l'impressionnante b*te de son mâle. Elle pose sa main sur le chaud corps caverneux de cette colonne battant au pouls de son cœur contre sa paume avant de gober le gland. Mais le malicieux jeune homme n'a pas l'intention de la laisser guider cette couche. Il enfonce jusqu’à l'os son colosse. Il sent la glotte de sa muse au bout de sa chair. Elle semble étouffée sous toute cette masse qui vient de violemment rentrer en elle. Pourtant ses jambes n'ont jamais été aussi mouillées. Sa mâchoire est grande ouverte, feint de rompre d'un moment à l'autre tant ce membre écarte son palais. Elle qui pensait tout connaître du sexe opposé.
- Suce.
Elle exécute, tant bien que mal, l'ordre et bouge sa tête d'avant en arrière. Elle arrive étonnement à bien parcourir l'ensemble de la colonne de chair de son amant nocturne malgré le manque d'amplitude qu'elle semblait avoir. Pire, chaque roulement de langue égratigne la maîtrise apparente que témoignait le jeune homme. Il serre les dents et enfonce ses orteils au plus profond des draps.
"T'es vraiment douée… Merde je sens que je vais partir."
L'indécente jeune fille aspire désormais le s*xe de l'homme intimidé par ce regard suintant la lubricité lui qui était pourtant maître de la situation il y a encore quelques instants. Ses jambes vacillent et il est contraint de s’accrocher à la nuque de son amante. La mante dévore cette colonne qui ne demande qu'à être lustrer. La sentir dans sa bouche la rendait encore plus folle que de l'avoir entre les reins. Dans un ultime élan elle accélère le rythme de ses roulements de langue et augmente la cadence de ses mouvements de tête. C'est tellement bon. Dans une aspiration fatale, elle reçoit enfin la marée de plaisir masculin qu'elle attendait tant. Elle se laisse partir jouissant à l'unisson avec son homme. Les androgynes étaient formés.
" Zoé...
- Corentin, il est l’heure de se lever, tu vas pas rester au lit toute la journée !
S’écriait ma mère avec sa voix de crécelle. Je regardais près de moi pour voir si ce que je craignais venait d'arriver. Il n'y'avait personne à mes côtés mais mes draps étaient dégueulassés par mes fluides. Mon s*xe était encore dressé. Encore une fois, c’était arrivé.
- J'ai encore rêvé de Zoé...
