De même que cette science qui dépasse la compréhension de l'homme est appelée divine, les hommes ont accoutumé d'appeler ouvrage divin, c'est à dire ouvrage de Dieu, un ouvrage dont la cause est ignorée du vulgaire ; le vulgaire pense en effet que la puissance et la providence de Dieu n'apparaissent jamais plus clairement que lorsqu'il semble arriver dans la Nature quelque chose d'insolite et de contraire à l'opinion qu'il en a en vertu d'habitudes acquises ; surtout si cet événement est pour lui l'occasion d'un gain ouu d'un avantage ; et il estime que nulle preuve plus claire ne peut être donnée de l'existence de Dieu qu'une apparente dérogation à l'ordre de la Nature. 
Pour cette raison, ceux-là lui semblent supprimer Dieu ou au moins la providence de Dieu, qui expliquent les choses et les miracles par des causes naturelles ou s'appliquent à les connaître clairement. Il estime, autrement dit, que Dieu n'agit pas aussi longtemps que la Nature agit suivant l'ordre accoutumé ; et au contraire que la puissance de la Nature et les causes naturelles sont inactives quand Dieu agit.
Il imagine donc 2 puissances numériquement distinctes l'une de l'autre : la puissance de Dieu et celle des choses naturelles, cette dernière déterminée cependant par Dieu en une certaine manuyre ou créée par Dieu (comme la plupart aiment mieux croire aujourd'hui).
Quant à ce qu'il entend par l'une et l'autre et aussi par Dieu et par Nature, il n'en sait rien, sinon qu'il imagine la puissance de Dieu semblable au pouvoir d'une majesté royale, celle de la Nature semblable ç une force déchaînée.
Le vulgaire donc appelle miracles ou ouvrages de Deiu les ouvrages insolites de la Nature et , tant par dévotion que par désir de protester contre ceux qui culltivent les sciences de la nature préfère ignorer les causes naturelles des choses et ne veut entendre parler que de ce qu'il ignore le plus et par suite admire le plus.
Cela tient à ce qu'il n'y a pour lui de raison d'adorer Dieu et de tout rapporter à sa puissance et à sa volonté, qu'autant qu'on supprime les causes naturelles et imagine des choses supérieures à l'ordre de la Nature ; et la puissance de Dieu ne lui paraît jamais plus admirable que lorsqu'il se représente la puisssance de la Nature comme vaincue par Dieu.
Opinion qui semble avoir son oriigne chez les premiers juifs : pour convaincre les Gentils (goyim en hebreux) de leur temps qui adoraient les Dieux visibles, tels que le Soleil, la Lumière, la Terre, l'EAU, l'Air etc., et leur montrer que ces Dieux étaient faibles et inconstants , c'est à dire changeants et soumis au commandement d'un Dieu invisble, ces Juifs racontaient leurs miracles et s'efforçaient de montrer en ooutre par là que toute la Nature était dirigée à leur seul profit par le Dieu qu'ils adoraient.
Cela plut tellement aux hommes que juq'uà notre temps ils n'ont pas cessé de forger par l'imagination des mracles pour qu'on les crût plus aimés de Dieu que les autres et qu'on vit en eux la cause finale en vue de laquelle Dieu a céé et dirige continuellement otutes choses.
Quelles ne sont pas les prétentions de l'humaine déraison, l'absence de toute idée saine de Dieu et de la nature, dans la confusion qu'elle fait entre es décisions de Dieu et celles des hommes, dans les limites enfin qu'elle assigne fictivement à la Nature dont elle croit l'homme la partie principale.
En juger autrement, ne serait ce pas admettre que Dieu a créé une Nature si impuissante et établie des loi set des regles si steriles qu'il est souvent obligé de lui venir en aide pour qu'elle se conserve et que les choses tournent selon son voeu? j'estime une telle croyance aussi contraire que possible à la raison
El famoso moïse qui a séparé la mère en 2 
Et El famoso incroyant qui transforme Moïse en matricide parce qu'il sait pas écrire la mer en Français correct 
