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Malgré la fin de la politique de l'enfant unique, le pays a enregistré en 2018 son plus faible nombre de naissances depuis la grande famine sous Mao.

Correspondant à Pékin

Le moins qu'on puisse dire, c'est que la fin de la politique de l'enfant unique n'a pas eu les effets attendus en Chine. La chute du nombre de naissances s'est même accélérée l'an dernier: seuls 15,23 millions de bébés chinois ont vu le jour en 2018, a annoncé lundi le Bureau national des statistiques (BNS). Soit 2 millions de moins qu'en 2017, année qui avait déjà vu un recul. Jamais le pays n'a compté aussi peu de nouveaux-nés depuis 1961, pendant la terrible grande famine, sous l'ère Mao Tsé-toung, selon le démographe indépendant He Yafu. Il s'agit du troisième chiffre le plus bas depuis la création de la République de Chine populaire, en 1949, a-t-il ajouté.

Vivement préoccupé par le vieillissement de sa population, le gouvernement chinois a définitivement abandonné l'impopulaire dogme de l'enfant unique - introduit en 1979 - fin 2015, pour une entrée en application en 2016. Depuis, tous les couples sont autorisés à avoir un deuxième enfant. Mais le coût de l'éducation ou du logement décourage de nombreux parents.

http://www.lefigaro.fr/international/2019/01/21/01003-20190121ARTFIG00216-la-chute-du-nombre-des-naissances-s-accelere-en-chine.php

La Chine qui va connaitre le même problème que le Japon mais en puissance 1000

Ils n'ont qu'à mettre TOTALEMENT fin à la politique de l'enfant unique.

Et puis tant qu'ils y sont ils n'ont qu'à obliger les femmes à faire 3 enfants

Le 21 janvier 2019 à 21:22:47 RogerRobichon a écrit :
Ils n'ont qu'à mettre TOTALEMENT fin à la politique de l'enfant unique.

Et puis tant qu'ils y sont ils n'ont qu'à obliger les femmes à faire 3 enfants

Non, j'ai une meilleure idée

Vu de quoi ils sont capables, je serai pas étonné d'apprendre qu'ils vont buter leur vieux dans quelques années.

heux... je fais un calcul basique, mais si ca continue a moins 2 millions par ans, sur 15 millions cet année, d'ici 7 ans et demie, il n'y a plus ou presque de nouveau nées en Chine ??

Le 21 janvier 2019 à 21:46:36 Lorka-Alork a écrit :
heux... je fais un calcul basique, mais si ca continue a moins 2 millions par ans, sur 15 millions cet année, d'ici 7 ans et demie, il n'y a plus ou presque de nouveau nées en Chine ??

Ça marche pas comme ça la vie hein.

Le 21 janvier 2019 à 21:46:36 Lorka-Alork a écrit :
heux... je fais un calcul basique, mais si ca continue a moins 2 millions par ans, sur 15 millions cet année, d'ici 7 ans et demie, il n'y a plus ou presque de nouveau nées en Chine ??

C'est vrai qu'une baisse de 8% par an sur une statistique aussi macro c'est gigantesque...
En France on a vu ça que sous l'occupation ou pendant des périodes de famines ou d'épidémies...

La Chine connait en plus un manque de femmes car la politique de l'enfant unique a poussé à faire des avortements sélectifs sexistes.

Terrible, Chine connaît chute de naissance mais pays Chine est toujours peuplé par plus d'1 milliards 500 millions d'habitants ...

Le 21 janvier 2019 à 23:13:37 EddieCarr a écrit :
Terrible, Chine connaît chute de naissance mais pays Chine est toujours peuplé par plus d'1 milliards 500 millions d'habitants ...

qui mourrons tous en moins de 100 ans

Dans le pire des cas (baisse continuelle du taux de fécondité), la Chine fera aux alentours de 800-900 millions d'habitants. On est très loin d'une disparition de la Chine sur un siècle ...

Et entre nous, mieux vaut une Chine à 300 millions d'habitants. Car avec sa surpopulation, sa pollution ... la Chine me donne pas trop envie personnellement.

Il faut indexer le salaire des femmes sur le taux de natalité du pays, vu qu'elles sont entièrement responsables de toute baisse de natalité, elles doivent payer. Cela donnera en plus des incitations à devenir mère au foyer, étant donné qu'une carrière ne sera plus autant lucrative.

Cette mysoginie assumée ...

La Chine a donc besoin de migrants africains pour repeupler le pays.

Il faut indexer le salaire des femmes sur le taux de natalité du pays, vu qu'elles sont entièrement responsables de toute baisse de natalité, elles doivent payer.

Ah, moi qui pensait qu'un enfant ça se faisait à 2. A moins que les chinois ne fonctionnent différemment.

Le 22 janvier 2019 à 00:04:05 Niflheim9ban a écrit :

Il faut indexer le salaire des femmes sur le taux de natalité du pays, vu qu'elles sont entièrement responsables de toute baisse de natalité, elles doivent payer.

Ah, moi qui pensait qu'un enfant ça se faisait à 2. A moins que les chinois ne fonctionnent différemment.

Mes hypothèses sont les suivantes :

1) Plus une société offre des débouchés de carrières et d'éducation élevés à ses femmes, moins celles-ci seront attirées par une vie de femme au foyer. Les comparaisons entre les différents taux de fécondité dans le monde et les comparaisons des indices socio-économiques me donnent raison.

2) La décision de faire des enfants au sein d'un couple dépend majoritairement du choix de la femme. Moins les femmes sont libres, plus elles font des enfants, là aussi les indices socio-économiques au niveau mondial confirment mes dires.

3) Les états taxent leurs citoyens pour ensuite verser des allocations familiales pour inciter à la reproduction. Ces taxes frappent le revenu des citoyens mâles et femelles de façon non-distinguable. Des hommes qui ne sont pas responsables de la basse natalité de leur pays voient leurs revenus taxés, ce qui est une injustice.

4) Il est possible de responsabiliser les femmes adultes en âge de procréer sur leurs rôles de procréatrices ainsi que de leur donner des incitations économiques à choisir une vie de mère au foyer plutôt qu'une carrière en réduisant leur revenus selon le taux de fécondité. Dans un pays autoritaire comme la chine et qui dispose en plus d'une masse salariale énorme et très éduquée, l'exode d'une partie des femmes du marché de l'emploi ne posera pas de problèmes, tant dans son implémentation que dans ses conséquences.

Ma solution est donc, en période de sous-fécondité (un taux de fécondité sous le seuil de renouvellement de la population), d'affliger une taxe punitive collective (indéxée sur le taux de fécondité) sur toutes les femmes en âge de procréer entreprenant une carrière ou de longues études. Dans une période de fécondité normale, cette taxe n'existera pas car elle n'aura pas lieu d'être, vu qu'elle aura rempli son rôle.

T'a 2 possibilités :

1/ Ou tu améliore le statut de la mère au foyer par des avantages divers (rémunération, aide sociale...), afin d'inciter les femmes à choisir cette voie.
2/ Ou tu pénalise le salariat féminin par des inconvénients divers (taxes, amandes, écart salarial officialisé...) afin de les dissuader de choisir cette voie.

Entre récompenser 50% de la population pour la richesse qu'elle produit, richesse sans laquelle la civilisation ne serait rien, tu choisis de punir ces 50% car elle ne produit pas la richesse suffisamment vite. C'est un choix, mais ne t'étonne pas du qualificatif de misogyne ensuite, car il est amplement mérité
.................................

Surtout que taxer les femmes salariées ou femmes qui ne font pas assez d'enfants, ça revient à :

1/ Enlever aux femmes qui font peu ou pas d'enfants tout moyen de subvenir à leur besoin, et ce même quand ce choix ne leur revient pas (stérilité, trop laide pour trouver un conjoint....)
2/ Enlever 100% du pouvoir économique aux femmes, car en général quand on fait beaucoup d'enfant, c'est qu'on est mère au foyer et non salariée à côté

Le 22 janvier 2019 à 00:30:19 Niflheim9ban a écrit :
T'a 2 possibilités :

1/ Ou tu améliore le statut de la mère au foyer par des avantages divers (rémunération, aide sociale...), afin d'inciter les femmes à choisir cette voie.

Non car cela reviendrait à augmenter les impôts sur l'ensemble de la population, et n'aura pas un effet coercitif sur les choix de carrière des femmes, en plus d'avoir été fait et refaits des tas de fois, même au Japon, on voit dans quel état ils sont maintenant. Au lieu de donner, il faut prendre.

2/ Ou tu pénalise le salariat féminin par des inconvénients divers (taxes, amandes, écart salarial officialisé...) afin de les dissuader de choisir cette voie.

C'est objectivement la meilleure solution, car seules les femmes paieront, et de plus, elles se rendront compte qu'elles ne gagneront jamais autant qu'un homme et qu'il sera plus rentable pour elles de se trouver un homme qui lui va gagner un salaire entier et va lui en faire profiter.

Entre récompenser 50% de la population pour la richesse qu'elle produit, richesse sans laquelle la civilisation ne serait rien, tu choisis de punir ces 50% car elle ne produit pas la richesse suffisamment vite. C'est un choix, mais ne t'étonne pas du qualificatif de misogyne ensuite, car il est amplement mérité

Les hommes représentent peut-être 50% de la population, mais ils paient la plus grosse part des impôts, pendant que les femmes en profitent . On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre. Il faut que ces femmes contribuent à la société en lui donnant un futur, tandis que l'homme doit contribuer en payant des impôts.

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Surtout que taxer les femmes salariées ou femmes qui ne font pas assez d'enfants, ça revient à :

1/ Enlever aux femmes qui font peu ou pas d'enfants tout moyen de subvenir à leur besoin, et ce même quand ce choix ne leur revient pas (stérilité, trop laide pour trouver un conjoint....)

Si la femme n'est pas en capacité de se reproduire, la taxe n'a pas lieu de s'appliquer. Pour celles qui en ont la capacité, cela leur donnera des incitations économiques.

2/ Enlever 100% du pouvoir économique aux femmes, car en général quand on fait beaucoup d'enfant, c'est qu'on est mère au foyer et non salariée à côté

Pas 100%, car on ne pourra jamais inciter toutes les femmes à être mères au foyer (ce n'est même pas désirable en fait), mais il faut en inciter juste assez pour être au-dessus du seuil de fécondité.

Non car cela reviendrait à augmenter les impôts sur l'ensemble de la population, et n'aura pas un effet coercitif sur les choix de carrière des femmes.

Tout à un prix. Tu considère que le statut de mère au foyer est crucial, important, indispensable, nécessaire ? Alors ça ne sert à rien de le dire, prouve le en récompenssant ces femmes qui l'ont choisi

C'est objectivement la meilleure solution, car seules les femmes paieront, et de plus, elles se rendront compte qu'elles ne gagneront jamais autant qu'un homme et qu'il sera plus rentable pour elles de se trouver un homme qui lui va gagner un salaire entier.

Non, ça revient à dire à aux femmes qu'elles sont indispensables, pour mieux les punir par derrière. Le décalage entre le discours et l'acte relève d'une profonde hypocrisie.

Pas 100%, car on ne pourra jamais inciter toutes les femmes à être mères au foyer (ce n'est même pas désirable en fait), mais il faut en inciter juste assez pour être au-dessus du seuil de fécondit

Faudra que tu m'explique comment fera une femme de la classe populaire/moyenne pour survivre en ayant le dos chargé de tes taxes (soit 95% des femmes d'un pays en gros). Elles seront obligé d'être mères au foyer, et donc d'être privé de tout pouvoir économique

Les hommes représentent peut-être 50% de la population, mais ils paient la plus grosse part des impôts, pendant que les femmes en profitent . On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre. Il faut que ces femmes contribuent à la société en lui donnant un futur, tandis que l'homme doit contribuer en payant des impôts.

Parcequ'ils travaillent déja plus et ont une meilleur entrée d'argent, logique qu'ils payent plus d'impôts. Tu es en train de faire comme le féminisme avec l'écart salarial, ne regarder que la face de la pièce qui t'arrange