Nancy Holten est agaçante, du point de vue des habitants de son petit village suisse où elle vit depuis 10 ans: elle les énerve tellement qu’ils ont voté à deux reprises contre sa naturalisation.
Née il y a 45 ans aux Pays-Bas, cette femme aux longs cheveux bruns est arrivée en Suisse à l’âge de 8 ans et ne l’a plus quittée. Elle parle couramment le suisse allemand, ses enfants sont Suisses et elle affirme qu’elle se sent Suisse.
«La Suisse est mon pays», a-t-elle répété à l’AFP lors d’une récente interview dans son petit appartement qu’elle partage avec ses trois filles dans le village de Gipf-Oberfrick (nord).
https://www.liberation.fr/amphtml/depeches/2019/05/18/la-democratie-directe-n-a-pas-que-du-bon-si-on-veut-devenir-suisse_1728007?__twitter_impression=true
«Si je suis élue, je soulèverai cette question de l’accès à la nationalité. Je crois aussi que ce sont les autorités communales qui doivent décider, pas les habitants, qui sont plus enclins à laisser leurs émotions gouverner.»
Voilà pourquoi il est dangereux de laisser des étrangers s'infiltrer dans le système démocratique.
J'avoue qu'elle a l'air bien casse couilles. Mais bon, on peut très bien être casse couilles et Suisse. Normal qu'au final ça n'est pas fait obstacle à son acquisition de la nationalité
[12:08:48] <Roy_le_Roux2>
«Si je suis élue, je soulèverai cette question de l’accès à la nationalité. Je crois aussi que ce sont les autorités communales qui doivent décider, pas les habitants, qui sont plus enclins à laisser leurs émotions gouverner.»
Voilà pourquoi il est dangereux de laisser des étrangers s'infiltrer dans le système démocratique.
Ils saisiront tous les leviers pour proliférer, c'est logique. Leur préservation tient à leur force politique, et donc démographique.
En Suisse, le système de démocratie directe accorde aux petites municipalités le droit de voter pour ou contre la naturalisation
Ça m'étonnerait que ça dure éternellement, mais c'est super comme principe. Ça me rappelle les démocraties locales sous la royauté.
Je suis fan du principe aussi
Laisser de simples citoyens décider de ce genre de choses...
La prochaine fois on ira demander au plombier ce qu'il pense du glyphosate. Bien content que ce RIC ait été envoyé directement à la poubelle !
[13:31:42] <KurtzUPR>
Laisser de simples citoyens décider de ce genre de choses...La prochaine fois on ira demander au plombier ce qu'il pense du glyphosate. Bien content que ce RIC ait été envoyé directement à la poubelle !
Reste dans ton pays toi...
Elle est pas maligne, fallait faire profil bas, demander la naturalisation puis après devenir casse couille
Elle se plaint que des gens expriment leurs émotions...les canaliser par le biais de leur vote est justement le but de l'expression démocratique. Elle souhaite faire disparaitre des traditions qui tiennent à coeur aux autochtones, ceux-ci réagissent démocratiquement par le biais d'un vote.
Les églises sonnent pendant la nuit en Suisse?
Le 19 mai 2019 à 12:30:57 Hagio a écrit :
En Suisse, le système de démocratie directe accorde aux petites municipalités le droit de voter pour ou contre la naturalisation
Ça m'étonnerait que ça dure éternellement, mais c'est super comme principe. Ça me rappelle les démocraties locales sous la royauté.
Il y a de moins en moins de gens qui se font refusés à l’heure actuelle. Le pic de refus c’était les années 2000.
Pour se faire refuser deux fois cette meuf doit bien être casse fouille et si elle obtient la nationalité elle pourra aller casser les couilles en politique Un autre cas c’était un mec de l’Est je crois qui se balade en training et ça n’a pas plus aux locaux Mais ça reste extrêmement rare les cas de refus comme ça.
Elle a qu'à partir à Genève ou Fribourg, ça doit être plus facile la bas
Le 19 mai 2019 à 15:48:33 DrGayJemiscor a écrit :
Elle a qu'à partir à Genève ou Fribourg, ça doit être plus facile la bas
Surtout dans ces villes la nationalité n'est pas soumise au vote démocratique mais à un examen écrit et oral.
Pour le reste:
Il faut dire que cette végane qui milite activement pour les droits des animaux a hérissé le poil des villageois en s’en prenant à l’un des derniers symboles suisses: les cloches des vaches.
«Ces cloches leur font mal aux oreilles», a-t-elle affirmé, avant de se passer autour du cou une lourde cloche en cuivre et de l’agiter en se bouchant les oreilles. «Je n’ai rien contre les traditions tant qu’elles ne font de mal à personne.»
Et tant qu’à bannir les cloches, elle a également réclamé que celles de l’église ne sonnent plus pendant la nuit.
Une citadine casse-couille qui vient a la campagne pour se plaindre des vaches et des églises.
Tu m'étonnes qu'ils votent contre. Elle a l'air d'être une véritable casse-couille.
Les gens ont le droit de choisir qui partage ou non leur citoyenneté, ça fait toujours autant rêver la Suisse
Le 19 mai 2019 à 15:48:33 DrGayJemiscor a écrit :
Elle a qu'à partir à Genève ou Fribourg, ça doit être plus facile la bas
Oui en effet ou même dans une plus grande ville de son canton.
Le 19 mai 2019 à 16:26:36 loli_conne a écrit :
Les gens ont le droit de choisir qui partage ou non leur citoyenneté, ça fait toujours autant rêver la Suisse
Ouais enfin c'est une commune rurale, c'est pas comme ça dans les grandes villes.
Le 19 mai 2019 à 12:08:48 Roy_le_Roux2 a écrit :
«Si je suis élue, je soulèverai cette question de l’accès à la nationalité. Je crois aussi que ce sont les autorités communales qui doivent décider, pas les habitants, qui sont plus enclins à laisser leurs émotions gouverner.»
Voilà pourquoi il est dangereux de laisser des étrangers s'infiltrer dans le système démocratique.
Après 37 ans de vie dans un pays, on peut difficilement parler d'étranger.
Le 19 mai 2019 à 18:29:27 pazoch a écrit :
Le 19 mai 2019 à 12:08:48 Roy_le_Roux2 a écrit :
«Si je suis élue, je soulèverai cette question de l’accès à la nationalité. Je crois aussi que ce sont les autorités communales qui doivent décider, pas les habitants, qui sont plus enclins à laisser leurs émotions gouverner.»
Voilà pourquoi il est dangereux de laisser des étrangers s'infiltrer dans le système démocratique.
Après 37 ans de vie dans un pays, on peut difficilement parler d'étranger.
Et pourtant, une des premières choses qu'elle souhaite faire la nationalité en poche est de s'attaquer à des traditions pour lesquelles les citoyens locaux ont préféré ne pas accepter cette femme. Elle a beau avoir passé 37 ans dans ce pays, elle n'a pas l'air totalement intégrée.