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The Elder Scrolls IV : Oblivion

Sujet : [fic] Journal d'un immortel
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Gauroth
Niveau 8
23 décembre 2010 à 19:31:22

Bonsoir,
Bon j'ai décidé d'abandonner la voix de l'épée (manque d'inspiration) et je vous propose cette nouvelle fic avec un genre particulier. Voilà je vous laisse découvrir :

Journal d'un immortel

PROLOGUE

Journal de Nostrius Arcadian

18 Soirétoile 3E432

Voilà, je me lance. J'aurais pu commencer par "chers journal", mais cela manque trop d'originalité. Je commence donc ce journal "intime" pour pouvoir enfin voir où j'en suis. Il m'a été offert par une des clientes de l'auberge, madame Celata une dame âgée très respectable. Je suis serveur à l'auberge du Flotteur Bouffi depuis que j'ai vingt ans et elle vient chaque midi manger à la même table (elle a du savoir qu'aujourd'hui c'était mon vingt-sixième anniversaire).

J'ai été élevé dans un orphelinat et ce genre d'attention me touche toujours. Je n'ai pas vraiment d'amis à part Ormil, le tenancier du bateau auberge, et son second Graman gro-Marad, même si nos relation son presque uniquement professionnelle. Je ne verrais pas pourquoi d'autre essaierai d'en savoir plus sur moi sachant que moi même je ne sais pas réellement qui je suis. J'ai été retrouvé sur les escaliers de l'orphelinat de la Cité Impériale. Je n'avais que sur moi une lettre indiquant mon prénom, le nom de mon père (apparemment mort) et ma date de naissance. On m'a expliqué le jour de mes huit ans que mon père était un Impérial et ma mère, une elfe noire. J'avais hérité des yeux rouges de ma mère mais ma peau était comme celle de tous les autres habitants de Cyrodil. Cet aspect effrayant m'a toujours porté préjudice et les railleries des enfants de l'orphelinat n'ont eu pour effet que de me renfermer sur moi même.

A la sortie de l'orphelinat, j'ai du chercher longtemps pour trouver un travail: Toujours la même chose je ne suis pas repoussant mais mes yeux rouges font peur aux clients. J'ai enchaîné les petits boulots comme ça jusqu'au jour de mes vingt ans où j'ai tapé à la porte du Flotteur Bouffi. Ormil a fait de suite abstraction de mon physique, il cherchait quelqu'un de travailleur et puis c'est tous. L'aspect des gens lui importait peu et cela se ressentait dans sa clientèle qui était composé de tous les marginaux de passage à la Cité Impériale.
Depuis ce jour j'ai pu quitter la chambre d'hôtel qui me servait de logement et j'ai pu m'acheter une petite maison en bois sur le quartier du port. Je mène mon petit bout de chemin de vie. Peu palpitant, certes mais je vie assez confortablement comme ça.
La lune est basse dans le ciel, il est temps que j'aille me coucher.

19 Soirétoile 3E432

J'ai finalement décidé d'emporter le journal avec moi. Je pourrais y déposer mes idées durant mes pauses. Je pense que je vais essayer de l'avoir tout le temps sur moi. C'est comme un ami de poche. Je suis seul ce matin, j'au eu la charge d'ouvrir la boutique. Je prends le temps d'écrire car Graman n'arrivera pas avant dix heures et demie. Le matin, l'auberge est plutôt calme, seulement les clients qui dorment sur place prennent un petit déjeuner et les distributeurs du Cheval Noir passent donner leur journal. Je dois m'arrêter d'écrire Graman arrive.

Enfin une pause. Midi est toujours une heure où il faut être sur tous les fronts. Il faut servir les clients nettoyer les tables et recommencer. La fin du service c'est faite à dix sept heures. Maintenant tout est calme jusqu'à dix huit heures trente. C'est étrange, aujourd'hui Madame Celata n'est pas venu, j'aurais voulu la remercier.

Quelle horreur ! Je viens de lire dans le journal qu'on à retrouver le corps de madame Celata près d'une bouche d'égouts. D'après ce qui est écris dans le journal, son corps aurait été lacéré par une bête sauvage. Il n'y a pas plus d'information. Je dois m'arrêter d'écrire, des clients arrivent.

Le service du soir est fini. Je suis encore tout retourné de ce que j'ai lu tout à l'heure. Nous avons notre lot de personne étrange ce soir, ce qui n'arrange pas mon état. Un grand homme enveloppé d'une cape noire (surement un nordique) à demandé une pièce de viande cru. Une vieille femme aux allures de sorcière nous a demandé si nous avions des cuisses de grenouilles à manger (quelle idée) et un impérial d'une grande élégance à pris seulement une chambre pour la nuit et ne bois que dans son flacon (Ce qui énerve Ormil). En plus de ça Ormil me dis qu'il doit s'absenter ce soir. Je suis donc de garde ce soir. Cela risque d'être très long.

La soirée est plutôt calme. Tous les clients sont dans les chambres. Je relis le Cheval Noir encore une fois. Une idée me traverse l'esprit, et si ce n'était pas un animal qui avait tué madame Celata. Des images me viennent à l'esprit. J'ai souvent entendu dire qu'il y avait des vampires dans les égouts de la ville mais jamais je n'avais entendu qu'ils sortaient pour tuer dans les rues. Et se nordique si sombre, le steak saignant... Je fatigue et je deviens paranoïaque.

Quelqu'un m'appel, je dois encore arrêter d'écrire.

nicaram
Niveau 10
23 décembre 2010 à 19:35:09

Bon courage^^

lemou2
Niveau 10
23 décembre 2010 à 20:02:48

Sympa ce prologue, j'ai assez bien accroché. Peut-être qu'écrire en permanence en mode "journal" risque d'être lassant, surtout si ta fic se prolonge.
C'est en tout bien écrit, et pour une fois le héros n'est pas un guerrier, assassin ou mage (du moins pas dès le départ), ce qui est original.

Bonne continuation!

uneurox
Niveau 8
23 décembre 2010 à 20:25:11

pas mal du tout. ça promet.

Bon courage.

lemou2
Niveau 10
23 décembre 2010 à 21:08:44

Par contre, ton titre dévoile un peu la suite...

GiZeus
Niveau 10
23 décembre 2010 à 22:21:05

Ouep, c'est assez sympathique. Mais comme j'aime bien critiquer je vais te dire les éléments qui me chiffonnent un peu.

Premièrement, et c'est assez flagrant, c'est l'orthographe. Ce ne sont pas de trop grosses fautes, mais elles sont assez voyantes pour faire tiquer, d'autant plus lorsqu'elles se répètent.

Secundo, tes personnages sont creux, on ne les connait que de nom, tu dois impérativement les développer pour qu'on s'y attache un minimum, le narrateur de toute évidence, mais sans négliger les seconds couteaux.

Tertio, c'est ton style. Si l'on ne peut vraiment cracher dessus, il demeure malgré tout un peu plat. Il faut le rythmer avec de la ponctuation, une tournure plus complexe, tout ça ne peut que l'enrichir, sans pour autant tomber dans l'excès. Ce que je te propose juste dessous n'est pas une "commande", mais un simple comparatif entre ton paragraphe d'origine et mon "remaniement" :

Enfin une pause. Midi est toujours une heure où il faut être sur tous les fronts. Il faut servir les clients nettoyer les tables et recommencer. La fin du service c'est faite à dix sept heures. Maintenant tout est calme jusqu'à dix huit heures trente. C'est étrange, aujourd'hui Madame Celata n'est pas venu, j'aurais voulu la remercier.

:d) Enfin une pause ! L'affluence de midi est toujours une étape épuisante, éreintante, qui ne laisse aucun répit. Il faut être sur tous les fronts : servir les clients, nettoyer les tables, subir leurs invectives impatientes, puis recommencer jusqu'à ce que tout ce monde soit repu et parti. Toute cette agitation contraste fort avec le reste de la journée, bien plus paisible, et si rien ne vient dérégler cette sérénité relative, l'après-midi se passe tranquillement jusqu'à dix sept heures, fin de mon service. D'habitude, Madame Celeta rentre de ses tractations hebdomadaires avec les commerçants assez tôt, elle devrait déjà être ici malgré l'heure avancée. Mais je ne m'inquiète pas, elle doit certainement être retenue par le charme timide de Thorold, il me semblait hier qu'elle rentrait toute ravie de sa rencontre avec l'impérial ; ses pommettes enflammées et un sourire gêné répondirent à mon interrogation sur son entretient.

GiZeus
Niveau 10
23 décembre 2010 à 23:19:02

Ouais, bon, mon passage avec la vieille est un peu HS en regard de ton texte, j'avais plus en tête le début et j'avais cru que c'était la patronne. Mais t'as compris le principe j'espère, et en plus tu fais apparaitre la vieille sous une forme sympathique juste avant qu'on ne découvre qu'elle a été tuée.

Ah oui, un dernier truc. Ton journal est trop factuel, c'est beaucoup trop : je fais ci, je fais ça, il se passe ça. On risque de vite s'en lasser, prend la peine de développer. Bon, ça viendra avec le temps, mais malgré le turbin de ton personnage, évite de nous servir des résumés ;)

nicaram
Niveau 10
23 décembre 2010 à 23:22:24

" évite de nous servir des résumés ;) " :

Je suis d'accord, mieux vaut un bon tiramisu :( . Les lettres c'est indigeste.

Tamriel-Back
Niveau 10
24 décembre 2010 à 15:29:04

Mmmmmmm... Miam miam ! I love the tiramisù !

starlong
Niveau 10
24 décembre 2010 à 16:38:15

Très bien un bon prologue, et je pense un bon début pour une bonne histoire.

Tamriel-Back
Niveau 10
24 décembre 2010 à 16:52:24

Nan sérieusement, ton prologue est très bon, et à part quelques fautes par-ci par-là, c'est bien écrit mais ça manque légèrement de descriptions et le truc du journal ça a été vu et revu, et ça ne colle définitivement pas avec une fic, donc je te conseille fortement d'abandonner ce mode journal et d'écrire normalement.

Ah oui, et évite aussi de dire "je fais ci, je fais ça etc..." et de souvent dire "machin arrive j'arrête d'écrire".

Si tu suis tous les conseils de tout le monde y compris les miens, je pense que cette fic sera au moins presque parfaite.

Gauroth
Niveau 8
24 décembre 2010 à 18:09:52

Merci pour les réponses. J'hésitai sur le fait de tout faire sur journal ou pas (comme un certain Bram Stoker [indice de plus]) Je vais essayer d'appliquer tous ces conseils, même si pour l'orthographe comme la dernière fois je ne vous promais rien :nah:
Je ne serrais pas régulier par contre pour le temps d'écriture, je veux pas m'imposer de temps d'écriture, donc éviter tous les posts "Suite, Swit,etc...".
Merci :-d

ps : Waow pas de clash sur mon sujet merci, c'est rare! :rire:

Gauroth
Niveau 8
24 décembre 2010 à 18:19:05

Ah oui j'ai oublié, merci lemou, c'est grâce a toi que j'ai voulu réécrire en lisant ta FIC. J'attends la suite :-d

Gauroth
Niveau 8
26 décembre 2010 à 03:29:34

Et bien voilà, après les fêtes je reviens finalement plus rapidement que je l'aurais penser. La nuit porte conseil, du moins apparemment elle m'aide à écrire :sleep:

Donc voilà le premier chapitres. J'attends toujours vos critiques, quelles soient positives ou pas et j'espère m'améliorer grâce à vos conseil. (si ce n'est pas le cas n'hésitez pas non plus à le dire :rire: )

Bonne lecture !

Chapitre 1 : Prisonnier

Lettre anonyme

J’ai récupéré notre ami. Je lui ai adjoint ma bénédiction aujourd’hui même le vingt soirétoile. Il devrait se réveiller d’ici quelques heures. Je vais l’observer durant les jours à venir. J’espère que nous allons enfin avoir des résultats satisfaisants. Si votre intuition est la bonne nous risquons de rentrer dans une nouvelle ère. Je lui ai laissé son journal pour qu’il ne tombe pas dans la démence, c’est notre seule tentative, autant maximiser nos chance de réussite.

Votre ami, R.

Journal de Nostrius Arcadian

20 Soirétoile 3E432

J’ai peur. Je ne me souviens plus de ce qui c’est passé hier soir. J’ai mis un certain temps à me remettre de ce réveil douloureux. J’ai tout d’abord cru que la douleur venait de la bosse à ma tête, mais c’était autre chose. Comme si le rêve que j’ai cette nuit était réel. Un rêve horrible dont je ne veux extirper l’image de ma mémoire. Le seul fait de l’évoquer me donne des sueurs froides.

Je suis emprisonné. Où exactement, je ne sais pas. D’après l’aspect des murs il me semble que je suis dans les égouts de la ville. La puanteur qui y règne est atroce et il n’est pas rare que je vois passer des rats gros comme des petits chiens. C’est un cul de sac où l’on a mis des barreaux pour ne pas que je sorte. Je me suis réveillé sur couchette émiettée, et une bougie éclaire la pièce depuis. Mais même éclairer je ne distingue personne devant ma cellule. Cela m’angoisse. Le temps s’écoule au ralentit et j’ai beau hurler seul l’écho de ma voix me répond.

Tous ce bousculent dans ma tête. Qu’est ce que je fais ici ? Je ne suis qu’un simple serveur dans une auberge. Je n’ai pas de famille pour payer de rançon et je ne suis pas un richissime citoyen de l’empire. Même dans mes pensées les plus folles je ne me suis jamais imaginé dans une tel situation

Je vais mourir, maintenant je le sais. L’homme qui m’a enlevé ne peut être qu’un fou qui prend plaisir à voir agoniser ses victimes ou pire encore.
La lueur de la bougie s’estompe.
La fatigue l’emporte. Je…

21 Soirétoile 3E432

Je suis vivant ! Apparemment mon agresseur prend son pied à long terme car il ne m’a pas tué pendant la nuit. Je me suis réveillé ce matin encore en sueur, mais la joie de ma savoir vivant à balayer mes idées noires jusqu’à que je me souvienne de l’endroit où je me trouve. Mon esprit de nouveau clair j'ai pus remarquer qu’une nouvelle bougie ce tenais par terre ainsi qu’un verre d’eau. J’ai donc remplis mon estomac avec ce maigre présent de mon « hôte ».

Les heures passes et toujours aucune trace de vie. On dirait que j’ai atterris ici tous seul. Le choc à ma tête est légèrement passé et je me souviens de ce qu’il s’est passé avant-hier soir. Un client avait apparemment un problème. Ses cris m’ont alertés et je suis allez voir ce qu’il se passait dans les cabines. Quand je suis arrivé il n’y avait personne et puis là, le trou noir, surement dû au choc que j’ai reçu sur la tête.

Mes rêves de la nuit dernière me reviennent sous forme d’image à chaque fois que je ferme les yeux. Et ce que j’y vois me fait atrocement peur. Que m’arrive-t-il ? Je vois un homme tenant un enfant dans ses bras. Trois femmes à ses genoux lui réclament l’enfant. L’homme s’exécute et les femmes dévorent l’enfant. Je me suis réveillé en voyant que l’homme c’était moi. J’en ai froid dans le dos. D’où me viennent ces idées démoniaques ?

Les minutes ressemblent à des heures, et les heures à des jours. Si je n’avais pas ce journal pour y déverser ce que je pense je serais surement fou à l’heure qu’il est perdu dans mes pensées noires. Que Talos bénisse la pauvre madame Celata d’avoir eu la bonté de m’offrir ce journal.

Madame Célata… Et si je vivais actuellement ce qui lui était arrivée avant sa mort. Si nous avions un agresseur commun…

Je me sens terriblement mal. J’ai l’impression que l’eau dans mon verre était empoisonnée. C’est comme si on essayait d’arracher une partie de moi sans que je réussisse à l’identifier.

Ecrire me demande un trop grand effort. Tous deviens sombre…
Je…arrêter écrire… trop dur…dormir…

Au même moment…

Lettre anonyme

Notre ami rentre dans la phase finale. J’ai lu son journal pendant qu’il dormait et il ne semble se douter de rien. Je vais pouvoir débuter notre plan dans une semaine lors de son « réveil ». Pendant ce temps je garde quand même un œil sur lui Vous aurez de mes nouvelles si il se passe quelque chose de nouveaux. En attendant essayer de vous occuper au mieux de vos affaires personnelles.

Votre ami, R.

GiZeus
Niveau 10
26 décembre 2010 à 13:47:11

Un peu plat (normal pour un serveur), le coup de la captivité aurait pu être mieux exploité. Là encore, on n'a qu'une idée très vague de cet endroit, tout ce qu'on sait c'est que ça pue. Une fois de plus, surveille ton orthographe, et j'ai l'impression que tu utilises un traitement de texte au vu des guillemets utilisés. A ce niveau là c'est impardonnable quand on voit tant de fautes, et aussi grossières.

La torture mentale est très mal exploitée, tu te contentes de clichés stylistiques. A ce stade de l'interrogation, il te faut explorer beaucoup plus profondément les doutes de ton personnage :

"Tous ce bousculent dans ma tête. Qu’est ce que je fais ici ? Je ne suis qu’un simple serveur dans une auberge. Je n’ai pas de famille pour payer de rançon et je ne suis pas un richissime citoyen de l’empire. Même dans mes pensées les plus folles je ne me suis jamais imaginé dans une tel situation

Je vais mourir, maintenant je le sais. L’homme qui m’a enlevé ne peut être qu’un fou qui prend plaisir à voir agoniser ses victimes ou pire encore.
La lueur de la bougie s’estompe.
La fatigue l’emporte. Je…"

:d) La tête me tourne, les questions se pressent et se compressent contre les parois de mon crâne qui ne demande qu'un peu d'air. Pourquoi cette geôle crasseuse ? Pourquoi moi ? Je n'ai rien à offrir, je ne vaux rien, et personne ne s'intéresse à moi. Tout ce que je possède se résume au contenu de ma cabine, et mon héritage familial est aussi délétère qu'une brume marine. Mais qui d'abord m'a transporté ici ? Est-ce un homme, une femme, un groupe, une secte ? Les voleurs ? Pourtant je leur ai réglé mon dû, je m'en suis acquitté au plus tôt, dans les délais. Un détraqué alors ? Ou pire, une bande de détraqués ! C'est possible, c'est même probable, seul un cerveau malade pourrait se retrancher par ici, respirer, voire aimer, cet air putride et épidémique. Et si j'ai bien affaire à un détraqué, que me veut-il ? De l'argent je ne pense pas, ces personnes-là n'en expriment presque jamais l'intérêt. Non, ces malades mentaux se repaissent généralement des souffrances de leurs victimes, de sentiments sadiques. Oui, c'est sûrement un sadique, il se délecte à coup sûr de mes tourments actuels, il adore se les imaginer, et peut-être même m'observe-t-il en ce moment ! Ce qu'il va me faire, lui seul le sait, et tout que faire se peut, je préfère l'ignorer. La souffrance est bien plus horrible quand elle fixe rendez-vous.
...

Gauroth
Niveau 8
26 décembre 2010 à 14:16:11

GiZeus je pense que c'est ça la différence entre un écrivain expérimenté (toi) et un amateur (moi) ^^. Mais je vais essayer de m'appliquer. L'orthographe n'est décidément pas mon fort. Mais je vais mettre ça sur le fait que c'était 3h et que j'étais fatigué :p) .
Ensuite pour me défendre un peu, je ne voulais pas faire de mon héros un personnage trop intellectuel. Plutôt un individu de classe moyenne sans compétence particulière. Et je voulais conserver le côté "je met ce que je pense et ce que je ressent dans le journal" et non ce que je vois. Mais si sa peut aider pour l'ambiance je vais travailler tous ça. Je ne veux quand même pas trop m'attarder sur les descriptions, ça ne fait pas une histoire (ça à même tendance à la tuer quand il y en a trop d'après moi) mais j'avoue qu'en me relisant, je vois qu'il est dur de se représenter les lieux et le personnage.

Bref je me remet au boulot quand je peux, et je vais essayer de mettre tous ça en pratique.

GiZeus
Niveau 10
26 décembre 2010 à 14:47:15

Ne crois pas que je sois expérimenté, loin de là. Quant à ton journal, n'oublie pas que c'est avant tout une histoire que tu racontes, destinée à un public, et non pas de véridiques mémoires couchées sur papier que l'on retrouverait par hasard. Les descriptions sont bien sûr utiles, quoique leur prépondérance soit variable d'une personne à l'autre.
C'est la même chose pour le narrateur, tu dois explorer son ressenti, pour créer une affinité avec le lecteur. Comme le journal est son confident, il exprime tout ce qui lui passe par la tête.

nicaram
Niveau 10
26 décembre 2010 à 14:50:32

"il exprime tout ce qui lui passe par la tête." :

Même si il pense : "J'ai envie d'une bonne tarte à la crème" :question:

Gauroth
Niveau 8
26 décembre 2010 à 15:08:46

Bha il l'écris surement xD. Là le journal joue surtout un rôle de défouloir qui lui permet de garder le contact avec la réalité, donc ça serait pas étonnant de le voir marqué ce genre de banalité. ^^
Bon je me remet à écrire,

starlong
Niveau 10
26 décembre 2010 à 15:31:42

Tu as oubliés qu'il n'y avait plus de pq.

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Sujet : [fic] Journal d'un immortel
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