Bonsoir,
Bon j'ai décidé d'abandonner la voix de l'épée (manque d'inspiration) et je vous propose cette nouvelle fic avec un genre particulier. Voilà je vous laisse découvrir :
Journal d'un immortel
PROLOGUE
Journal de Nostrius Arcadian
18 Soirétoile 3E432
Voilà, je me lance. J'aurais pu commencer par "chers journal", mais cela manque trop d'originalité. Je commence donc ce journal "intime" pour pouvoir enfin voir où j'en suis. Il m'a été offert par une des clientes de l'auberge, madame Celata une dame âgée très respectable. Je suis serveur à l'auberge du Flotteur Bouffi depuis que j'ai vingt ans et elle vient chaque midi manger à la même table (elle a du savoir qu'aujourd'hui c'était mon vingt-sixième anniversaire).
J'ai été élevé dans un orphelinat et ce genre d'attention me touche toujours. Je n'ai pas vraiment d'amis à part Ormil, le tenancier du bateau auberge, et son second Graman gro-Marad, même si nos relation son presque uniquement professionnelle. Je ne verrais pas pourquoi d'autre essaierai d'en savoir plus sur moi sachant que moi même je ne sais pas réellement qui je suis. J'ai été retrouvé sur les escaliers de l'orphelinat de la Cité Impériale. Je n'avais que sur moi une lettre indiquant mon prénom, le nom de mon père (apparemment mort) et ma date de naissance. On m'a expliqué le jour de mes huit ans que mon père était un Impérial et ma mère, une elfe noire. J'avais hérité des yeux rouges de ma mère mais ma peau était comme celle de tous les autres habitants de Cyrodil. Cet aspect effrayant m'a toujours porté préjudice et les railleries des enfants de l'orphelinat n'ont eu pour effet que de me renfermer sur moi même.
A la sortie de l'orphelinat, j'ai du chercher longtemps pour trouver un travail: Toujours la même chose je ne suis pas repoussant mais mes yeux rouges font peur aux clients. J'ai enchaîné les petits boulots comme ça jusqu'au jour de mes vingt ans où j'ai tapé à la porte du Flotteur Bouffi. Ormil a fait de suite abstraction de mon physique, il cherchait quelqu'un de travailleur et puis c'est tous. L'aspect des gens lui importait peu et cela se ressentait dans sa clientèle qui était composé de tous les marginaux de passage à la Cité Impériale.
Depuis ce jour j'ai pu quitter la chambre d'hôtel qui me servait de logement et j'ai pu m'acheter une petite maison en bois sur le quartier du port. Je mène mon petit bout de chemin de vie. Peu palpitant, certes mais je vie assez confortablement comme ça.
La lune est basse dans le ciel, il est temps que j'aille me coucher.
19 Soirétoile 3E432
J'ai finalement décidé d'emporter le journal avec moi. Je pourrais y déposer mes idées durant mes pauses. Je pense que je vais essayer de l'avoir tout le temps sur moi. C'est comme un ami de poche. Je suis seul ce matin, j'au eu la charge d'ouvrir la boutique. Je prends le temps d'écrire car Graman n'arrivera pas avant dix heures et demie. Le matin, l'auberge est plutôt calme, seulement les clients qui dorment sur place prennent un petit déjeuner et les distributeurs du Cheval Noir passent donner leur journal. Je dois m'arrêter d'écrire Graman arrive.
Enfin une pause. Midi est toujours une heure où il faut être sur tous les fronts. Il faut servir les clients nettoyer les tables et recommencer. La fin du service c'est faite à dix sept heures. Maintenant tout est calme jusqu'à dix huit heures trente. C'est étrange, aujourd'hui Madame Celata n'est pas venu, j'aurais voulu la remercier.
Quelle horreur ! Je viens de lire dans le journal qu'on à retrouver le corps de madame Celata près d'une bouche d'égouts. D'après ce qui est écris dans le journal, son corps aurait été lacéré par une bête sauvage. Il n'y a pas plus d'information. Je dois m'arrêter d'écrire, des clients arrivent.
Le service du soir est fini. Je suis encore tout retourné de ce que j'ai lu tout à l'heure. Nous avons notre lot de personne étrange ce soir, ce qui n'arrange pas mon état. Un grand homme enveloppé d'une cape noire (surement un nordique) à demandé une pièce de viande cru. Une vieille femme aux allures de sorcière nous a demandé si nous avions des cuisses de grenouilles à manger (quelle idée) et un impérial d'une grande élégance à pris seulement une chambre pour la nuit et ne bois que dans son flacon (Ce qui énerve Ormil). En plus de ça Ormil me dis qu'il doit s'absenter ce soir. Je suis donc de garde ce soir. Cela risque d'être très long.
La soirée est plutôt calme. Tous les clients sont dans les chambres. Je relis le Cheval Noir encore une fois. Une idée me traverse l'esprit, et si ce n'était pas un animal qui avait tué madame Celata. Des images me viennent à l'esprit. J'ai souvent entendu dire qu'il y avait des vampires dans les égouts de la ville mais jamais je n'avais entendu qu'ils sortaient pour tuer dans les rues. Et se nordique si sombre, le steak saignant... Je fatigue et je deviens paranoïaque.
Quelqu'un m'appel, je dois encore arrêter d'écrire.