c´est trop beau bouhouhouhouhouhou
- Vous désirez un travail spécial? Mais pourquoi cela?
Le gros receleur nordique hystérique semblait avoir été particulièrement choqué que "Charlotte" et moi même soient venus lui demander un travail supplémentaire, alors que cela ne faisait que trois jours que nous étions arrivés. Trois jours aussi ennuyeux que sans interet a cambrioler des maisons.
- Eh bien voyez vous, mon cher receleur, mon ami et moi même pensons qu´il est temps que nous montrions un peu de gratitude envers vous en accomplissant une mission difficile pour votre pur profit et pour le bien de la guilde et la suprémacie de notre puissant chef, le renard gris.
Le receleur me regarda, et je lui dis simplement que je confirmais ce qu´elle racontait.
- Très bien, très bien, mes petits amis, laissais moi juste regarder mes petites notes disant combien de septims nous avons obtenus grace à la revente des objets volés que vous m´avez... Oh, par les neufs, c´est absolument... deux milles deux cent pièces d´or? Comment est ce possible?
Tous nos collègues nous regardaient, et je répondis simplement que nous volions pour survivre depuis notre naissance.
- Eh bien je peux vous confier sans problèmes une tâche de niveau correct, il faudrait que vous ailliez libérer une de nos agentes, une bosmer, Methredel, prisonière du chateau d´Anvil. Il va de soi que vous ne devez tuer personne sans quoi vous serez expulsés. Demandez au mendiants des détails.
J´eu une impression de deja vu.
Il avait dit "libérer", pas "tuer en simulant une torture" mais "libérer". Et si elle avait parlé? Et si elle avait accepté de l´or pour observer la guilde des voleurs? Cette facon de faire était absolument illogique.
De plus, les détails que nous recevions de la part du receleur sur ce contrat... enfin, "ce travail spécial" étaient ridicules, et il fallait demander aux mendiants, qui voudraient de l´or pour répondre.
- Nous acceptons, considérez que Mathordel est libérée!
- C´est Methredel, Ma petite Charlotte.
Gagner la confiance des gens était si ennuyeux, simuler la confiance comme à la confrérie évitait ce genre de désagrément, et était tellement plus agréable.
Ma soeur noire et moi même quittâmes Skingrad pour aller vers Anvil.
Travail spécial 1: Un autre univers
- Ces stupides voleurs me tapent sur les nerfs, me tapent sur les nerfs! Beaucoup! Beaucoup! Je voudrais tous les tuer!
Je répondis à Antonetta qu´ils m´ennuyaient aussi, et que j´avais hâte que tout cela soit terminé.
Je demandai par acquis de conscience à mon équipière ce qu´elle pensait de toute cette histoire de renard gris.
- Franchement, mon frère chéri, je ne sais pas, je ne suis même pas sûre qu´il existe, pour vous dire la vérité, attendons encore un peu, et nous verrons bien.
J´ajoutai que nous n´avions pas vraiment le choix, puisqu´il était hors de question de revenir au sanctuaire après avoir échoué un contrat.
- Exactement, et devenir une sanguine... J´en ai toujours eu envie, vraiment.
Une fois arrivés à Anvil, nous reprîmes les rôles du voleur et de Charlotte, pour notre plus grand malheur.
Nous dûmes trouver un mendiant pathétique allongé dans la rue, le réveiller doucement et lui demander gentiment des informations.
Je me faisais beaucoup de mal.
- Aaaah, oui, oui, j´ai le souvenir d´une bosmer enfermée ici avant hier, mais... ah, si vous me donniez un peu d´or, je vous dirais tout ce que je sais.
L´air aussi malicieux et gentils que possibles, nous donnâmes quinze septims au vieux clochard.
- Voila, en fait, je ne sais rien, il va faloir que vous trouviez quelqu´un d´autre, désolé mes jolis, et salutations au renard gr...
Antonetta avait attrapé le vieux mendiant par les joues, et s´appretait à lui donner un de ses baisers sanglants. Le clochard n´allait pas refuser, et tendis aussi les lèvres, très rouge.
Je dis à Antonetta que ca suffisait, et qu´il fallait trouver quelqu´un d´autre.
Elle se calma, puis revint à mes côtés.
- Relaxe toi, mon ami, le vieux Pablo est irrésistible, meme à son age, sans raucune, hein, je te laisse ta copine!
Je tendis brusquement le bras droit vers lui, il recula, mais se calma rapidement, tandis que ma soeur noire et moi meme quittions la ruelle.
- Oho, eh, calme toi, ne fais pas de gestes pareils, oh la la, pauvre vieux Pablo.
On pourrait effectivement l´appeler "pauvre Pablo" lorsque le poison du sourire contenu dans l´aiguille que je lui avait envoyé ferait effet. D´après Taleandril, il déformerait tellement le corps en faisant souffrir, que la victime sourirait au moment de sa mort, soulagée que ca s´arrete.
La seconde mendiante parue plus receptive.
- Oui, en effet, une Bosmer, enfermée dans le sous sol du chateau, troisième cellule au fond, les gardes ne sont pas corruptibles, il faudra que vous trouviez un autre chemin.
Je donnai deux septims à la brave vieillarde, et demandai à Antonetta si il n´était pas possible de demander au conte d´ouvrir sa cellule.
- Le prix du silence, mon frère chéri, jusqu´au moment de la livraison finale, il ne doit pas entendre parler de nous, de plus, bien que deteste nous rappeler, en ce moment, nous sommes de voleurs.
Antonetta soupira tandis que nous nous dirigions vers le chateau d´Anvil.
L´entrée était libre au public, et nous pûmes entrer sans problèmes et aller vers la prison, nettement moins dangereuse que celle de la cité impériale.
Devant la porte se trouvait un grand garde assis à une table, en train de manger son repas tout en lisant un livre.
- Les visites sont interdites, partez d´ici.
Je m´approchai de lui, me mis à le regarder dans les yeux, et claquai des doigts.
- Qu´est c´est que ca, un truc d´illusion? Je crois que je vais vous enfermer, vous aussi.
C´était prévisible, j´avais du mal à me concentrer dans une tenue aussi peu confortable et qui me provoquait des démangeaisons désagréables.
Antonetta me fit signe de m´écarter, elle baleya la table du garde d´un revers de la main, et se jeta au cou du gardien de la prison pour l´embrasser goulûment en s´allongeant sur la table.
Ce genre de situation me faisait penser des choses stupides, telles que "si j´étais une femme, je pourrais executer des contrats bien plus facilement".
Je pris la clef accrochée au pantalon du garde, qui tenta de dégager sa bouche des lèvres d´Antonetta pour crier qu´il lui fallait des renforts, mais il renonca et se remit à embrasser cette belle jeune fille mystàrieuse.
Lorsque j´entrai dans la prison, les prisoniers m´appelèrent à l´aide en hurlant qu´ils étaient tous innoncents, mais je les ignorai et allai directement au fond de la pièce, ou une fille bosmer avait l´air d´attendre impatiament.
- Ah, c´est maintenant que vous arrivez? J´ai failli attendre et... Oh, vous êtes nouveau à la guilde? Je... Nous ne nous sommes pas présentés, je m´apelle Mathredel, et vous?
Elle continuait à me parler avec large sourire à travers les barreaux, tandis que je pensais à tout ce que j´aurais pu lui faire si j´avais été ici dans le cadre d´un contrat, et pas d´une stupide mission spéciale.
- ... faire plus ample connaissance, vous me libérez?
La serrure était de très mauvaise qualité, je la fis sauter d´un simple coup d´oeil, elle observa ce que je venais de faire, l´air surpris.
- Comment avez vous fais ca sans crochets? Vous etes magicien?
Je lui demandai ce que j´avais bien pu faire d´impressioner, avant de réaliser qu´Antonetta allait vraiment finir par mettre en morceaux ce garde si je ne faisais pas vite. J´avais moi meme du mal à ne pas découper le moulin à paroles que je venais de libérer.
- Ah, vous en avez mis du temps, mon frère chéri, vous, euh...
- Qui est ce?
Je répondis à l´elfe au nom impossible à prononcer qu´elle était ma soeur, et qu´elle m´appelait ainsi pour cette raison.
Je vis au fond de la pièce au sol, une petite forme ronde qui s´averra être un garde roulé en boule en train de gémir en se tenant l´entrejambes très fort.
- Oh, c´est une longue histoire mon frère chéri, étant donné que nous devions respecter les consignes, j´ai eu l´idée, pour le neutraliser, de lever brutalement mon genou et...
- Votre frère ce moque de votre petite aventure perverse, nous devons partir.
Antonetta jeta un regard terrible à l´elfe, ce genre de regard qu´elle lancait à ses victimes avant de les tortures comme elle savait si bien le faire, mais elle corrigea rapidement le tir en souriant et en disant qu´elle s´excusait.
Personelement, je trouvais l´idée d´Antonetta hilarante et particulièrement innovante, ainsi qu´une idée interessante pour faire parler les personnes de sexe masculin.
Nous devions attendre la nuit avant de quitter la chateau.
Cette elfe avait passée les deux heures précédant la nuit à essayer de me séduire, s´était absolument pathétique, car à la différence de ma soeur préférée, elle devait chercher une relation plus longue qu´une nuit, et une nuit me semblait deja trop long pour avoir une relation amoureuse avec quelqu´un.
Je lui fis comprendre avec tact qu´elle ne m´interessait pas, que je ne voulais pas la connaitre, que je me moquais complètement de ses précédentes relations amoureuses, et que la prochaine fois que je devrais libérer une elfe, j´enverrais ma soeur seule.
Etrangement, elle le prit très mal et rentra seule à Skingrad la nuit tombée, nous laissant seuls ma soeur et moi meme sur le chemin du retour.
Je lui demandai si j´avais dis quelque de mal, et elle haussa les épaules.
- Vous n´avez strictement rien dit de mal, je trouve, mais il faut nous habituer, c´est un autre monde, ils prennent des choses infimes beaucoup plus sérieusement. Je vous connais, si vous l´aviez voulu, vous auriez pu dire des choses VRAIMENT méchantes, comme, euh...
Les gens d´Anvil durent probablement se demander se qu´avait fait ce dumner pour que cette nordique soit si furieuse contre lui.
- Vous avez fait de l´excellent travail, mes petits amis, j´ai entendu que Methredel était rentrée saine et sauve à la cité impériale, et vous avez accompli ce travail à une vitesse terrible... Voici votre rémunération, le renard gris a apprécié votre travail, continuez ainsi, et vous pourrez peut etre le rencontrer.
Je pris les cents pièces d´or, et invitai Antonetta à aller boire et manger quelque chose.
Nous n´étions pas tellement plus avancés, mais notre objectif se rapprochait lentement.
super super tu fait quoi irl ?? ?
( écrivain )
Troooooooooop Cooooooool !! !!!!!
T´es génial ange de la mort, c´est excellent je n´en ai pas raté un mot tu dois en faire un bouquin.Une dernière chose ou-es ce que tu trouve cette imagination
la suuuuuuuuuuiiiiiiiiiiitttttttttteeeeeee
steup
c´est trop cool
vivement la suite
Antonetta, moi et tous les autres voleurs étions réunis dans la salle commune, ma soeur noire lisant le courrier du cheval noir à tout le monde, comme nous le faisions au sanctuaire, tandis que je lisai sur son épaule.
- Hi hi, écoutez, vous allez trouver ca drôle... " Une mort étrange choque la petite ville paisible de Skingrad: Pablo la fauche, un vieil escroc sans histoire, a été découvert par des gardes en train de hurler, alors que ses os semblaient se tordrent d´eux même. Après une heure et demie insuportable, Pablo rendit l´âme, un sourire à glacer le sang sur son visage. Le viel homme aimait s´appeler "le pauvre Pablo" de son vivant, c´est à présent chose faite, le courrier du cheval noir lui souhaite le repos éternel, et est admiratif qu´un homme puisse aceuillir la mort avec le sourire."
Antonetta cessa sa lecture, et regarda avec un large sourire amusé lex expressions des brigands. Cet article était particulièrement drôle, surtout le passage du "pauvre Pablo." Je l´avais bien dit...
Cela dit, les autres voleurs n´avaient pas l´air amusés du tout, voire même choqués.
- Eh bien quoi, c´est amusant, non?
- Je trouve ca horrible, moi.
- Ouais, c´est dur, Pablo était un peu escroc, mais s´était quelqu´un de bien.
- Vous êtes bizarres, vous deux.
Ma soeur favorite soupira profondément et appuyé, a bout de nerfs, sa tête contre mon épaule.
Il fallai que nous soyons réalistes, ces gens n´étaient absolument pas sur la même longueur d´ondes que nous, pourtant, cela faisait deux semaines et trois jours que nous étions ici, et que nous executions travaux spéciaux sur travaux spéciaux, portant, la plupart d´entre eux ne semblaient pas avoir confiance en nous complètement.
Ils quittèrent la salle commune, nous laissant seuls ma soeur et moi meme.
- Mon frère chériiiiii, je n´en peux plus, tuons les tous et oublions ce contrat stupide, ils vont me rendre folle, encore plus que je ne le suis deja... tant que ces vermines ne sous feront pas confiance, le renard ne nous fera pas confiance, je crois que c´est ca le problèmes.
je réfléchi quelques instants, comment faire ami ami avec des gens qui n´avaient strictement rien en commun avec nous, meme sous une fausse idendité? Changer de caractère était hors de question, par contre j´eu une autre idée.
- Ah, je sens que vous avez trouvé quelque chose, mon frère, qu´est ce que voouuuus...
Je pris Antonetta par le bras et la tirai vers l´extérieur, en direction du grenier de la maison abandonnée, ou je m´assis contre le mur au dessous d´une petite lucarne. Un peu surprise, Antonetta resta debout.
- Si vous pouviez m´expliquer, mon très cher frère, je serais assez contente.
Je me mis à penser à Vincente et à la confrérie noire, en essayant de rester concentré.
Voyant que j´étais occupé, ma soeur s´assit à coté de moi et resta silencieuse.
- Vous m´avez appelé, mon frère?
Sur la Lucarne s´était posée une chauve souris, dont le regard et la voix m´étaient assez familières.
- Oh, mais c´est frère Vincente!
- Comment se passe votre contrat, cela fait deux semaines, mes sources indiquent que vous progressez, mais qu´il manque encore quelque chose.
Je lui dis que s´était bien ca, le problème, il nous manquait leur confiance, et que pour cela, j´aurais sans doute besoin de l´aide de Taleandril et de Gro Bolmog. Et qu´il fallait que ce soit réaliste.
- Bien, je vois ou vous voulez en venir, mon frère, votre ruse me surprendra toujours... J´expliquerait la situation à frère Gro Bolmog et soeur Taleandril, je leur demanderais d´être aussi réalistes que possible, soyez très prudents, donc, je dis ca pour votre survie.
Bien, demain matin, votre receleur recevra une lettre qui dira la chose suivante, toujours la même excuse: "Cher ami..."
Le gros nordique enfila de petites lunettes, prit la lettre sur laquelle était apposé le cachet du receleur Fathis Uhlen, et la lit devant tout le groupe de voleurs.
- "Cher ami, nous avons découvert que dans le manoir de Cimebrume de skingrad, était caché un trésor d´une valeur inouïe, cela dit, je suggère que vous envoyez tous vos voleurs sur ce travail spécial, car les proprétaires de la deumeure, un terrible orque et une bosmer sanguinaire, pourraient être des menaces si vous les réveillez. Amicalement: Fathis Uhles" Eh bien, messieurs, cette nuit, vous allez tous aller au manoir de Cimebrume, fouiller la maison, et trouver ce trésor, après quoi nous ferons tous ensemble une fête gigantesque!
Une clameur de joie résonna dans le sous sol, tandis que moi et ma soeur préférée savions à quoi nous attendre.
En plus de simuler la recherche du trésor et protéger nos équipiers, il faudrait survivre sans tuer nos aggresseurs.
Le quotidien de bandit pouvait être amusant, après tout.
Travail spécial 2: Gagner la confiance
C´était la seconde fois que je pénétrais au manoir de Cimebrume, mais cette fois ci, je ne portais pas de masque de clown, et j´étais accompagné de mon équipière et de quatres voleurs.
- Je vais crocheter la serrure!
Un des quatres lascars glissa un crochet dans la porte, et la fit s´ouvrir tant bien que mal. J´aurais pu en faire de même avec un sort, mais il fallait que ces voleurs se sentent bien avec nous.
- Oh, bravo, bravo, vous êtes si habile avec vos doigts, mon très cher ami!
Nous pénétrâmes tous dans le manoir, il y avait une ambiance très étrange, pensante, aucune lumière n´était allumée, et tous les planchaient grincaient. Le netoyeur avait fait un travail remarquable pour faire disparaitre les cadavres et le sang.
Trois des voleurs étaient inquiets, mais leur "chef", un monte en l´air bosmer nommé Vaniil prit la parole, en ayant l´air aussi assuré que possible et en chuchotant.
- Bon... vous connaissez le plan, on fouille cette maison en évitant de réveiller les propriétaires, des questions?
Un autres des voleurs posa une question, en tremblant.
- J´ai... j´ai... j´ai entendu dire que le fantôme d´un clown avait tué six personnes dans cette maison?
Je du me retenir de rire, et reconfortis le bandit en lui parlant avec le sourire.
je m´avancai vers l´escalier en disant qu´ils n´avaient rien à craincre, car Antonetta et moi meme ferions tout pour les protéger.
Soudain, un craquement violent se fit entendre à l´étage, juste au dessus de ma tête.
- C´était... quoi ce bruit!
- Faites attention!
Antonetta tira par la veste ceux qui étaient trop en avant pour les faire reculer, elle était aussi douée en comédie que moi.
Le plafond s´ouvrit d´un coup et un orc en armure lourde en jaillit d´un bond en poussant un cri de bête sauvage, il tomba sur moi, et m´emporta dans sa chute, me faisant traverser deux étages et atterir à la cave.
Au moment de toucher le sol, Gro Bolmog s´était retourner pour que ce soit lui qui subisse les degats de chute et pas moi, son armure ammorti bien le coup. Il me regarda un instant, puis éclata de rire.
- HA HA HA! C´était fantastique, cette poussée d´énergie bestiale, les cris de soeur Marie Antoinette, le regard bref de panique dans les yeux de ces voleurs... l´ambiance au sanctuaire n´est pas pareille sans vous et soeur Marie, croyez moi, mon ami!
Je remerciai Gro Bolmong de sa sollicitude, et lui demandais de me donner un coup de poing au visage suffisament violent pour me propulser à l´étage, mais suffisament doux pour que ca me brise pas le crâne.
- Avec plaisir mon frère, avec plaisir.
Il frotta mon menton un instant, me sourit, puis prit son élan. je vis son énorme main se rapprocher de mon visage par le bas, et me sentis décoller et traverser le plafond pour revenir dans le hall d´entrée en un instant.
C´était parfait, je saignais abondamenet du nez, j´avais des dents cassées, et j´avais du mal à me tenir debout.
Les sorts de Mjarj Dar soignaient absolument tout le corps, sans exeptions, de toutes facons.
- Oh, mon frère chéri, j´étais tellement inquiète pour vous!
Je me relevai, mais n´y arrivai pas, un des voleurs m´aida à me lever et me soutint.
C´était positif, mais il en fallait plus, qu´ils aient si peur que notre présence soit comme une bénédiction pour eux.
- Y´a des barreaux, y´a des foutus barreaux sur cette porte et les fenêtres, on est foutus! Fou...
Il s´arreta subitement de parler, et se retourna vers l´escalier, nous le fîmes tous.
Impossible de voir ce qui s´y trouvait, excepté deux yeux jaunes et brillants, cette chose tenait le groupe en joue avec un arc, probablement. Son envie de tuer était telle, la différence de niveau était si flagrante pour ces voleurs, qu´ils furent complètement paralysés.
- Pu... C´est quoi ce...
- Chef... j´ai la sensation que... au moindre geste... je... je me ferais tuer... c´est...
Les voleurs et nous mêmes tombèrent à genoux, certains d´entre nous pleuraient, d´autres se cachaient le visage dans leur mains, dominés par la forme aux yeux jaunes.
J´avais parfois eu tendance a penser que Taleandril était trop vieille, mais la puissance de l´oeil de peur qu´elle déployait me fit changer d´avis rapidement, et quelle ambiance, elle s´était admirablement bien placée pour faire peur aux voleurs.
Soudain, la personne tapie dans l´ombre décocha une flèche, et Antonetta bondit pour arreter la flèche en faisant bouclier humain, elle l´encaissa en plein ventre, et roula au sol en hurlant et pleurant.
C´était anormal de la voir comme ca, elle aurait pu se faire arracher mains et jambes sans pousser le moindre cri.
Le fait qu´une jeune fille aie été blessée fit réagir Vaniil, qui se resaisit, et prit la jeune fille dans ses bras, avant de jeter une boule de fumée vers le monstre qui le visait.
Ca ne suffit pas, la tueuse décocha une multitude de flèches, et chaque voleur se fit toucher au moins deux fois, mystérieusement, dans aucun point vital, et je fus épargné.
C´est à ce moment que choisi l´orque pour bondit du sol, ses yeux noirs et oranges brillant de l´envie de nous tuer.
J´attendai un peu qu´il vers nous en marchant pour me dresser, et avec "l´ultime énergie restant dans mon corps", écarter les barreaux de la porte , et hurler à mes compagnons de fuir.
Ils se levèrent, tandis que je les aidais à se lever, Antonetta luttait héroïquement contre l´orque.
Nous quittâmes le manoir en courrant et silencieusement, et retournâmes à la maison abandonée.
- Seigneur, que vous est il arrivé, mes agneaux!
- C´était un piège, probablement de la confrérie noire... heureusement que Charlotte et son frère étaient la, sinon, je ne serais peut etre plus en vie.
- Moi non plus.
- Moi non plus!
Les quatres lurons se mirent à raconter tous en même temps à quel point nous avions été héroïques, après quoi nous dûmes aller à l´infirmerie pour nous soigner superficiellement.
- Avec ses dents en moins, vous êtes moins joli, mon très cher frère.
Je lui dis que j´attendrais les soins Mjarj Dar.
- Cela dit, je ne sais pas si votre plan a fonctionné, ils sont très contents, mais peut etre ne sommes nous pas restés assez longtemps, et si nous n´avions pas assez insisté sur le côté "sans nous vous seriez morts?" et si...
Je lui demandai d´attendre patiemment, car le temps de notre libération arriverait bientot.
A ce moment, notre ami le receleur hystérique vint vers nos lits d´infirmerie avec un air solonel.
- Dès que vous serez sur pieds, mais petits amis héroïques, j´aurais un travail spécial pour vous, un travail demandé par le renard gris lui meme, venez me voir quand vous serez prêts.
Voyant que nous étions apperement épuisés, il quitta l´infirmerie sans faire de bruit. Dès qu´il fut parti, Antonetta poussa un soupir de soulagement, et me parla.
- Donnez moi une bonne raison de ne pas me jeter sur vous pour vous embrasser pour vous féliciter de votre idée géniale?
Je lui répondai qu´il me manquait deux dents, et elle se calma.
J´étais extrêmement curieux de la manière de tuer une legende, fallait il lui détruire entierement le corps, ou le réduire en centre?
Avant de m´endormir, je réfléchis à toutes les possibilités, ce qui me prit toute la nuit, à vrai dire.
Depuis une heure je suis planté comme un con devant mon ordi a attendre que la suite de ta fic arrive
Je vais me lire ça tout de suite
géniale, cette idée du meurtre du renard gris, je me demande comment tout cela va se terminer XD
ces travaux spéciaux sont sympa et donne quelques détails sur la relation entre la confrérie noire et la guilde des voleurs
tu ne veux pas faire une fic "le voleur sans nom?" XD non, je dec, celle la est deja fantastique, je vais pas abuser
allez, achève ce maudit renard, S.S!
l´histoire est déja excellente est au fur a mesure des missions c´est encore mieux
T´es trop fort ange de la mort
vraiment bon, mais comment tu vas te dépétrer de ce contrat? ils ne peuvent pas le tuer... donc ils vont mourir? vraiment j´attends la suite
Alors que je réfléchissais au meilleur moyen de tuer le renard gris, un petit détail sans importance me fit subitement réagir.
L´homme qui avait ordonné l´execution de ce contrat, le conte d´Anvil, était connu pour avoir disparu depuis une dizaine d´années, dans des conditions mystérieuses, comment pouvait il avoir commandé l´execution de ce contrat?
Mais j´oubliai rapidement cela avant de me dire que ce qui comptait, c´était d´abattre le renard gris, et que son temps viendrait très bientot.
La nuit tombée, le gros receleur vint nous chercher Antonetta et moi.
C´était surement la dernière fois que nous croisions cet infâme porc dans le cadre de la guilde des voleurs, la prochaine fois, les visites seraient sûrement dans le cadre de notre plaisir sadique personel.
Le receleur s´essuyait le visage, il paraissait très nerveux en nous parlant.
- Oh, vous voila... bien, bien bien, avant de vous rencontrer personelement, le renard gris voudrait que vous accomplissiez un petit travail pour lui, oh, rien de terrible il s´agirait...
- Le renard gris est ici?
La semble évocation du renard gris semblait faire paniquer le gros nordique.
- Oui... enfin non, il n´est pas ici, mais est ici, depuis cette après midi... il vous recevra quand vous aurez accompli le travail spécial qu´il m´a demandé de vous... transmettre.
Le receleur, d´habitude hystérique et effeminé n´avait plus la meme attitude que d´habitude, depuis l´arrivée de ce renard gris, soit il était omnipotant, soit un détail nous avait échappé à son egard.
- Tout va bien, monsieur le receleur que j´aime tant?
- Oui, OUI! Ecoutez, euh... voila, considérez cela comme un test, pour voir si vous êtes dignes de faire partie des fidèles du renard gris... vous devez voler et me ramener une armure de la confrérie noire.
Antonetta voulu dire quelque chose, mais lui fis signe de ne pas parler, avant de dire au receleur qu´il nous était impossible de voler un objet à un groupe dont nous ignorions tout et dont l´existence n´était qu´une rumeur.
Le nordique avala sa salive bruillament et s´essuya à nouveau le visage.
- Ecoutez, le renard gris semble placer de grands espoirs en vous, si vous le décevez après avoir tant vanté vos mérites, j´aurais des ennuis, vous comprenez?
C´était donc si simple que cela, de la peur de son maître, rien de plus. Je m´en faisais trop.
- Eh bien faites nous confiance, nous prouverons au renard gris qu´il a fait le bon choix en pensant à nous, nous vous ramènerons une armure de cette... secte noire!
Le receleur sourit nerveusement, et nous dit qu´il était temps que nous nous métions en route. Nous obéîmes.
- Tout de même, mon frère adoré, vous n´avez pas trouvé le receleur un peu nerveux? Et ce travail spécial un peu... spécial, justement?
Je donnai mon avis à Antonetta, que tout devenait bizarre depuis que le renard gris était arrivé, et que la personne ayant ordonnée l´execution de ce contrat avait disparu depuis une décénie.
- Je le sais, mon frère chéri, je pensais à ca ce matin même... Ecoutez, nous devons passer au sanctuaire emprunter une armure, nous demanderons l´avis de Vincente, il saura ce que nous devrons faire. Peut etre voyons nous le mal partout, après tout?
Après être arrivés au sanctuaire de Cheydinhal, et avoir exposé le problème à Vincente Valerai, celui ci réfléchit en faisant les cents pas.
- Vous avez absolument raison, mon frère, le conte d´Anvil A, effectivement, disparu depuis une décénie de la circulation, cela dit, la main noire est formelle, il est le commanditaire de ce contrat, et a payé le prix pour cela. Cette histoire d´armure est étrange, elle aussi, peut etre auraient ils découvert d´ou vous venez?
- Impossible, cher frère Vincente, nous n´avons absolument rien laissé transparaitre, et avant hier encore, ils nous traitaient comme des leurs, même si quelque chose est différent aujourd´hui.
Vincente se remit a réfléchir un instant, puis parla en souriant.
- Au pire des cas, il s´agit d´un piège, quelle différence cela fait il? L´objectif de ce contrat est et reste l´élimination du renard gris.
Je n´avais pas de mots pour dire à quel point j´étais content d´être à nouveau sous la direction du vampire, et plus d´un nordique affectueux.
Contrat 16: Tuer un mythe
Taleandril vint nous voir lorsqu´Antonetta et moi fouillons dans les stocks à la recherche d´une armure.
- Oubliez tout de suite cette idée, rien qu´en inspectant une de nos armures, quelqu´un comme le renard gris pourrait en découvrir l´origine, le lieu de fabrication... prenez plutot celle ci.
La bosmer nous donna une tenue qui avait l´air semblable à la vôtre.
- Hein? Qu´a elle de différent, ma soeur chérie?
- Vous verrez, ma soeur, en temps voulus, la surprise devrait plus vous faire rire que ceux qui la subissent.
Je mis la tenue dans le sac d´Antonetta, et nous retournâmes à Skingrad.
Le gros receleur eu l´air particulièrement surpris de nous voir.
- Quoi, VOUS? Oh, eh bien bravo... cela veut dire que, euh... le renard... LE renard gris sera disposé à vous voir, retrouvez le à l´auberge hors de la ville, dans la chambre du fond au second étage, apportez lui cette, euh... tenue noire, et... bravo!
Sans dire un peu, ma soeur et moi même quitâmes Skingrad. Une pluie légère commenca à tomber, ce qui nous forca à nous recouvrir complètement sous des capes de voyage, têtes exceptées.
- Dites, mon frère adoré, vous êtes conscient que c´est en train de devenir évidant que c´est un piège? Ca ne change rien au fait que nous allons tuer ce renard, mais si c´était un grand, grand piège, qu´allons nous faire?
Je répondai à Antonetta ce que Vincente m´avait dit une fois. "Quand la difficulté semble trop importante, il faut choisir la facilité".
Nous pénétrâmes dans l´auberge de la lune rouge complètement couverts sous nos capes trempées.
La première chose qui me dérangea fut le personnel de l´hotel, uniquement composée d´hommes jeunes et musclés, on pouvait lire sur leur visage qu´ils étaient des voleurs.
Il y en avait une bonne quinzaine, juste dans le hall d´entrée.
- Il vous attend en haut, faites vite.
Ma soeur noire et moi même montâmes les escaliers, suivis par quatres hommes.
Les escaliers et les étages étaient remplis de voleurs qui étaient prêts à dégainer leur armes, et ce jusqu´au second étage.
C´était un traquenard superbe, mais il avait un petit défaut.
Ces voleurs pensaient que nous serions faibles et écrasés par le nombre, mais ils se trompaient.
- C´est ici, entrez.
Antonetta et moi entrâmes dans une petite chambre, éclairée par des flambeaux.
La porte resta ouverte, ce qui faisait le le couloir était gardé par une vingtaine de brigands prêt à donner leur vie pour leur seigneur le renard gris.
Dans la chambre, six archers nous tenaient en joue, et derrière eux, un personnage singulier était assis, il portait une tenue de cuir semblable aux autres voleurs, mais il portait un masque imposant gris qui ne laissait que dépasser
que légèrement sa bouche et ses yeux. Il dégageait une assurance et un charisme assez terrible.
- Ah, vous voila enfin, assassins, avancez, et ne faites rien que vous pourriez regretter.
J´avancai tranquillement, et tandis que je me preparai à exploiter au maximum tous mes réflexes, le cours du temps sembla se ralentir.
Sans m´arreter de marcher, je jetai ma cape de voyage noir en l´air juste devant moi, ce qui empecha les archer de moi voir, et révéla mon armure de la confrérie noire, la seule que je repectais.
je plongeai mes mains vers mon dos, et pris trois couteaux de lancer dans chacune de mes mains, avant de les lancer aux travers de ma cape à six endroits différents, les archers recurent mes armes dans la gorge et furent propulsés contre le mur.
Voyant que la situation dégénérait, les gardes hors de la pièce voulurent entrer, mais Antonetta envoya d´un geste une dizaine d´aiguilles contenant du poison du sourire, ce qui fit reculer les brigands, et permi à Antonetta de bloquer la porte à l´aide du sort.
- Finissez le vite, mon frère chéri, je ne tiendrais pas longtemps!
D´un geste de mon bras droit, je repris ma cape, et dans mon élan, attrapai mon avant dernier couteau de lancer, que j´envoyai vers le renard. Le temps sembla s´arreter alors qu´il tournoyait en direction du crâne du renard, tranchant l´air en sifflant.
- Belle tentative, excepté que je ne suis pas une cible si facile.
Il se leva à une telle vitesse que je ne le distinguais plus, et mon couteau s´enfonca dans le siège du chef de la guilde des voleurs.
Il réaparu devant moi et me donna un coup dans le torse avec la paume de sa main, ce qui m´envoya contre Antonetta qui bloquait la porte, elle fut déconcentrée, et son verrou magique lacha, tandis que tous les voleurs restés dehors entraient et se mettaient autour de nous.
Ma soeur et moi même étions dos à dos, et nous n´aurions pas pu gagner un tel combat.
- Mon frère chéri, la situation me préhocupe.
Le renard gris lui même, qui s´était rassis et nous regardait impuissants et cernés par ses hommes.
Sa vitesse était surhumaine, et son agilité aussi, peut etre était ce un des pouvoirs de ce casque ayant appartenu à Nocturne qu´il avait volé lui même trois siècles auparavant?
- Nous vous avons enfin capturés, misérables assassins, je suis arrivé à temps a Skingrad pour prévenir mes compagnons voleurs de la menace que vous représentiez... Cette fausse prière à Sithis a très bien fonctionnée, de même que le sacrifice de parents et de grands parents qui n´étaient plus les miens depuis voila dix ans.
Je compris subitement le fin mot de l´histoire. Cet homme, le renard gris ETAIT le conte d´Anvil disparu, le renard gris n´était pas qu´une seule et meme créature invincible, plusieurs mortels se transmettaient ce masque depuis bientot trois siècles. Une malédiction devait interdire à celui portant le masque de l´enlever, l´obligeant à endosser le rôle du roi des voleurs.
- J´ai à présent la preuve que vous existez bel et bien, je n´ai pas la prétention d´arriver à vous convaincre de me donner des informations sur votre groupe, mais...
Il se déplaca si rapidement qu´il me fut impossible de le voir, et lorsqu´il réaparu sur sa chaise, il tenait la tenue de la confrérie noire qui était dans le sac d´Antonetta.
- Ceci m´en dira bien plus qu´assez, quels secrets se cachent dans les fibres de ce tissu? Bon, nous ne sommes pas comme vous, ne n´avons pas le droit de vous torturer ou de vous tuer, le règlement l´interdit... Mais mes hommes sont un peu fatigués et ont très envie de s´amuser un peu avec deux jeunes adolescents friguants comme vous.
Les bandits en cercle autour de nos, des hommes barbus et sales, s´avancaient vers Antonetta en tendant les bras en pincant l´air en riant.
- Viens la, ma mignonne, viens jouer avec oncle Kork, qui n´a pas eu de charmante compagnie depuis six ans!
A une vitesse démentielle, Antonetta dégaina sa lame, trancha les deux mains du bandit, et rangaina.
Kork se mit à crier quand il réalisa que ses mains avait été coupées, il regarda affolé autour de lui, puis s´écroula, vidé de son sang.
- Très bien, assez joué, tuez les les deux, je ne veux plus les voir.
Tous les bandits sortirent leur armes, des masses, des haches, des massues, des arcs, des dagues... Je pouvais affirmer sans mal que notre dernière heure était arrivée.
- Cher frère, je ne suis pas très optimiste concernant notre situation, une idée brillante?
Je vis la tenue que tenai le renard gris s´embraser d´un seul coup, et provoquer une violente explosion de lumière.
je répondai à ma soeur qu´effectivement, maintenant j´avais une idée.
Je sortai mon ultime couteau, et le lancai en direction du coeur du renard gris, malgré le fait qu´il soit aveuglé, il bondit sur le coté, amis le recu quand même dans l´épaule.
- Tuez les, tuez les! Ils sont juste entre vous, tuez les!
Je dis au renard gris que ce n´était que partie remise, et qu´un jour, quelqu´un prendrait sa place.
Je pris aussi vite que possible la flèche de combustion qui se trouvait dans mon pantalon, et la jetai au sol. Le bois du plancher se mit à se disloquer rapidement.
Antonetta fit un signe de baiser au renard, alors que nous tombions à l´étage inférieur.
En courrant vers la sortie, je renversai un flambeau, et l´auberge commenca à brûler, cela neutraliserait un moment nous poursuivants.
Après avoir courru sans s´arreter pendant vingt minutes, ma soeur et moi meme nous arretâmes pour nous asseoir dans l´herbe.
- Nous l´avions juste devant nous, ca m´énerve, ca m´énerve! Quel dommage!
Je répondis à Antonetta que ce n´était pas si grave, car le règlement du sanctuaire et de la main noire interdisait de faire du mal au commanditaire d´un contrat, excepté si il manifestait clairement le désir de l´annuler.
Antonetta éclata subitement de rire nerveusement, puis s´allongea dans l´herbe en soupirant.
- Alors le renard nous a battu sur toute la ligne, pas vrai?
Je lui dis que j´enverrais dès le lendemain une lettre signalant un incendie criminel de la guilde des voleurs dans l´auberge de la lune rouge, et que cela entamerait passablement la réputation de son chef.
- Il y a quand meme une chose que je voudrais faire avant de rentrer au sanctuaire, si ca ne vous dérange pas trop, mon frère chéri.
La porte du sous sol de la maison de Skingrad grinca de manière lugubre, et le gros receleur nordique eu la meme expression que si il avait vu des fatômes.
- VOUS! Mais comment est ce... Non, attendez, laissez moi expliquer, le renard gris, il m´a obligé! Je n´avais rien contre vous, juré! Parole d´honneur, ne me faites pas de mal, pitié, j´ai horreur de la douleur, je vous donnerais tout ce que vous voudrez, je...
Plus il continuait, plus Antonetta et moi avions envie de le faire souffrir.
Les messieurs de la guilde des voleurs allaient devoir quitter ce local, ou penser à faire un sacré nettoyage.
enfin la suite, j´attendais ca avant d´aller me coucher!
très bonne conclusion pour ce contrat, et toute la scène de combat avec le renard gris est bien mise en scène, surtout le coup de la cape noire XD
comme quoi assassin "sanguinaire et psychotique", ca a quand meme des règlements à respecter lol
la seule remarque que j´ai a faire et qu´il faut avoir terminé la guilde des voleurs pour comprendre la trame scénaristique, c´est pas le cas de tlm.
malheuresement je nai pas fini la guilde des voleurs. bloque à la flèche d´extratction avec une maladie(ma magie ne se régénère pas) pis pu beaucoup de vie.
mais ce contrat reste excellent!
vivement un autre contrat!
excellent, superbe la fin "Les messieurs de la guilde des voleurs allaient devoir quitter ce local, ou penser à faire un sacré nettoyage."
c´est vraiment bien cette insinuation de violence extreme! continu, je suis de tout coeur avec toi!!!
Trop bien le combat contre le renard gris
L´assassin est sanguinaire
geniallissime !! !
j´adore vivement la suite !!
classe si ca serai moins long
non justement cest beaucoup ,mieux que les nombreuses fic aux chapitres trop courts, ici on peut vraimentr se plonger dans lhistoire
Tous les chapitres en rapport avec le contrat d´élimination du renard gris sont superbes. J´ai encore pris un grand plaisir à les lire même s´il est vrai qu´il faut avoir fini la guilde des voleurs pour comprendre la fin mais moi je l´ai fini donc aucun problème.
Vivement la suite et un grand