quand je dis que je ne m´y attendais pas, je ne voulez pas dire que c´était mauvais...
Ben... j´ai pas dis ça...
22 commentaires ?? !
Si ça c´est pas un début détonnant !
Que cela te motive pour la suite Miss !
Merci beaucoup Setsu Je ferai de mon mieux !
"Tout se passe très vite dans ce chapitre": c´est vrai que souvent je dis ça comment une critique mais là pas !
Je voulais dire qu´à peine on avait commencé à lire qu´on ne pouvait plus s´arrêter jusqu´à ce qu´on arrive à la fin du chapitre
Aaah ^^ Lol ça me fait plaisir -^^- merci
Et... voilà la suite, tiens !
Chapitre 2 : Léon S. Kennedy
- Oh là là… il va se faire tuer !
Talim ne perdit plus une seconde et descendit à toute vitesse porter secours à l’homme coincé dans la maison. A peine elle s’approcha qu’elle fut accueillie par un joyeux vrombissement de tronçonneuse qui n’attendait que des cervicales à briser.
- Oh oh…
Léon, tout en sentant la nausée monter en lui, monta à l’étage.
- Mon Dieu, ça pue !
"Ca pue" était la meilleure expression qu’on pouvait donner pour qualifier l’endroit. En effet, un liquide nauséabond qui de toute évidence avait été autrefois de la soupe dégoulinait sur la table. Des insectes traînaient autour et s’en délectaient. Léon passa rapidement sur cet écœurant spectacle et inspecta l’étage qui était plutôt une unique chambre, et vit que le lit était maculé de taches qui ressemblaient à du sang humain. A côté trônait le portrait d’un homme d’âge mûr, la mine sinistre. Une poupée en porcelaine brisée en mille morceaux traînait dans un coin poussiéreux. Puis le regard de l’homme se tourna vers le mur, près d’une étagère, où était exposé un fusil à pompe.
- Je crois que ça va me servir, dit Léon, avec l’ombre d’un sourire, en fixant son propre petit pistolet.
Il s’empara du fusil quand soudain une villageoise apparut à la fenêtre.
Léon ne prit pas des gants et lui explosa la tête grâce à son nouvel allié, puis poussa l’échelle d’un coup de pied, ce qui eu pour effet de faire écraser tous les villageois au sol. Soudain, il entendit la porte céder. Les chasseurs avaient pénétré dans la maison.
- Qu’est-ce que je faaaaaiiiiis ?! hurla Talim sur un ton larmoyant.
Elle était toujours dans la course. Un homme bien enveloppé lui courait après, une grosse tronçonneuse à la main. Talim n’en avait jamais vu, mais elle savait que si elle rentrait en contact avec cet objet, ce ne serait pas triste…
- Bon, je n’ai plus le choix … calme- toi, Talim…
Elle sortit ses lames de coude et prit sa position de combat. Le villageois en face d’elle était grotesque, malgré sa compétence au maniement de la tronçonneuse. Il portait sur sa tête un gros sac où étaient perforés deux petits trous pour laisser passer son regard.
- Te voy a romper en pedazos ! s’écria t-il avec un petit rire sadique.
- Euh…
Sans réfléchir, Talim fonça, sur l’offensive. Elle lui planta une des lames dans le bras droit, ce qui lui fit lâcher son arme de dément. Mais il était toujours debout et asséna un coup de poing dans le ventre de la jeune fille, qui fut projeté vers la tour. L’homme alla récupérer son bien le plus précieux et passa à l’attaque. Talim sentit le bruit de mauvais présage se rapprocher de plus en plus rapidement.
Armée de son unique tonfa, elle se leva et se précipita vers lui. Elle fit une magistrale roue et en profita pour lui planter son dernier tonfa en plein ventre. Il s’écroula sur le sol en criant de douleur. Elle s’approcha et retira ses deux armes du ventre et du bras du corps, dans un écœurant bruit de succion. La tronçonneuse marchait toujours. Talim préféra ne pas s’en approcher. Tout à coup, il se releva et se prépara à foncer sur elle, de nouveau. Elle recula d’un pas.
Soudain, la cloche d’une église sonna. Talim se retourna et l’aperçut, au loin.
- Vamanos…
- Tenemos que irnos…
- Lord Saddler…
Talim dévisagea les villageois, qui se comportaient comme des zombies. Le gros villageois, ignorant ses blessures, se mit à avancer vers une maison légèrement différente des autres. Les villageois l’imitèrent. Ils lâchèrent leurs pioches, fourches, couteaux et tronçonneuses et se dirigèrent d’un pas lent vers la porte de cette demeure peu banale. Un symbole de couleur rouge était gravé sur la porte de pierre. Talim s’écarta pour laisser passer les habitants. Ils ne faisaient plus du tout attention à elle.
Elle essaya de l’ouvrir, mais elle était verrouillée. Alors qu’elle remarqua un nouveau chemin, une voix presque amusée se fit entendre derrière elle.
- Où ils vont tous ? Y a une fête ?
Elle se retourna et observa l’homme avec intérêt. Il portait une veste de cuir, et des tas de ceintures. Un pantalon bleu, des chaussures étranges… Talim n’avait jamais vu de pareils vêtements. Un petit fourreau ornait son épaule gauche, à demi caché par sa veste.
Il contempla le bûcher.
- Qu’est-ce que… si seulement il était venu avec moi… murmura-t-il pour lui-même.
- Qui es-tu ? interrogea Talim, le coupant net.
- Qu’est-ce que fait une enfant comme toi dans ce village ? Tu n’es pas avec eux, hein ? répliqua-t-il en se retournant brusquement, l’air méfiant.
- N… non, pas du tout. Je m’étais endormie, et voila que je me retrouve dans ce village hostile ! Je suis en train de rêver, ou quoi ?
- Ca, je ne peux pas le savoir pour toi, petite, répondit-il posément.
- Qui es-tu ? répéta Talim. Et qu’est-ce que tu fais ici ?
- Mon nom est Léon Kennedy, je travaille pour le gouvernement américain, en tant qu’agent des services secrets. J’ai pour mission de sauver la fille du président des Etats-Unis qui a été enlevée, juste avant que je prenne mes fonctions. On dit qu’elle a été aperçue dans ce village pour la dernière fois…
- Hein ? Agent de services secrets ? Gouvernement américain, Etats-Unis ? Mais qu’est-ce que c’est ? questionna Talim, déconcertée.
- Mais qui es-tu pour ne pas savoir ça ? Tu viens d’une autre époque ou quoi ? s’exclama Léon.
Même si la jeune prêtresse ne pouvait admettre qu’elle avait changé d’époque, une petite voix dans sa tête lui affirmait que ce Léon ne croyait pas si bien dire.
- Mais… en quelle année sommes-nous ? demanda Talim, de plus en plus perplexe.
- En 2004, bien sûr ! s’écria Léon en haussant les épaules, comme si c’était l’évidence même.
- EN QUOI ?!
Talim n’en croyait pas ses oreilles. En 2004 ? Mais… elle n’avait tout de même pas sauté cinq siècles, c’était impossible… elle devait rêver. Oui, elle devait forcément rêver.
- Je n’y crois pas…
Sa bouche s’était mise à trembler.
- Raconte, dit tranquillement Léon.
Talim hésita une fraction de seconde.
- Je… je m’appelle Talim, j’ai quinze ans et je viens du Village de la Déité du Vent, en Asie. Je ne sais pas ce qui s’est passé… je crois que je ne suis plus à la même époque… je viens du 16ème siècle, pas du 21ème !
- Tu viens du 16ème siècle ? La vache, on se croirait dans un film ou un jeu vidéo ! s’exclama Léon, un sourire amusé aux lèvres.
- Un jeu vidéo ? C’est quoi ?
- Laisse tomber… bon, moi je dois aller sauver Ashley, la fille du président… et si tu m’accompagnais ? proposa l’agent, enthousiaste à l’idée qu’il y ait au moins une personne non hostile dans ce village.
- Euh… d’accord… j’accepte, répondit Talim avec lenteur. Mais comment je vais rentrer chez moi ?
- On verra ça plus tard… pour l’instant, allons-y !
"J’espère que je ne serais pas obligée de sortir mes tonfas", pensa Talim, légèrement inquiète.
hi hi bon chapitre fidele au 4 contre le gros truc dans l eau j imagine mal comment elle va s en tirer mais y a deja les tronconneuse si tot?moi en normal je crois pas...contre les types de l ile ca va etre chaud aussi (l ile apres avoir battu le naintu voi?)
sinon j adore ton idee meme si j aurais preferer que ce sois siegfried a la place de talim ...
bon courage pour la suite
très bon chapitre en particulier le dialogue Léon/Talim...
le gros délire anachronique , j´adore
Chaos TU rentres dans la maison à la porte ouvrir et Salvador va se pointer donc tout est normal ^^
Et désolée, Talimu étant mon personnage préféré, je ne pouvais pas la laisser de côté comme ça ! ^^´
Merci Baldur et Sigurd -^^-
c´est aussi une info de TRES grande importance
Le plus simple c´est quand même de ne pas rentrer dans la maison, comme ça pas de Salvador... Il faut rester là où Léon regarde avec ses jumelles (Même plus loin...) et attendre les ganados qui se pointent...
Tu*, porte ouverte*
Soul_infini
Il est chouette ce chapitre !
Pour ce qui est de l´action, tu as parfaitement réussi ton mix RE/SC
J´attend le prochain chapitre on me disant que tu auras fait pareil avec le scénario
Holà , que pasa ?? ?
Una historia con mi ?? ?
" Talim n’avait décidément pas la même notion du mot "attention" que l’homme aux beaux yeux bleu-de-rêve. "
No hay duda esta bien mi ( )
Con la gracia de dios habes una mano de escritora !! ! Es agradable leer ti.
Sigues trabjando soy ahi por leeer
Traduction please
" Talim n’avait décidément pas la même notion du mot "attention" que l’homme aux beaux yeux bleu-de-rêve. "
Arf faut pas faire attention à cette phrase, là j´étais dans mon extase ^^
hi hi c est tres bien et fidele tous ca
Ta fic est superbe, continues
j´adore le "Talimu"
il me semble que tu as oublié quelques virgules mais rien de bien grave...
sinon très bon chapitre et très bien écrit...
" Talim n’avait décidément pas la même notion du mot "attention" que l’homme aux beaux yeux bleu-de-rêve. "
Pourquoi tu m´as mise dans l´histoire
( traduction de ce j´ai écrit en gros )