Au fait, Mibu, si tu reprends un peu l´histoire de Zvan apres ton fameux flashback, ca serait sympa de faire en sorte de ma Aynea se soit enfuie ^^´
Aussi, je tiens a rectifier, ou plutot a m´expliquer, quand j´avais dit que Zvan avait asséné un coup fatal aux jambes d´Aynea, il lui a pas tranché les jambes non plus, elle peut toujours s´en servir apres avoir soigné les blessures...
Parce que sinon moi j´suis un peu mal pour faire une suite :x
Ah ok j´avais pas compris que c´était ton perso ^^
Pas de pb, j´avais justement prévu qu´elle s´en sorte. De toutes façons, il les tue jamais, donc tu risquais rien. Bon alors étant donné que c´est ton perso je vais faire un petit effort pour pas la rendre ridicule
Bon j´ai commencé mon nouveau chapitre, que je finirai probablement ce soir. lopaze, comme t´es le seul à avoir déjà introduit ton perso, il sera le premier à rencontrer le mien ^^
En tout cas les choses sérieuses vont commencer, ça va péter! Yeaah! ^^
tu veut des présition sur mon perso? mibu
Ouais ça m´arrangerait bien si t´es toujours là.
Je vous préviens ce chapitre sera long. Et violent, mais bon je pense que ça ira pour la plupart des personnes de ce topic. Très violent même
oki tu veut savoir koi
caractère : moqueur, tourmenté par son coté demon (le bras), il est plutôt bon mais peu cedé a des pulsions mauvaise a cause de son bras, sinon il aime pas perdre son temps
style de combats : il en a 2, avec son epée, il la manie que de la main gauche,il est bourin et dans un combat il essayera de retourné la force de son adversaire contre lui,
style a main nu (quand son bras demoniaque prend le controle) il est bourin, il se bat un peu comme une bete, un animal (il mort, il griffe...)
bah surtout son caractère etc
grouille-toi j´ai presque fini mon passage avec lui ^^
ok merci heureusement que tu le dis j´ai failli mettre des conneries.
Bon ce chapitre sera très long, je vais donc le découper en plusieurs parties pour qu´il soit plus facile à lire. Voilà la première.
Malgré moi, les évènements refluent dans mon esprit, comme à chaque fois qu’une femme montre une telle ressemblance avec Eindra…
Le jour de notre mort à tous les deux, je m’étais juré de réduire à néant ce monde hostile à mon être. Ma première victime devait être Nightmare. Je mis mon bras droit en écharpe, cachais mon visage ravagé par le tranchant de la lame maléfique derrière un morceau de tissu, et me dirigeai vers la ville la plus proche.
Le glaive d’Eindra, dernière relique de mon ancienne vie, pendait à mon flanc droit. En m’approchant de l’agglomération, je sus à l’expression des gardes qu’entrer ne me serait pas aisé. Après tout, je m’en doutais. Peu importait, j’entrerais, par la violence s’il le fallait. Tant que je ne les tuais pas, je ne serais pas parjure à la promesse que je m’étais faite : tuer Nightmare en premier.
« J’peux savoir ce que tu viens faire en ville mon gars ? »
Le garde qui avait parlé était de taille moyenne, brun, et portait un uniforme de garde. Un pauvre type banal qui se croyait supérieur à moi du fait de sa position, avec, pour ne pas arranger son cas, un air bovin et un parler de roturier. J’eus tout de suite envie de me servir de ma main valide pour lui encastrer sa face ridicule bien profond dans le mur. Mais je ne m’y risquerais probablement pas, pour ne pas faire de remous, mais surtout pour ne pas toucher ce qui devait lui servir de visage quand il se donnait la peine de le laver. Assez peu souvent, semblait-il.
Je décidai d’adopter un langage plus ou moins proche du sien, afin qu’il ne se vexe pas et me laisse passer sans faire d’histoires.
« Je suis en voyage et je cherche à acquérir des biens ainsi que des informations avant de continuer mon chemin. »
« Ah ouais, mais j’crois pas qu’ça va être aussi facile que ça ».
Décidemment ce type commençait à m’énerver. Depuis que mon bras gauche avait été contaminé, j’avais noté avoir tendance à m’énerver de plus en plus facilement.
« Et je peux savoir pourquoi ? »
« Bah d’jà, on aime pas trop laisser les types comme toi. Tu m’as l’air de parler un peu trop bien pour être honnête, surtout quand j’vois ta gueule. »
Comment osait-il dire ça ? Alors que je tentais de mon mieux de m’abaisser à son niveau !
Il continua à débiter ses débilités, alors que je considérais de plus en plus l’option de la tête dans le mur.
« Et en plus, c’est quoi c’t’épée ? T’l’as chourée ? Fais voir un peu… »
S’il osait toucher à cette épée…
Mon bras droit commençait à répandre de sourdes pulsations à travers mon corps…
Tue !
D’où venait cette voix ?
Le garde esquissa un geste en direction de la garde de mon glaive. C’en était trop !
Tue ! Tue ! Tue !
Un sourire sadique se dessina sur mon visage, j’étais près à me replerre de son sang. Le tuer serait un plaisir. Non, une jouissance. Une joie indicible monta en moi.
« Tu est mort, minable ! »
Comme doté d’une vie propre, mon bras partit en direction de ce porc. Avant que ma main atteigne son visage et que son crâne ne s’éclate avec un bruit spongieux contre le mur d’enceinte, je pus me délecter de l’expression de terreur ultime mêlée d’incompréhension s’étant dépeinte sur ses traits lors de ses derniers instants de vie. La boîte crânienne complètement défoncée, des gerbes de sang mêlées à des bouts de cerveau explosé giclèrent un peu partout, pour mon plus grand plaisir. Il n’avait pas eu le temps de pousser un seul cri, mais il était bien conscient que son heure était arrivée. J’abandonnai son corps aux convulsions nerveuses et me détournai de son masque mortuaire effrayé sur lequel on pouvait voir l’empreinte de mes doigts, pour me tourner vers son coéquipier terrorisé. Celui-ci était tétanisé. Dans ses yeux je vis la frayeur incontrôlable proche de la folie de celui promis à une mort atroce. Il n’eut pas besoin de voir mon sourire s’agrandir pour comprendre que je passais l’un des meilleurs moments de ma vie. La jouissance d’être le prédateur, l’arbitre de la vie des faibles. Dieu.
Je vis une flaque se former à ses pieds, effet de la terreur que je lui inspirais. Tout d’un coup, mon plaisir baissa en flèche sous le force du dégoût qu’il m’inspirait. L’homme dû s’en apercevoir, car il trouva finalement le courage de m’attaquer d’estoc, son épée de seconde classe secouée par ses tremblements. Déçu, dégoûté, je ne fis rien pour l’esquiver et laissai l’épée s’enfoncer jusqu’à la garde dans mon ventre, sous le regard à la fois grandement soulagé et étonné du roturier. Il avait sauvé sa vie. Du moins, c’est ce qu’il pensait. Je n’étais plus d’humeur à rire, par sa faute. Ce rabat-joie m’avait gâché mon massacre. Des pleurs de soulagement coulaient sur ses joues, et un sourire d’espoir se dessinait sur ses lèvres. Mais ses larmes devinrent des larmes de détresse, et il cessa de sourire pour ouvrir la bouche de façon hébétée, comme pour formuler une requête muette, lorsque je me saisis de son bras au poignet, et l’écrasai entre mes mains. Les os étaient brisés et certains avaient même percé la peau, mais lorsque j’appliquai une torsion vers le bas, tout son corps suivit, sous peine d’arracher complètement sa main. Je profitais du fait qu’il soit à genoux pour lever mon pied et lui écraser l’épaule gauche jusqu’à ce qu’il touche terre et lui fis passer le bras derrière le dos en une torsion improbable jusqu’à ce que celle-ci se déboîte. Commençant à être ennuyé de ce type qui n’avait pas même su préserver sa dignité lors de ses derniers instants de vie, je décidai de l’achever rapidement. Je relevai encore une fois la jambe et lui écrasai la colonne vertébrale de mon talon, puis le laissai agoniser pour enfin me rendre en ville. Ce type n’était certainement pas digne de périr par la lame de celle que j’avais aimé. J’enlevai son épée encore fichée en moi et me détournai de lui.
Bon, vous me pardonnerez les quelques fautes qu´il doit y avoir dans le texte, mais il est tard et j´ai pas envie de relire. voilà, la suite tout à l´heure, quand il y aura plus personne sur le forum
je suis la moi et le chap est vraimment
hé hé merci lopaze ^^
Bon je finis pas je suis trop fatigué pour me mettre dans l´esprit. Voilà la partie où j´introduis ton perso, j´espère que j´ai été assez fidèle. Oublie pas que Zvan est un enfoiré, donc c normal s´il le traite (de toutes façons Nero aussi fait son malin lol).
Bon voilà, en espérant que ça vous plaira voilà la première partie de la deuxième partie du chapitre 5
( si si c´est bien ça ^^)
Soudain, la lucidité me revint. Mais qu’avais-je fait ? J’étais devenu parjure, tout ça parce que je n’avais pas été capable de résister à la malédiction de mon bras droit. Je tombai à genoux, le poids de mon crime pesant entier sur mes épaules. Entre-temps, les badauds s’étaient ameutés, regardant avec peur le monstre que j’étais devenu.
Je m’enfuis à toutes jambes, comme pour échapper à mes crimes.
Mais à peine eu-je fait quelques mètres qu’un homme me barrait la route. Il était grand, brun, les cheveux en bataille, et ses yeux d’un vert profond me scrutaient comme s’il tentait de définir mon existence même.
Mais le plus étonnant était son bras droit, rouge sombre, recouvert d’une sorte de tatouage tribal jaune, et se finissant par une griffe.
« C’est toi qui as fait ça ? »
« Non, je… »
Je ne savais pas quoi lui dire. J’étais confus, perdu, et mon esprit était trop embrouillé pour me permettre de formuler une réponse cohérente. Mais lui, de toute évidence, savait ce qu’il devait faire.
« Lamentation, danse pour moi ! »
J’eus à peine le temps de parer le coup avec mon glaive, mais ne pus éviter le suivant, trop rapide. L’écharpe couvrant mon visage se déchira, laissant entrevoir mon visage mutilé.
Les coups s’enchaînèrent à une vitesse surhumaine, et du fait de ma condition mentale je fus vite en position de désavantage. Alors que l’homme, après une tentative d’attaque molle de ma part, eut dévié mon coup et s’apprêtait à me délivrer un coup fatal, la voix se fit réentendre.
-Tue-le !
-Non, je suis le responsable, je dois payer pour ce que j’ai fait. Je mérite de mourir…
-De mourir ? Mais qui t’as donné le droit de mourir ? Tu dois vivre. Je te l’ordonne ! Veux-tu vraiment devenir -parjure à tes deux promesses ? Maintenant, bats-toi, et vis, espèce de minable !
C’était vrai ! Eindra ! Et ma promesse… Il avait raison. Je n’avais pas le droit de mourir. Cela ne m’avait pas été accordé. Alors cet enfoiré allait mourir… Maintenant !!
Mon adversaire fut surpris par l’esquive que je fis et fut déséquilibré un instant par le coup d’estoc qu’il avait lancé trop fort, sûr de toucher sa cible. J’en profitai pour lancer un coup de taille, mais il esquiva également.
Il comprit tout de suite à mon regard que j’étais redevenu sérieux. Devenue gênante, j’enlevai complètement l’écharpe me couvrant le visage.
« Hé mais dis-moi, ça m’étonne pas que tu essaie de cacher ton visage, vu la sale tronche que tu te paies ! »
« T’es un petit marrant toi… On va voir si tu vas encore faire ton malin une fois que je t’aurai embroché. »
« M’embrocher, moi ? Et tu comptes faire ça tout seul ? Après tout, l’espoir fait vivre. Allez, ramène-toi, sale tronche. »
« Tu vas mourir, larve ! »
Je fonçai sur lui de toute ma force, mais il dévia une fois de plus mon coup et profita du mouvement circulaire de son esquive pour me décocher un coup de pied en pleine tempe. Enervé, je lui envoyai en coup de coude dans les côtes, le faisant ainsi reculer de plusieurs pas.
« Pas mal, pour une larve. »
« Désolé, mais je suis pas sûr de pouvoir en dire autant de toi, sale tronche. »
L’échange reprit, et le combat gagnait en intensité, mais aucun de nous deux n’arrivait à prendre l’avantage.
Malgré le fait que nous nous battions tous deux de manière très agressive, j’avais pour moi la force brute, et lui savait me renvoyer mes coups lorsque l’opportunité se présentait. Il commençait réellement à m’énerver. Les pulsions sourdes émanant de mon bras recommencèrent à se faire sentir, avides de sang. Pressé d’en finir, je les écoutai, me laissai porter par leur musique meurtrière. Une mélodie sanglante, voilà ce à quoi ressemblerait l’appel de ma malédiction. L’entendre permet de se baigner dans un torrent de sang tout en ressentant sa parfaite harmonie, et j’orchestre les massacres qu’elle me fait perpétuer. Dans ma plénitude seul m’importe de répondre à l’appel du sang. Ce jour-là, j’y ai prêté pour la première fois l’oreille, me permettant ainsi de faire prendre leur forme réelle à mes pulsions sanguinaires.
Mon adversaire comprit que quelque chose se déroulait en moi, et décida de m’attaquer avant que j’aie pu finir quoi que je fasse. Mais c’était déjà trop tard. Le morceau de tissu retenant mon bras droit disparut dans les flammes, tandis que celui-ci reprenait la forme qu’il avait avant de cicatriser : un amas de chair sanglante et calcinée. Voilà donc ce qu’il faudrait pour déclencher mon pouvoir. Revivre la douleur du jour de ma mort. De ma naissance. Les plaies de mon corps se rouvrirent également, et du sang commença à en sortir.
Mais peu m’importait. Mon attention était concentrée sur mon bras gauche, car le droit ne me servirait plus jamais à rien : il était simplement là pour me rappeler que ma nouvelle vie ne devait être que douleur.
Dans les flammes j’ai débuté ma nouvelle vie. Dans les flammes ma nouvelle arme est née : « Empathic Immolation ». Plus aucun doute ne m’assaillait, je savais désormais quelle voie emprunter.
Quand mon adversaire arriva sur moi, mon arme s’était déjà matérialisée. Pourvu de meilleurs réflexes qu’auparavant, j’esquivai sans problème son attaque précipitée et lui assenai un coup dans le dos.
Empathic Immolation était la fusion de l’épée de Eindra et de mon âme pervertie. Ce n’était pas même à proprement parler une épée : au lieu de la lame se trouvait un amas de plaques acérées partant de la pointe vers la garde, causant à mes ennemis des souffrances insupportables, comme si des centaines de griffes d’un monstrueux animal labouraient leur chair.
La « lame » vermeil ayant atteint l’homme, il n’aurait pas dû être capable de s’en remettre. Mais, dégoulinant de sang, je le vis lentement se remettre sur ses pieds. Cependant, au regard amusé et sûr de lui que j’avais vu tout à l’heure s’était substitué un regard féroce, animal. Je ne me battais plus contre un homme, mais contre une bête. Soit, un mort contre un possédé, parfait ! Rien de mieux qu’un adversaire à la hauteur pour étancher ma soif de sang renouvelée.
« Alors, le petit vantard s’est transformé en clébard ? Ha, j’espère que tu seras au moins un peu moins pitoyable que tout à l’heure ! »
Voilà, je te rassure lopaze, je vais pas faire crever ton perso
PS: motoko, ton perso intervient dans la partie 3, à la fin du "flash back"
mon perso a sa main(et son bras) droite rouge sombre, couvert de marques tribales jaunes flamme, et il a a sa main cinq doigts griffus PAS UNE GRIFFE , seule erreur que j´ai relevé
un peu comme ça
http://www.playfrance.com/image0775-ps3-devil-may-cry-4.html
sinon ce chap est
mais l´erreur que tu a fait sur le bras de mon perso
Ah oui mince dsl. Je ferai attention pour le prochain chapitre.
Les deux morceaux sont geniaux (enfin, personnellement, je prefere plutot le premier, parce que j´adore les descriptions gore que tu fais ), tres bien ecrits. Felicitations.
j ai lus le derneir chap il est genial mais ayant pas lus les precedent je comprend pas tout