Pour la énime fois Il y a 6 et non 7 horcruxes.
yonex --> Je sais, j´ai dis que voldemort est le 7eme
Non voldemort n´est pas un horcruxe il possède bien un 1/7 d´âme mais ce n´est pas un horcruxe parce que il n´est pas une âme en dehors de son envelope charnelle.
Puisque c´est le 1/7, il en reste 6:
Voldemort a divisé son ame en 7, et comme son corps possède la 7eme partie, il y en a 6 autres, compris?
C´est toi qui n´a pas compri il a 6 horcruxes mais 7 morceau d´âme
Attend..
On va quand même pas se battre pour ça?
meuh non :lol
mon cent-unième message
il y a 7 horcruxes puisque voldemort le demande si il est possible de diviser son ame en 7 parties.sachant que le chiffre 7 est le chiffre le plus puissant dans la magie.(d´apres voldemort et dumbledore)voir le chapitre des horcruxes dans le livre.
Premièrement c PAS LA THÉORIE D´OLIVIER DUBOIS, JE L´AVAIS DÉJA LU MOI AUSSI EN ANGLAIS MAIS MOI JME VANTE PO.
Deuxièment Harry peut tuer Voldemort pour après cela se tuer
Je ne pense pas que Harry soit un Horcruxe car si l´un ne peut pas vivre tandis que l´autre vit, que l´un ne peut être tué que par la main de l´autre (en dehors d´une mort naturelle bien sûr) et que si 1/7 de l´âme de Voldemort irait dans le corps de Harry (qui possède toute son âme entière) Harry garderait le contrôle de lui-même et Voldemort serait prisonnier du corps de Harry mais toujours pas mort Il pourrait peut-être être encore en vie lors de la mort naturelle de Harry. (car c´est la personne qui a le plus combattu pour être immortel : il peut donc pouvoir vivre plus longtemps que les autres humains)
Puisque Harry sera mort et que Voldemort sera toujours vivant, la prophécie sera donc accomplie. A ce moment là quelques mangemort qui lui seront fidèles jusqu´au bout pourront essayer de le faire revivre avec une sorte de magie comme dans la coupe de feu.
Peut-être que j´ai raison peut-être pas
Dans tout les cas, nous verront à la sortie du dernier tome.
J´espère que j´aurai raison.
Si vous avez tout conpris bravo ! sinon tans pis
Hs:Pourquoi le moderateur a-t-il supprimer la "meilleur" fic du forum??!! (pour moi),celle de volde-harry.Pour ceux qui veulent la lirent je l´avais heureusement enregistrer.
La voici:
Harry Potter et le combat final
Chapitre 1 : Départ et Mariage
Une pluie fine et pénétrante tombait sur les maisons de Privet Drive, un épais brouillard persistait depuis le début du moins de juin et une fraîcheur hors saison se répandait dans tout le pays. Les jours s’assombrissaient de plus en plus et tout le monde devenait de plus en plus irritable. Les fenêtres des maisons étaient toutes fermées, et les feux de cheminée flamboyaient essayant en vint, de réchauffer les habitants du quartier. Plus personne ne sortait de chez lui sauf pour faire des courses, des provisions, les meurtres devenaient de plus en plus nombreux et d’étranges tempêtes dévastatrices ne cessaient de passer non loin de Privet Drive. Quelqu’un avançait dans les rues bien droites de Privet Drive, un homme, une cagoule rabattue sur sa tête. Il s’arrêta un instant devant le numéro 10 de la rue… devant le numéro 8… devant le numéro 6…devant le numéro 4. Il s’arrêta un peu plus longtemps devant cette maison, mais il continua tout de même son chemin, s’arrêtant ainsi devant chaque maison. Il ne semblait pas avoir remarqué que dans la maison du numéro 4, derrière une fenêtre du deuxième étage, un jeune homme, très bientôt adulte, le regardait s’éloigner avec soulagement, une fine baguette de bois serrée dans sa main. Il décolla son nez de la fenêtre et s’assit sur son lit. Environ une fois par jour, depuis un peu plus d’une semaine, un mangemort passait dans les rues aux angles bien droits de Privet Drive et s’arrêtait ainsi devant chaque maison. Harry Potter soupira. Les Dursley étaient devenus singulièrement déplaisants depuis qu’il était rentré de Poudlard, et interdisaient catégoriquement à Harry de sortir dehors, et même de sortir de sa chambre. Ils savaient qu’il allait bientôt être majeur et semblaient vouloir lui faire le plus de mal possible avant qu’il ne puisse enfin être heureux. Du moins, ils pensaient qu’une fois adultes, Harry allait être heureux, mais c’était complètement faux. Il faut dire que Harry Potter était un sorcier, et un très puissant sorcier, il était « l’Elu », comme ils l’appelaient maintenant, il était celui qui détruirait Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom.
Harry se leva et alla voir hedwidge, sa chouette au plumage blanc. Il ouvrit sa cage, la caressa un instant, regarda par la fenêtre pour vérifier qu’il n’y avait personne, puis lui murmura :
-Hedwidge, soit très prudente d’accord ? Et essaye de revenir seulement quand tu es sur qu’il n’y a personne dans la rue, d’accord ?
Sa chouette lui mordilla affectueusement l’oreille, signe qu’elle avait comprit, et s’envola par la fenêtre ouverte. Harry la regarda s’éloigner, et descendre en douceur dans les arbres du parc, non loin de là. Harry referma sa fenêtre pour empêcher le froid glacial de rentrer. L’été se transformait en hivers. Il savait très bien ce qui provoquait ça, mais les moldus, eux, ne le savaient pas, et les plus grands météorologues du monde tentaient en vain de comprendre ce phénomène qui, peu à peu, se répandait dans le monde entier. Les détraqueurs étaient devenus très nombreux, Harry le savait, et il avait craint au début qu’ils ne viennent à Privet Drive, mais, à son grand soulagement, jusqu’à présent ça n’avait pas été le cas.
Il repensa avec amertume à la dernière véritable conversation qu’il avait eu avec sa tante et son oncle, le premier jour des vacances…
-Oncle Vernon, Tante Pétunia, il faut que je vous parle de quelque chose, avait dit Harry.
-Qu’est-ce que tu veux ? avait demandé l’oncle Vernon, avec méfiance
Harry avait alors prit son courage à deux mains et s’était lancé.
-Je voudrais vous parler de tout ce qui se passe, vous expliquer pourquoi le temps est ainsi et ce que sont tout ces meurtres et ces disparitions.
L’oncle Vernon lui avait jeté un regard perçant, et la tante Pétunia avait fait une grimace.
-Vas-y, mais fais ça vite ! s’était alors exclamé la tante Pétunia d’une voix cassante.
-Bien, alors voilà…Le brouillard est provoquer par les détraqueurs, ils se multiplies de plu en plus et comme ils sont en liberté, ils répandent le malheur et provoquent se brouillard.
-Attends un peu, tu veux dire…ces machins qui avaient attaqués Dudy il y a deux ans ? avait demandé l’oncle Vernon.
-Oui.
-Mais…je croyais qu’ils gardaient votre…votre prison de fous ?
-Oui, mais ils ont déserter Azkaban, et à présent, ils se nourrissent de tous les êtres humains, hommes, femmes, enfants, avec ou sans pouvoirs magiques, ils s’en fiche royalement.
-Humf !
-Et je vous demanderais donc d’être prudent pour ne pas leur servir de repas, parce que ce n’est pas moi qui irais attaquer cent mille détraqueurs, voir plus, pour vous sauver votre âme ! Ensuite, les meurtres et les enlèvements sont provoqués par les mangemorts, et je suppose que les vampires, les inferis, les loups-garous et toute sorte d’autre créatures sont aussi dans le coup, mais plutôt du côté des meurtres je dirais.
L’oncle Vernon avait grogné et la tante Pétunia était devenue aussi pâle qu’un fantôme. Puis, sans crier gare, l’oncle Vernon avait lancé :
-Et je suppose qu’ils te recherchent ?
-Je pense que oui. S’ils me voient, ne serais-ce que dans le jardin ils…
Mais il n’avait pas eu le temps de terminer ça phrase que l’oncle Vernon avait dit sur un ton étrangement calme et froid, qui avait fait dresser les cheveux sur la nuque de Harry :
-Monte dans ta chambre, tu n’en sortira que lorsque je te le dirais, est-ce clair ? Tu mangeras là-haut, tu e pourras sortir que pour te laver et interdiction total de sortir dehors, dans la rue, dans le jardin, que qui que ce soit te voit !
Harry la regarda dans les yeux, il tenait tellement à entrer dans son esprit, savoir si elle allait tenir sa promesse, parviendrait-elle à tenir cette promesse, faite seulement avec des mots ! Il voulait tellement entrer en elle entrer dans son esprit. Tout à coup, il se sentit bizarre, et des images d’un passé qui ne lui appartenait pas se montrèrent à lui. Elles étaient floues et indistincte, Harry comprit alors ce qu’il était en train de faire et se concentra de toutes ces forces pour sortir de l’esprit de Ginny. Quand il battit des paupières, il s’aperçut qu’il était toujours dans le salon, Ginny en face de lui. Elle était pâle comme la mort, et ses yeux étaient remplis de larmes.
Harry se précipita sur elle et la secoua un peu.
-Ginny ? Ginny, ça va ?
Elle battit des paupières et regarda Harry, le regard embué.
Soudain, elle fondit en larmes en s’accrochant de toutes ses forces au coup de Harry. Prit de cours, le jeune homme la serra contre lui, et des images lui revinrent à l’esprit, des images de ses parents, Cédric, Sirius, Dumbledor, et une larme perla alors le long de sa joue. Il serra Ginny plus fort dans ses bras et se releva, la portant presque, tandis qu’elle s’accrochait à lui comme si elle craignait de le perdre.
Alarmé par les bruits des larmes de Ginny, tout le monde s’étaient précipités dans le salon et étaient resté cloué sur place en voyant Harry et Ginny, dans les bras l’un de l’autre, Ginny pleurant toutes les larmes de son corps, et Harry, le visage plus déterminé que jamais, regarder un personnage invisible d’un œil noir.
S’apercevant que tout le monde était rentré dans la pièce. Ginny desserra un peu son étreinte et cacha son visage contre la poitrine de Harry pour qu’ils ne la voient pas. Harry lui, ne semblait pas s’être aperçut de la présence des autres. Alors, doucement, son regard toujours aussi dur, il tourna la tête vers Maugret et les autre, fixant son regard droit dans celui de m’ancien Auror, il lui dit :
-Je voudrais voir le professeur Horace Slughorn au plus vite, avant d’avoir dix-sept ans si possible.
Sa voix était rauque, et ferme, dans cette position, avec son regard dur, fermé, et glacial, son ton grave, rauque et presque menaçant, il donnait une impression de puissance, de grandeur, en se moment, personne, pas même Maugret, n’oserait contester une seule de ses paroles, et tout le monde le regardait avec effarement, et Mrs Weasley semblait au bord des larmes.
S’apercevant de l’effet qu’il produisait, pour la deuxième fois dans la soirée, il se força à radoucir ses traits et tenta de chasser la vision de Dumbledore tombant du sommet de la tour d’astronomie, et eu un léger sourire.
-Suis-je si terrifiant ? demanda t-il, sa voix redevenue à peu près normal, sourit plus largement, et regarda tout le monde tour à tour. Ne vous en faites pas, tout va bien. Maugret, pourriez vous m’organiser une rencontre avec le ministre de la magie ? je voudrais lui demander quelque chose, et je suis sur qu’il serait ravi de croire que je vais jouer les mascottes, laisser le croire ça d’ailleurs, ça sera plus sur… Si vous voulez bien, c’est évident.
-Oui, je verrais…Et tu veux voir Horace Slughorn, c’est bien ça Potter ? demanda Maugret d’un ton bourrus.
-Ouais si possible.
-Bon, je vais voir ça…
-Mais, n’y allez pas ce soir ! Attendez que la cérémonie du mariage ce soit passé ! Ce sera une journée de fête et il y aura de quoi se réjouir non ? Un mariage, c’est génial ! s’exclama Harry.
-Oui, très bien, je verrais. Molly, je dois y allez, je suis de garde ce soir, et je ne eux pas que se dégénéré de Maladognon reste pour faire mon tour de garde, complètement idiot ce gars là.
Puis, sans rajouter un mot, il sortit. Harry se sentait un peu honteux d’avoir parler ainsi à Maugret, et à présent, il ne savait plus quoi dire. Ginny reposait sur sa poitrine, la respiration encore un peu saccadée du aux larmes qu’elle continuait de verser.
-Je vais allez me coucher je crois, dit enfin Harry, alors qu’un lourd silence s’installait.
Il jeta un coup d’œil à Ron et Hermione, pour savoir s’ils venaient et Hermione dit alor d’une petite voix :
-Je vais y allez aussi, il se fait tard…
-Oui, moi aussi, dit Ron.
-Vous avez raison ! s’exclama Mrs Weasley, essayant de prendre un ton joyeux, il est très tard, et demain il faudra se lever tôt pour tout préparer, allez tout le monde au lit !
-Bien, je vais vous laisser, je reviendrais demain, dit Lupin, en s’éloignant. Bonne nuit.
-Moi aussi, bonsoir tout le monde ! dit Tonks en rattrapant Lupin, et en prenant sa main.
Ainsi, tous les inviter partirent, sauf Kingsley et un homme grand et chauve du nom de Colebrec.
Harry baissa a tête vers Ginny, toujours dans ses bras. Il n’avait pas bougé d’un pouce et avait dit à Ron et Hermione de l’attendre là-haut. Il leva une main et lui caressa doucement les cheveux. Il sentait son souffle chaud contre sa poitrine, et sa respiration, encore irrégulière, à cause des larmes silencieuses qu’elle continuait à verser. Mr et Mrs Weasley sortirent, Fred et George montèrent dans leur chambre, Fleur et Bill dans celle de Percy, et Harry se retrouva seul avec Ginny dans le salon.
Il lui caressa les cheveux avec tendresse, puis, au bout de quelques minutes, il lui murmura :
-Ginny…Ginny, qu’es-ce qu’il y a ? Qu’est-ce que tu as vu ?
Ginny continua de pleurer silencieusement contre sa poitrine et ne répondit pas. Harry sentait son tee-shirt mouillé collé a sa peau, mais il s’en fichait royalement, il s’inquiétait pour Ginny. Qu’avait-elle vu pour être ainsi bouleversée ? Lentement, il sentit la respiration de Ginny devenir régulière, puis, il sentit les bras de la jeune fille relâcher un peu leur prise. Elle s’était endormit.
Harry déposa doucement Ginny sur le canapé, puis la prit dans ses bras, un bras dans le dos de la jeune fille, l’autre sous les genoux, sa tête contre son épaule. Elle était très légère et Harry n’eut aucun mal à la portée jusque dans sa chambre, où l’attendaient ! Ron et Hermione très inquiets. Quand ils le virent entrée, Ginny dans les bras, les deux amis se décalèrent un peu pour laisser à Harry la place de passer pour poser Ginny sur son lit.
Harry ramena sa couverture sur la rouquine, puis se tourna vers Ron et Hermione.
-Vous allez bien ? leur demanda-t-il. Vous êtes tout pâle. Quoi ? finit-il par demander en voyant leurs regards inquiets braqués sur lui.
-Harry…hésita Ron. Tout à l’heure, tu…tu étais…tu avais…
-On aurait cru voir Dumbledore Harry…murmura Hermione. Et la façon dont tu as parlé à Maugrey était terrifiante ! On aurait dit que tu allais lui jeter un sort de mort par un simple regard…
-Tu étais terrifiant ! conclut Ron.
-Que voulez-vous dire ? demanda Harry, mal à l’aise.
-Harry, je ne sais pas si…si tu es vraiment près pour…commença Ron.
-Ecoutes Ron, je ne serais jamais près pour ça, mais il faudra bien que je le face un jour ! De toute façon, je ne commencerais pas tout de suite, je veux d’abord m’installer à Grodric’s Hollow, et voir la tombe de mes parents, je me donnerais le temps de réfléchir un peu, mais à partir de septembre, je pars à la recherche des Horcruxes, déclara Harry d’un ton calme, bas et ferme.
-Donc, tu es sur de ne pas revenir à Poudlard ? demanda timidement Hermione.
-Je ne sais pas, j’irai sûrement y faire un tour, pour parler un peu avec quelques professeurs, et leurs demander conseils, et de plus, j’ai quelque chose à voir là-bas.
-Et qu’est-ce que c’est ? demanda Ron.
-Je vous le dirais, mais pas maintenant…murmura Harry.
Quelque chose lui trottait dans la tête depuis son retour à Privet Drive, et il tenait à le vérifier à Poudlard. Il regarda Ron droit dans les yeux et lui sourit.
-Allez mon vieux, ne fais pas cette tête ! Tout va bien, le temps n’est pas encore aux larmes et au désespoir, mais aux rires et à la joie ! Demain, c’est le mariage de ton frère, alors souris un peu !
-Ouais…Mais, des choses se sont produites récemment, des choses qui ne me donne pas envie de sourire.
-Ron, Hermione, je sais que c’est très dure pour vous, surtout pour toi Hermione, mais j’ai vécu les même moments, et je vous assure que le meilleur moyen de passer l’éponge, est de se réjouir. Un évènement heureux va bientôt avoir lieu, profitons-en, car ensuite, je ne sais pas si on aura d’autres occasions…je ne sais même pas si on se reverra après ça…
Harry avec dit cette dernière phrase dans un murmure à peine audible, cependant Hermione l’avait entendu.
-Harry, ne dis pas ça !
-Je vais bientôt partir chercher les Horcruxes, et ensuite, je devrais tuer Voldemort, je ne sais si je…
-Non Harry, nous allons bientôt partir chercher les Horcruxes ! interrompirent Ron et Hermione d’une même voix.
-Êtes vous sur de vous ? Vous êtes prêts à perdre votre dernière année à Poudlard ?
-Harry, on te l’a déjà dit le jour du départ ! s’exclama Ron.
-Oui, et il y a longtemps qu’on a eu le choix de reculer, et de partir, à la fin de notre première année, mais nous sommes venus tout de même, et se sera pareil aujourd’hui ! dit Hermione.
-Merci, murmura Harry, ému.
Ils entendirent Mrs Weasley crier en bas des marches :
-Allez, tout le monde se couche ! Extinction des feux !
Hermione embrasa Harry sur la joue, et effleura les lèvres de Ron avant de sortir presque en courant de la pièce pour rejoindre sa chambre.
Ron devint écarlate mais un léger sourire se dessina sur son visage. Il regarda Harry qui lui sourit.
-Il faudrait peut être la réveiller pour lui dire d’allez se coucher ? dit Ron à Harry.
-Non, laisse là dormir, je vais dormir au sol.
-Non, mais…
-Ne t’en fais pas, regarde.
Harry sortit sa baguette, l’agita et un matelas fin, mais doux apparut au sol.
-Harry, tu es fou ! On a pas le droit de magie en dehors de…
-Ne t’en fais pas, le ministère n’en saura rien.
Il fit apparaître des draps et une couverture tout en expliquant à Ron que le ministère ne pouvait pas savoir qui avait jeté un sort, mais juste connaître l’acte de magie lui-même. Et donc, dans une maison de sorcier, il n’y avait aucun problème.
Ils éteignirent les lumières, et s’installèrent dans leur lit. Harry regarda Ginny dormir, dans le lit que madame Weasley lui avait préparé. Elle était si belle, si innocente…Il était terrifier à l’idée de ce qu’elle avait pu voir, car jusqu’à présent, il n’avait presque jamais vu Ginny pleuré ainsi. Il lui caressa la main, puis, ferma les yeux et tenta de dormir.
Ses rêves furent troublés par les allez et venus de ses parents, de Sirius, de Dumbledor, et de Ginny pleurant parce qu’il ne lui avait pas offert une pierre philosophale pour son anniversaire, puis, il vit Dumbledor l’accuser de ne pas faire ce qu’il lui avait demandé, puis, deux détraqueurs vinrent chassé Dumbledor et Sirius qui était venu à ses côtés à coups de plumes de phénix, puis un éclair de lumière verte l’éblouit et une douleur aigu traversa sa cicatrice. Harry se réveilla en sursaut, reposa sa tête contre l’oreiller, et se rendormit. Le lendemain matin, il n’avait aucun souvenir de ce rêve.
Quand il se réveilla, l’aube montrait le bout de son nez, Ron dormait toujours en ronflant, mais Ginny, en revanche, le regardait et lui caressait le visage. Quand il la vit. Il lui sourit. Celle-ci lui rendit son sourire, puis s’avança un peu vers lui pour l’embrasser, mais le matelas de Harry état au sol, Ginny tomba sur Harry.
Tout deux se regardèrent puis pouffèrent en silence tandis que Ginny se mettait sur le côté, à côté de Harry, ce dernier faisant de même. Ils se regardèrent un instant. Puis s’embrassèrent encore, et encore. Enfin, Harry regarda Ginny dan les yeux et lui demanda :
-Ginny, qu’as-tu vu, hier, quand tu es…entrée…dans mon esprit ?
-Je…Ginny hésita un instant, puis, murmura. J’ai vu Voldemort tuer tes parents, puis je t’ai vu subir le sortilège de doloris dans le cimetière, je t’entendais hurler de douleur…puis, plus rien.
Harry ouvrit la bouche, puis la referma. Il ne savait pas quoi dire.
Puis, finalement :
-Tu sais, tout ce que tu as vu est passé, c’est tout cela qui a fait ce que je suis devenu, et je ne crois pas qu’il soit possible de changer le passer aussi lointain mais même si je le pouvais, je ne le ferais pas, car si cela n’était pas arrivé, j ne pourrais pas vaincre Voldemort.
-Je sais Harry…Mais c’est si dur ! Pourquoi toi ? dit Ginny.
-Il faut bien que quelqu’un le fasse, et il se trouve que j’ai été choisit.
-Mais, tu…
Ginny fut interrompue par l’arriver d’un hibou qui donnait quelques coups de becs sur la minuscule fenêtre de la chambre de Ron. Harry se leva, et alla ouvrir la fenêtre, laissant entrée le hiboux, et par la même occasion, le froid hivernal qui réveilla Ron en sursaut.
-Qu’est-ce qu’il se passe ? s’exclama Ron en se redressant sur ses oreillers. Harry, qu’est-ce qu’il y a ? demanda Ron en voyant l’expression de Harry, une lettre écrit d’une écriture fine et pencher qui prenait toute une page, recto verso, à la main.
-Il…il le savait…murmura Harry en retourna la lettre pour lire l’autre face.
Plus il avançait dans sa lecture, plus Harry devenait blanc. Quand il eut finit la lettre, il la laissa tomber au sol et s’assit sur le lit de Ron.
Ce dernier ramassa la lettre et la lut en même temps que Ginny :
Cher Harry,
Si tu reçois cette lettre, c’est que je ne suis plus de ce monde, et que je ne serais plus à tes côtés pour t’aider à retrouver les horcruxes.
J’espère de tout coeur que j’aurais eut le temps de t’expliquer se qu’étais un horcruxes, en tous cas, je tenais, Harry, à te dire ce que je sais, et je vais te résumer ce que je sais des horcruxes, pour le cas où je n’ai pas eut le temps de t’expliquer.
Alors voilà, les horcruxes sont des objets, des objets qui, en général, ont une grande valeur pour celui qui les utilisera. Je dis des, Harry, car je pense que Voldemort en a créer plusieurs, et donc, qu’il est allez plus loin que le mage noir Grindelwald, que j’ai combattu bien des années plus tôt.
Donc, comme je te le disais, un horcruxes est un objets qui a une grande valeur pour la personne, et qui, dans se cas, y déverse une partie de son âme.
Il est interdit d’enseigner à qui que ce soit dans une école la manière de créer des horcruxes, mais Voldemort en a trouvé le moyen j’en suis certain. Je suis aussi certain qu’il en a créer plus d’un, et plus précisément, sept.
Je penses que les sept horcruxes sont les suivants : la bague des Gaunt, que j’ai déjà récupéré et détruite, le journal intime de Jedusor que tu as toi-même détruit, un médaillon aillant appartenu à Serpentard, une coupe aillant appartenu a Poufsouffle, un objet aillant appartenu à Poufsouffle et un a Gryffondor, et Nagini, le serpent de Voldemort. Je ne connais pas leurs emplacement, je pense savoir où trouver un des horcruxes, dans une grotte, dans une falaise, au bord de la mer, mais tu ne pourrais pas la trouver sans mon aide, et je pense que j’aurais eut le temps de m’y rendre.
Harry ; je veux que tu sace que je suis vraiment désolé de t’avoir mit se pois sur les épaules, mais tu es le seul à pouvoir vaincre Voldemort, et pour y parvenir, tu devras d’abord détruire les horcruxes.
Je te supplies de croire Harry, que si j’avais pu me charger de cela, je l’aurais fais sans hésitation, mais je sais que jamais je ne pourrais vivre assez longtemps pour les retrouver tous.
Je sais que c’est très dur pour toi, mais tu es un très grand et très puissant sorcier Harry et j’ai confiance en toi, je sais que tu y arriveras.
Harry je tenais aussi à te dire que ma confiance en Severus Rogue est grande, et jamais il ne me trahira, même après ma mort.
Les apparences sont parfois trompeuses, et il arrive que, pour survivre et pouvoir aider ceux qui en ont besoins, il faille faire des choses qu’on préfèrerait ne pas faire.
Harry, je tenais également à te demander quelque chose de très important, je sais que je te demande beaucoup, je sais que tu te sens oppressé, perdu, désorienté, mais je te demande de bien vouloir faire cela pour moi : après ma mort, causée par un professeur de Poudlard, il voudront sûrement fermer l’école, Harry, il ne faut pas que ça se produise ! L’école doit rester ouverte coûte que coûte !
Je sais que tu es assez doué pour réussir à convaincre un maximum de gens, je sais que tu pourras le faire sans trop de difficulté, l’école doit rester ouverte, car la fermeture définitive de l’école entraînerait des désastres incroyables ! Il faut que les professeurs continues à enseigner, les jeunes sorciers ne seront pas plus en sécurités chez eux, bien au contraire !
Je te demande de bien vouloir convaincre la commission, et le ministre, si jamais ils parlaient de fermer Poudlard, j’espère que tu me comprendras.
Encore une fois Harry, crois moi, je suis désolé de te laisser une telle charge sur les épaules, mais toi seul, encore une fois, peut y parvenir.
Je tiens aussi à se que tu sache que Fumseck sera toujours là pour te venir en aide.
Au revoir Harry,
Albus Dumbledore
Ron et Ginny relevèrent la tête en même temps pour regarder Harry. Ce dernier avait le teint livide et le regard vide. Ginny s’approcha de Harry et passa doucement un bras autour de ses épaules. Harry ne réagit pas le moins du monde et resta perdu dans ses pensées.
Ainsi, Dumbledore savait qu’il allait mourir dans le courant de l’année, tué par la main d’un de ses collègues. Mais savait-il que se serait Rogue qui le ferait ? Savait-il quand il a écrit cette lettre que Rogue, en qui il avait entièrement confiance, le tuerait ? Harry ne comprenait plus rien, Dumbledore l’avait abandonné, il était parti loin de lui, et l’avait laissé seul, face à un ennemi plus puissant et beaucoup plus expérimenté que lui, face à un ennemi capable de le tuer sans se sentir mal pour autant, un ennemi terrifiant.
Ginny et Ron regardèrent Harry avec inquiétude, il n’avait jamais semblé aussi las, aussi désespéré qu’en se moment, et les deux Weasley s’inquiétaient beaucoup.
Hermione entra dans la chambre environ un quart d’heure après l’arrivée de la lettre.
-Bonjour tout le m… Qu’est-ce qui se passe ? demanda Hermione en voyant ses amis.
Personne ne dit rien, Ron tandis sa main dans laquelle il tenait la lettre de Dumbledore, et Hermione s’avança pour la prendre.
Quand sa lecture fut achevée, elle regarda Harry avec inquiétude. Le jeune homme se redressa soudain, regarda la chambre dans laquelle il se trouvait, puis la fenêtre. Le soleil semblait haut dans le ciel, bien qu’il soit encore tôt. Harry se leva avec une telle brusquerie que tous sursautèrent. Mais que faisait-il là, dans cette chambre à ne rien faire, alors qu’il devait faire un millier de choses ?
Harry sortit de la chambre en trombe, sans jeter le moindre regard derrière lui. Ron, Hermione et Ginny se précipitèrent à sa suite et le suivirent avec inquiétude.
Quand il arriva en bas, Harry se força à sourire à Mrs Weasley qui était arrivé sur lui et poussé vers la cuisine. Il avait presque oublié le mariage. Harry décida donc qu’en cette journée, il allait se comporter comme un adolescent normal qui s’apprête à fêter un mariage, et donc aider à préparer les décorations, et se réjouir.
Il s’assit à table et soupira. Ginny Hermione et Ron le rejoignirent et commencèrent à manger en silence. Puis, Harry sentant que le silence gêné se prolongeait, il dit d’un ton faussement jovial, mais convainquant :
-Alors, qu’est-ce qu’il y a ? On doit préparer un mariage non ? Allez, il faut aider à tout faire, donc, allons-y !
Ginny Ron et Hermione sourire, finirent de déjeuner et se levèrent tous en même temps. Harry avait hâte que les préparations commence, cela pourrait occuper son esprit, et qui sait ? Il parviendrait peut-être à oublier momentanément les horcruxes ? Mais il n’en était pas sûr.
-Allez les jeunes ! s’exclama Mrs Weasley en entrant dans la cuisine, les bras chargés de fleurs diverses. Aidez nous ! Tiens, Ginny, Hermione, venez m’aider à préparer les bouquets, quant à vous deux, dit elle en regardant Harry et Ron, Allez aider Arthur et Bill à mettre l’arche !
-D’accord Mrs Weasley, dit Harry.
-Pas de problèmes M’man ! s’exclama Ron.
Ron et Harry sortirent ensemble dans la cour. Ils durent alors se contorsionner pour pouvoir atteindre Mr Weasley et Bill, car la cour était pleine de sorciers et sorcières portant des gâteaux, des Rubans, des planches, des fleurs, il y en avait partout.
Harry reçut même sur la tête un coup de planche en pâte d’amande, laissant ainsi la trace de sont visage imprimé dedans.
En voyant ça, Ron éclata de rire, et Harry fit de même. Il se sentait un peu mieux, et sourit tout le long du chemin. Enfin, ils aperçurent au loin Bill entrain de faire léviter une couronne de bois pour la placer au sommet de l’arche encore inachevée. Il se trouait près du petit bois appartenant aux Weasley. Harry et Ron coururent le rejoindre. En les voyant, Bill leur fit un petit signe timide.
Harry aperçut derrière un tronc particulièrement imposant la silhouette fine de Mr Weasley, gravant quelque chose avec un couteau moldu.
-Qu’est-ce que vous faites Mr Weasley ? demanda Harry en venant à son niveau. Bonjour Bill !
-Bonjour Harry, dit Bill.
-Oh, bonjour Harry, Ron, bien dormit ?
-Oui, merci, dit Harry.
-Je grave le nom de Fleur et Bill sur l’arbre, à la manière moldu. C’est plus lent, mais très amusant ! Tu veux essayer Ron ? proposa Mr Weasley en tendant le couteau à Ron.
-Non, merci p’pa, sans façon, dit Ron en faisant la grimace.
-Très bien, Harry, tu veux essayer ?
-Pourquoi pas ?
Harry prit le couteau des mains de Mr Weasley, et commença à graver un B, de Bill, Mr Weasley ayant déjà finit d’écrire FLEUR &.
A son grand étonnement, Harry trouva très distrayant le fait de graver des inscriptions sur l’arbre, et d’un certain côté, réconfortant. Quand il eut finit de graver le B, Harry rendit le couteau à Mr Weasley qui se remit à la tache avec enthousiasme.
Harry quand à lui, se tourna vers Ron et Bill qui étaient en train de hisser un bouquet de fleur sur le dessus de l’Arche.
Voldemort divise son ame en 7 et met 6 morceaux d´ame dans des objets qui seront appellé horcruxes et il en garde une dans son corps qui n´est pas un horcruxe. Il a donc 7 morceau d´ame et 6 horcruxes.
Un homme qui divise son ame en 2 créeé un hocruxe, un homme qui divise en 3 créeé 2 horcruxers etc.
Je sais que vous allé me traiter d´obstiné.
impossible qe harry soi un hocruxe car il devrai mouri et vu qil sera mor il ne poura pa tué voldemor!!!!!!!!!!!!!!!
Je suis de ton avis pogo-pogo mais je ne sais comment faire une fic moi sans être supprimer par le modo !
Et au fait, doudou : IL N´Y A QUE SIX HORCRUXES !
jimpoter 7 est le chiffre parfait en magie donc il est très probable que Voldemort veuille 7 horcruxe ce qui ne veut pas dire qu´il en a déjà 7. Mais comme je l´i déjà dit un corps humaib est (dans HP) conidéré beaucoup plus compliqué quu´un corps animal.
Beaucoup de gens supposent qu´un des horcruxes est l´épée de Godric mais ne se trouve-t-elle pas dans le bureau de Dumbledore?
Ensuite si Harry possède une partie des pouvoirs de Voldemort c´est car la prophétie en entière dit qu´il devra le considérer comme son égal et c´est ce qu´il a fait en lui donnant la moitié de ses pouvoirs
Salut Kagerou01. C´est vrai : le chiffre 7 est privilégier dans le monde des sorciers ; c´est pourquoi Voldemort a divisé son âme en SEPT morceaux dont SIX sont des horcruxes mais le dernier se trouve toujours dans le corps de Voldemort ;D umbledore l´a dit dans le tome 6 : sans cela ,Voldemort n´existeraitplus en tant que personne !
Je l´avais pas vu comme ca mais je suis pas sur que c´est vrai car Dumby (et Hagrid ) a aussi dit que Voldemort n´avait jamais rien d´assez humain pour mourrir
de toute facon on a tous une theorie sur les horcruxes.je penses que la meilleur solution sera d´attendre le tome 7 pour savoir.
VIVEMENT l´annee prochaine pour avoir le dernier livre.