une suite avant la fin de la semaine!! c´est trop cool plus tot ke prevu lol
okok entierement d´accord avec toi fandesoad
jim Oui je l´avais pas vu comme ça et aussi A QUAND LA SUITE??
bonjour tout le monde je vien de lire toutes les suites ac un grand intéret . Franchement Jimpotter t
slu tout le monde je suis nouveau et je voulais dire a jimpotter quil a vraiment du talent ces suites sont toutes aussi bien les unes que les aur=tres continue comme sa et vivement la suite
slt j´sui nouvo
jdr c´te fic et je me demande kan est la suite
Bienvenue aux nouveaux !
mafieu49 le jour ou jim poste la suite est toujours imprévisible ! Faut avoir de la patience ici !!
jim c´est pas méchant hein !!
Il n´empeche qu´au début, Jim a posté très vite les suites, vous pouvez un peu patienter quand même, quand je lis la fic de tati, et qu´il y a 15 pages sans chapitres c´est chiant lol alors qu´ici y´a pratiquement un chapitre ( ou 2 ) par pages
Fandesoad Ca s´explique par le fait qu´au début, j´avais 15 chapitres d´avance .
La suite approche .
Mais demain je ne pourrai pas écrire parce quie je pars une journée avec mes parents à la campagne^^.
La campagne ca vous gagne !
Ca peut toujours te donner des idées de déscriptions de voir les paysages défiler.
Je re-sors.
C´est CE SOIR LES MECS ET LES FILLES
Il va poster normalement
À cette heure? Cela m´étonnerait. Moi, j´y vais
Bah il me l´a dit
Bonne nuit
c´est vrai il te la dit quand ?
Et oui tati je poste toujours mes suites le soir (enfin j´y tiens pas c´est juste que les circonstances m´y ont souvent forcé ).
...
23 (suite)
Esprit sain dans un corps sain (je pense garder ce titre^^)
- Et il voulait que tu attendes après le match de Quidditch ? s’intrigua-t-il.
- Oui, répondit Harry. Il a dit… qu’il ne fallait pas que j’oublie de profiter des choses importantes de la vie à cause de tout ce qui se passe.
- Et il a raison, dit Hermione. Sans ses choses, je ne vois aucune raison pour ne pas rejoindre Voldemort sur le champ.
- Comment ? s’offusqua Neville.
- Si l’amitié et tout ce qu’elle a permis de fonder n’existaient pas, la seule source de bonheur serait l’ivresse du pouvoir, non ? dit simplement Hermione. C’est bien ça que recherche Voldemort : le pouvoir suprême.
- Seulement voilà, déclara Harry, qui venait de comprendre quelque chose, l’amitié et l’amour, et les jeux d’équipe, tous ces moments existent bel et bien, et Voldemort tente de les détruire. Il veut détruire la source du vrai bonheur pour avoir ce sentiment malsain de supériorité, alors il faut se battre, mais ne pas s’enfermer dans ce combat en délaissant ce qu’on se donne tant de mal à défendre. Si on combat Voldemort, au fond, c’est pour pouvoir être heureux…
- Ce type veut le pouvoir parce qu’il est incapable de trouver le bonheur autrement, approuva solennellement Neville, parce qu’il a trop déchiré son âme. Et ses partisans sont des faibles… trop faibles pour créer des liens basés sur la confiance. Alors ils se rabattent vers la solution de facilité : Voldemort.
- Le bien et la facilité…, murmura Hermione. Dumbledore avait dit ça un jour, pour rendre hommage à Cedric Diggory… Vous vous souvenez : « Si un jour vous avez à choisir entre le bien et la facilité, souvenez-vous de ce qui est arrivé un jour à un garçon fraternel et courageux simplement parce qu’il a croisé le chemin de Lord Voldemort… »
Il y eut un nouvel instant de mutisme.
Mais Ron y mit fin au bout de cinq secondes.
- J’hésite, dit-il.
- Tu hésites ? répéta Hermione, les sourcils froncés. De quoi tu parles ?
- Je n’arrive pas à me décider : qui de vous trois est le plus doué pour faire de la politique, à votre avis ?
- Nous avons une conversation sérieuse, Ron ! Pourquoi est-ce que tu viens toujours tout gâcher avec tes plaisanteries stupides ? s’exaspéra Hermione.
- J’étais sérieux, moi aussi ! assura Ron. On aurait dit un discours du ministre de la magie pour encourager la communauté des sorciers à combattre Voldemort.
- Sauf qu’eux, ils sont sincères, intervint Ginny.
- Ah, zut ! s’exclama Ron.
Il poursuivit à voix basse en voyant des regards choqués venant des autres lits.
- Je n’y avais pas pensé… Tu as raison Ginny, ça ne colle pas.
Ils se mirent tous à rire, Hermione comprise. Mais il restait un peu de tristesse et d’amertume dans leurs visages : ils constataient à quel point le monde pouvait être mauvais, pourri. Le tout, pensa Harry, était de ne pas oublier qu’il y avait aussi du bon…
Ils discutèrent avec dépit de ce que faisait le ministère contre les Mangemorts, s’aidant de la Gazette du Sorcier posée sur la table de chevet d’Hermione. Les nouvelles n’étaient pas réjouissantes. Selon la Gazette, les choses allaient encore plus mal que lorsque Voldemort était au sommet de sa puissance il y a seize ans de cela. Il y avait plus de meurtres, plus d’attaques, plus de difficultés pour les Aurors.
- Comment peuvent-ils le laisser prendre le dessus comme ça ? s´affligea Hermione à voix haute.
- Je ne suis pas certain qu’ils aient le choix, fit remarquer Ron.
- Les choses pourraient être meilleures sans Scrimgeour et son souci des apparences, objecta Ginny.
Ron parut vouloir répliquer, mais il se ravisa. Harry savait qu’il était entièrement d’accord avec sa sœur. Il décida de prendre les choses en main et d’orienter la conversation vers un thème plus joyeux.
Mais il n’eut que peu d’idées, vu qu’ils avaient déjà discuté du retour à Poudlard de Ron, Hermione et Neville. Ils épuisèrent de nouveau le sujet et le silence se fit. Ils restèrent là, à attendre.
- Dites, demanda Neville une dizaine de minutes plus tard, qu’est-ce que vous comptez faire après Poudlard ?
Soulagé de pouvoir sortir de sa torpeur, Harry répondit tout de suite :
- Je vais continuer à chercher les Horcruxes (il prononça ce dernier mot à voix très basse).
- Je crois que Neville voulait plutôt parler de tes projets pour trouver du travail, un logement, dit Ginny.
- Je sais, répliqua Harry, mais ça en fait partie – enfin ça en fera partie si j’ai au moins cinq « Effort Exceptionnel » pour mes ASPIC. Je veux devenir Auror, confessa-t-il, un peu gêné.
- Vraiment ? demanda Ginny.
- Ca n’a rien d’étonnant, assura Hermione avec un sourire, ça correspond tout à fait à sa personnalité de sauveur du monde.
- Qu’est-ce que tu veux dire ? interrogea Harry, énervé.
- Et bien tu ne peux pas dire que tu n’aimes pas sauver Poudlard du danger, rit Hermione. Tu as beau dire que les ennuis viennent à toi tous seuls – ce qui, au fond, est vrai –, tu aimes bien t’occuper de ce genre de chose, sinon tu ne voudrais pas devenir chasseur de mages noirs.
Tout le monde éclata de rire et Harry préféra ne rien répondre.
Peut-être aimait-il cela, en effet… Mais il n’éprouvait aucun plaisir quand Voldemort assassinait ou faisait tuer ses proches. Il voulait le combattre à cause de cela, mais était-il influencé par les horribles évènements qui se produisaient ou souhaitait-il réellement faire partie des Aurors ? Etait-ce la passion de toute une vie de lutter contre la magie noire ou le désir d’agir face aux Mangemorts ?
- Qu’est-ce que tu en penses, Harry ?
Il émergea de ses pensées.
- Comment ?
- Tu es sûr que tu es toujours avec nous ? moqua Ginny. On se demandait qu’est-ce qui conviendrait le mieux à Ron comme métier, résuma-t-elle.
- Oh… Je ne sais pas, dit Harry, embarrassé, c’est à lui de décider… Qu’est-ce que tu veux faire, toi ? questionna-t-il en se tournant vers son meilleur ami.
- Monsieur ne sait pas, répondit Hermione à la place de son petit ami, mi-exaspérée, mi-amusée.
- Enfin…, bafouilla le premier concerné, je pensais… j’envisageais la voie des Aurors, comme Harry…
- Tu n’es pas obligé de faire la même chose que lui, même si c’est ton meilleur ami, fit remarquer Hermione.
- Je le sais bien ! répliqua Ron. J’y pense, c’est tout… Et toi, Ginny ? demanda-t-il, voulant détourner la conversation vers quelqu’un d’autre.
- Je veux aider à combattre Voldemort et ce genre de personnes, qui répandent le mal autour d’eux, déclara-t-elle fermement.
- Toi aussi tu veux être Auror ? s´hébéta Neville.
- Oh non, pas forcément, il existe plein d’autres métiers qui permettent de lutter contre les êtres malfaisants.
- La brigade de police magique, par exemple, suggéra Harry, songeur.
- Oui, mais aussi toutes les professions du Département de la justice magique, et les guérisseurs de Ste Mangouste, ajouta Ginny.
- Quel métier veux-tu exercer, Neville ? interrogea Hermione.
- Moi ? dit Neville, apparemment inquiet que l’on lui pose la question. Euh… j’ai déjà pensé à être Auror aussi, mais… je n’ai pris que trois matières pour les ASPIC alors je ne pourrai pas avoir cinq « Effort Exceptionnel »…
- Tu n’es pas obligé d’être Auror, rassura Hermione, un brin irritée, on dirait que Harry a lancé une mode ! Et puis tes talents se trouvent ailleurs, de toutes façons, ajouta-t-elle un sourire en coin. Qu’est-ce que tu fais de la Botanique ? Tu as toujours été passionné par les plantes magiques.
- Oui, c’est ce que j’aimerais faire, admit Neville en regardant ses draps, mais ce n’est pas très utile…
- Comme l’a dit Ginny, beaucoup de choses peuvent être utiles, dit Hermione. Les plantes ont des propriétés bénéfiques contre certaines maladies magiques ou dans des empoisonnements.
Un peu consolé par ces paroles, Neville eut un pâle sourire. Ron prit alors la parole :
- Et toi, Hermione, dit-il avec un plaisir vengeur, qu’est-ce que tu comptes faire comme métier ?
Sa petite amie ne parut guère contrariée par la question. Elle répondit sur un ton neutre :
- Et bien sans aucun doute, je veux combattre Voldemort ou aider à le faire, mais je ne compte pas en faire mon métier, déclara-t-elle. Il existe des tas de domaines variés et intéressants. Déjà, au ministère de la magie, il y a les Départements de la justice magique, de la coopération magique internationale… et le Département de contrôle et de régulation des créatures magiques, ajouta-t-elle, tout d’un coup très enthousiaste.
Les quatre autres échangèrent des regards éloquents : ils savaient tous qu’Hermione songeait à la S.A.L.E, son association qui ne comptait qu’un seul membre véritable (Hermione elle-même) et qui avait pour but d’aider les elfes à obtenir des droits, ce que la très grande majorité de ces derniers refusaient catégoriquement – ce que la jeune femme refusait d’admettre.
- Et puis il y a le domaine de la recherche, dit-elle après un court instant de silence (rêveur pour elle, embarrassant pour Harry, Ron, Neville et Ginny). Au Département des mystères par exemple ; je n’ai jamais vu un endroit aussi rempli de questions fondamentales que les humains se posent depuis la nuit des temps… Bien sûr, je n’y ai pas de très bons souvenirs, s’empressa-t-elle d’ajouter en voyant l’expression sinistre de Harry. Et en dehors du ministère, il existe encore tellement de carrières possibles…
Ils se plongèrent tous les quatre dans leurs pensées. Harry se demandait si, comme lui, ils envisageaient autre chose que leur carrière ; si comme lui, ils songeaient à leur vie sociale, leur vie privée, à une éventuelle famille…
Il était certes un peu jeune et même s’il espérait toujours autant pouvoir un jour ressortir avec Ginny, il n’en était pas encore à vouloir faire sa vie avec elle. Même s’ils se remettaient ensembles, l’avenir restait incertain. Pour l’instant, cependant, quand il entrevoyait le futur, il apercevait de longs cheveux roux vifs… Mais il n’avait que dix-sept ans et il savait qu’il lui faudrait une bien plus grande expérience de la vie avant d’avoir une femme, des enfants, et un métier.
Ron finit par rompre le silence en se plaignant des conditions de vie de l’hôpital. Selon lui, être enfermé avec des dizaines d’autres sorciers, être surveillé tous les jours en permanence et ne pas avoir de vie privée ne constituait pas une vie épanouissante. Ils parlèrent des victimes d’attaques de diverses créatures que les guérisseurs de plus en plus débordés devaient soigner en permanence.
- Cet enfant a été attaqué par un serpencendre, dit tristement Hermione en indiquant d’un signe de tête un lit entièrement entouré d’un rideau rouge. Les guérisseurs n’ont pas pu dire à ses parents si ses brûlures pourraient être guéries ou non…
Une vingtaine de minutes plus tard, Mr et Mrs Weasley entrèrent dans la salle Dai Llewellyn. D’abord rayonnants de voir que Ron, Hermione et Neville avaient repris des couleurs, ils parurent un peu gênés en apercevant Harry et Ginny. Ils demandèrent aux trois patients comment ils se sentaient après que Mrs Weasley eut embrassé chacun d’eux ; à sa grande surprise, Harry eut également le droit à une étreinte – une étreinte chaleureuse et non froide comme il le craignait.
- Je suis vraiment soulagée, déclara-t-elle. J’avais encore tellement peur, vous étiez si pâles hier…
- Molly, dit Mr Weasley, je crois que je devrais ramener Harry et Ginny à Poudlard.
- Oui, tu as raison. Vos amis doivent vous attendre. Enfin je… Excuse-moi, Harry, s’empressa-t-elle de dire. Mais tes amis vont également revenir très bientôt, rajouta-t-elle avec un grand sourire.
Ils se dirent au revoir, et Harry et Ginny faillirent une nouvelle fois se faire étouffer par Molly Weasley. Son mari arriva à temps pour les sauver et descendit au rez-de-chaussée avec eux. Il laissa Harry escorter sa fille et ils transplanèrent vers Poudlard. Ils furent soudain caressés par une légère brise à l’odeur de nature en face du portail.
- Où est Rusard ? se demanda à voix haute Mr Weasley. Normalement il devait nous attendre…
En effet, quelques instants plus tard, le concierge, accompagné de jurons prononcés à voix basse et d’autres paroles inaudibles (« Comme si je n’avais rien d’autre à faire que de m’occuper de la circulation de gamins… ») et de son souffle de buffle, déverrouillait la serrure.
- Et bien je vais vous laisser, dit Mr Weasley en continuant d’observer Rusard avec inquiétude. Ron, Hermione et Neville devraient revenir à temps pour le premier cours du lundi matin. Peut-être même (il baissa la voix et se pencha vers l’oreille de Harry) qu’ils pourront participer à la réunion.
Il leur fit un clin d’œil avant de transplaner à nouveau.
Je lis ca tout à l´heure quand tout le monde dort, j´adore
c´est le seul mot a dire car même sans action on ne s´ennuie pas ce qui est une bonne chose mailgré la taille légérement minime ce n´est pas grave c´est toujours mieu que rien je sais que je ne devrais pas le dire mais
a quand la suite ?
Super mon ptit Jim j´adore, ca déchire trop j´aime bien avoir des renseignements sur le futur de nos héros.
Et puis tu sais Ô combien je tiens à ce que tu sais qui revienne avec tu sais qui et ca a l´air mieux
Continues comme ca, mais surtout la suite *excité et saute de joie*
P.S : Je suis Fan
Je n´est qu´une chose à dire bravo:
je vous aime !
Hellpervers J´avais compris qui tu étais bien avant de voir ta signature .
Becks Pas de suite aujourd´hui en tout cas . Je ne serais pas chez moi de la journée car je pars dans une de mes rares sorties en famille ( ). Je ne pourrai donc pas écrire .
Bonne journée mes .
slu tout le monde .
ta suite est aussi bien que les autres tu as vraiment du talent BRAVO