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Harry Potter et la Coupe de Feu

Sujet : Harry Potter et la Guerre des Sages
FemTo-95
Niveau 10
03 juillet 2006 à 23:10:08

jim t´inquiete pas je reste la moi je trouve ta fic super.

Je me demande bien quel est le pari de voldy :question: :lol:

Super ta suite encore une fois :oui:

:desole: je pars demain en vacances et je sais pas si je viendrais aussi souvent mais poste quand meme je viendrais lire a un moment ou un autre :-)))

sinon tu attends qu´on te demande ube suite pour poster sa te fera venir des com´s :p)

jimpoter
Niveau 10
03 juillet 2006 à 23:32:39

X-Smog-X :d) C´est que j´ai plein de chapitres d´avance à poster alors je me dis que l´équivalent de cinq pages Gallimard par jour, sachant que mes chapitres en font entre 10 et 15 en général, était convenable :) . Ainsi, on ne se plaindrait pas de l´attente. Au début, j´avais assez de coms, mais après, presque plus ce qui fait qu´il y avait plusieurs suites à la suite, comme sur le forum écriture.
En tout cas je te remercie pour ton com^^.

femto :d) Je vais suivre ton conseil puisque Smog a l´air de penser la même chose, mais j´ai peur que ça traîne pendant longtemps, dans ce cas :rire: .
Enfin, après tout, mon ambition est de devenir une légende "ficale" comme tati :rire: , que je considère comme une forumeuse d´exception :) .
Et bien sûr que je continuerai à poster, vu que j´ai toujours ét frustré de pouvoir poster partout sauf ici :ok: . Va en vacances et passe quand tu pourras :) .

En tout cas, :merci: beaucoup :-) !

X-Sm0g-X
Niveau 9
03 juillet 2006 à 23:56:41

C´était super jimpoter, moi aussi je me demande quel est le pari de Voldemort! Mais je pense que je suis tombé amoureux d´une deuxième fic :lol: .. À quand la suite :question: :rire2: ..

FemTo-95
Niveau 10
04 juillet 2006 à 00:06:56

la suite est sur endoloria mais je suis pas allé voir :ange: ... pour le moment :diable:

X-Sm0g-X
Niveau 9
04 juillet 2006 à 00:09:25

Ouais mais si ta fic est au complet sur endoloria, les gens vont aller sur ce site aulieu de venir attendre les suites ici! Tu auras peut-être moins de comms ..

jimpoter
Niveau 10
04 juillet 2006 à 10:19:22

Vous n´êtes pas non plus obligé de le crier sur tous les toits :rire: . Et puis tout le monde ne va peut-être pas sur endoloria^^. En tout cas je ne peux pas poster toute ma fic ici d´un coup, vous serez d´accord avec moi, j´imagine^^.
Je préfère que des forumeurs découvrent ma fic ici plutôt que d´attendre sur endoloria où je n´ai aucun com... Il y a d´autres sites où j´en ai mais je ne vous dirai pas lesquels^^.
J´aurai mes lecteurs sur le site (si j´en ai) et mes lecteurs du forum.

amphioxus
Niveau 6
04 juillet 2006 à 10:31:23

jim c tro bien mais g t sur dotre fic sinon elle tue la tienne

jimpoter
Niveau 10
04 juillet 2006 à 12:12:58

:merci: pour le compliment Amphioxus^^.

Vous m´avez conseillé d´attendre les coms avant de poster, mais cette fois j´en ai eus avant l´heure à laquelle j´ai l´habitude de poster :rire: .

Alors je vous poste la suite :ok: , la seconde moitié du huitième chapitre :

8
Le pari (suite et fin)

- Et alors ? répliqua Rogue. Est-ce que ça a une grande importance ? Il a réussi à revenir et maintenant, il ne se laissera plus prendre au piège. Il vous est en tout point supérieur et c’est pour cela qu’il n’a pas jugé utile de vous tuer tout de suite. Voyez-vous, Potter, le Seigneur des Ténèbres a fait un pari. Il a parié que quoi qu’il arrive, il pourrait toujours vous vaincre, et ce même si vous maîtrisiez vos « prodigieux pouvoirs ». Il m’a donc dit qu’il ne fallait pas vous tuer. Il ne compte pas vous chercher lui-même pour s’occuper de vous. Il a décidé que vous n’étiez plus une priorité ou une menace majeure.
- Alors pourquoi Malefoy m’a-t-il amené ici ? interrogea Harry.
- Parce que Drago est, disons, en « formation ». Le Seigneur des Ténèbres ne tient pas spécialement à vous laisser agir librement contre lui, non plus. Certains mangemorts ont quand même pour mission de vous empêcher d’arriver à votre but. Seulement, si quelqu’un vous tue, il veut que ce soit lui ; et en même temps, il vous considère comme une menace des plus secondaires. Vous resterez en vie, mais si vous affrontez le Seigneur des Ténèbres, il faudra d’abord vous sortir de ce pétrin tout seul, le trouver vous-même, vaincre les mangemorts qui se trouveront sur votre route.
- Si je comprends bien, Voldemort veut que je sois digne de l’affronter, c’est bien cela ?
- Exactement, répondit Rogue. Mais vous risquez fortement de ne jamais l’être, railla-t-il.
- Qu’est-ce que vous allez faire de mes amis ?
- Pour l’instant, cela dépend de vous. J’aimerais beaucoup tester vos capacités en duel, Potter.
Tenant toujours la sienne dans sa main droite, Rogue sortit de sa poche de gauche une baguette de bois que Harry reconnu immédiatement.
- Je tiens dans ma main gauche votre baguette, Potter, reprit le Prince. Je vais vous la lancer et nous allons faire un petit duel. Si vous l’emportez ou que vous vous débrouillez bien, je ne tuerai pas vos amis. Je me contenterai de les laisser pourrir dans cette cave sans nourriture, leur vie n’ayant aucune importance pour moi ou le Seigneur des Ténèbres. Mais si, au contraire, vous échouez lamentablement, comme j’en suis convaincu, je les tuerai. Nous allons bien voir si l’amour, ou dans ce cas, l’amitié, va vous permettre de gagner, Potter. Tenez.
Rogue jeta la baguette et Harry l’attrapa. Celui-ci était très nerveux. De sa performance dépendait la survie immédiate de ses plus proches amis. Il ne fallait pas qu’il abandonne, quoi qu’il arrive, il fallait continuer jusqu’à ce que Rogue estime qu’il « se débrouillait bien ».
- Saluez-moi, Potter, ordonna le Prince en se baissant légèrement.
Ne voulant pas retenter l’expérience désagréable qu’il venait de vivre, Harry se pencha brièvement également.
- Un, deux, trois, compta Rogue.
- Protego ! lança Harry.
Rogue s’effondra alors sur le sol et poussa d’horribles hurlements de douleur. Harry avait prévu que son adversaire commencerait par un sort informulé, mais il ne se doutait pas que ce serait encore le Doloris. Tout de suite après avoir renvoyé le sortilège, se souvenant de l’erreur qu’il avait commise lors de son tout premier duel, il prononça :
- Stupéfix !
Frappé en plein milieu du dos (il était tombé sur le ventre), le Prince de Sang-Mêlé cessa de hurler et devint immobile. Aussitôt, Harry, se demandant encore par quel miracle il avait pu s’en tirer aussi facilement, se précipita vers la trappe. Il voulut l’ouvrir mais constata que c’était impossible : la petite porte refusait de bouger ne serait-ce que d’un pouce. Non… C’était impossible ! Il ne pouvait pas laisser Ron, Hermione et Neville enfermés là-dedans ! Ils risquaient de mourir par manque d’oxygène ou de nourriture ! De plus, si les Malefoy n’étaient pas encore chez eux (ce qui était sûrement le cas puisque personne n’était venu pour demander d’où venaient les hurlements), ils allaient certainement bientôt revenir et il ne pourrait plus aider ses amis !
Harry tenta plusieurs sorts, mais rien à faire. Il fouilla Rogue en quête d’objets utiles et il découvrit les trois baguettes de ses amis et aussi le médaillon de Serpentard. Il l’avait certainement récupéré sur lui quand il était évanoui lui-même. Mais pourquoi l’horcruxe ne se trouvait-il pas en possession de Malefoy ? Il connaissait trop bien son ennemi pour croire qu’il aurait pu oublié de récupérer son bien. Mais apparemment, Rogue lui avait confisqué.
Cependant, Harry chassa vite ces pensées de sa tête et se concentra sur le moyen de libérer les trois enfermés. Il se souvint alors d’une chose qu’il n’aurait pourtant pas dû oublié : la trappe s’était cassées quand Rogue l’avait projeté contre elle. Il l’avait réparées tout de suite, apparemment, mais il pouvait sans doute la cassée également grâce à un sort quelconque. Mais ni le sortilège de découpe, ni celui d’expulsion, ni aucun autre ne brisèrent le bois. Harry pensa alors qu’il fallait peut-être utilisé une méthode non magique pour détruire cette trappe. Il chercha dans la pièce un objet dure (« comme mes jambes, pensa amèrement Harry »). Il trouva son bonheur dans un vieux buffet sur lequel était posé un marteau. Il se demanda alors si ce n’était pas ce qu’il fallait toujours faire pour ouvrir la cave, car un outil moldu dans une maison où habitaient des sorciers comme les Malefoy ne devait pas être courant. Il frappa avec, et la trappe se brisa immédiatement. Il descendit l’échelle et il eut confirmation de ce qu’il pensait lorsque la barrière de bois se répara toute seule : heureusement, il avait eu la bonne idée de garder le marteau sur lui.
- Harry ! s’exclama Ron. Comment as-tu fait pour revenir ?
- Je vous expliquerai plus tard, dit Harry en marchant précipitamment vers eux. Cracbadabum, murmura-t-il trois fois en visant chacun de liens qui retenaient ses amis. Venez, suivez-moi.
Il monta l’échelle, cassa de nouveau la trappe et ils sortirent les uns après les autres. La petite porte de bois se reconstitua immédiatement.
- Tu l’as stupéfixé à toi tous seul ? demanda Hermione, impressionnée.
- Ce n’est vraiment pas le moment de parler de ça, répliqua Harry. Il faut sortir.
Après avoir parcouru la maison quelques secondes, ils découvrirent la porte d’entrée et l’ouvrirent à la volée, Rogue flottant derrière eux grâce à Hermione.
Il faisait nuit et le ciel était très étoilé. Hermione laissa tombé Rogue et l’attrapa par le bras, prête à transplaner.
- Où allons-nous ? interrogea-t-elle.
- Nulle part avant de m’avoir remis cet assassin, répondit une voix grave.
Ils se regardèrent autour d’eux et aperçurent un vieil homme sortir de l’ombre d’un arbre de l’immense jardin des Malefoy. Il s’avança vers eux. Il avait les cheveux argentés, mais on ne pouvait pas voir ses yeux dans la pénombre.
- Cet homme a tué mon frère, expliqua-t-il. Et il est hors de question que quelqu’un d’autre que moi le livre à Azkaban. Mais rassurez-vous, Harry, je ne manquerai pas de dire que vous et vos amis l’avez capturé.
- Qui êtes-vous ? questionna Harry.
- On m’appelle Abel, en général, mais mon nom entier, s’il vous intéresse, est Abelforth Dumbledore. Albus Dumbledore était mon frère.
- Vous êtes barman à la Tête de Sanglier, n’est-ce pas ? demanda Hermione.
- Comment…
- Je l’ai lu dans une liste des membres de l’Ordre, expliqua-t-elle. J’aurai bien voulu te le dire, Harry, mais Malefoy m’en a empêché quand il m’a jeté l’Imperium.
- Je vois, reprit Abelforth. Donc vous savez qui je suis et où je travaille alors que ça devait rester top secret. Mais bon, si Albus estimait que vous deviez le savoir…
- C’est vous qui nous avez dit qui vous êtes, fit remarquer Ron.
- Peu importe. Donnez-moi Rogue, je m’occupe de lui.
- Qu’est-ce que vous allez en faire, demanda Harry, soupçonneux.
- Ce ne sont pas vos affaires, répliqua Abelforth. Pour l’instant, en tout cas. Je suis un membre de l’Ordre et il me semble que je suis plus digne de confiance qu’il ne l’était quand il était avec nous.
- Qu’est-ce qui nous dit que vous êtes celui que vous prétendez ? interrogea Harry.
Le vieil homme s’approcha lentement de Harry, se pencha près de son oreille et lui murmura :
- Horcruxe.
D’abord surpris, Harry fut ensuite convaincu par cet étrange mot de passe que seul un ami très proche (ou un frère, dans le cas présent) de Dumbledore pouvait connaître.
- Je vous crois, dit-il simplement.
- Alors vous me le donnez ?
- Eh bien je pense que vous serez plus apte que nous à le livrer à Azkaban dans les règles. Si vous l’emmenez à Azkaban, rajouta Harry.
- Ne vous en faites pas, rassura Abelforth. Je saurai quoi en faire. »
Il pointa sa baguette sur la silhouette immobile de Rogue qui disparu avec un petit « pop ». Le vieillard se retourna.
- Att… commença Harry.
Mais Abelforth Dumbledore avait déjà disparu.

J´espère que ça vous plaira et si vous voulez une suite, il suffit de le demander, j´adore ce genre de com :rire: .

Bonne lecture^^.

amphioxus
Niveau 6
04 juillet 2006 à 16:14:02

non moi sa ne ma pa suffi jen veux une otre méme si cele la est trés bien :ok:

lbajul
Niveau 10
04 juillet 2006 à 16:55:36

Super !! La suite !!

jimpoter
Niveau 10
04 juillet 2006 à 19:45:05

Voici la suite, la première et courte (je crois) moitié du chapitre 9 :

9
Echec au Prince

Dans un bar délabré qui faisait également office d’auberge, à l’étage le plus haut, c’est-à-dire le second, deux hommes étaient installés autour de la table à manger d’un vieil appartement, en train de boire une bièraubeurre. L’un était jeune, avait des cheveux noirs et gras, des yeux noirs, semblables à deux gouffres, et portait une robe de sorcier noire également ; l’autre semblait extrêmement vieux, avait des cheveux argentés, des yeux bleus, et portait une robe grise très usée. Le premier s’appelait Severus Rogue, le deuxième se nommait Abelforth Dumbledore.
Depuis qu’Abelforth avait ramené Severus chez lui, celui-ci n’avait pas prononcé le moindre mot. Abelforth décida d’engager la conversation.
- Cela faisait longtemps, Severus.
Celui-ci ne répondit pas.
- J’imagine que tu te demandes pourquoi je ne t’ai pas réduit en miette pour ce que tu as fait à mon frère, reprit Abelforth, ou du moins pourquoi je ne t’ai pas livré à Azkaban. C’est parce que je ne suis pas persuadé que tu sois réellement du côté que tu prétends.
- Tiens donc, dit Severus, rompant ainsi son mutisme. Et puis-je savoir ce qui te fait penser cela ?
- Depuis environ un an, Albus m’a confié que sa fin approchait et que je devais m’y préparer. Il a dit qu’il avait fait son temps et que je ne devais pas être triste. Apparemment, sa santé se dégradait, il devenait plus faible, même s’il donnait l’apparence du contraire aux gens qu’il fréquentait.
- Et alors ? demanda Severus.
- Et alors je connais mon frère, répondit Abelforth, il avait une idée derrière la tête, j’en suis certain. Je l’ai interrogé à ce sujet mais il a refusé de lâcher quoi que ce soit. Il m’a seulement dit que je verrai par moi-même et qu’il me faisait confiance pour comprendre.
- Et alors ? répéta l’invité, une note d’impatience dans la voix.
- Et bien justement, je ne comprenais rien de ce qu’il disait. Rien jusqu’au jour où tu l’as tué.
- Je ne vois pas en quoi j’ai pu t’aider à comprendre en tuant ton frère, Abel, ironisa Severus.
- Je suis sûr que tu vois très bien, au contraire. Albus savait que la vieillesse, qui n’avait pas eu beaucoup d’effets sur lui, avant ces dernières années, risquait de l’emporter. Or, comme je te l’ai déjà dit, je le connais : il aurait parfaitement pu, j’en suis absolument certain, demander à se faire tuer, rapprochant ainsi la date de sa mort de quelques mois.
- Dumbledore a peut-être toujours prétendu ne pas craindre la mort, répliqua Severus, mais il ne serait pas allé jusqu’à se suicider.
- Qui t’a parlé de suicide ? Je pensais à un meurtre. Un meurtre qui aurait permis beaucoup de choses.
- Quelles choses ?
- Par exemple, sauver Drago Malefoy de la mort. Et par la même occasion, en faire le serment inviolable à sa mère devant Bellatrix Lestrange qui te soupçonne de trahison pour faire croire que tu es bien de leur côté. Ainsi, tout le monde a pensé que tu as tué Albus sous l’ordre de Voldemort, ou à cause du serment inviolable, pour ce qui est des Malefoy et de Bellatrix. Tu as définitivement fait disparaître les doutes sur ton véritable camp, même pour l’Ordre du Phénix. Ainsi, qui pourrait donc se douter qu’en réalité, tu œuvres toujours pour notre cause ?
- Et qu’est-ce que je pourrais faire, si je ne suis plus espion ?
- Tu pourrais faciliter la tâche de Harry Potter ou encore continuer ton rôle d’espion mais pour son compte.
- Remarquablement bien penser, remarqua Severus à voix basse. Mais ce qui m’intrigue le plus, c’est le fait que les Dumbledore, le cadet comme l’aîné, s’obstinent à voir le bien chez les gens. Je pensais que c’était moins poussé chez toi mais je me trompais, apparemment.
- C’est bien possible, admit Abel. Mais je suis presque sûr d’avoir raison. Je te connais trop bien, Severus. Tu ne peux pas être si mauvais.
- Ah oui ?
- Oui, affirma Abelforth. Etre déçu une fois par l’amour ne transforme pas en mangemort. Surtout pas quelqu’un d’aussi brillant et intelligent que toi.
- Je me fichais éperdument de cette petite traînée, tu m’entends ? protesta Severus. Elle ne valait rien, à mes yeux.
- Pour ce qui est de cette fille, je suis absolument certain du contraire. Malgré tout ce que tu diras ou feras, jamais tu ne pourras dire honnêtement que tu ne l’aimais pas. Elle te fascinait. Je m’en souviens comme si c’était hier.
- Peut-être bien, finit par admettre le plus jeune. Mais j’ai compris qui elle était véritablement quand elle s’est jetée dans les bras de ce beau visage. Ce n’était qu’une sale petite p…
- Ne va pas plus loin, je ne tiens pas à entendre ce genre d’insulte chez moi. Ce qui est sûr c’est que je pense que tu as une mission à accomplir pour notre compte. Et pour cela tu dois vite t’en aller d’ici.
- Tu me laisses repartir comme si rien ne s’était passé ? demanda Severus, incrédule.
- En effet, répondit Abelforth.
Sans se faire prier, Severus Rogue se leva et se dirigea vers la porte de l’appartement. Il hésita un instant, puis se retourna.
- Tu sais, Abel, dit-il tu es très intelligent, tout comme ton frère. Mais toujours comme lui, tu peux parfois te montrer d’une stupidité consternante.
Puis il sortit.
Abelforth Dumbledore, lui, se couvrit le visage de ses deux mains, l’air très las.

La prochaine moitié sera plus longue^^. Je sais ce que vous allez me dire : ce partage n´est pas très mathématique :rire: . En tout cas j´espère que ce chapitre sur Rogue ne gênera pas ceux qui ne sont pas d´accord avec moi sur son véritable camp^^.

Bonne lecture^^.

FemTo-95
Niveau 10
05 juillet 2006 à 11:25:29

quel c*n ce Abel :honte:

lol super suite jim j´attends avec impatience la suite :)

amphioxus
Niveau 6
05 juillet 2006 à 15:16:59

tunest pa le seul

jimpoter
Niveau 10
06 juillet 2006 à 15:08:48

Désolé pour mon leger retard :rire: , je vous poste la suite^^.

Voici la seconde moitié du neuvième chapitre

9
Echec au Prince

Severus Rogue se matérialisa devant une vaste demeure. Il était près de minuit et on pouvait voir une multitude d’étoiles. Mais la beauté du ciel n’était pas la principale préoccupation de cet homme.
Il s’avança vers la porte et l’ouvrit grâce à une vieille clef poussiéreuse. Il couru alors en direction du grand salon. Il y découvrit trois personnes : deux femmes blondes d’une quarantaine d’années, une brune, une blonde, et un jeune homme, blond également, qui ne devait pas être âgé de plus de vingt ans.
Lorsqu’ils virent leur « ami » déambuler ainsi dans la pièce, ils parurent extrêmement surpris.
- Severus ! s’exclama la femme blonde. Nous étions tellement inquiets !
- Pas le temps pour ça, Narcissa, coupa brusquement Severus. Où est le Seigneur des Ténèbres ?
- Et bien, quand nous avons constaté que toi, Potter et ses amis, aviez disparu, nous l’avons prévenu et il est venu voir par lui-même…
- Où est-il ? répéta-t-il.
- Il est dans la chambre secrète, finit par répondre Narcissa. Il avait l’air furieux quand nous lui avons dit…
Mais Severus avait déjà pris un marteau sur la cheminée pour briser la trappe dissimulée sous un tapis poussiéreux. Il détruisit donc la petite porte de bois et descendit au niveau inférieur par une échelle de bois également. Une fois l’ouverture franchie, la trappe se reconstitua tout de suite.
Notre homme parvint à terre et aperçut de dos une personne de silhouette grande et squelettique. Le mystérieux individu demeura silencieux. Severus prit donc la parole :
- Je suis de retour, maître.
- Je le sais, répondit une voix glaciale et suraiguë, à peine plus élevée qu’un murmure. Je ne suis pas sourd.
L’être auquel appartenait cette étrange voix resta encore silencieux un petit moment puis sans prévenir, il se retourna et cria :
- Endoloris !
Le serviteur tomba alors à terre et hurla à pleins poumons. Il se tordit de douleur pendant environ trente secondes (ce qui, vu l’effet du sortilège, était déjà énorme), puis il se tut tout à coup. Il se releva lentement et regarda celui qui venait de lui infliger cette torture.
Ce dernier n’avait rien d’un homme, en dehors de la silhouette. Sa peau était blanche comme la craie ; son nez quasi-inexistant, ne se remarquant que par deux fentes en guise de narines, comme les serpents, rendant son visage extrêmement plat ; sa bouche était dépourvue de lèvre ; et ses yeux étaient rouges comme ceux d’un albinos, avec des pupilles verticales comme les chats.
- J’espère que tu as conscience que tu aurais mérité une punition bien pire que celle que je viens de t’infliger, Severus, dit la créature.
- Oui, maître, répondit l’intéressé à genoux. Je sais que j’ai été lamentable.
- Le mot est faible ! Je vois parfaitement ce qui s’est passé, Severus. L’humiliation est encore très présente dans ton esprit. Tu as perdu comme même un première année n’aurait pu le faire ! Comment as-tu pu échouer de cette façon ? Donne-moi tes raisons, si tu en as !
- La principale raison, maître, est que j’ai sous-estimé Potter. Je le croyais misérable en duel, mais il a réagi très rapidement.
- Avec un sortilège formulé ! répliqua le maître. Tu avais largement le temps de riposter, mais tu es resté comme un idiot à attendre que ta propre torture te frappe !
- Je sais, maître. Je reconnais que j’ai moi-même réagi comme un débutant. Cependant il n’y avait pas que cela.
- Aurais-tu un autre motif pour ton misérable échec ? questionna la créature.
- Un motif qui ne justifie pas ce qui s’est passé, cependant, admis Severus. Mais maître, j’ai été dérouté par un fait non négligeable : la puissance qui se dégageait du sortilège de protection de Potter. J’ai tout de suite senti quelle volonté il avait mise dedans et il y avait aussi un pouvoir magique que je ne m’explique pas. Ca m’a vraiment impressionné, et ce, même si encore une fois, je reconnais que j’aurai pu le contrer si je ne l’avais pas sous-estimé.
L’inhumain regarda son serviteur un instant avec colère puis :
- Severus, tu es précisément le mieux placé pour savoir que Harry Potter doit de toute évidence posséder de grands pouvoirs. Dois-je te rappeler que c’est toi qui m’as rapporté cette prophétie ? N’oublie pas : celui qui a le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres sera né lorsque mourra le septième mois… Cela ne peut que signifier qu’il possède un potentiel hors du commun, le même que le mien, Severus.
- Je suis désolé, maître, s’excusa l’agenouillé. J’ai de toute évidence mal interprété vos propos.
- En effet. Harry Potter, s’il parvient à maîtriser la puissance qui se trouve en lui, pourra vaincre facilement n’importe lequel de mes mangemorts. Mais vu qu’il ne se servira jamais de la magie noire, il ne sera jamais en mesure de me tuer. Il sera un nouveau Dumbledore, peut-être un peu plus fort, toutefois. Quand il aura atteint cette envergure, celle d’un sage, il rendra peut-être espoir à la communauté magique et c’est à ce moment-là que je porterais mon coup final et que je prendrai le pouvoir. En le tuant, je ferai tomber le moral de tous les sorciers plus bas qu’il ne l’aura jamais été et ils n’auront plus la force de lutter, en tout cas pas celle de ma première tentative. J’aurai prouvé au monde entier que je peux détruire tous les obstacles, même l’ « élu ». Et je pourrai aussi livrer un duel palpitant, ce que je n’aurai pas pu faire avec Dumbledore, vu son âge et son obstination à ne pas vouloir me tuer. Cependant, Potter est loin d’avoir cette maîtrise de ses pouvoirs, pour l’instant. Tu n’aurais donc pas dû échouer de la sorte.
- Je vous promets de le capturer moi…
- Ce sera inutile ! coupa sèchement le maître. Je suis curieux de voir comment Potter va s’en sortir, tout seul. Je vais charger Drago de le suivre. Au début, je voulais que tu entraînes Potter ; mais maintenant, je me rends compte que j’ai trop besoin de toi pour une tâche hautement plus importante… Si tu veux racheter mon respect, accomplis-la.
- Vous pensez qu’il est temps de reprendre les recherches ? demanda le serviteur.
- En effet, répondit la créature, il est plus que temps. Je vais me coucher, à présent. Il se fait tard et même Lord Voldemort a besoin de sommeil.
L’homme inhumain, qui répondait donc au nom de Voldemort, sortit de la chambre secrète en utilisant une pierre qu’il avait dans sa poche, sans doute prévue uniquement à cet effet.
Severus Rogue, lui, demeura immobile pendant une bonne partie de l’heure. Son visage exprimait la honte. Il se sentait humilié, blessé dans son orgueil. Il s’était fait torturer, aussi court fut ce moment, par ce petit merdeux, comme il l’appelait dans sa tête. Le Seigneur des Ténèbres l’empêchait de se venger : c’était certainement sa punition morale, après la physique.

J´espère que ce chapitre sur Rogue vous aura plu, bonne lecture^^.

amphioxus
Niveau 6
06 juillet 2006 à 16:16:57

bon jim jai lu les chapitre suivant sur twwo et je les trouve bien sa va mais ya pa beaucoup de dialogue

jimpoter
Niveau 10
06 juillet 2006 à 23:02:02

Sérieux, tu trouves qu´il n´y a pas assez de dialogue :ouch2: ? Moi je croyais qu´il y en avait trop :rire: . En fait, je ne mets pas beaucoup d´action par rapport à ce qu´on attend du tome 7 et la plupart des chapitres tournent autour de dialogues. C´est vrai que les prochains chapitres contienent plus d´action mais ça ne va pas durer éternellement.

tati11
Niveau 10
06 juillet 2006 à 23:08:53

Jim, pour ce que j´en ai lu (excuse-moi, c´est toujours en coup de vent) je trouve que c´est parfait. Il ne faut pas des pages et des pages de dialogues. ça aide à la compréhension et cela amène du dynamisme mais trop... ça tue le rythme.

FemTo-95
Niveau 10
06 juillet 2006 à 23:43:49

jim je trouve que c´est tres bon. Je sais que je viens pas assez souvent qu´avant mais j´essaye quand memede venir une fois par jour. Bref je je te demande encore une fois la suite parce que j´en rafole :fou:

jimpoter
Niveau 10
06 juillet 2006 à 23:53:49

:merci: beaucoup tati^^.

Merci aussi, Amphoxius et femto^^.

Devant tant de réclamation (je prends mes désirs pour des réalités :rire: ), je vous poste la suite :

Voici le premier tiers du dixième chapitre :

10
Les Granger

Après avoir transplané à l’auberge de Godric’s Hollow, Harry, Ron, Hermione et Neville, y avaient retrouvé leur valise et leurs affaires. Immédiatement, ils rangèrent tout ce qui traînait, payèrent l’aubergiste, et quittèrent le village en quête d’un autre endroit où les mangemorts n’auraient pas de raison spéciale de les chercher.
- Où est-ce qu’on va ? interrogea Neville, essoufflé (ils avaient couru).
- Je n’en sais trop rien, avoua Harry. Mais ce serait trop risqué de rester à Godric’s Hollow. Je pense qu’on devrait aller dans un petit village discret, un peu comme celui-ci, mais sans que l’on puisse faire le lien avec nous.
- Tu refais la même erreur que moi ! s’exaspéra Hermione.
- Quoi ? s’étonnèrent les trois autres en cœur.
- Tu te rappelles de notre réunion à la Tête-de-Sanglier où Mondingus Fletcher et surtout un espion d’Ombrage ont pu nous entendre facilement ? Sirius m’avait fait remarqué que dans un bar très fréquenté comme les Trois Balais, personne n’aurait pu nous entendre à cause du bruit ou en tout cas qu’on n’aurait rien soupçonné dans ce genre d’endroit.
- Je ne suis pas sûr de… commença Harry, mais son amie l’interrompit.
- Les mangemorts auront bien plus de mal à nous retrouver si nous sommes dans une grande ville, fit remarquer judicieusement Hermione. Voilà pourquoi je pense que nous ferions mieux d’aller à Londres.
- Tu as sûrement raison, avoua Harry. Nous allons à Londres.
- Tant d’histoires juste pour arriver à cette conclusion, moqua Ron.
- Tu sais quoi, Ron ? demanda Hermione. Tu devrais peut-être mettre en pratique les conseils de cette charmante dame qui nous a conduits au cimetière. Tu sais bien, à propos de la galanterie.
- Oh, ça va ! s’énerva Ron. Je disais seulement que tu n’avais pas besoin de raconter tout ça pour nous dire qu’il serait mieux d’aller à Londres.
- Je vous rappelais que nous avions déjà fait la même erreur…
- Décidément, dit Harry à Neville, tous deux éloignés du jeune couple qui continuait à se disputer, ces deux là sont capables de se disputer à partir de n’importe quel sujet.
- C’est clair, approuva Neville. Mais tu crois que leur couple va tenir, dans ces conditions ?
- Aucune idée, avoua Harry. Mais j’ai de l’espoir. Ils finissent toujours par se réconcilier, en général. Bon, ce n’est pas tout ça, mais il faudrait peut-être partir. Arrêtez de vous disputer, tous les deux ! cria-t-il. On doit partir. C’est déjà un miracle qu’aucun mangemort ne nous ait attaqué, en vous entendant.
Silencieux mais toujours en colère, Hermione et Ron rejoignirent les deux autres. Ils transplanèrent dans la gare de King’s Cross (c’était un des rares endroits que connaissaient Harry et Ron dans la capitale), sur le quai 9 ¾, pour ne pas être vus par les quelques moldus qu’il risquait d’y avoir à cette heure tardive. Ils franchirent un par un la barrière et sortirent tout de suite de la gare.
Ensuite, ils partirent à la recherche d’un hôtel peu cher mais suffisamment fréquentable. Ils en trouvèrent un après pas moins d’une demi-heure à marcher dans la ville. Ils y prirent deux chambres, en appliquant le même système qu’à l’auberge de Godric’s Hollow. Ils se couchèrent immédiatement sur le conseil d’Hermione, décidant de parler des récents évènements le lendemain.
Cependant, avant de pénétrer dans sa chambre, celle-ci s’arrêta.
- Euh…, balbutia-t-elle. Est-ce que l’un de vous voudrait bien…dormir avec moi, cette nuit ? Je n’ai pas envie de me retrouver toute seule…
Les garçons échangèrent de brefs regards inquiets. Apparemment, Hermione conservait une certaine peur à cause de ce qui s’était passé avec Malefoy ; et après tout, il était vrai qu’étant seule, elle était la cible parfaite pour se faire surprendre et contrôlée.
- Je…, balbutia également un Ron extrêmement gêné. Je peux venir, si tu veux.
- Merci, répondit Hermione après un bref silence.
Ils se dirent bonsoir et Ron rejoignit donc sa petite amie.

Le lendemain matin, Ron rentra dans la chambre des garçons vers neuf heures du matin. Harry et Neville étaient à peine réveillés. Cette fois, ils disposaient de deux lits et personne n’eut donc à dormir par terre comme cela aurait été le cas s’ils avaient pu passer ne serait-ce qu’une nuit à l’auberge.
- Je crois qu’Hermione ne va pas très bien, annonça-t-il après s’être assis sur le lit de Harry.
- Sur le plan moral ou physique ? demanda Neville.
- Seulement moral, je crois, répondit Ron. Enfin j’espère…
- Mais qu’est-ce qu’elle a, exactement ? interrogea Harry. Elle a peur ?
- Je ne sais pas vraiment… Mais elle a appelé ses parents, cette nuit.
- Quoi ? s’étonna Harry. Je savais qu’elle ne devait pas aller bien mais à ce point…
- Ce n’est pas de sa faute ! protesta Ron. Hermione n’est pas quelqu’un du genre à appeler sa mère quand elle a peur. Non, je crois que ses parents lui manquent parce qu’elle a fini par ne plus les voir, quasiment.
- C’est vrai que depuis deux ou trois ans, elle est toujours avec nous, même pendant les vacances, admit Harry.
- J’ai l’impression qu’elle s’est rendue compte qu’elle ne les verra peut-être plus. Tu sais, je me demande si elle a parlé à ses parents de tout ce qui se passe, en ce moment.
- Elle ne peut pas avoir cacher tout ce qui se passe, fit remarquer Neville. Avec tous les évènements, les meurtres, les accidents, même dans le monde des moldus. Hermione a bien dû leur en parler.
- Je voulais parler des horcruxes, précisa Ron. Est-ce qu’elle leur a dit qu’elle risquait sa vie ? Est-ce qu’elle leur a dit qu’elle ne reviendrait peut-être plus jamais les voir ?
- Tu es son petit ami, dit Harry. Tu devrais lui en parler, toi ; lui conseiller de leur dire véritablement au revoir.
- Oui, je crois que tu as raison, répondit Ron. Je vais la forcer à extérioriser ses craintes, déclara-t-il d’un ton solennel.
Et sur un air décidé, il sortit de la pièce. Harry et Neville reprirent leur petite conversation de la veille.
- Tu vois, dit Harry, Ron est un bon petit ami. Il ne laissera pas tomber Hermione et leurs disputes s’oublient vite.
- On dirait, admit Neville. Je m’inquiète pour Hermione. Si elle craque comme ça malgré sa force habituelle, ça ne présage rien de bon pour nous.
- On le savait depuis le départ, répliqua Harry. Tout le monde va souffrir, dans l’histoire. C’était la même chose quand il a voulu prendre le pouvoir la première fois, il n’y a aucune raison que ça change.
Harry avait dit cela sur un ton si sombre que Neville parut d’abord étonné, puis déterminé.
- Tu as raison, dit-il. Et c’est pour ça que nous allons détruire ces maudits horcruxes et que nous allons tout faire pour que tu puisses tuer Voldemort.
- Bien dit, Neville ! Et en parlant de détruire les horcruxes, ça me fait penser que nous en avons déjà un.
Il sortit de la poche de son blouson posé sur sa malle le médaillon de Serpentard.
- Je n’arrive pas à y croire, dit-il en regardant le bijou, c’est tellement dingue.
- Quoi ?
- Je n’arrive pas à comprendre comment le frère de Sirius aurait pu voler le médaillon. Tu ne l’as pas connu, toi, mais il m’avait dit que Regulus était stupide et que les mangemorts l’avaient tué parce qu’il avait été trop lâche pour faire ce que lui avait demandé Voldemort. Et pourtant c’est sûrement lui qui l’a pris ; à cause des initiales RAB et à cause de sa provenance.
Il examina longuement l’horcruxe avant de se décider.
- Bon, ouvrons-le, proposa-t-il.
Il mit toutes ses forces mais le médaillon resta solidement fermé.
- Comme la dernière fois.
Ils tentèrent tous deux divers sortilèges qui n’eurent pas le moindre petit effet.
- J’ai comme l’impression que détruire les horcruxes va être aussi dur que de les trouver, dit Neville.
- Evidemment, approuva Harry. Dumbledore a failli mourir quand il a détruit la bague. Mais…
- Mais quoi ? demanda Neville.
- Mais Rogue l’a soigné, acheva Harry.
- Quoi ? répéta Neville.

Je sais, ça n´a pas beaucoup de rapport avec les Granger, pour l´instant^^.

En tout cas bonne lecture^^.

FemTo-95
Niveau 10
07 juillet 2006 à 19:53:02

:non: absolument aucun rapport avec les granger :fier:

Sinon c´est super j´adore :fou: :fou: :fou: oups ... :desole: :gni:

La suite!!!!!!!! :) :) :)

Sujet : Harry Potter et la Guerre des Sages
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