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Harry Potter et la Coupe de Feu

Sujet : Harry Potter et la Guerre des Sages
Godric_6
Niveau 9
30 octobre 2006 à 13:20:54

Toi même :ange: C´est toi l´ange pas moi lol :rire:

jimpoter
Niveau 10
30 octobre 2006 à 15:02:22

Godric_6 :d) Oui mais je vous flatte pour que vous restiez :lol: .

Non je déconne :rire: .

Bonne lecture :ange: :

26
Chez Barjow & Beurk

Après la raclée qu’il lui avait mise sur le terrain de Quidditch, Nott s’était tenu à distance de Harry, mais quand il croisait son regard, il y voyait toujours cet air goguenard, malsain, et extrêmement désagréable. Mais maintenant, Théodore Nott semblait plutôt inquiet, et montrait la plus grande prudence lorsqu’il était contraint à s’approcher de Harry pendant les cours. Ce dernier s’en rendait compte pour une raison toute simple : il n’y avait plus la moindre trace de provocation dans le comportement de Nott, ni dans celui d’aucun des Serpentard qui avaient l’habitude de se moquer de lui. Hermione lui avait même rapporté qu’elle avait de plus en plus de mal à déceler des indices laissant penser que certains élèves de Poudlard auraient été maltraités. Harry ne savait pas s’il devait considérer cela comme une bonne nouvelle ou comme le signe que Nott parvenait à continuer ses manigances sans se faire remarquer, ce qui aurait été un point très négatif pour eux. En tout cas, cela ajoutait un appui supplémentaire à leurs hypothèses.
Mais c’était loin d’être le seul changement à Poudlard. Si les dires de Hagrid selon lesquels Harry Potter aurait repoussé les Détraqueurs de Pré-au-Lard avec sept Patronus étaient passés pour les délires d’un malade sujet aux hallucinations aux yeux du ministère de la magie et de la Gazette du Sorcier, plusieurs dizaines de témoins – ceux qui n’avaient pas été complètement évanouis – avaient affirmé que Harry Potter avait chassé des centaines de Détraqueurs à lui tout seul, sauvant ainsi l’âme de près de cent mages et sorcières.
Autrefois, Harry avait été admiré pour ses exploits au Quidditch ou toutes les rumeurs sur ses confrontations avec Lord Voldemort, mais jamais pour un fait à la fois irrévocable et d’une telle ampleur. Désormais, il était considéré comme un héros à la hauteur des sorciers les plus célèbres, et non plus comme un enfant très chanceux qui avait su se montrer très courageux pour son âge.
Quand les personnes les moins affaiblies étaient parvenues à se relever, un escadron de guérisseurs de Ste Mangouste avait été appelé d’urgence. La Gazette du Sorcier avait été informée et avait pu se rendre sur les lieux. Devant une Rita Skeeter surexcitée – cela faisait un an qu’Hermione l’avait de nouveau autorisée à écrire, mais elle avait préférée s’en prendre au ministère plutôt qu’à Harry –, Gawain Robards, le directeur du Quartier général des Aurors, avait déclaré que Elu ou pas, Harry Potter était de toute évidence un des plus grands sorciers de ce temps et que si jamais il avait l’ambition de devenir Auror, il serait sans doute pour quelque chose dans la disparition de Voldemort. Juste avant de repartir avec le reste de la délégation ministérielle, à la fin de la journée, Robards avait pris Harry à part pour lui promettre qu’il ferait tout ce qui était en son pouvoir afin de lui obtenir l’Ordre de Merlin, première classe.
A son retour à Poudlard, pendant le dîner, tout le monde avait fait silence, puis le murmure des conversations avait repris, mais un peu trop discrètement. Harry s’était demandé s’ils n’étaient pas en train de parler de lui. Le dimanche matin, le professeur McGonagall avait demandé aux élèves de féliciter chaleureusement celui qui avait empêché la directrice et trois autres élèves de Poudlard de perdre leur âme. Tous les élèves avaient alors applaudi Harry – même les Serpentard, sauf qu’eux ne semblaient pas réjouis – qui eut l’impression que l’on avait allumé deux bougies de part et d’autre de ses joues.
Pendant la réunion de l’Ordre, le soir même, on lui avait fait une véritable ovation avant d’entamer une discussion très sérieuse sur ce qui était arrivé. Apparemment, le ministère de la magie était en crise : en principe, Londumor était entouré d’une protection magique à qui aurait dû prévenir l’arrivée des Détraqueurs dix kilomètres à la ronde et donc à temps pour empêcher ce qui aurait bien pu donner un désastre semblable à celui de Pré-au-Lard.
- Il semblerait que les effets de la multiplication des Détraqueurs dans l’atmosphère aient été volontairement accentués dans la région de Londumor, avait déclaré Kingsley.
- C’est pour ça qu’on était tous… vidés ? avait demandé Harry.
- Sûrement. En tout cas, Robards est inquiet. Dépressifs ou pas, on aurait dû détecter l’arrivée des Détraqueurs…
En sortant de la Salle sur Demande, McGonagall avait pris Harry à part :
- Je me suis creusé la tête pour trouver une récompense à la hauteur de ce que vous avez fait, Harry, mais rien ne vaut une âme, alors quatre-vingt-quatre ! J’ai pensé que trois cents points pour Gryffondor ainsi qu’une médaille pour service rendu à l’école pourraient vous faire plaisir, faute de pouvoir faire quelque chose à la hauteur.
Et comprenant sûrement que Harry, déjà extrêmement gêné du respect profond qu’il inspirait maintenant parmi tous les élèves de Poudlard – et même parmi les professeurs –, ne parvînt pas à faire sortir le moindre son de remerciement de sa bouche, la directrice était repartie vers son bureau avec un de ses rares sourires. Harry avait ensuite dû subir les plaisanteries de Fred et George, qui après avoir applaudi leur sauveur comme les autres, se sentaient sans doute en droit de se moquer de lui à nouveau.
Harry ne savait pas s’il devait ou non être content que quelqu’un ose enfin montrer pour lui autre chose que de l’admiration.
- Oh allez, Harry, ressaisis-toi, lui dit un jour Hermione, secouée d’un fou rire sur un canapé de la salle commune. Tu es devenu un héros national, assume-le. Et entre nous, ajouta-t-elle en retrouvant son sérieux, ça fait déjà trop longtemps que tu mérites cet Ordre de Merlin.
- Quoi ?. .. s’étonna Harry, plus écarlate que jamais.
- Je t’en prie ! s’impatienta Hermione. A l’âge de onze ans, tu as empêché le retour de Voldemort ; un an plus tard, tu as empêché l’esprit de son journal de prendre toute la force vitale de Ginny, ce qui revenait à empêcher un second Voldemort de faire son apparition ; en quatrième année, tu as réussi à t’échapper de ce cimetière – même si tu as eu beaucoup de chance de t’en sortir vivant, tu as montré un très grand courage – et tu as pu prévenir le monde des sorciers du retour de Voldemort. Et maintenant, tu as sauvé près d’une centaine de personnes en chassant à toi tout seul plusieurs centaines de Détraqueurs. Si tout ça ne vaut pas l’Ordre de Merlin, première classe, alors rien ne le vaut !
Il y eut un silence.
- Hermione a raison, finit par dire Ron sur un ton parfaitement sérieux. Tu le mérites largement.
- Oui, si le ministre décide de te faire un honneur pareil, tu devrais accepter, Harry, assura Neville. Pour une fois qu’il aura l’occasion de faire quelque chose de bien…
Harry eut un sourire timide, mais il ne répondit rien.
Le mois de décembre arriva et amena avec lui un temps plus glacial que jamais. La neige tombait à longueur de journée, et le lac s’était couvert d’une glace tellement solide que l’on pouvait marcher sans crainte sur sa surface. Au bout d’une semaine, Harry n’avait toujours pas entendu parler de son Ordre de Merlin, mais il s’en moquait. Au contraire, il s’en sentait soulagé, car il ne supportait pas d’être ainsi au centre de toutes les conversations.
Il avait toujours aimé couvrir Gryffondor de gloire, et lui-même par-dessus le marché, mais pour prouver qu’il était autre chose que « Le Survivant », ou « L’Elu ». Mais ce qu’il avait fait à Londumor, bien qu’il ait été très heureux, sur le coup, d’être parvenu à sauver ses amis, l’Ordre, et tous ces gens, ne faisait que renforcer sa légende, et la Gazette du Sorcier avait relancé toutes ces rumeurs sur une prophétie qui l’aurait désigné comme étant le seul être capable d’éliminer Lord Voldemort. Ce n’était pas tant le fait d’être reconnu comme tel – il savait qu’il n’y pouvait rien, que cette image lui collerait toujours à la peau – que ces murmures sur son passage, qui l’avaient accompagné pendant toute sa scolarité, qui l’ennuyaient et le gênaient profondément.
Ces murmures ne l’avaient jamais totalement quitté, et il s’y était habitué. Heureusement, les conversations à son sujet s’atténuaient peu à peu et reprenaient leur intensité coutumière, bien qu’il continuait à être craint par les Serpentard et respecté par les autres. Du moins, il espérait que ce qu’il inspirait aux autres Gryffondor, Poufsouffle et Serdaigle n’était pas de la peur…
Les leçons d’Abelforth s’étaient poursuivies, mais pour l’instant, il leur apprenait seulement à augmenter la maîtrise et la puissance des sortilèges qu’il leur avait déjà enseignés.
- Quand nous aurons terminé notre fignolage, avait-il dit le dernier vendredi de novembre, à minuit passé, je vais vous enseigner un sortilège très puissant. Voilà pourquoi il faut que nous continuions ce que nous faisons actuellement.
Maintenant que ses joues n’étaient plus écarlates du fait de sa nouvelle renommée mais bien à cause de l’air glacial, Harry repensait de nouveau à son principal objectif : retrouver la coupe de Poufsouffle. En réalité, il ne pouvait pas réellement prétendre que pour lui, Ginny était secondaire : cela signifierait nier son Patronus, et par la même occasion la raison pour laquelle tout le monde le regardait depuis l’enterrement de Maugrey.
Mais il n’osait plus vraiment lui parler depuis ce jour-là. Il se sentait trop gêné en sa présence, car il savait qu’il ne parviendrait pas à aller aussi lentement qu’il l’aurait voulu. Cela n’était pas sans conséquences : Ginny se montrait de plus en plus froide avec lui, et ses propositions pour faire leurs devoirs ensemble se raréfiaient. Harry savait que petit à petit, ils s’excluaient chacun de la vie de l’autre, et que leurs rapports seraient de plus en plus glacials au fil du temps…
Il essayait cependant de ne pas trop y penser, et se concentrait donc sur la tâche d’arracher les informations dont il avait besoin à Zacharias Smith, car il voyait que ses recherches à la bibliothèque ne lui apporteraient sûrement pas le renseignement qu’il recherchait : Hermione, qui connaissait pourtant la bibliothèque comme sa poche, n’avait rien pu dénicher à propos d’une famille Smith qui aurait descendu d’Helga Poufsouffle ou qui aurait comporté une Hepzibah.
- Nous n’avons plus le choix, Harry, nous devons forcer Smith à parler, avait dit la jeune femme.
Harry tentait toujours de prendre Smith à part à l’entrée ou à la sortie des cours, de la Grande salle, et même du souterrain qui menait à la salle commune des Poufsouffle, mais celui-ci se débrouillait à chaque fois pour être entouré d’une troupe épaisse d’autres élèves de sa maison ou pour être hors de vue avant que Harry n’ait eu le temps de prononcer le moindre mot. Ce dernier ne le voyait jamais pendant les repas, ce qui lui laissait penser que Smith faisait exprès de manger à des heures différentes des siennes. Pendant la réunion de l’Ordre du premier dimanche de décembre, Harry demanda l’aide du professeur McGonagall.
- Vous voudriez que je le convoque ?
- Vous en avez le droit, non ? dit précipitamment Harry, inquiet.
- Bien sûr que j’en ai le droit ! assura McGonagall, choquée qu’il ait l’audace d’en douter. Mais si je convoque un élève pour lui soutirer des informations personnelles, je prendrai un très gros risque, Harry. Harold Smith – le père de Zacharias – est un homme très influent qui a toujours protégé les secrets de sa famille, quel qu’en soit le prix. Il était autrefois directeur du service des usages abusifs de la magie, et a depuis peu pris les fonctions de Sous-secrétaire d’état auprès du ministre.
Harry mit un certain temps à assimiler la nouvelle. Ron, Hermione et Neville avait ouvert de grands yeux.
- Professeur, vous êtes en train de nous dire qu’Ombrage a été renvoyée ? demanda Hermione.
- En effet, Hermione, répondit la directrice. Dolores est en attente de son procès.
- Pourquoi cela ? s’étonna Harry.
- Comment ça, pourquoi ? répéta McGonagall, les sourcils levés. Il me semble que jeter un sortilège Impardonnable sur un patient de Ste Mangouste est un motif suffisant.
- Vous voulez dire… On m’a cru ?
- Oui, Harry, on vous a cru, dit la présidente avec l’ombre d’un sourire. Rufus est certes un très mauvais ministre – vous en conviendrez – mais au moins, il n’est pas fou comme l’était Fudge.
- Mais si la Sous-secrétaire d’état était renvoyée et accusée d’avoir jeté un sortilège Impardonnable, ça aurait fait du bruit, non ? observa judicieusement Ron.
- Pas si Scrimgeour fait taire la Gazette, dit Hermione avant McGonagall.
- Vous avez tout compris, Hermione. Revenons-en à Mr Smith, si vous le voulez bien. Je suis désolée, Harry, mais je ne peux décemment pas le convoquer, déclara McGonagall.
Comprenant qu’il ne servait à rien d’insister, il acquiesça.
- Merci quand même…
Dans le couloir du septième étage, les jumeaux rattrapèrent Harry, Ron, Hermione et Neville.
- Alors, Harry, tu as déjà oublié notre cadeau ? dit Fred.
- Comment ?
- On est très déçu, Harry, dit George avec son habituel sourire malicieux, on pensait que toi, tu n’oublierais pas que tu as le moyen de suivre quelqu’un à la trace…
- … et de ne pas être vu, ajouta Fred. A la semaine prochaine, les jeunes !
Et ils repartirent en direction du Hall d’Entrée.

Godric_6
Niveau 9
30 octobre 2006 à 15:14:07

C´est plutôt cour :nah: La même taille que mon chapitr 1 :rire:

DJPeeve
Niveau 10
30 octobre 2006 à 15:52:47

Salut Jimpotter je viens de lire toutes t´as fanfic´s en entier et je t´avoue qu´elle est vraiment exelente j´attend la suite avec impatience

charlybda
Niveau 3
30 octobre 2006 à 18:28:51

hoppopop vite 1 suite!!!!!!!!!!!!!

Fandesoad88
Niveau 10
30 octobre 2006 à 18:31:08

Ginny se montrait de plus en plus froide avec lui, et ses propositions pour faire leurs devoirs ensemble se raréfiaient. Harry savait que petit à petit, ils s’excluaient chacun de la vie de l’autre, et que leurs rapports seraient de plus en plus glacials au fil du temps…

:d) Tu veux mourir Jim ? :diable: :gni:

Dans le couloir du septième étage, les jumeaux rattrapèrent Harry, Ron, Hermione et Neville.

:d) Tiens, ça faisait un bail qu´on les avait pas vu :o Je croyais qu´ils étaient repartis dans leur magasin :fou:

En tout cas, c´est bien, mais on veut de l´action :bave: :bravo: :-)

jimpoter
Niveau 10
30 octobre 2006 à 20:22:34

Godric >>> Ce n´est qu´un petit morceau du chapitre :rire: .

DJpeeve >>> :merci: beaucoup, et je te souhaite la bienvenue sur mon topic :ange: .

Charly >>> Quand je disais que vous êtes des goinfres :rire2: .

Fan >>> :spoiler:
Fred et George sont retournés dans leur boutique depuis le chapitre 18, mais n´oublie pas que dans ma fic, ils font partie de l´Ordre du Phénix. Par conséquent ils se rendent secrètement à Poudlard à chaque réunion de l´Ordre, tout comme Tonks, Kingsley, Hestia Jones, Sturgis Podmore, les Weasley, etc. :ok:
Fin du :spoiler:
:desole: , je sais qu´il n´y a pas d´action mais ce n´est qu´un petit morceau de chap que je vous donne en hors d´oeuvre :ange: .

:ange:

Alberforth62
Niveau 10
30 octobre 2006 à 20:32:08

La quantité ne fais pas la qualité :gni:

Trés bonne suite Jim :bravo:

lupeleloup
Niveau 6
31 octobre 2006 à 01:41:11

J´ai pratiquement devoré cette histoire !! ! Felicitations, Jimpoter, pour cette superbe fic. J´aime la facon dont tu mènes l´histoire, les personnages et les situations! :bravo: Je dirai même qu´en t´y appliquant un peu tu peux devenir un très bon écrivain...continue comme ca! et comme il se respecte pour une fan, bien que nouvelle sur ta fic...je demanderai une suite! Mais avant je veux vous souhaiter à tous...un macabrement joyeux Halloween!!! :-)))

Dragonn1
Niveau 10
31 octobre 2006 à 01:46:22

Moi en tout cas, je l´ai dévorer! ^^

Jattend une suite avec impatience.

granger78
Niveau 10
31 octobre 2006 à 06:25:10

Jim je dois partir au boulot, je lirai la suite quand je rentrerai et je te laiserai mon coms alors à cet après-midi!!!!

charlybda
Niveau 3
31 octobre 2006 à 10:18:07

T suite sa se bouf :snif2: trop vite je sui téllement pri den listoire ke jarrive po a les économiser! :rire2:

Renniw
Niveau 7
31 octobre 2006 à 12:02:26

je :coeur: ta fic. Par contre je me souviens plus du cadeau de fred et george ^^^. Bon encore bravo pour la regularité de tes suite et pour leur qualité mais cest triste pour ginny et harry

jimpoter
Niveau 10
31 octobre 2006 à 13:02:41

:merci: je vous :coeur: tous ! :ange:

lupeleloup >>> Pourquoi tu t´appelles pas "lupelalouve" ? :rire: En tout cas merci et bienvenue sur ma fic^^.

granger >>> Pas de problème :ok:

Charly >>> :rire2:

Renniw >>> Crois-moi, tu te souviens forcément du cadeau, il n´est pas... oubliable :rire2: .
Je sais que c´est la vie :sournois: .

:ange:

Renniw
Niveau 7
31 octobre 2006 à 13:20:33

oué je vais men souvenir parce que je vais relir...

lupeleloup
Niveau 6
31 octobre 2006 à 14:33:48

jimpoter :d) je m´appelle comme ca parce que c´est le surnom que m´a donné ma soeur quand on était encore gosses...ca fait un bail! c´est tout simplement pour honorer un souvenir qui m´est très cher surtout depuis que ma petite soeur n´est plus des nôtres!...et merci pour la bienvenue!

tati11
Niveau 10
31 octobre 2006 à 14:43:19

encore une suite, nous sommes gâtés! :bravo: j´avais aussi oublié de cadeau des jumeaux :lol:

jimpoter
Niveau 10
31 octobre 2006 à 15:01:14

lupeloup :d) Oh, je suis vraiment, :desole: je ne savais pas :snif: .
Mais je disais ça pour rire, chacun son "identité"^^.

lupeleloup
Niveau 6
31 octobre 2006 à 15:07:28

Ne t´en fais pas, Jim, ca ne m´a pas genée...c´est la vie! :-)

jimpoter
Niveau 10
31 octobre 2006 à 15:11:45

lupeleloup :d) :ok:

tati :d) :desole: j´avais oublié de te répondre :lol: :d) Crois-moi, tu dois certainement t´en souvenir :ok: . Mais on dirait que toi et mes autres lecteurs vous croyez une chose fausse, à savoir que ce cadeau est suffisamment récent pour que relire ma fic vous permette de vous en souvenir :hap: .

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