salut jim,
je suis nouveau dans ta fic´(je l´ ai lu entièrement depuis hier soir!!) et je dois dire que je l´ ai bcp appréciée malgré quelque passage un peu trop appuyé(la plupart de tes parentheses ne se justifient pas, je trouve).
Je repasserai régulièrement, bonne continuation.
jim la prochaine suite sera pour quand ??
battlefan bienvenue sur le topic !! !!!
à vous chers lecteurs .
Harry-force. Harry ne dégomme pas Nott et les autres pour une raison simple : il n´a aucune preuve contre eux, même pas pour ce qui est arrivé à Ginny (même s´il sait pertinemment que c´est eux poiur ça, évidemment), et donc s´il les "dégommait", il aurait des ennuis. De plus, je rappelle que Harry est quelqu´un de bien, lui... lol.
Et je souhaite la bienvenue sur ma fic à Battlefan .
Partie moins joyeuse : il n´y aura pas de suite avant le week-end, et ce n´est pas pour ça que vous devez vous attendre à avoir une suite des le week-end prochain. En effet, les cours ont repris, les vacances sont terminées, alors... j´ai moins le temps .
C´est pas grave Jim! Tant que tu finis la fic
pour ma réponse je me joins à X-Sm0g-X
battlefan pourqoi tu dit que t nouveau alors que dans ton speudo y a écris que t la depuis 139 jours et que ta posé 84 com ?
Si tu lis bien maraudeur78, battlefan dit qu´il est nouveau sur la fic de Jim. Il a posté sur d´autres forums ou topics
Allez Jim là
C´est mort là xD
JIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIM
je suis sur que nous aurons une suite d´ici à demain soir!!!
Arrête les prédictions, Ventdebout .
Sérieusement, je n´ai absolument pas la moindre idée de quand va vous parvenir la suite. Je ne suis pas encore assez "lancé" dans le chapitre, lol, et de toutes façons, je déteste, comme je l´ai déjà dit, faire des pronostics^^.
Donc j´espère que vous serez patients mes et de lecteurs. Ne vous en faites surtout pas : j´écris .
Et je ne vous oublie pas malgré ma faible présence .
c´est de ta faute, tu nous as habitué à poster le week-end!
enfin! moi j´ai mis une suite sur ma fiction!!!
http://ventdebout07.skyblog.com/10.html
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-12598-38278-4-0-1-0-0.htm
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10569-774836-6-0-1-0-0.htm
Ouf ! Je suis content : j´ai finalement réussi à écrire une suite une semaine après la rentrée, comme je l´espérais . J´espère également qu´elle vous plaira, vu que vous l´avez demandée .
Je vous souhaite une bonne lecture, pour le début du chapitre 29 de Harry Potter et la Guerre des Sages .
29
Une demeure aux
multiples facettes
Ron était redevenu l’ami de Harry, ainsi que celui de Neville. Il n’était pas redevenu le garçon gai d’autrefois, prêt à rire ou à faire la moue pour peu de choses, mais il lui arrivait de sourire avec une fréquence appréciable et il reprenait petit à petit son ancien goût à la vie. Il recommençait également à parler aux autres : moins qu’avant, mais cela s’améliorait aussi. En sommes, il avait un comportement compréhensible, voire remarquable pour quelqu’un qui avait perdu son père un mois auparavant. Malheureusement, au grand désespoir de Harry – et bien qu’il n’en fût pas très étonné –, Ron et Hermione ne s’adressaient plus du tout la parole. Hermione excluait la possibilité de redevenir ne serait-ce qu’un tantinet amicale avec Ron, et Ron refusait d’essayer de discuter avec Hermione. Toutefois, ils n’avaient aucun comportement agressif l’un envers l’autre : ils se contentaient de s’ignorer avec la plus grande froideur. L’amitié entre Harry, Ron et Neville, et l’amitié entre Harry, Hermione et Neville restaient malgré tout intactes et ne semblaient pas subir les conséquences de ce froid…
En cinq jours, les résultats scolaires de Ron remontèrent aussi vite qu’ils avaient baissé la semaine précédente, et les professeurs en parurent très réjouis, sans compter qu’ils avaient l’air imperceptiblement plus à l’aise avec un élève « sociable ». Dans la partie pratique des cours de sortilèges et métamorphose, Harry commençait également à faire des progrès fulgurants. Même s’il mettait tout autant de temps qu’avant pour obtenir ce qui aurait autrefois été un léger résultat, une fois qu’il maîtrisait la « bonne technique », ses sorts avaient immédiatement une efficacité… éblouissante. Ceci était dû au fait que Harry s’entraînait à jeter tous ses sortilèges avec le même mental que le sortilège Inertio : il savait que s’il faisait en sorte que cela devienne naturel à chaque acte magique, il n’en progresserait pas au niveau technique, mais il dégagerait en revanche une puissance maximale pour chacun des sorts qu’il maîtriserait parfaitement.
Il devait tout faire pour se souvenir de ce merveilleux état d’esprit qui était sensé faire de lui l’égal en puissance de Lord Voldemort… mais bienheureusement, il pouvait quand il le souhaitait retrouver la cause du réveil de ce pouvoir. Il sortait avec Ginny, Ginny sortait avec lui ; il était le petit ami de Ginny, et Ginny était sa petite amie. Ils discutaient, riaient, s’embrassaient, s’enlaçaient plus ou moins… bref, ils passaient du temps ensemble. Leurs discussions étaient plus ou moins sérieuses, et Ginny parlait parfois de ses parents, mais elle ne pleurait pas dans les bras de Harry : il avait un peu peur qu’elle ne fasse que refouler ses sentiments, mais elle le rassurait toujours en disant qu’elle avait déjà pleuré avant, qu’elle voulait maintenant profiter de sa vie, et aussi qu’elle savait que de toutes manières, elle n’oublierait jamais ses parents.
Finalement, Harry connaissait une vie aussi heureuse et épanouissante qu’elle pouvait l’être, malgré toutes les nouvelles toujours aussi invariablement tragiques rapportées dans la Gazette du Sorcier.
Le dernier samedi du mois de février eut lieu le match entre Gryffondor et Serdaigle. Le score était déjà de cent trente à cent dix en faveur de Gryffondor lorsque Harry, après une troisième course poursuite avec l’attrapeur coriace de Serdaigle, Stewart Ackerley, parvint enfin à saisir le Vif d’Or avant qu’il ne s’échappe à nouveau. Le match, qui avait duré presque trois quarts d’heure, s’acheva alors sur un score de deux cent quatre-vingts à cent dix en faveur de Gryffondor, sous les cris fervents des supporters de la maison. Une semaine plus tard, Serpentard écrasa Poufsouffle par deux cents cinquante points à quarante. Après les deux matches du trimestre, l’équipe de Poufsouffle passait de la première à la dernière place du championnat. Serpentard passait en tête, mais Gryffondor se trouvait en deuxième position avec quatre-vingt-dix points d’écart. Désormais, Harry ne cessait d’encourager ses joueurs durant les entraînements afin qu’ils soient dans la meilleure forme possible pour qu’ils puissent rattraper leur retard au dernier match de la saison, qui aurait lieu dans plusieurs mois.
Le mois de mars s’écoula assez tranquillement pour Harry, comparé aux autres. Ses résultats continuaient d’augmenter, Ron redevenait de plus en plus joyeux et vivant, et Ginny ne perdait pas sa capacité à se montrer enjouée. Le froid entre Ron et Hermione n’était plus qu’une pure et simple ignoration, sans aucune tension ambiante, et même si Harry aurait aimé que la situation soit différente, il s’était maintenant résigné à voir que ses deux meilleurs amis étaient devenus comme des étrangers l’un pour l’autre. Hermione sortait toujours avec Anthony Goldstein, et bien qu’il ne lui trouvât rien d’extraordinaire, Harry constatait qu’Hermione n’avait pas l’air particulièrement malheureuse et il était soulagé qu’elle ne fasse pas avec Anthony autant de cinéma que Ron avec Lavande, l’an dernier.
Les réunions de l’Ordre du Phénix avaient toujours lieu chaque semaine, et n’apportaient généralement pas d’information extraordinaire ou surprenante. Mais il savait qu’il fallait qu’il continue à être au courant des actions de Voldemort et de la situation actuelle de la guerre, s’il voulait être le mieux préparé possible à l’affronter dans un avenir proche… C’est donc résigné qu’il se rendit à la dernière réunion du mois de mars, accompagné de Ron, Hermione et Neville. Il se disait qu’il aurait sans doute appris plus de choses en entamant la pile de devoirs d’une hauteur considérable que leur avaient donnée tous leurs professeurs : les vacances de Pâques avaient débuté l’avant-veille au soir.
En outre, les ASPIC approchaient dangereusement, et Harry devait encore s’améliorer en potions où son niveau oscillait toujours entre « Effort Exceptionnel » et « Acceptable ». L’époque où il faisait la fierté de Slughorn appartenait à un passé depuis longtemps révolu. Mais heureusement, dans les autres matières, sa moyenne atteignait toujours « Effort Exceptionnel », au prix exact que disait cette mention…
Il entra dans la Salle sur Demande et s’assit entre Ron et Hermione, avec Neville à la gauche de celle-ci. Tous les autres arrivèrent, et le professeur McGonagall prit place au centre de la table.
– Bonsoir, chers amis, dit-elle. J’aimerais commencer cette réunion en annonçant à ceux qui ne sont pas encore au courant parmi vous une nouvelle un peu différente de d’habitude. Nous ignorons encore si ça aura une quelconque utilité et donc si l’on peut considérer cela comme une bonne nouvelle, mais grâce aux informations que nous ont révélées Fred et George après leur fuite de Pré-au-Lard, et grâce aux recherches que Kingsley a menées à l’aide de certains de ses collègues, nous pensons avoir découvert quelque chose d’important.
Elle marqua une courte pause durant laquelle tout le monde resta silencieux, avant d’annoncer :
– Nous pensons avoir localisé l’ancien repère de Vous-Savez-Qui – là où il devait habiter avant de prendre Pré-au-Lard.
Cette déclaration provoqua une réaction immédiate sur tous les visages – sauf certains comme, bien évidemment, ceux de McGonagall et Kingsley. Il y eut une série de questions sur « Comment c’était possible ? » ou « Où se trouvait ce repère ? » mais McGonagall demanda le silence.
– Nous n’avons pas de localisation précise, dit-elle. Ou plutôt, disons… que nous n’en avons pas qu’une seule. Mais je vais laisser Kingsley vous l’expliquer.
Ils se tournèrent vers l’Auror.
– En réalité, nous avons trouvé trois endroits précis, déclara-t-il : les restes d’un manoir au milieu d’une grande plaine, dans le prolongement de la Forêt interdite, les restes d’une gigantesque cabane suspendue dans les arbres à quelques kilomètres d’ici, également dans le prolongement de la Forêt, et les restes d’une tour sur le flanc d’une des montagnes qui entourent ce château.
– Mais qu’est-ce qui vous fait penser qu’une de ces trois ruines serait l’ancien repère de Vous-Savez-Qui ? demanda Bill.
– En fait, nous pensons que l’ancien repère de Vous-Savez-Qui est constitué de ces trois Ruines, déclara Kingsley. Je vais essayer de vous expliquer… mais c’est assez difficile. La description de chacune des différentes parties décrites par Fred et George semblait correspondre, d’après ce qu’ils avaient vu par les fenêtres, à quatre régions différentes : une région montagneuse, une forêt, une plaine, et même une partie sous-marine. Or nous avons retrouvé trois ruines qui correspondent aux trois premières régions, et à proximité de l’enceinte de Poudlard. Nous avons donc eu une hypothèse : nous pensons que l’ancien répère de Vous-Savez-Qui était composé de la partie la plus habitable de chacune de ces ruines – et probablement d’une quatrième qui se trouverait quelque part sous l’eau, pas très loin d’ici, mais sûrement en dehors de l’enceinte. Notre hypothèse est que chacune de ces parties représente un étage, et que chaque étage serait séparé par une sorte de… passage magique. Quelque chose qui transporterait directement la personne qui le franchirait d’une ruine à une autre sans qu’il ne s’en rende compte.
Des mines plus que sceptiques s’affichèrent. Presque tout le monde semblait penser que l’explication de Kingsley était un peu tirée par les cheveux.
– Fred et George nous ont dit eux-mêmes que d’après leurs souvenirs, c’était tout à fait possible, dit Kingsley avec conviction. Et nous savons que la magie mise en œuvre par Vous-Savez-Qui et ces Mangemorts peut être très puissante… et dépasser notre imagination.
– Nous ignorons cependant ce qu’il y a dans cet endroit et même si quelque chose d’intéressant s’y trouve, reprit le professeur McGonagall. Nous attendions cette réunion pour décider d’envoyer un ou plusieurs membres de cette assemblée prendre le risque d’entrer, ou d’essayer d’entrer dans une de ces trois ruines pour découvrir le reste de l’intérieur. Vous comprendrez aisément qu’il est possible qu’il y ait des pièges laissés par Vous-Savez-Qui – des pièges éventuellement mortels. Cependant, nous y trouverions peut-être des informations très utiles, c’est pourquoi…
– Nous irons, Minerva, coupa brusquement Abel.
Tout le monde se tourna vers lui.
– Nous ? demanda McGonagall, surprise. Qu’entendez-vous par « nous » ?
– J’entends moi, Harry, Ron, Hermione et Neville, répondit Abelforth sur un ton des plus sérieux. Vous savez que nous avons notre propre mission à accomplir, et que nous gardons secrète, et vous avez accepter de nous croire sans poser de question jusqu’à maintenant. Aujourd’hui, je peux vous assurer que ce que vous venez de nous apprendre sera probablement bien plus utile à cette mission qu’à toutes les autres. S’il vous plaît, laissez-nous y aller, demanda-t-il d’un ton étrangement grave. Faites-moi confiance, Minerva.
Après un instant de silence pesant, McGonagall acquiesça :
– Très bien. Je vous laisse faire, dit-elle. Mais faites très attention à vous : je veux que mes élèves restent en vie au moins jusqu’à la fin de l’année scolaire, si possible… Et bien entendu, ils doivent être volontaires.
Après que Harry, Ron, Hermione et Neville eurent confirmé plusieurs fois qu’ils acceptaient de leur plein gré d’accompagner Abel, la réunion se poursuivit dans les discussions habituelles. Bill, Fred et George ne parurent pas très réjouis. En sortant de la Salle sur Demande, Abel s’approcha de ses quatre élèves et leur dit à voix basse :
– Suivez-moi.
Ils suivirent donc en silence leur professeur de défense contre les forces du Mal jusqu’à son bureau, au deuxième étage.
– J’imagine que vous vous demandez pourquoi j’ai dit que nous irions nous-même fouiller ce repère ? dit-il en refermant la porte.
– Oui, répondit Ron, agacé, on se le demande.
– Ce n’est pas très difficile à comprendre, répliqua Hermione tout en fixant Abel et non Ron. Si Kingsley a bel et bien retrouvé l’ancien repère de Voldemort, on pourrait peut-être y trouver des indices sur les Horcruxes.
– En effet, dit Abel en inclinant légèrement la tête vers Hermione qui rougit très légèrement
– Un instant, intervint Neville. On était pas sensés attendre d’avoir terminé nos études ?
– Oui, seulement les choses ont quelque peu changé, répondit Abelforth. La situation empire de plus en plus dans le monde des sorciers, et je ne peux pas vous garantir que Voldemort n’aura pas déjà obtenu le ministère de la magie d’ici que vous passiez vos ASPIC. Depuis plusieurs semaines maintenant, Harry est devenu un Sage – ou disons un apprenti Sage. Et maintenant, nous avons des lieux qui, j’ai mes propres raisons de le penser, sont la clef pour trouver les deux derniers Horcruxes à détruire. Après avoir eu la chance que cet indice se soit offert de lui-même à nous, je pense que nous ne devons plus attendre. Et vous, qu’en pensez-vous, Harry ?
– Je pense que vous avez sûrement raison, dit sincèrement Harry. Je commence à vous faire confiance, ajouta-t-il avec un léger sourire.
– Dans ce cas, nous allons aussi, affirma Ron. N’est-ce pas ? demanda-t-il en regardant Neville et même Hermione.
– Oui, répondit Hermione d’un ton qui n’avait rien de froid.
– Evidemment, assura Neville.
– Bien, dit Abel avec un sourire satisfait. Dans ce cas, demain, après le petit déjeuner, nous nous retrouverons devant le portail, vous êtes d’accord ? Je demanderai la localisation des trois ruines dont a parlé Kingsley et nous déciderons plus en détail de ce que nous ferons à partir de là.
Ils acquièscèrent en silence avant de sortir.
Ils se retrouvaient de nouveau dans l’action, pensa Harry en se faufilant sous sa couverture ; mais cela ne le surprenait pas vraiment. Il allait chercher des informations sur les Horcruxes et les détruire ; puis il se lancerait à la poursuite de Voldemort et le tuerait – ou alors il mourrait avant. Il avait l’impression que tout était parfaitement normal. Abel avait raison, il savait maintenant jeter le sortilège Inertio, et il savait aussi se défendre. Il n’avait aucunement peur d’affronter son destin. Sa vie poursuivait simplement son court normal…
MOUAHAHHAHA STROP BON
Excellent, enfin de la baston avec Harry, Ron et Hermione
Ca va être énorme j´imagine
Au passage "ignoration" n´existe pas On dit bien ignorance
Mais sinon, mes félicitations, excellente suite
Fan.
Pour "ignoration", je suis . J´étais persuadé que ce mot existait .
J´espère que tu trouveras la suite aussi "énorme" que tu le crois, lol.
Oh je fais confiance pour une suite énorme vu la qualité des autre suites . En tout cas bravo un peu d´action pour voir présisément les pouvoir d´inertio (enfin j´espère) .
Bonne chance pour écrire la suite .
Super suite Jim je suis toujours là pour te soutenir!!
wondefull as usual!