T´es completement mais le voilà : http://vdronline.free.fr/pwsphp1.2.3/index.php?&mod=forum&ac=voir&cat=3&id=276
lol c est celui que je t ai donner de ma team lol
Justement j´etais allé voir ce site mais le lien la bas ne marche pas...
rockcity
papy vas faire tes demandes ailleurs
desolé!
bah en principe on reflechis avant d´etre désolé...
desolé j´avais demandé sur tous les topics mais on m´a pas repondu et j´avais pas la tete a reflechir!
pas grave, mais evite quand meme
au fait, pour les interressé(e)s, je travaille sur la suite qui s´averera etre longue, je vous previens
voila, enfin fini : au totale presque 3 pages sur Word. Beaucoup de description que j´ai essayé de faire la moins rasante possible, sinno, .
ps: n´hésitez pas à critiquer, critiques en tous genres : positives, négatives, suggestions...
bonne lecture!!!
- Commandant ! appela l’officier avec un air terrifié.
- Qu’y a-t-il ?
- La cible nous a repérée avant que nous avions eu le temps de la verrouiller, ils ont du intercepter notre communication ! s’expliqua-t-il.
- Je vois. Ils vont sûrement tenter de nous neutraliser. Répartissez la puissance des boucliers sur les canons lourds, la passerelle et tous les points critiques du bâtiment. Favorisez la puissance de feu des turbolasers au détriment de celle des tourelles légères. Ordonnez à un escadron de 170 de se préparer à bombarder les réacteurs ainsi qu’à un escadron de V-wing de les escorter. Nous devons agir vite, nous ne devons pas leur laisser de répit.
- A vos ordres, mon Commandant, répondit l’officier en se mettant au garde-à-vous.
Il repartit transmettre les ordres. Au bout d’environ une minute, le croiseur ennemi avait achevé sa rotation et se préparait à l’assaut.
- Ils font chauffer leurs batteries, annonça un officier.
- Où en sont les nôtres ? demandai-je.
- Batteries parés, torpilles armées et boucliers enclenchés.
- Bien. A mon commandement, vous tirerez sur les points sensibles. Attention… FEU !
A cet instant précis, toutes les batteries du Venator tirèrent sur le croiseur de la CSI. Ces derniers ne mirent pas longtemps à riposter au feu, et l’assaut s’engagea. Quelques chasseurs Vautours encore entre les deux navires s’étaient retrouvés piégés dans le feu croisé et se replièrent vers leur hangar.
Partout sur la coque des croiseurs, les boucliers s’illuminaient dès qu’un tir venait les frapper.
- Bouclier ennemi à soixante-quinze pourcents de sa capacité, m’informa un officier de pont.
- Bien, poursuivez.
- A vos ordres.
- Commandant, nous sommes dans le bon angle pour tirer les torpilles. Nous conserverons cet angle au maximum trente secondes.
- Ce n’est pas assez. A moins que… Lieutenant, pleine puissance sur les canons lourds, diminuez celle du bouclier avant.
- Mais monsieur, c’est du suicide !
- Je le sais Lieutenant, je le sais, mais nous n’avons guerre d’autre choix.
- A vos ordres. Pleine puissance sur les tourelles turbolasers, tirez en priorité sur le pont. Informez-moi quand leur bouclier ne sera plus qu’à dix pourcent de sa capacité.
- A vos ordres.
Les tirs provenant des tourelles du Venator devinrent encore plus concentrés en énergie qu’ils ne l’étaient déjà. Ajouter à cela la détermination de l’équipage du Kamino, les tirs semblent pouvoir anéantir la Confédération entière. Dans le poste de contrôle du croiseur ennemi, la panique devait être au rendez-vous. Devant les écrans de contrôle des boucliers déflecteurs, le Neimoïdien devait être sur le point de mourir d’angoisse. Cette espèce était réputée pour avoir peur de tout, et surtout de se mettre en danger. C’est sûrement pour cela que leur armée était composée de droïds, et non d’êtres vivants.
- Boucliers ennemis à vingt pourcents.
- Parfait. Faits chauffer les lance-torpilles. Combien de temps avant de quitter l’angle de tir ?
- Vingt seconde, vu que l’escadron de 170 a réussi sa mission. Ajoutez à cela le fait que les torpilles mettront environ cinq secondes à toucher leur cible, comptons quinze seconde.
- Puissance de feu maximale, levez tous les boucliers du vaisseau, exécution, nous n’avons pas de temps à perdre.
- Boucliers levés.
Dans le genre « mission suicide », difficile de faire mieux. Cela me rappelait mes débuts dans la Guerre. A l’époque, je combattais en tant que fantassin, sous le blason de la prestigieuse 501e unité de clones, une unité d’élite qui avait fait ses débuts dans les plaines de Géonosis, à la tête de l’Armée Républicaine. Ce jour là, j’avais été placé sous le commandement du clone Bêta 065, un des meilleurs sur simulateur. Si je dois le fait d’être encore en vie à quelqu’un, c’est bien à lui. C’était un spécialiste des missions délicates et un tacticien d’improvisation hors pair. Notre mission sur cette planète avait été de faire exploser un des principaux hangars de chasseurs Géonosiens. Nous étions parti en commando de six personnes : notre commandant et cinq soldats clones : quatre de mes frères génétiques et moi-même. Nous nous étions infiltrés par les canalisations pour pouvoir accéder au hangar par en dessus. Nous nous sommes donc faufilés à travers les conduits, et nous avions avancés jusqu’à la baie d’envol. Arrivés là, on a du faire un peu le ménage. Ca nous rappelait le bon vieux temps, lorsqu’on s’entraînait sur Kamino. Nous faisions des concours de celui qui abattait le plus d’ennemis. C’était d’ailleurs celui là qui devait payer la tournée du soir. Mais maintenant, il n’y avait plus rien à fêter. Les ennemis étaient aussi réels et aussi mortels que les tirs de plasma. Dès aujourd’hui, on ne s’endormirait plus le soir après notre tournée de whisky Corellien, mais après avoir vécu l’horreur d’une bataille sans merci, ou alors à effectuer des tours de gardes interminables. On avait déjà parlé à nos créateurs, les Kaminiens, de la guerre. Certains l’avait connu. Un d’entre particulièrement, il avait été présent lors d’un blocus sur je ne sais quelle planète. Pendant que les croiseurs en orbite bloquaient la population, les troupes terrestres y malmenaient les habitant. Ce gars là, avait bien été forcé de se battre malgré lui : il était parti pour quelque affaire, là-bas. Lorsque le blocus s’était déclenché, il avait voulu rejoindre son yacht, mais les troupes ennemies avaient déjà pris le contrôle de la ville, bloquant tous les spatioports. Alors, avec une garnison de résistants, ils avaient fuit la ville, et avait établi leur camps dans la forêt, derrière une cascade magnétique brouillant les senseurs. Ils s’étaient entraînés comme des bêtes dix jours durant. A l’aube du onzième jour, ils avaient sorti les armes, et marchèrent en direction de la ville. Dès que les chefs ennemis en avaient été informés, ils avaient explosé de fureur, les représailles organisées avaient été sanglantes. Au bout d’une journée de combat et de peur, enterrés dans les tranchées, la Résistance avait pu reprendre le contrôle de la ville et nettoyer l’orbite grâce aux cannons longue portée. Une fois ceci fait, nous avait-il dit, les résistants lui ont offert quelques poignées de crédit en remerciement, et quand je parle de poignée, ça n’était pas des poignées de Jawas, ça c’est sûr, mais plutôt celles d’un Rancor affamé ! Enfin, après cette mission suicide - mais étonnement couronnée de succès -, chaque membre de notre équipe a reçu une promotion : notre Commandant a été promu Colonel, et nous avons été promu Commandants. Une bonne promotion pour une première bataille. Comme quoi, les missions suicides, ça peut rapporter gros, mais si les commandos sont mal entraînés ou pas expérimenté, ça tourne plus au drame.
Pareillement : c’est une mission suicide que m’a permit d’obtenir le commandement du Kamino : ce jour là j’avais sauvé la vie de milliers de mes frères − leur croiseur avait été paralysé par un canon à ions −, on donnant les instructions nécessaires à la survie de l’équipage alors que je pilotait mon 170 contre la chasse ennemie. Résultat : des milliers d’homme sauvés, la prise de contrôle d’une planète par l’ennemi évitée et la perte d’un des meilleurs généraux Séparatistes − bien qu’ils ne soient pas nombreux. J’avais donc gardé de ces missions très spéciales un excellent souvenir, et une bonne maîtrise de leur commandement. Tout ce que j’espérais, c’est que ce talent ne me fasse pas défaut en cet instant précis.
Il ne nous restait plus que huit secondes.
- Boucliers ennemis à douze pourcents.
- Lancez les torpilles, vite !
Cinq, quatre, trois, deux, un…
- Impact confirmé. L’ennemi a été détruit. Tout cela grâce au bombardement des ARC-170, sans eux, les réacteurs auraient fournis la puissance nécessaire à leur fuite.
- En effet, ceci aurait été très gênant. Messieurs, je vous félicite. Encore un dixième de seconde en plus et la torpille manquait sa cible. A part que nous aurions été en première loge pour un feu d’artifice exceptionnel et que nous aurions raté la tournée de ce soir pour la défense de Coruscant, il ne nous serait rien arrivé, je vous rassure. Réactivez légèrement les boucliers et diminuez la puissance de feu. Nous allons nous mettre à l’écart pendant quelques instants, le temps que nos mécaniciens réparent les dégâts et que nos ingénieurs fassent monter en flèche la jauge d’énergie. Ce soir, c’est moi qui paye la tournée ! Mais en attendant, nous avons une bataille à gagner. Mettons-nous en sûreté le temps de pouvoir nous réapprovisionner. Informez-en aussi la base à la surface de la planète pour ne pas qu’on nous prenne pour des déserteurs.
On exécuta mes ordres avec joie. La joie de vivre, la joie de survivre ou plutôt, d’avoir survécu. Le personnel sur le pont me donnait l’impression qu’ils me confieraient encore une fois leurs vies entre mes mains. Encore une fois, je me sentais revenir dans le temps, à l’époque où j’appartenais encore à la 501e. Tout juste après ma promotion, on m’avait affecté un commando de cinq hommes dont moi pour une mission d’infiltration dans les usines de droïds de la CSI, une sorte de retour de monnaie à l’attaque de Kamino. Mais dès notre arrivée sur la planète, on a tout de suite senti que ça sentait le roussi. En effet : des fuites avaient eu lieu et nous sommes tombés dans une embuscade. Heureusement pour nous, la Confédération ne nous avait pas complètement bloqué : il restait une petit clairière à environ cinq cents mètre de là, derrière nous. Nous avions appelé un vaisseau de transport nous chercher, mais le plus dur a été de l’atteindre. Cinq cents mètres à parcourir en pleine jungle et sous un feu nourri de l’ennemi. Nous avions parcouru déjà quatre cent cinquante mètres et atteint la lisière de la forêt, et sans une seule blessure, un vrai miracle, que les droïds se replièrent. Cela nous surpris, nous nous sommes donc retournés pour voir ce qui avait pu les faire fuir, et nous sommes tombé nez à nez avec trois Aclays, de féroces araignées géantes vertes dont le Jedi Obi-Wan Kenobi a gardé un mauvais souvenir. Heureusement, les pilotes du vaisseaux de transports nous ayant vu dans la détresse ont décidé de venir nous prêter main forte. Une aide qui ne fut pas de refus ! La canonnière décolla et ses tourelles lasers crachèrent des rayons de composite en direction des créatures insectoïdes, les tuant sur le coup. Encore une mission suicidaire de réussi, enfin, pas vraiment comme le plan l’indiquait, mais on avait quand même eu le temps de neutraliser leur DCA, ce qui avait permis aux bombardiers de pilonner les installations - dont la moitié étant souterraines. Cela avait été dur, et long, mais on s’en était tiré, notamment grâce à nos pilotes qui nous avaient bien couverts.
J’étais devenu une idole pour les nouveaux soldats, et je devais me montrer à la hauteur, et en particulier en cet instant précis, à l’heure où la Confédération tentait à son tour une mission suicide. Comme à Géonosis pour la République, ici, elle y avait mit les moyens.
Espérons qu’ils ne soient pas aussi chanceux que nous dans ce genre de mission, sinon, ça sera la Fin…
voila lachez vous!
des com´s
C´est trop cool!!!
Continue! c tres bien!
d´un cité, la politesse et la raison m´obligent à te dire de ton compliment!
d´un autre, ton comportement et surtout tes insultes m´obligent à t´ignorer, que faire?
s´il te plait! j´ai ecris stp en entier juste para ti!
ça me touche, mais les insultes à ma famille, j´ai aps digéré!
A demain je vais me coucher!
ça n´interesse vraiment personne?
si moi
viper pk t´as po msn
jm´emmerde comme pas possible
viper