viper c´était une blague.
faut bien faire des pauses ...
doratane tu as laissé ton forum ??
coment mon forum?? c´est darotane mais c´est pas grave pour ne pas faire d´erreur fait un copier collé
mais oui celui avec les heros
autant pour moi darotane
je remet le passage pour eviter de le rechercher dans les autres pages
La Guerre.
Voila tout ce dont on parlait, ces dernières années.
Depuis ses débuts, dans les plaines de Géonosis, un brouillard de mort et de souffrance avait envahi les esprits. Sur Coruscant, les « amuseurs » - clowns et acrobates des rues Coruscantis -, comme on les appelait, avaient été remplacé par des patrouilles de soldats clones, les installations militaires avaient été renforcées, bon nombre de spatioports et de hangars avaient été réquisitionnés pour l’usage de vaisseaux de l’Armée, et, par certains moments, le flux de circulation aérienne avait disparu, ne laissant place qu’à des transports, infirmeries, et véhicules de secours militaires.
C’était le cas aujourd’hui, alors que les Séparatistes affrontaient la Flotte Républicaine, quelque part en orbite, seuls ces types de véhicules circulaient. Et heureusement. Comment est-ce que les pompiers Coruscantis auraient pu porter secours aux habitants de la ville, alors que leur demeure était en feu, si des civils circulaient ? Comment est-ce que les canonnières clones auraient pu effectuer la navette entre spatioports et installations défensives, si des civils se trouvaient sur leur chemin ?
Bon nombre de questions dont la réponse était évidente.
Bien sûr, quelques véhicules circulaient encore, lesquels était immédiatement immobilisés, et leur propriétaire mis à l’amende dans un délai record - environ quelques secondes montre en main.
Mais dans l’espace, la circulation ennemie était mise à l’amende par des tirs de turbolasers, et une chasse efficace, et précise. Dans ce même espace, à présent, et depuis des heures, rempli de tirs de plasma radioactif et de débris encore fumants, les seuls amuseurs présents étaient les chasseurs, qui étaient en mesure de divertir suffisamment un pilote pour se le mettre à dos, et les spatioports n’étaient autres que les baies d’envol des croiseurs.
A la surface, le Grand Théâtre de Galactic City avait fermé ses portes, comme bon nombre de commerces et lieux de divertissements. Mais, malgré qu’il ait fermé, il était toujours là dans l’espace : les croiseurs, principaux acteurs du combats se crachaient entre eux des répliques au turbolaser, les débris, faisaient penser à un décor, aussi barbare que la bataille se déroulant.
Pour certains, cette bataille était comme un nuage de moustiques, virevoltant tels des chasseurs arrosés par un feu nourri de tirs de plasma radioactif, en quête de nourriture, qu’ils trouvaient sur les croiseurs, parmi eux, se trouvaient des bourdons, aspirant la vie des ennemis, puis la rapportant vers leur ruche, sous forme de souvenirs.
Mais quelque soit l’avis des gens, cette bataille n’avait qu’une seule et unique vérité : la Mort.
La mort habitait chaque atome, chaque particule de matière au sein de cette bataille. A la surface, c’était la peur de cette mort, surtout celle d’un homme : le Chancelier Suprême Palpatine.
Un homme, qui, en ce moment même, était entre la vie et la mort. La République elle-même était entre la vie et la mort. Heureusement, deux Chevaliers Jedi étaient partis en mission de sauvetage, une mission autant prudente qu’elle n’avait de chances de réussir…
Bonjour viper je voudrais avoir ton MSN pour ... ( truc perso avec moi et lui )
Merci sinon ajoute moi Tay_ngo@hotmail.fr
Voila
j´ai pas MSN désolé
Ou sinon Xfire ou Skype?
plus
pour quand la suite
sais pas encore
elle est trop bien ta fic
coruscant, tu me flattes
voila la suite
bonne lecture!
- Nous venons d’obtenir le rapport de l’affrontement, mon Général, m’informa un Neimoidien, visiblement apeuré.
- Affichez-le sur l’écran géant, répondis-je en faisant à peine attention à ses gloussements.
Alors que le texte s’affichait sur cet écran, la peur du Neimoidien ne faisait que croître. Je n’avais même pas besoin de le lire pour voir qu’il était mauvais, très mauvais.
- Lisez-le, lui ordonnai-je.
Le lieutenant - bien que je ne comprendrai jamais comment il a obtenu ce poste - avala sa salive, puis, rassemblant tout son courage, parla :
- Il semblerai que les croiseurs se sont affrontés latéralement, commença-t-il. Ils ont commencé par s’affronter au moyen de tourelles, puis, au bout de quelques secondes, l’ennemi a tiré une torpille sur le pont de notre croiseur, le détruisant.
- Quelle bande d’incapable, murmurai-je en imitant un soupir de désespoir.
Dans le poste de pilotage, la peur était au rendez-vous, une peur exprimée par le silence qui y pesait. Alors que personne n’osait parler, je remarquai que tous les regards étaient tournés vers moi. J’attendis quelques secondes, le temps de leur permettre de détourner le regard, puis, je m’écriai :
- QU’EST-CE QUE VOUS REGARDEZ BANDE DE CHAIRS A BANTHA !?
Affolés, terrorisés, apeurés, les Neimoidiens se remirent à l’œuvre en vitesse. Puis, je les regardai à nouveau : ils étaient aussi laids et pathétiques que des Rats-Wompts, et encore plus débiles qu’un Rancor affamé. Si seulement je tenais l’imbécile qui les a mis au monde, me dis-je, je lui ferai payé tout cela ! Mais en attendant, j’avais encore besoin d’eux.
- Faites-moi basculer sur la caméra de surveillance du couloir 2-G, et vite !
- Bien mon Général.
Encore sous le choc de mon excès de colère, le Neimoidien s’exécuta, et fit apparaître sur l’écran devant mon siège un couloir, un couloir de mon croiseur. Dans ce couloir se forèrent deux ombres. Mais pas des ombres ordinaires : des ombres lumineuses. Puis, les ombres furent rejointes par deux hommes. Deux hommes bons, qu risquaient actuellement leur vie pour en sauver une ; et sauver de par cette action la République. Mais en fait, rien ne pouvait sauver la République, plus maintenant.
Les deux hommes continuaient à avancer. A leur vêtement, on les reconnut comme des Jedi. Tout se déroulait comme prévu, le plan du Seigneur Sidious marchait à merveille, et bientôt, la victoire Séparatiste allait enfin être. Ce n’était plus qu’une question de temps.
- Lieutenant, appelai-je, envoyez moi cinq escadrons de chasseurs et un autre croiseur contre la cible 56 ; nous devons impérativement la détruire.
- A vos ordre, répondit le Neimoidien d’une voix que je ne pouvais supporter.
Quelques instants après que mon ordre fût donné, une soixantaine de chasseurs droïds s’étaient détachés de la structure de la Main Invisible pour se diriger vers le Kamino. Plus loin, un croiseur Séparatiste amorçait déjà son attaque, faisant déjà chauffer ses batteries et préparant sa chasse personnelle.
« Enfin, ce croiseur va connaître le sort que je réserve aux fourbes dans son genre, pensai-je ; enfin, il va disparaître… à jamais ».
vraiment mais alors vraiment cool, continue et encore une fois felicitations
beaucoup
de rien de rien de rien de rien de rien mais c´est vrai elle est trop cool cool cool cool cool coll cool cool cool