ouais, je vois le trouffion de base tappant avec un doigt et une lettre par seconde me tapper ça
Ptdr
Pour le moment j´ai pas tout lu, mais c´est super
Desciption 10/10
Ecriture : 10/10
Enfin c´est genial
Lighter
bon, j´ai bientôt fini ce passage
fini
4 pages et demi sur Word !
bonne lecture
Qu’ils soient scientifiques ou philosophes, voire même Jedi, ils l’ont tous dit : il n’y a pas de hasard. Pour les scientifiques, même le hasard obéit à sa propre logique, ses propres règles. Pour les philosophes, tout est la cause de quelque chose, tout devait arriver, en bref : le hasard, qui n’en est pas vraiment un, n’est pas aléatoire. Et enfin, les Jedi pensent que le hasard est la volonté de la Force, ce qui revient à dire qu’il n’y a pas de hasard. Voila au moins un point sur lequel ils étaient tous d’accord dans la Galaxie. Maintenant, revenons à la pensée des Jedi : la volonté de la Force. Si les planètes gravitent autour de leur soleil, c’est la volonté de la Force. Si protons, neutrons et électrons, eux même formés de matière, forment la matière, c’est la volonté de la Force. Si les hommes savent marcher, c’est la volonté de la Force. S’il les hommes savent penser, imaginer, innover, c’est la volonté de la Force. Si tel cargo a quitté Coruscant à telle heure, ou encore si tel Jedi a été repéré par le Conseil, c’est également la volonté de la Force. La création de l’Ordre Sith est la volonté de la Force. La Grande Guerre des Sith est cette même volonté, ainsi que la réforme de cet Ordre par Dark Bane, ou encore la pseudo disparition des Sith quelque millénaire avant cette nouvelle guerre. La renaissance de l’Ordre est aussi cette volonté, tout comme le blocus de Naboo par la Fédération du Commerce, ou encore la mort de Qui-Gon Jinn. La Bataille de Géonosis et la mort de plusieurs centaines de Jedi sont la volonté de la Force. La guerre des clones est la volonté de la Force. L’équipe que formaient Obi-Wan et Anakin, ils la forment par la volonté de la Force. L’enlèvement du Chancelier Suprême Palpatine par l’odieux Général Grievous, ainsi que cette bataille que l’on nommera la « Bataille de Coruscant » à qui l’enlèvement a donné lieu est aussi la volonté de la Force. En bref : tout ce qui arrive dans cet univers et dans d’autres arrive par la volonté de la Force. Cette volonté a donné lieu a beaucoup d’horreurs, de désastres, et autres choses du même genre, mais aussi à beaucoup de choses positives, de bonnes choses. Prenons en exemple un évènement en train de se dérouler en ce moment, au cœur même de cette bataille : un sauvetage suicide, certes, mais sauvetage quand même, se passant à bord de la Main Invisible, le vaisseau personnel de Grievous, était mené par cette équipe Kenobi-Skywalker. Bien sûr, les Jedi étaient à mille contre cent, avec des droïds sortant de partout, des magnagardes - droïds combattant avec des lances électrifiées, armes produisant un champ de force en guise de lame et pouvant rivaliser avec des sabres laser, tellement agiles (leurs réflexes avoisinant la vitesse de la lumière) et très bon combattants, ils sont de redoutables adversaires pour les Jedi -, et deux virtuoses du sabre : le Général Grievous, biodroïd chef des armées de la CSI, initié par le second virtuose : le Comte Dooku. C’était un gentleman, selon lui, et également une des plus fines lames que l’Ordre Jedi ait jamais connu. Mais quelques années avant la Bataille de Géonosis, Dooku a choisi de quitter l’Ordre pour se ranger secrètement aux rangs de Dark Sidious, un Sith qui, selon Dooku, contrôlerait le Sénat. Il était le cœur politique de la CSI, comme Grievous en était le cœur militaire. Les Jedi savaient qu’ils s’étaient précipités dans un piège tendu par le Comte Dooku, mais c’est cela qui rendait leurs missions réussies : les pièges, le danger, les action suicidaires. Mais avec tant de droïds, deux virtuoses du sabre, et des centaines de croiseurs alliés qui risquaient de faire sauter la Main à tout moment, c’était plus que du suicide : un suicide organisé ! Déjà que, alors qu’ils étaient encore dans l’espace à bord de leur Intercepteur Jedi : Obi-Wan avait perdu une aile de son chasseur, ils avaient été attaqués par des droïds Tri-fighters et des Vautours, poursuivis par des missiles, et enfin, au moment de franchir le hangar, alors qu’Anakin avait désactivé (disons, bousillé le générateur) le bouclier de protection du hangar, des portes automatiques de sécurité leur avait barré le passage, ne les laissant passer que de justesse. Ensuite, ils étaient tombé sur des gardes droïds - détruits en quelques secondes -, puis, n’avaient pas rencontré de problème jusqu’à quelques mètres des appartements du Général, là où le Chancelier était retenu en otage. Mais pour l’équipe qu’ils formaient, les missions suicidaires pouvaient passe pour des missions relativement délicates.
L’intérieur de la Main Invisible était sombre. Une sensation de froideur était dégagée par les murs d’une couleur glaciale. Mais pas de la glace comme on en voit sur Hoth ou encore sur Rhen Var. De la glace qui faisait penser au Mal. Le métal lui-même sentait le mal. L’inquiétude et le doute étaient les sensations qu’imposaient ces murs dans l’esprit des personnes qui les voyaient. Enfin, ça dépendait de la personne. Pour les Neimoidiens, ces murs étaient la cause d’une peur plus grande qu’à leur habitude - et pourtant, leur niveau de peur habituel était très élevé ! -, pour d’éventuels humains en visite, ils étaient cause de peur. Mais les hommes qui s’y trouvaient en ce moment même n’étaient pas d’éventuels humains. C’était Kenobi et Skywalker, l’homme sans peur. La peur était absente en eux, effacée par l’importance de leur mission : sauver le Chancelier des griffes de l’odieux Général Grievous. Ils venaient de franchir l’ouverture qui débouchait dans les quartiers du Général, et virent le Chancelier assis dans un fauteuil, dos à une baie vitrée à travers laquelle on avait une large vue du combat qui se déroulait. Palpatine avait les poings liés, mais ça ne l’empêchait pas d’être détendu. Les Jedi descendirent les escaliers et s’approchèrent. Obi-Wan s’inclina. Anakin, lui, n’eu qu’un simple geste de tête, en raison de l’amitié qu’il éprouvait pour le Chancelier. Cet homme qui était en face de lui n’était, pour lui, pas le Chancelier Suprême de la République, mais un ami, un mentor, un père.
- Chancelier, se contenta de nommer Obi-Wan la tête encore baissée.
- Vous êtes sain et sauf, continua Anakin sur un ton montrant qu’il était rassuré.
Mais Palpatine ne fit pas attention à ce qu’ils dirent. Fixant au loin, il murmura d’un ton neutre que seul lui arrivait à reproduire :
- Le Comte Dooku.
Ils se retournèrent pour voir arriver, à l’endroit même par où ils étaient venus, le Comte Dooku, un homme d’environ soixante-dix ans, mais toujours en forme. Ses cheveux étaient gris, ainsi que sa barbe qui lui entourait le visage et passait sous le menton. Sa cape volait derrière elle, accrochée à son habit sur le haut de son torse. Il était escorté de deux supers droïds de combats, modèles déviés des droïds de combat de la Fédération du Commerce. Les supers droïds de combats, bien qu’ils soient la génération suivante des droïds de combat, avaient une allure différente. Contrairement à leurs prédécesseurs qui, eux, avaient une allure squelettique, les super droïds ressemblaient plus à des humains. Leur couleur était d’un gris métallisé, et ils étaient également plus grands. Les n’était pas des différences physiques. Au lieu de posséder un fusil blaster comme les droïds de combats, les super droïds avaient un double canon laser à cadence accélérée dont les lasers étaient plus puissants que ceux des droïds de combats incorporé dans leur poignet. Ils étaient également équipés de senseurs de visée avancés, ce qui leur permettait de tirer avec plus de précision.
− Cette fois-ci, nous ferons ça à deux, ordonna Obi-Wan à l’adresse de son ex-Padawan
− C’est exactement ce que j’allais dire, répondit ce dernier comme pour le rassurer alors qu’il passait dans son dos pour se retrouver sur sa droite.
Dooku s’avança seul jusqu’aux barrières de sécurité de la passerelle, les deux droïds étant restés en retrait. Rejetant la solution de descendre par les escaliers, il sauta, et, dans un salto magnifiquement exécuté, il se retrouva en face des Jedi, à une dizaine de mètres d’eux. Puis, il lança alors que les Jedi retiraient leur cape :
- Vos sabres, je vous prie. Nous n’allons tout de même pas tout saccager en présence du Chancelier.
- Appelez du renfort, conseilla le Chancelier Palpatine. Vous n’êtes pas assez puissants, c’est un Seigneur Sith.
- Chancelier Palpatine, répliqua Obi-Wan, presque vexé, les Seigneurs Sith ont toujours été notre spécialité.
Un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’il achevait sa phrase. Il se remémora le duel sur Naboo, son premier duel face à un Seigneur Sith. Il se souvint comment, mettant son enseignement en pratique, il avait bondit derrière le Sith et l’avait tranché en deux au niveau du bassin, utilisant une technique nommée le Sai Tok. Puis, d’autres images revinrent dans l’esprit du Maître, des images et des pensées qui lui avaient brisé le cœur et qui le lui brisaient encore. Mais il se dit qu’il devait être concentré pour ce qui allait suivre et qu’il ne pouvait pas se laisser distraire par de telles pensées. Il les chassa donc de son esprit tellement vite qu’il ne se souvint même plus d’y avoir penser.
- Cette fois, tu ne t’échapperas pas, Dooku, l’avertit Obi-Wan en s’avançant en même temps que son équipier et que le Comte.
Puis, ils allumèrent leur sabre. D’abord Obi-Wan qui se mit immédiatement en garde, preuve de sérieux en lui ; ensuite, ce fut le tour d’Anakin, mais il leva son arme moins rapidement que son Maître, indiquant qu’il avait confiance en lui et en ce qu’il allait faire. Une lame bleu éclatant jaillit de chaque manche. Enfin, Dooku activa le sien, et une lame rouge sang, caractéristique des lames Sith, sortit du manche du sabre courbé du vieil homme. Et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, le combat s’engagea.
Les lames crépitaient dans l’air, attaque, parades, et contre-attaques s’enchaînaient, produisant un éclair lumineux à chaque fois que deux des lames se rencontraient. Bien que Dooku fût forcé de reculer en raison des attaques nombreuses que lui portaient les deux Jedi, c’était lui qui menait la danse. Soudain, le combat se stoppa, et le il prit la parole :
- C’est un moment que j’attendais.
- Depuis notre dernière rencontre, mes pouvoirs ont doublé, Comte, dit Anakin
- Tant mieux. Votre humiliation n’en sera que plus cuisante, répliqua celui-ci.
Et le combat reprit aussi brutalement qu’il avait commencé. De son côté, Palpatine regardait le combat. Son visage était impénétrable, mais son regard, lui, exprimait plein de chose, bien qu’aucune personne ne soit capable de dire avec précision quoi. Profitant d’un moment d’inattention de la part du Maître Jedi, Dooku l’envoya rouler par terre à l’aide de la Force, le laissant seul contre Anakin. Anakin profita du moment où Dooku n’était pas entièrement concentré sur lui pour le frapper d’un coup visant à le décapiter, mais le vieil homme se baissa, et le sabre ne fouetta que l’air. Ils étaient maintenant en train de monter par l’escalier pour atteindre la passerelle. Obi-Wan se releva tant bien que mal, et se mit à son tour à grimper, mais il fut ralenti par le feu des deux super droïds qui venaient d’entrer en l’action. Le Jedi renvoya leurs rayons, puis, arrivant à leur hauteur, les trancha. Palpatine eu un geste de victoire, et poussa un petit cri de joie. Mais à peine avait-il réussi à rejoindre le combat que Dooku profita qu’Anakin soit déséquilibrer pour lui assener un coup de pied en arrière, ce qui l’envoya rebondir contre le mur sur le côté de l’ouverture, et soulever Obi-Wan par la Force. Ce dernier alla s’écraser sur le mur. Mais le Sith ne s’arrêta pas là : il fit tomber une passerelle sur lui, l’empêchant de se relever, au cas où il sortirait de son inconscience. Palpatine eut une grimace, comme s’il partageait la douleur du Maître Jedi, puis, regarda à nouveau Anakin. C’est alors que ce dernier entra dans une colère noire. Il bondit sur Dooku et lui donna un violent coup de en pleine poitrine, faisant tomber le Comte - bien qu’il se rattrapa grâce à un salto -, et laissant Anakin seul sur la passerelle. Cette image avait un air plutôt ironique : les rôles étaient inversés en tous points : d’abord les places, avant, c’était Dooku qui était en hauteur, mais maintenant, Anakin dominait seul cet espace. Ensuite, en ce qui concernait le combat, Dooku sentait bien que le Jedi avait reprit l’avantage. Alors que le vieil homme se fatiguait, Anakin était de plus en plus rapide, comme si l’énergie produite par les collisions des lames allait à lui. Puis, Anakin sauta, se retrouvant face à Dooku, et l’enchaînement de mouvement se poursuivit. Dooku était sur la défensive, et il le savait. Avant le combat, il était sûr de gagner, mais maintenant, le doute traversait son esprit. Comment aurait-il pu imaginer qu’un gamin comme Skywalker pourrait le renverser, lui, la plus fine lame de la Galaxie ? Mais pour l’heure, il n’avait pas le temps de réfléchir, il devait gagner ce combat.
- Je sens une grande frayeur en toi, Skywalker, le provoqua Dooku, alors qu’ils luttaient dans un due de force, leurs lames l’une contre l’autre. Tu as de la haine, tu as de la colère, mais tu ne t’en sers pas.
Leurs lames se séparèrent et Dooku recula. Anakin, toujours plus puissant, continua d’avancer et d’attaquer. Les lames se cognaient avec encore plus d’intensité qu’avant. Sur une attaque commune, Anakin repoussa le Comte, puis, repassa immédiatement à l’attaque avec un coup d’une force colossale, dévié par Dooku, mais tellement puissant que les deux lames reculèrent dans l’élan. Il reproduisit cette attaque, mais cette fois, le Comte tenta sa chance : il tourna sur lui-même, et se retrouva derrière Anakin… qui s’était déjà retourné pour faire face à lui. Leurs lames se rencontrèrent à nouveau, faisant preuve d’une extrême rapidité, Anakin empoigna dans sa main les deux poignets de Dooku pour les maintenir tandis qu’il leur faisait rencontrer sa lame en la faisant glisser sur celle du Sith. Les deux mains du Comte tombèrent par terre alors que ce dernier retint un cri de douleur. Anakin lâcha les moignons de l’homme instantanément pour récupérer son sabre laser qui volait maintenant au dessus d’eux. Il l’attrapa de sa main libre, l’activa, et plaça les deux lames en croix de part et d’autre du cou de Dooku, lequel tombait à genoux.
- Oui, Anakin, très bien, le complimenta Palpatine en riant. (Il marqua une pause, puis reprit) Elimine-le, dit-il, ayant repris son ton neutre.
Dooku regarda Palpatine à travers un regard d’incompréhension.
- Tue-le, maintenant, reprit le Chancelier en tournant la tête pour échapper au regard de Dooku.
Anakin regarda l’homme à ses genoux droit dans les yeux. Ce n’était plus un Seigneur Sith qu’il voyait là, mais un vieillard fatigué par l’âge. Il ne savait pas ce qu’il devait faire.
- Je ne devrais pas, répliqua le Jedi.
Dooku, lui, continuait de regarda le Chancelier. Il se sentait trahi. Mais il se rendit compte que ce n’était pas en cet instant qu’on l’avait trahi, mais des années auparavant. Tout ce que Sidious lui avait promis n’était que mensonge, et il ressentait à présent ce que ses propres victimes avaient ressenti lorsqu’il leur avait réservé ce sort. Puis, son regard se tourna vers Anakin. Un regard plein de pitié. Dans celui du Jedi se lisait le doute. Il avait envie de tuer Dooku, afin d’assouvir sa vengeance, mais il n’avait pas envie d’aller à l’encontre des principes des Jedi. Mais ce sentiment s’évapora lorsque Palpatine lui dit :
- Tue-le !
Non pas un ordre. Non pas un conseil. Non pas une indication. Mais une permission. Palpatine venait de lui autoriser de tuer cet homme, en cet instant. Depuis le moment même où le Comte avait organisé l’attentat de Padmé Amidala, sa femme, Anakin n’avait eu qu’une envie réelle, à part que la guerre se termine pour pouvoir vivre auprès de sa femme des jours moins agités : tuer cet homme afin de la venger, de se venger. Dooku regarda à nouveau Anakin. Il ne sentit pas les deux sabres se refermer sur sa gorge, envoyant sa tête rouler au loin.
Anakin rétracta les lames et alla libéra le Chancelier. Dans son esprit, tout se bousculait. Des mots lui revinrent à l’esprit, des mots comme « crime », « criminel ». Il se souvint des histoires qu’on lui avait raconté à propos de criminels de guerre, alors qu’il ne venait que de commencer sa formation au Temple Jedi en compagnie d’Obi-Wan. Voulant en savoir plus, il était allé se renseigner avec son Maître sur le sujet. Ce qu’il y avait vu l’avait horrifié. Pas les peines qu’ils avaient subies, mais les crimes que certains d’entre eux avaient pu faire. Cela pouvait aller du simple crime au génocide entier, en passant par les pires souffrances jamais imaginées. Tous les grands criminels de guerre dont il connaissait le nom avaient d’abord commencé par un petit crime, une séquestration d’ennemis, toutes ces petites choses qui peuvent paraître normales en temps de guerre, et le quart de ces criminels en étaient arrivé au génocide et à la torture. Bien sûr, ces derniers avaient subi des traitements horribles : des années de prison pendant leur procès, pour aboutir à la peine de mort. Cette peine n’était pas très courante au sein de la République, quoiqu’il fût utilisée dans de nombreux cas très graves. En ce moment, tout ce qu’il espérait en ce moment, c’est qu’il ne finirait jamais comme ces personnes. Mais ces craintes disparurent quand Palpatine lui parla, ramenant son esprit à la dure réalité.
- Tu as bien fait, Anakin, dit ce dernier. Il était trop dangereux pour qu’on le laisse vivre.
- Oui, mais c’était un prisonnier désarmé, répliqua Anakin. Je n’aurais pas du, c’est contraire aux principes des Jedi.
- Juste retour des choses : il t’as coupé un bras, et tu voulais te venger. Rappelle-toi de ce que tu m’as dit à propos de ta mère et des Hommes des Sables.
Alors que Palpatine venait de prononcer ces mots, Anakin revit mentalement cette scène : sa mère mourrant dans ses bras, le visage en sang. C’était la première fois qu’il l’a revoyait depuis dix ans, et elle mourrait. A ce moment là, il avait senti la haine l’envahir ; et tué tous les être vivants dans le campement : les hommes, les femmes, les enfants, et même les animaux.
Il ne trouva rien à répondre.
- Allons-nous-en avant que d’autres gardes droïds n’arrivent.
Ils commencèrent à marcher vers la sortie lorsque Anakin vit Obi-Wan inconscient, non loin de là.
- Anakin ? demanda Palpatine. On n’a pas de temps à perdre. Il faut quitter ce vaisseau avant qu’il ne soit trop tard.
- Ca ne parait pas trop grave, répondit le jeune Jedi après avoir brièvement examiné son mentor.
- Laisse-le, sinon nous sommes perdus.
- Son sort ne sera pas différent du notre.
Il releva la tête pour regarder le Chancelier dans les yeux. Il l’avait défié. Cet homme pour qui il avait toujours eu le plus grand respect, cet homme qui s’était conduit en mentor, en ami durant toutes ces années. Palpatine aurait pu paraître vexé, mais il n’en fut rien. Il reconnaissait bien là le petit garçon de Tatooine qui n’en faisait qu’à sa tête, mais toujours là pour aider ceux qui lui étaient chers, un sentiment qui avait fait toute la différence lors de la Bataille de Naboo. Palpatine fut obligé de céder, mais sans regrets. Il sourit. Anakin prit son Maître sur ses épaules, et quitta la pièce en accompagné par Palpatine, cet homme aux mille facettes, l’homme qui l’avait incité à commettre son premier acte de guerre.
(j´ai du le mettre en deux fois : le message était trop long )
c´est hyper, méga, trop, incroyablement, inégalablement, superbement, magiquement, extrèmement, très bien. Dsl j´en ai pu là mais bon j´épère que t´as compris.
en effet
hyper-beaucoup-extremement-tres bien
ps: y´a deux tirets que j´ai oublié d eremplacer, désolé
pas grave et de rien je suis généralement francs et là c´est le cas. Si tu as le temps et l´envie peux tu lire la suite de ma fic.
pas là, je vais voir le match, mais soit apres dans la soirée, soit demain, c´est promis
(si j´oublis, rappelle le moi
Je n´aurais pas besoin
je l´espere
ce qui est bien, c´est qu´elle est longue
dark oh comme c´est bizarre tu dis que c´est bien parce que c´est long mais sur ce topic tu dis qu´il y trop de choses a lire
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10583-254868-2-0-1-0-0.htm
à quand la suite ?
sais pas
Elite, la fic de Viper est incomparable