Halo 3

J'arrive pas à croire que la fille s'appelle vendredi

mdr

Génial !! Best fan-fic !!!!

Met la sur halo 3 odst !!!!!

C'est génial de vivre les missions avec des français

Sa me fait penser à la deuxième partie de ma fic, où j'ai fait pareil mais avec des grunts et des rapaces !!

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 14 : La lumiere au bout du tunnel

[1er Mars - Terre - Tunnel souterrain - soior 19:15]

De Val et Jackson s'était séparé aprés un croisement, mais était retombé l'un sur l'autre à un nouveau croisement.
- Ce terrain et trop bizard déclara Jackson. J'ai de plus en plus peur.
- Je reconnais que c'est inquiettant, on avence, on avence et toujours pas d'issus, pas d'autre chemin que ce gigantesque tunnel. Parcontre, il y a une force mystique, on marche depuis se matin, pourtant je ne ressend ni la soif, si la fain, si la fatique.
- Vous avez réson. Vous croyez qu'on devrez faire demi tour ?
- Avec tous se qu'on a marché, on doit arrivé pret du but.
- Et ces deux créatures ? Avant de les avoirs tué j'étais fatigué et je cravais la dalle. Ces les lumiéres qui nous mintienne en vie.
- Tu n'es pas aussi béte qui n'y parait. Avence !
Jackson secoua la tête de gauche à droite avec une grimasse et reprit la route.
Ils marchérent encore de longue minute avant d'arriver dans une grande piéce ronde. Au centre, un autre obélisque.
- Quoi ? On a fait demi tour sans sans rendre conte et on est revenu au point de départ ? Gromela Jackson
- Difficile à savoir, il faisait noir à l'aller. Mais peut-être éce la fin du tunnel, la sortit, l'autre coté, le but.
- Et si en le touchant on revient à notre point de départ ?
- Et bien on reviendra dans le tunnel.
- oué, ben parle pour toi.

De Val et Jackson s'approchérent doucement de l'artéfacte, l'objet s'entit la précence des humains et une écriture, surement du Forerunner se mit à briller.
- Sa n'a pas brillé à l'aller. On est de l'autre coté. On touche au but.
De Val approcha sa main de la structure qui intensifia sa lumiére.
- Attendez. L'intérrompit Jackson. Et si on se téléporte dans un endroit terrifiant, ou ou meurt ?
- Y a qu'un moyen de le savoir.
De Val reprit son geste et Jackson l'interrompit à nouveau.
- Mais... et si on le toucher en même temps ?
- Si tu veux.
Les deux hommes se regardérent, puis tendirent sechement leur brat et leur main touchérent simultanémant l'obélisque, une lumiére aveuglante envahit la salle qui une fois disparut, les lumiéres des couloirs s'étégnirent.

Les deux soldats étaient revenu à la surface, le jour les aveuglés. Ils regardérent le sol qui semblait métalique, tout autour d'eux était du métal et au loin des vaisseaux, des vaisseaux covenants.
- Mon dieux. On est ou là ? Demanda intrigué Jackson
- En plein millieu du site de fouille.
- De quoi ?
De Val leva la tête et montra le vaisseau forerunner placer sur un socle.
- On pouvait pas mieux tombé.
- A bon ? J'aurais dit le contrérent.
- Les covenants cherchent l'arche, quelle est le meilleur moyen de les ennempécher ?
- Les tués ?
- Exacte, de l'interrieur. On va monter dans l'un de ces vaisseaux.

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Chapitre 15 : Pas de répit

[1er Mars - Terre - Base des marines détruite pret de New Mambasa- soir 19:20]

Le LongWord se posa dans un des hangards les plus entiers. Lement fut le premier à sortir arme en main. De nombreux point ennemi était détecté dans la base. Tout le monde n'éatit pas mort.
Soutch se jeta sur un placard, l'ouvrit et en sortit un petit appareil.
- C'est un régulateur de puissance, sa permétra au moteur de marcher un pleu plus que se qu'on a pu le faire marcher pour l'instant.
Lement aquiessa, armé de son BR55, il scrutait la zone. Le colonel ne voulait pas resté dans la base si il y avait des covenants.
Zibab pendant ce temps, tira un tuyo pour envoyer de l'essence dans le LongWord.

Vendredi et Emilia, la fillette restérent à l'intérieur, dans les brats l'une de l'autre, silentieuses.
Riche lui, c'était légérement aventuré, il y avait plein de corps ennemi par terre, plein de corps et plein d'arme, Riche n'aimait pas le BR55, il n'était pas vraiment précis et préféré tout se qui était plus bourin.
Il souleva une Brute et découvrit sous son corps un lance-grenade.
- Bingo fit-il avec un sourir.
Il s'empressa de métre son arme en bandouliére et de soulever la lourde arme extra-terrestre.
- J'ai bien fait de faire de la muscu ricana t-il.
Malheuresement, il se rendit vite conte quand combat cette arme ne lui serait d'aucune utilité, bien trop lourde. Il la lacha dans un soupire et reprit en main son BR55.

Zibab se présenta devant Lement. Il semblait être contrarié.
- Qui y a t-il demanda le colonel
- Un cable s'est rompu, il n'y en a pas dans se hangar. Celui d'a coté n'est pas trop amoché non plus, peut-être qu'il y en a.
- Bon.
Lement se retourna cherchant l'un de ces hommes pour l'accompagné.
- Riche, améne ton cul fit-il.
Le soldat arriva l'air inquisiteur.
- Tu vas accompagné Zibab dans le hangard d'a coté.

Zibab avait laissé son Lance-roquette dans le véhicule, pour ne pas être sans rien en cas de conflit, il ramassa un Neadler par terre.
Les couloirs de la base, autre fois remplit de marines étaient maintenant vide, complétement vide. Seul les cadavres et les murs effondraient y résidé.
- Puisqu'on y est. Je vais allé au cuisine, on a besoin de bouffe. Dit Riche
- Négatif, on ne sait pas ou sont les cuisines, et le colonel nous a donné la permission pour aller jusqu'au Hangar.
- Ok.

Les deux hommes arrivérent rapidement au Hangard d'à coté. Il y avait beaucoup plus de mort humain dans celui ci mais autant de cadavre covenants.
Zibab trouva tout de suite se qu'il cherchait, mais Riche était au aget.
- Qu'il y a t-il ?
- Des grognements de Brutes contre des Grognards.
Zibab enroula le cable autour de sa taille et s'arma du Neadler.
- Dépéchons nous de retourner au hangar.

Les deux hommes présérent leur pas, mais en sortant du hangar, ils tombérent sur plusieur escouade ennemi se regroupant justement dans cette zone peut-être attendant des rends fors ou un moyen de transport pour quitter cette endroit.
Zibab et Riche retournérent aussi sec dans le hanger en fermant la porte derriere eux. Zibab resta contre pour la bloquer en plus du loket.
Riche déclencha sa radio, appellant son colonel à aide
- Qui y a t-il ?
- On est prit au piége dans le hangar voisin, venait nous chercher, vite, ils ont des hunters, la porte ne tiendra pas longtemps.
- Affirmatif, on arrive.

Riche poussa une grosse caisse contre la porte, jetta un oeil à Zibab, les deux hommes ne savaient pas trop quoi faire, il n'avait aucune chance face à tant d'ennemi, peut-être était-il une trantaine dont 2 binome de chasseur.
La porte était solucité par des coup et bientôt elle s'éda, la caisse gicla d'un coup cognant Riche sur son passage qui attérit plus loin.
- Riche murmura Zibab en vidant son chargeur dans l'acadrement de la porte sans même viser.

Il rejoignit rapidement Riche qui était en train de se relever. Zibab le traina derriere un petit muré.
- Tu crois qu'un muré va les arrétter demanda Riche
- Les ralentirs...peut-être.

Au loin, le LongWord arriva, se tourna pour faire en sorte que la trappe soit du coté des soldats humains. Cette derniere souvrit et les deux hommes se mirent à courir comme ils ne l'avaient jamais fait. Il sautérent à l'interrieur alors que l'appareil décola et que la trappe arriere se ferma.
- Ouf fit Riche en s'assayant par terre.
Le vaisseau s'éloigna, à sa vitesse maximal mais qui était extrémement réduite.

Zibab trafica pendant une diziane de minute le cable récupéré. D'un coup, toute les lumiéres du vaisseaux s'allumérent en plein. Scoutch qui était au commende dit que l'armemant était revenu mais toujours pas la radio.
Lement s'assit en co-pilote et soupira.
- On a jamais de répit.

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Chapitre 16 : Le tournant de la guerre

[1er Mars - Terre - Aube - soir 19:30]

Un Pélican attérit dans le hangar de l'aube de l'espérance. Quelque soldats en sortirent dont Bois. Une femme les invita à rejoindre l'infirmerie pour quelque examins.
Les examins furent bref, et les hommes casiment appellé tout de suite aprés pour combatre.
C'est Johnson qui fit leur brifing.
- Alors, marines ? Toujours en vie ? O, ça oui. Toujours envis de vous battre ? Peut-être moins. Mais si on baisse les brats se serra la Terre que nous perdrons, le sparatn 117 et l'arbiter vont détruire le canon Covenants, l'aube et les autres vaisseaux vont fonnsé et pulvérisé ceux des covenants, parcontre, on a besoin de pilote. ça c'est une chose, les LongWords et Hornet ne se conduiront pas tout seul, mais on a aussi besoin de vous, à l'interrieur. Qui c'est comment cela va tourner ? Peut-être seront nous détruit, peut-être pas, peut-être serons nous abordez, peut-être pas. Que ceux qui veulent resté dans le vaisseau reste, que ceux qui veulent être copilote, rejoigne les hangards et que ceux qui veulent se battre au sol comme on le fait si bien, rejoigne les transports.
Bois ésita, puis il descida de rester à l'interrieur du vaisseau, le deffendre en cas d'invasion serait la meilleur chose qu'il sache faire.

Johnson s'éloigna doucement, Bois le ratrapa.
- SErgent Johnson.
- Tien, petit gas ? Tu es là ?
- Oui monsieur.
- Des nouvelles de ton unité ?
- Non monsieur, parconrtre, j'ai le regret de vous apprendre que Kimbol est mort.
- Je m'en douté vois tu. Et toi alors ? Tu descends à la surface ?
- Non, je reste ici. A bord.
- Soit.
Johnson continua son chemin alors que Bois rejoigna l'armurerie pour se deffendre en cas de besoin, il s'arma d'un MA5B.

[1er Mars - Terre - Interrieur du vaisseau Forerunner - soir 19:30]

Jackson et De Val avait reussi à grimpé dans l'un des vaisseaux, il avait choisit le plus simple, le vaisseau Forerunner prit par les covenants. Il ne sembalit pas y avoir trop de force ennemi à l'intérieur. Mais Vérité prennait de plus en plus la parole, ces derniers messages disaient que les Phantoms les plus proche revener à bord avec quelque fréres et que le grand voyage allait débuté.
Les deux hommes se cachérent dans un recoin pour réfléchir.
- Alors quesqu'on fait demanda Jackson
- On va tué Vérité.
- Vous avez prit la grosse tête. Un Prophéte est exécivement protégé.
- Sa sera d'autant plus drole.
- De creuvé ? Oué !

[1er Mars - Terre - Au dessus de la Jungle - soir 19:45]

Le Long Word avençait beaucoup plus rapidement, mais la radio ne marché toujours pas. Le vaisseau se dirigeait vers un groupe de vaisseau humain proche du site de fouille covenant.
- On y sera dans 1 minute.
Subitement, la flotte se mit à avanser à une allure folle vers le site covenants.
- La regarder, le cannon à été détruit. On vont tenter d'attaquer les covenants.
Lement qui était entre les deux pilotes fronssa les sourcils.
- On va leur foutre une tarte, moteur au maximum, allez-y, sa tiendra, rejoigner ces vaisseaux et ouvrez le feu !

Le LongWord doubla sa vitesse et rejoigna le groupe de vaisseau, il ouvrit rapidement le feu sur la cible prioritaire, le vaisseau clef Forerunner.
Les pilotes firent des loupings pour esquiver des tirs ennemi, se bref combat fut trés intence jusqu'à qu'une boule bleuté se forma dans le ciel et qui fit office de bombe électro-magnétique. Les moteurs s'arrétéent tous et se mit à dériver par la gravité.

[1er Mars - Terre - A l'interrieur du vaisseau Forerunner - soir 19:47]

De Val et Jackson qui marché dans les couloirs tombérent au sol sous la présion des tirs.
- Bordel, on nous tir dessus dit Jackson.
Le vaisseau trembla à nouveau.
- Bordel, quesqui se passe ?
- On décolle dit à son tour De Val
- On va ou ?
- Je l'ignore.

Plus personne le lit ?

Je tiens à m'excusez, je suis un peut long, sauf que j'ai un probléme, je sais pas se que je vais faire de certain héro. Vont-ils allé sur l'Arche, resté sur Terre ?

pas trop le temps en ce moment, ce week sans doute...

Bon, ben je me lance

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Chapitre 17 : La menace Parasite

[1er Mars - Terre - LongWord - soir 19:50]

Les pillotent des vaisseaux reprirent les commendent alors qu'une porte de sous-espace se rouvrit.
- Oh mon dieu dit Riche dans le LongWord On a pas fini. Un croiseur viens de sortir du sous-espace. Croiseur Covenants. Il s'emble en mauvaise était. Il se crash.
Le visage de Riche n'était tendu et surprit.
- Qui y a t-il ? Demanda Lement
- Le vaisseau, il n'y a pas de signe de vie à l'interrieur.
- C'est impossible. Déclara Scoutch. Je me branche sur le radar universel.
Scoutch basculla sur le radar universel, les LongWords possédés deux type de radar, stardard qui était basique et permétter une vu 3D mais se limiter au signe de vie Humain et Covenant et Universel qui enléve la vue 3D mais en plus des covenants montrent toute les espéces rencontrer dans la galaxie et même celle qui sont inconnu.
- Il y a bien des sources de vie, des dizaines, des centaines, des milliers qui s'éparpisse autourt de l'épave.
- De quel race ? Demanda le colonel.
Scoutch appuya sur un bouton et une fiche apparue à l'écrant.
- Mon dieu mon colonel. Ce son des Foods, aussi appellé parasite. Parasite. Au fur et à mesure que nous perdons des hommes, il en gagne.
- A ben, là ! On est vraiment foutu dit Riche s'appuyant contre le dossier du fauteuille de co-pilote.
- Nous n'avons pas encore perdut. Nous sommes des humains, et bien plus nombreux qu'eux.

Lement quitta la salle de controle et alla dans la salle de la trappe. Il passa à coté de Vendredi et Emilia. Il se baissa pour être au meilleur niveau pour parler à Zibab assit par terre.
- On a des parasites sur les brats murmura t-il. Tu crois que tu peux nous concocté une petite bombe pour les ralentirs ?
- Je n'ai aucun appareil.
Je peux arrivé à faire exploser le LongWord, mais même si je vous dépose, je périrais. Il faut le faire manuelment. Si c'est se que vous voulez mon colonel.
- Non. Non, je veux pas perdre un nouvel homme. Ce n'est pas grave, on va se débrouiller.
Lement retourna dans le poste de commende.

[1er Mars - Terre - Aube - soir 19:50]

Bois regardait comme tous les autres humains au vitre du vaisseau quand soudain, les hauts parleurs se mirent à résonner. Il s'agissait de l'Amiral Hood
- Attention, le Parasite se répend sur toute la ville. Que tous les marines rejoignent les hangards et descendent au combat.
Bois soupira. Si il avait un cochemar se serait de se battre contre ces créatures, il ne connaissait pas grand chose mais n'avait pas envis d'en savoir d'avantage.
Il prit une grande inspation, sérra son arme et couru avec d'autre soldat vers les hangards pour la batail.
Lui qui était habituelment si sur de lui ne l'étais plus.

Il arriva dans les fameux hangards et sauta dans le premier Pelican qu'il vit. Il s'assit sur la derniere place de libre, et les portes se refermérent.
Tous les marines étaient térorisé, ils avaient tous peur.

[1er Mars - Arche - Vaisseau Forerunners - soir 19:50]

De Val et Jackson regardérent le vide interstéllérent par une ouverture. En face d'eux, une structure ressemblant vaguement à une étoile, l'Arche.

La flotte de vaisseau avençait vers elle à vitesse réduite. Les croisseurs et destroyers ne rentrérent pas dans l'atmosphére alors que le vaisseau du Prophéte si, se qui causa une secousse à l'interrieur.
Des Phantoms sortirent déjà des soutes pour sécuriser certaine zone.
Les deux hommes se regardérent. Ils étaient seuls. Seuls sur une structure inconnu. A bord d'un vaisseau ennemi. Contre une armée entiere de covenants pret à tous pour protéger leur Prophéte.

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Chapitre 18 : Infection

[1er Mars - Terre - Ville de Membasa - soir 20:00]

3 pélicans désendirent en fléche vers le sol et largérent des unités de marines, à leur tête, le sergent Johnson.
- Go, go go ! dit-il.
La trentaine de marines s'éloigna de la Z.A., ils se mirent dans un endroit calme et Johnson prit parole.
- Marines. Les covenants sont des couilles molles. Les trois quard sont partit on ne sait ou par le portail et le reste à rejoind l'Europe de peur que le Floods les détruisent. Notre priorité numéro 1, défonser cette pouriture infame. Puis, nous partirons en Europe, pour récupérer notre belle planéte !

Au millieu des marines, un soldat patriote Français. Bois. Il était desendu avec Johnson, il était déscidé à détruire les Floods pour vite partirent en Europe, deffendre son continant, et principalement la France, aujourd'hui sans deffence.
- On a une mission marines. On a localisé une espéce de gros parasite, on pense qu'il s'agit d'une reine ou d'un truck comme ça, mais on ne sait pas réelment se que c'est. On va le faire sauté.

Les marines aquiessairent et suivirent Johnson dans les rues sombres de Mombasa, l'ensienne ville complétement ravagé qui est même en periode de paix, partiellement abandonné et en ruine.
Johnson s'arretta soudainnement, tous les marines s'arréttérent.
- On est plus seul mes amis fit-il en chargeant son pompe.

[1er Mars - Terre - LongWord - soir 20:00]

Dans le Long Word, Riche au commende avait pour ordre de se poser pret d'un batiment du CSNU dans une ville retiré. La zone était pure, le parasite ne l'avait pas atteind, on pouvait voire au loin de la fumée ou plutôt des sports lévités.
Le LongWord se posa et l'équipage descendit.
Les portes du batiment avait été déffonser surement par une explosion au plasma. Les français rentrérent doucement, arme en main. Vendredi et Emilia, furent les seuls à rester dans le véhicule attendant que le lieu soit sécurisé.
Sa radio grésilla. Cela voulait dire que tout été bon. Vendedi et la filette rentrérent à leur tour dans le batiment. L'interrieur était exactement comme à l'exterrieur, ravagé.
Zabib se présenta devant une radio prit une chaise et alluma la grosse machine.
- En espérant que cette chose fonctionne. Fit-il
Il se rendit conte rapidement qu'un cours sircuit avait tout grillé.
- Je peux réparé mais ça va prendre du temps.
- Ok déclara Lement.

Aprés quelque minutes, alors que des chaises renversé et des tables cassé avaient été partiellment remise à leur place, une fumée épaisse et noséabonde envahis la piéce suivit de cri.
- Les Floods dit Lement en se relevant.
Il se tourna vers Vendredi.
- Reste avec la petite.
Il se tourna vers Zibab
- Continu de réparer !
Il se tourna vers Riche, le désigna du doigt puis désigna Scoutch et lui disans ainsi de le suivre.

Les trois hommes arrivérent face à porte, au loin, le parasite était là.
- Vite, les portes. Cria Lement
Lement, accompagné de ces amis fermérent les portérent et ils mirent des meubles devant pour la bloquer.
- Sa les ralentira.
Riche ne disait rien, mais on voyait dans son rengard qu'il sentait, une éniéme fois, la fin arrivé pour lui.
- Riche, va cherché s'il y a pas des Fusils à pompe à l'armurerie, sa t'occupera, raménes en pour tout le monde.
- Affirmatif répondit-il d'une voix tramblante.

A ces mots la porte vibra.
- Ils nous ont trouvé déclara Scoutch

[1er Mars - Arche - Vaisseau Forerunner - soir 20:00]

De Val et Jackson était à l'entrée d'une salle des machines. Face à eux, un immence générateur protéger par un bouclier violasser.
- Bon, pour le faire exploser, on reviendra. Dit Jackson
- Pas forcément.
De Val se pencha sur un interupteur.
- Regarde. Avec un cours circuit, on peut peut-être baisser le cha...
Le Français séssa de parler et se placarda contre le mur tout comme Jackson. Une patrouille brute avanser dans le large couloir voisin.
- Ils sont en tenu de pilote fit remarquer Jackson
- Et alors ?
- On voulait détruire le réacteur pour faire diversion et s'enfuire, mais il sufit de les suivres jusqu'au hangar à vaisseau.
- Bon, dacaord.
Les deux hommes quittérent la piéce et se dirigérent au son à la poursuite des Brutes qui arrivérent rapidement face à un assenceur gravitationnel qui les fit s'élever en quelque seconde.
De Val regarda le tube.
- Et bien, tu saute pas ?
- Il faut attendre, si on se retrouve juste derriere eux, ils nous verrons.
Puis finalement il se lanssa.
- Quesque je dois pas faire murmura Jackson en se jetan à son tour.

L'assenceur les menas au niveau supérieur. L'étage entier était un hangar à vaisseau, il y en avait de toute sorte, banshee, séraphin, Phantom.
- Regarde dit subitement Jackson en montrant le plafon.
Quelque scarab' était accroché au plafond les pattes replié sur elle même, attendant d'être utilisé.
- Tu penses pouvoir en piloter un ? Demanda De Val
- Tu plaisante ? - Non.
- Quesque tu sais piloté ?
- Ben, un Wartohg.
- C'est bien, et chez les covis ?
- Un ghost.
- Pu... De Val commenser à s'impasientait. Je veux sortir du vaisseau, un scarab c'est pas mal, mais si juste un seul appareil se retourne contre tout le monde on va pas faire long feu, si tu savais utiliser un Scarab' sa aurait été parfait.
- Comment sa se conduit ?
- J'en sais rien, j'en ai jamais eu entre les mains.
- Je vais éssayé.
- Trés bien. On reste en contacte radio, utilise là qu'en cas d'extréme urgence.
- Trés bien.
- Prend celui à l'extréme droite, je prends celui à l'extréme gauche.

De Val prit un autre asseceur anti gravitationnel le menant à une passerel. Jackson fit pareil, il se retrouva en face de De Val à des dizaines de métres décard. Ils avensérent tous d'eux à leur ritme, la pesserel était étroite et courir était dangereux.
De Val arriva en premier à son Scarab, il passa par une rampe et arriva en salle de controle.
Il se frotta la tête et regarda le panneau de commende.
- Il ressemble vaguement à celui d'un Eléphant murmura t-il.
Il appuya sur une touche et un bruit de moteur se mit en route. Les canons de l'appareil s'allumérent et ces pattes se dépliérent puis il tombat en masse sur le sol écrasant une apparitions qui faisait sa maneuvre dans cette zone.

Jackson vit la scéne, il se rua dans le sien, prit de panique appuya sur toute les touches et l'écran devant lui s'illumina. A l'exterrieur, les canons s'allumérent et les pates se dépliérent avant que l'appareil tout entier ne sécrase au sol.

Le Scarab de De Val s'approcha du centre de la piéce qui n'était qu'un unique téléporteur rond d'environ 20 métres de diamétres.
Une fois les deux Scarab' au centre. L'écran de Jackson afficha le visage d'une brute.
- Vous n'êtes pas autorisé à quitter....Un humain ?
L'écran coupa. Jackson se mordit la lévre inférieur et déclencha sa radio.
- Ils savent qu'on est là.
- Préparent toi réplica De Val. J'ai trouvé comment activé le téléporteur.
Le cercle externe du téléporteur se mit à briller et un anneau s'éleva et redessendit tout de suite faisant disparétre les deux véhicules.

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Chapitre 19 : La créature

[1er Mars - Terre - Ville de Membasa - soir 20:10]

Johnson et ses hommes étaient au pied de guerre, tous armé d'un fusil à pompe, ils cherchaient dout pouvé provenir ces cris terrifiant.
- Là cria bientôt l'un des marines en montrant le haut d'un toit.

Tout le monde regarda dans cette direction, mais ils se rendirent conte qu'il y en avait partout autour d'eux. Le combat était innévitable. Les ennemis beaucoup plus agile étaient deux fois plus nombreux que les humains.
- C'est bon signe, on est proche de la grosse béte déclara Johnson

Les floods sautérent tous en même temps sur leur ennemi, pour la plupart, les corps étaient autre fois des Humains, mais il y avait beaucoup de corps de Brute et d'Elite.

Tous les humains tiraient à l'aide de leur pompe. Ils ne prenaient même pas la peine de viser, certain fermer les yeux par peur ou de peur que du jus de parasite n'attérisse dans leur yeux.
Certain soldat crié de douleur sous les coups de foué de ces assayants.

Johnson, tirait, tirait. Lui avait bien les yeux ouvert et visé du mieux qu'il pouvait. Mais une créature passa derriere lui et le frappa. Johnson sous la surprise tombat à terre et se retournit immédiatement pour tuer son adversaire qui donna à nouveau un coup de foué mais situé dans le canon de l'arme.
L'objet partit à quelque métre plus loin, Johnson était désarmé. La créature leva ses espéces de foué pour frapper le sergent, mais une main l'intérompit, suivit d'un coup de poing dans le tors qui traversa litéralement le parasite. L'homme remonta son brat comme une lame et découpa le parasite en deux.
Johnson pû voir le visage de son sauveur, Bois.
- Merci mon petit. Je te doit une fiére chandelle.
- Bois inclina l'égérement la tête et se retourna juste attand pour descendre un flood.

Le combat ne dura pas trés longtemps en à peine 3 minutes, tous les floods avaient été tué. Seul 7 marines avaient succombé.
- On ne peut pas s'occuper d'eux. Dit Johnson en ramassant son arme. On doit continué, et vite.

Ils conrurent vers une plaque d'égout et descendirent dans les tunnels sombes de la ville. Il marchérent à pas de lou torche allumé pendant quelque métre diriger par Johnson.
Bientôt, ils arrivérent devant la créature.
Tout le monde regarda la créature qui était plongé dans l'eau trouble et noséabonde et semblait sans nourir.
- Et, là ! C'est Monsieur Ankey S'éclama un marine en montrant ces pied.
- Sufit marines. Dit Johnson. Déposez moi ces charges et fillons.

Tous les marines porté sur eux deux charges, ils les plassérent et les activérent avant de remonter à toute allure à la surface. Dans les égouts, le bruit des humains avaient réveillé des parasites qui s'approché d'eux. Leur cri étaient de plus en plus fort.

Les marines remontérent à la surface et s'éloignérent le plus possible de la plaque d'égout. Ils se cachérent dans une rulle et Johnson sortit un détonnateur. Cependant, il n'appuyait pas.

Bois se demander se qui se passer. Johnson n'appuyait pas. Pourquoi ? pensait-il à une meilleur maneuvre de fuite ? Ou de détruire la grosse créature ? Il aurait aimé lui demandé, mais ne le fit pas. Bois vit plus loin, au niveau de la plaque, des floods s'échappés, il y avait des parasites de combat mais aussi d'infection, surement avait-il sentit le piége. Ou leur soif de tuer et de se nourir les avaient conduit jusqu'ici.
A ce moment, Johnson appuya sur le bouton du détonnateur et toute la région trembla puis s'effondra sous les pieds des créatures extraterrestres qui moururent déchiqueté.
Le plan de Johnson était enféte ingénieux. Il attendait que le flood se montre pour actionner la comande et les tués en même temps.

Le sergent se tourna vers ces hommes.
- C'est du bon boulot marines.
La radio de Johnson grésilla sur sa liéson privé.
- Johnson, vous avez réussi ? Demanda une voix de femme
- Oui Commendant. Mission accomplit.
- Je passe vous prendre en Pélican. Ne bougez pas.
- Et pour mes hommes ?
- La zone doit-être sous controle. On a besoin d'avoir Mombasa sous notre controle.
- Affirmatif. A tout de suite Commandant.

Johnson regarda ces hommes, il baissa les yeux pour réfléchir 2 secondes et les releva tout de suite.
- Bon, marine. Toute mes félicitations pour votre combat. Restez ici, on a besoin de garder la ville. On vous envéra des rends-fors au plus vite. Je dois y aller.

Un Pélican s'approcha et se posa délicatement, Johnson monta à bord alors qu'il redécola et il fit un signe millitaire au soldats restaient au sol, livré à eux même.

Bois regarda le Pelican s'en aller. Il aurait voulu quitter cette zone lui aussi. Mais il combatra.

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Chapitre 20 : Pris au piége

[1er Mars - Terre - Centre de commende du CSNU - soir 20:15]

Lement regardait la porte qui tremblait. D'un coup sur sa droite, une fenétre explosa et un floods entra, Riche tira immédiatement avec son pompe pour anéantire la menace.
Lement chargea son fusil et le mit en joux.
- Dépéche toi Zibab, on ne tiendra pas toute la journée.
- J'ai bientôt fini. C'est trés minutieux.

Alors que la porte continué de battre, les français entendirent du mouvement au niveau de l'étage au dessus.
- Il rentre par le premier déclara Scoutch.
A ses mots, Lement se sentit mal, son plan avait échoué, il avait oublié de baricadé le 1ere étage ou d'y envoyer quelqu'un.
Il se rédit puis rapidement fronssa les sourcils.
- Riche, Scoutch. Plassez vous pret de l'escalier et buter moi les.
Ces hommes répondirent par un aquiessement.
Lement quitta sa position pour prendre le fusil à pompe de Zibab.
Armée de deux armes il se sentait plus en confiance.

Alors que Scoutch et Riche tiraient, la porte de devant séda.
- C'est parti murmura Lement.
Il tira en même temps avec ces deux armes sur deux créatures qui explosére. Pour recharger ces armes, il les jetait, les ratrapés par la pompe, d'un coup sec rechargé, tiré et ainsi de suite. Il fit un roulement pour qu'il est toujours un pompe qui tir. C'était une bonne technique, il arrivait à être plus rapide que ces adversaires. Mais vint le moment ou il fut submergé.
Heuresement, voyant la porte ouverte, les floods ne passérent pas par le niveau supérieur, ce qui permit aux deux hommes en poste de venir aider leur supérieur hiérarchique.
- C'est bon s'exclama Zabib.
- Alors vient nous aidez. Déclara Lement en lui lansant l'une de ces armes. Vendredi, laisse la petite dans un coin et vient !
Tout le monde était requis, le parasite ne parvené plus à avenser et les humains récupéré l'entrée. Bientôt, il refermérent le peut de porte qui restait en la baricadant encore plus qu'avant.
Zabib se rua sur la radio alors que Vendredi alla rassurer Emilia.

[1er Mars - Terre - Ciel,Pelican - soir 20:25]

Le Pelican avenser à vitesse réduite, à bord, celement deux personnes, Keyes et Johnson. Ils assistérent à l'arriver des Elites qui envoyérent une phrase d'approche sur multi-fréquence pour que toute les radios puisse l'entendre.
Peut de temps aprés cela, la radio grésilla à travers, on pouvait distinguait une voix. Devenant de plus en plus claire.
- Attendez fit Johnson.
Il changea l'onde de sa radio de bord pour tenter de trouver une fréquence plus net. Il la trouva, ce n'était pas ce qu'il y avait de plus claire mais on comprennait les paroles de l'homme.
- Je répéte ici les rescapés de l'escuade Frappe 957 équipe patriote Française. Quelqu'un me ressoit ? Terminé.

Johnson sembla réfléchir pendant une dizaine de seconde. Il se tourna vers Keyes.
- Il faut qu'on alle les aidés.
- Sergent. J'aimerais moi aussi sauvé tous ces hommes, mais on ne peut pas. Même si ils sont sur notre route. Un simple flood de combat peut détruire se vaisseau.
L'homme recommença sa phrase.
- Madame. Vous ne comprenez pas. Depuis quelque jours je cotois un soldat patriote Français, il est trés bon soldat, bonne élément. Son escuade est Frappe 957.
- Je suis désolé Johnson.
- Cette homme vient de me sauver la vie madame.
- C'est triste pour eux, sergent.
- Et lui même avant d'être séparé à était sauvé par eux. Si il était mort. Je serais mort. Madame...

[1er Mars - Terre - Ville de Membasa - soir 20:25]

Zibab qui était à la radio fini par abandonné.
- Deux solutions, soit la radio est vraiment HS. Soit personne ne nous reçoit.
- On a bien entendu le message des Elites fit remarqué Vendredi. Elle marche bien.
- Vendredi à raison, continu. La radio n'émait peut-être pas trop loin dans les environs.

Alors que Zibab alla refaire une nouvelle tentative, sa radio grésilla.
- Ici le sergent-major Johnson. Est-ce-qu'on peut vous aidez ?
- Oui ! Oui ! S'exclama Zibab.
- Ou êtes vous ?
- Pret de Mombasa, dans la banlieu, dans un batimant du CSNU.
- Trés bien. On arrive en Pelican. Tennez bon.

La liaison coupa et les français sautérent de joie et criérent tellement il était heureux. Il allait enfin pouvoir se reposer quelque secondes. Eloigner le stresse de la guerre.

Deux minutes plus tard, la radio grésilla et Johnson reprit parole.
- Des parasites sont à vos portes. Restez loin des ouvertures, on va faire sauté la zone.
- Bien reçu répondit Zibab.

Tout le monde s'éloigna des fenétre alors qu'une salve de missile s'abatit à quelque métres de la maison faisant trembler et exploser les vitres.
- Zone sécurisé. Pas pour longtemps. Sortez vite.

Lement et Scoutch enlevérent les baricades et sortirent. Le Pelican était femme à eux, et Keyes et Johnson se tenaient debout dans le coque-pit leur faisant signe de vite faire le tour pour grimper.
- Wha, fit Riche. Comme elle est bonne la pilote.
- Oué, ben, ta pilote c'est la Commandant Keyes. Dit Lement
- Quoi ? Chaud ! Les commendants se reconvertissent en pilote maintenant ?

Les français firent le tour, grimpérent dans le véhicule qui décolla juste aprés.
Johnson s'approcha des rescapés alors que la trappe se fermer. Il se présenta devant le premiere homme qui était Riche.
- Qui commende soldat ?
- Moi dit Lement en s'avensant et en se métant au garde à vous.
- Repos...colonel.
- Alors que se passe t-il ici ?
- Notre convois a été toucher, on sait scratché à Bagaza, on a survécu et sauvé cette fillette, puis on a trouvé un LongWord mais il était trop endomagé, on sait posé pret de ce batiment et on vous a appellé.
- Combient d'homme avez-vous perdut depuis le Crash ?
- Hé bien, notre Pilote et deux Soldats sont morts dans le crash. Nous avons perdu un homme à la suite d'une petite bataille, je ne sais pas si il est en vie. Et notre soldat d'Elite est également porté disparu, je n'ai pas trop d'espoir en se qui les consernes, puis résament, nous avons perdu un homme, en récupérant le fameux LongWord.
- Connaissez vous un présumé Bois ?
Les yeux de Lement s'illuminérent d'un seul coup.
- Oui, oui. Evidement, c'est l'un de mes hommes, celui qu'on a perdu aprés la petite batail.
- Je l'ai retrouvé, probablement, la nuit qui suivit votre crash dans une ruelle entre la vie et la mort. Il sait bien remit, et c'est un trés bon soldat. Il vient dailleur de me sauvé la vie.
- Il est vivant !?
Johnson ricana
- Quand je l'ai quitté, y a 5 minutes oui. Maintenant, je sais pas.
- Hé ! Sergent ! Vennez vite ! Cria Keyes.
- Excusez moi. Dit le sergent en retournant dans le coque-pite.

Les français écoutérent malgrés eux la conversation.
- Les Elites dit Keyes. Ils ont trouvé quelque choses à bord du vaisseau.
- A oui ? Et quoi dont ? Des floods ?
- Non. Cortana.
- Quoi ?
Un long silence fit réfléchir tout le monde, les Français hignoraient qui était Cortana, mais elle semblait être importante.
- Prévennons le Major. Il doit se trouver pret du croiseur et il pourra aller la chercher.
- Oui.

Le Pelican volla jusqu'au croiseur Elite, qui les humains l'espéré, métré un terme à cette assaut.

Promis je lis ce week (moi aussi j'ai du mal le jeudi)

Halo : Escouade Frappe 957

Petit récapitulatif

Voilà, je suis arrivé tout à l'heure au chapitre 20, sa fait pas mal, on est tout de même plus pret de la fin que du début, mais je me suis accroché au personnage et du coup je fais longuir ( sa existe...longuir ? ) le texte. Par exemple, les derniers chapitres parlent que du flood sur Terre, passage qui n'a durée que peut de temps dans le jeux video d'Halo 3. Mais bon, faisons se récapitulatif.

Qui sont les héros ?
Dans cette fic, vous pourrez voire, et vivre la vie de 8 soldats Patriotes Français.
ça c'est une invention personnel.
Les soldats patriote Français sont des humains, normaux, mais qui reste dans leur pays pour le protéger. Il ne sont pas sencé quitter leur territoire. Mais là, pour la premiere fois, ils sont mélé aux marines du CSNU en Afrique.
Le chef d'escuade est Lement, un colonel, talentueux, chanceux et il n'aime pas perdre ces hommes, se qui arrivera.
On rencontre également des Heros connus comme principalement Johnson, mais aussi de temps en temps l'Arbiter, Keyes ou notre bon vieu spartan.

A quel époque sommes nous ?
Nous sommes dans la période d'Halo 3. Le début de la fic commence avant que 117 ne revienne sur Terre. On assiste a son retour.
Ensuite, certain de l'escuade Français resterons sur terre, d'autre irons sur l'Arche.

L'histoire
Tout commence avec un vol de Pelican Français qui se dirige vers la base de Keyes. Il y a des centaines de Covenants qui se font attaqué par des vaisseaux covenants de tout genre ( benshee, séraph, Phantom ) Beaucoup se font détruire. Le Pélican de la Frappe 957 est touché et se crash dans la ville de Bagaza ( que j'ai enventé ). L'escuade perd lors du second chapitre son plus fort soldat, un soldat d'Elite Français. Equivalent des TCAO, peut-être même plus fort.

Le Pelican se crash, et il y a 7 survivants qui quittent la zone du crash et recherhe des marines dans la ville déserte. Lors d'un combat contre un banshee, l'un des soldats et blaisé, pour survivre, il se cache et perd connaissance, ces amis ne le retrouve pas et doivent quitté la zone car d'autre covenants arrivent.

Dans la nuit. Des humains se regroupent dans des Scorpions, avec Johnson à leur tête, ils reprénent la ville et trouve Bois, le soldat blaissé qui sera amené dans la base de Keyes ou il verra bientôt le spartan 117.

Le reste de l'escuade déside de continuer à pied vers cette fameuse base marines, sur leur chemin, ils sauvent une petite fille et la prennent avec eux.

On découvre que le soldat d'Elite est toujours en vie, il sauve un marine des griffes des brutes puis par dans un tunnel Forerunners trés particulier, le marine le suit, il semble par moment être un boulet pour le soldat d'Elite.

Lement et le reste de l'escuade, trouvent un LongWord, ils le prennent mais lors d'une attaque, l'un des membres meurt.

Bois se voit quitté la base lorsqu'elle se fait autodétruir et se retrouve un bout de temps avec le spartan 117. Puis il rejoind un vaisseau humain.

De Val, le soldat d'Elite sors des tunnel pret du site de fouille et monte avec Jackson, le marines dans un vaisseau, qui ne tarde pas à partir pour l'arche. Il est donc le premier humain sur l'arche.

La dessus arrive le Flood, j'ai pas mal tréné là dessus. On voit un autre coté de cette guerre, plus humaine avec l'escuade qui se cache dans un batiment attendant de l'aide.

Bois aide Johnson à détruire une espéce de pré-Fossoyeur, les humains ne connaissant pas reelment les Floods prennent cela pour un genre de reine et la fond sauté.

La dessus les Elites arrivent.

A présent, voici quelque mots sur ce qui va se passé par la suite :

Les Floods vont être éradiqué, la plus part des Français de l'escuade 957 va partir sur l'Arche, le reste de l'escuade Française reste sur Terre et par en France pour deffendre son pays.

Voilà

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 21 : La fin de l'assaut

[1er Mars - Terre - Dans un Phantom Elite- soir 20:30]

Les Elites allaient métre un terme à l'attaque des Floods, le croiseur allait vitrifier toute la zone contaminé. Pour que les humains ne périsse pas, les Phantoms récupéré les humains. Ce qui n'avait pas était récupéré avait ordre de rejoindre les égouts pour être en sécurité.

A bord d'un des Phantom, Bois et d'autres marines.
Les humains n'aimaient pas vraiment monté dans un Phantom, car jusqu'à présent ils appartenaient à leur puissant ennemi.
Ils avaient peur que cette ennemi, ces Elites comme il les appellés, pouraient à n'importe qu'elle moment se retourner contre les humains, contre eux.

Le Phantom déposa les terriens dans l'Aube, un vaisseau humain. Puis l'appareil repartit allant chercher d'autre Marines.

Bois n'aimait pas cette allience. Pour lui, les Elites seraient toujours des ennemis.

[1er Mars - Terre - Afrique - soir 20:35]

A l'exterrieur, les vaisseaux Elites avaient déjà commencer à vitrifier le continant, les floods mouraient à vu d'oeil et les zone décontaminé troqué la fumée verdatre contre une fumée épaisse et noire. En une demie heure à peine, la moitier d'un continant avait été ravagé par les Elites et les canons de leur vaisseaux, mais la menace parasite avait disparu.

On va maintenant passé au chose sérieuse ! Bientôt la suite...

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 22 : La dessision

[1er Mars - Terre - Dans le croiseur Covenants- soir 23:30]

Des marines étaient encore présent dans le hall d'attérissage du croiseur Covenants. Au millieu de tous ces marines, un petit contingent de Français. Il s'agissait de Lement et de son équipe. La petite était toujours avec eux, il n'avait pas croisé de supérieur millitaire à qui la confier.

Un Pelican arriva, fit une petite maneuvre et se posa délicatement. La soute arriére s'ouvrit et un homme en sortit. Il se tenait bien droit, les mains croisé derriere son dos, il avait une casquette blanche et une tenue blanche. C'était l'Amiral Hood. Il descendit de l'appareil.
De l'autre coté, arrivé Keyes, L'Arbiter et 117.
Au millieu de l'immense piéce ils s'arrétérent et commencérent à discuter. Lement aurait bien savoir se qui se diser. C'était aussi sa planete, la ou il était née.

La petite Emilia s'agita tout d'un coup, se déguagea des brats de vendredi qui la posa au sol. Tout de suite aprés elle se mit à courir. Vendredi ne pû rien faire tellement la surprise était grande.
Elle jeta un regard horrifier à Lement. Qu'allait dire ces généraux des armés quand la petite fille passerait à coté d'eux ? On les accusera, on les punira. On les envéra en 1ere ligne ?

Hood fut attiré par un mouvement à sa droite, alors que Keyes lui expliquer un point de vue personnel.
L'Amiral tourna la tête. Lacha subitement ces mains de derriere son dos et sa tête se transforma.
La petite fille courait et rié au éclat. Elle était heureuse.
Keyes s'essa de parler et regarda vers les rires, voyant la filette se dirigait vers eux.
Hood se baissa et Emilia se jeta dans ces brats.
- Grand pêre. Dit-elle. Tu m'as tellement manqué.
- Toi aussi mon sucre d'orge. Ou est ton pêre ? Se sal petit monstre.

Abituelment, cette phrase faisait rire la petite mais cette fois ci elle éclata en sanglot.
- Que que se passe t-il ? Demanda l'Amiral surpris.
- Ces parents sont mort déclara Lement en se présentant devant son supérieur et en se mettant au garde à vous.
- Repos fit Hood en se redressant avec sa petite fille sur les brats.
- Monsieur continua Lement en mettant ces mains dans son dos. Je me prénome Richard Lement. Je suis un soldat Patriote Français. Mon histoire en Afrique et assez longue, mais dans Bagaza, nous avons trouvé cette petite, seul. Ces parents sont morts. Je suis désolé, nous l'avons mal surveillé, elle ne vous importunera plus.
- Mais voyons dit Hood subitement.
L'Amiral, avait envis de sourire, il avait retrouvé sa petite fille, mais dans la même lanssé, il avait aprit la mort de son fils unique.
- Cette Filette, s'appelle Emilia. Comme sa grand-mêre qui est mort le jour de sa naissance. Comme ma femme.
Lement se dérédit complétement et son visage se décomposa. Combient y avait-il de chance pour que ce soit sa petite fille.
- Dans ce cas monsieur, je suis désolé pour votre enfant.
- Oui. Moi aussi. Ecoutez soldat. Votre nom ?
Lement se rerédit subitement.
- Colonel Lement.
- Colonel Lement, est-il possible que vous la gardiez encore un peu ? Le temps que je fasse cette reunion ?
- Bien sûr monsieur.

Hood se baissa et laissa la petite fille tomber au sol.
- Emilia, je dois faire quelque chose, mais aprés, je te promet que je m'occupe de toi, d'accord ?
Elle aquiessa tout en regardant le sol.
- Tu vas resté avec ceux qui ton sauvé. A tout à l'heure.
Emilia aquiessa encore, comme précédemment. Elle eu en retour un baiser de son grand pêre sur son frond.
Lement la ramena pret de Vendredi et des autres. Alors que Hood se dirigea vers une salle non loin de là.

[2 Mars - Terre - Dans un Phantom Elite- soir 00:00]

- Sa y est. On est demain déclara Riche. Allonger par Terre.
Voilà 30 minutes que les marines avaient croisé Hood aui s'était enfermé avec d'autre haut gradé. Ils attendaient tous le verdicte. Beaucoup de marines voulait en finir et partir en Europe tué les dernieres brutes. Beaucoup d'autre voulait retrouvé leur trenquillité alors qu'une minorité n'avait pas d'avis, était exténué et remétté leur destion entier entre les mains de leur supérieur.

Enfin la porte de la salle s'ouvrit. Tous le monde se redressa. Hood prit parole dans une radio universel pour que tous les marines entendent.
- Ici l'Amiral Hood.
Il fit une pause. Tout le monde était au aget.
- Nous avons, continua t-il. Nous avons descidé de partir sur l'Arche. Il se peu qu'il y est la clef la bas. La clef de notre victoire. Je ne peux pas refusé si vous ne voulez pas partir. L'aube va être préparré pour la bataille. Marines. Vous avez présisément 1 jour pour vous descidez si vous quittez ou non la Terre pour l'Arche. Le Spartan 117 et la commandant Keyes seront du voyage ainsi que le Sergent Johnson. Ils ont besoin de force armée. De nos hommes, de nos fréres, de vous. Prennez la bonne descision. L'aube partira demain vers 00:00. Terminé.

La liaison coupa et Lement lacha enfin Emilia qui se débatter. Elle courut dans les brats de son grand pêre qui la serra trés fort. Il avait les yeux troubles et une larme lui coula le long de la joue. Cette larme tombat ensuite sur sa main et longea l'un de ces doig jusqu'à être pompé par le petit gillé de sa petite fille.
- C'est fini. Maintenant, on se quitte plus. D'acord ?
La petite fille aquiessa, cette fois en regardant son grand-pêre dans les yeux.

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 23 : La bataille de la France

[2 Mars - Terre - Dans un Pelican au dessus de la Mediterranée- Jour 10:00]

Bois avait fait son choix. Il voulait en finir une bonne fois pour toute et retourné chez lui. Pour cela, il fallait libérer son pays.
A bord d'un Pelican, il n'avait pas eu de nouvelle de ces amis depuis qu'ils avaient été séparrer. étaient-ils mort ?

Le traget dura encore quelque minutes, puis sa radio grésilla.
- On arrive proche de la ZA, préparez-vous.
Bois sentit une légére secouse, c'était la descente. Bientôt le véhicule se posa, et la petite unité à l'interrieur descendit avant que le Pelican ne redécolle.

Bois avait une mission. Tuer tous les covenants retranché dans les ruines de Marseille.
Les alliens n'avaient aucune chance. Leur nombre était réduit maintenant que les croiseurs étaient partit et les marines étaient tous le temps sur eux, impossible de ce cacher. La victoire des humains étaient, casi assuré. Seul l'arriver d'un nouveau croiseur pourrait comprométre leur victoire.

Bois examina une derniere fois son BR55 et les hommes autour de lui. Il était dorénavant intégré au corps du CSNU. Pourrait-il revenir en temps que Soldat Patriote Français ?
Sa nouvelle escuade dirigé par un jeune sergent du nom de Push se momée Drop95.

Le sergent donna ordre d'avenser et Bois désenclacha la sécurité de son arme.
Ils avensérent, cherchant des covenants du regard, ils avaient ordre de tirer à vue. Cette mission était plus une partit de chasse qu'autre chose. D'un le sergent s'arréta au croisement d'une rue. Et indica vers la droite.
Bois regarda et y vit un petit contingeant de soldat ennemi. Quelque Grognards dirigé par une Brute. C'était ça ? ça la seul résistance ennemi qu'ils pouvaient rencontrer en 15 minutes de course ?
- Positionnement Déca-Alfa déclara le sergent avec un sourir.
C'était une vieille stratégie millitaire abandonné car les ennemis devenés trop nombreux sur les champs de bataille.
Bois se cacha derriere un mur et le segent fit de même en face de lui. 3 marines restérent en plein millieu et avec leur BR attirérent l'attention des covenants.

Le chef Brute gromela quelques mots dans sa langue, surement une insulte et il ordonna à ces Unggoys de partir au combat avec lui.
Les 7 extraterrestres se mirent à courir à leur ritme, les 3 marines prirent la poudre d'esquampéte. Le pas des covenants s'accéléra. Arrivé au niveau du croisement se rue ou était posté Bois et son supérieur, les deux hommes se mirent à tirer et en quelques coups, ils tombérent tous.
- J'adore cette technique cria le Sergent.
Les marines revinrent lentement vers le croisement de rue.
- C'est un beau travail soldat dit Push
- Oué, ben la prochaine fois sergent, c'est vous qui faites l'appat.
- Y a pas de probléme soldat
- Héhé dit un autre, on va les laminés ces batards sans race.

Halo : Escouade Frappe 957

Chapitre 24 : Scarabs

[2 Mars - Arche - Lieu inconnu- Jour 14:00]

Les Scarabs de Jackson et DeVal avensaient depuis des heures et n'avait pas rencontré de force ennemi depuis longtemps.
Les Scarab avensaient, mais on ne sait pas ou. Au bout d'un moment. Des banshees arrivérent dans leur zone. Ils furent suivit de Séraph et de Phantom.
- Jackson, demi tour, on leur fait face.
Les deux véhicules firent un demi tour trés lent et commensérent à tirer mais les véhicules aérien étaient trop rapide et passait entre les tirs en tirant sur les Scarab.
Au bout de quelque minutes, les véhicules commensérent à faire des étincelles. Ils allaient explosé.
- Jackson ! Sors ! Saute !
- Quoi ? Mais on est à je ne sais pas combient de métre du sol. On va se tuer.
- Si tu reste dedans, tu vas y passer aussi.

De Val bloca le canon de tir pour qu'il ne saisse pas le feu et se dirigea vers le pond supérieur ou il sauta et s'accrocha à une jambe du Scarab pour descendre en douceur.

Jackson de son coté poussa un long soupire. Couru et sauta comme le plus loin possible, le plus haut possible.
- Mais quesqu'il fait celui là encore ? Il va se tuer !

Jackson tombait, se débatait, comme s'il cherchait à voller. D'un coup, il tomba sur le dessus d'un Phantom. Le choc fut rude, mais sa lui sauva la vie. Il resta accroché pendant quelque temps et fini par laché tombant dans le vide et dans un arbre, se qui par chance amortit sa chute, mais une fois au sol, il se mit à crier de douleur.

De Val le repéra par se cri et couru vers cette endroit en esquivant du mieux qu'il pouvait les attaques des appareils ennemis. Bientôt, l'un des scarab explosa et fit exploser le second.
Le super soldat arriva dans la foret. Il trouva son ami, agonisant par terre.
- Jackson ? ça va ?
- Noooooon ! Fit Jackson en criant de douleur.
Une branche de bois c'était logé son épole gauche et sa cheville avez tourné d'un quar.
- Tu es plutôt mal en point avoua De Val
- Je ne l'avais pas remarqué.
DeVal d'un coup attrapa le pied du marines et le remit en plasse. Un "crac" se fit entendre et le marines cria de tous ces poumons.
- On ne peut pas rester là plus longtemps. Allons y. Ok ?
- Non, fonsse, je reste là.
- Je ne t'abandonerais pas Jackson.
- On est des intimes, appélle moi par mon nom. MM. tous mes amis m'appelle ainsi.
- Je suis un soldat, pas un ami, Alors Jackson, on y va.
DeVal mit ces brats autour de Jackson et le souleva. Le morseau de bois était toujours coinsé dans son épole.