-Attention tout le monde ! Préparez-vous à l’onde de choc !
La température commença à grimper rapidement et les murs commencèrent a trembler légèrement. Puis d’un seul coup, des secousses dignes d’un tremblement de terre de niveau quatre ébranla toute la base, pas mal d’hommes tombèrent à terre et j’eu beaucoup de mal à tenir en place. Plusieurs caissons de matériels tombèrent dans le vide. Puis tout s’arrêta, aussi vite que ça a commencé.
-Rapport des dégâts ! Hurlais-je.
-La passerelle Sud s’est effondrée ! Elle n’a pas tenus. Aucune perte à déplorer.
-Les explosif sont en place Major !
-Bien reçus ! Mettez-vous en face de la porte et préparez-vous à ouvrir le feu !
Andersen s’approcha.
-Chef, nous avons assez de munitions pour tenir encore une heure, sans plus.
-Ok. Attention….Faites sauter les charges !
Tout autour de la porte, de bref flash suivit de quatre explosions horizontale désintégrèrent les verrous de sécurité. Puis un cinquième verrou se retira dans un « clac » : le verrou magnétique. La porte s’ouvrit en deux lentement, laissant apparaître des tonnes de décombres dû à l’explosion du C-12.
Tout les hommes se tinrent près à faire feu, le fusil à l’épaule. J’avais moi même pris mon S2-AM et visait le moindre recoins.
-En avant ! En formation serré et ne vous laissez pas distraire !
Une colonne de deux cents Marines pénétrèrent dans l’enceinte. Aucun ennemis.
-Dirigeons-nous vers le réfectoire !
La surprise nous attendait là. Plusieurs tourelles mobiles et des centaines de Grunts ouvrirent le feu. Tout les hommes de la première ligne furent touchés et mon bouclier reçus des projectiles. La seconde ligne tira sur l’ennemis et ceux-ci tombèrent comme des mouches. Je visa la tête d’un des Elites présent. Je tira mais il esquiva ma balle. Je fis feu une seconde fois. Coup au but.
Deux tirs de sniper m’obligèrent à me coucher. Je saisi le M9 d’un soldat mort et commença à décharger tout son contenus sur les grognards. Ces derniers tombaient en nombre. Mon bouclier fut à nouveau durement frappé par des tirs adverse, je me cache donc dans un coin.
-Faites-les frire à la grenade !
-A vos ordres !
Tout les Marines de tête dégoupillèrent une ou deux grenades et les envoyèrent droit sur l’ennemis. A ce moment là, une grenade de plasma se colla sur mon fusil de sniper.
D’instinct, je l’envoya voltigé sur les covenants. Une quinzaine de grenade à fragmentation et une à plasma explosèrent dans le groupe ennemis, éparpillant de la chair brûlé et des corps dans tout les sens. Je rechargea mon arme et avec l’aide de deux ODST, tuèrent les deux Elites survivant.
Le réfectoire était maintenant contrôlé, nous nous dirigions alors vers la salle suivante, l’armurerie.
La plaisanterie avait assez duré et je commençais à en avoir plein le dos de cette mission. Je pénétra dans l’armurerie et un Grunt ennemis se dressa devant moi. Je lui mis un grand coup de tatane et il vola à travers la pièce. Je lâcha mon M9 et saisis un fusil à pompe de gros calibre sur les râteliers ainsi que des munitions. Je m’approcha de la seconde porte qui menait à la pièce voisine.
1845 heures, 20 juin 2556 (Calendrier militaire) Système Sol, QG Imbrium, Bloc Terre.
-Attention ! Dit un petit Caporal Grunt. Mettez-vous tous devant la porte en fer ! Dès qu’elle ouvre, on leur tire dessus tous en même temps !
Mais leur dernière vision furent celle de la lourde porte blindée qui s’écrasa sur eux.
Je reposa mon pied et commença à tirer mes cartouches et derrière moi en soutien ce trouvait les nombreux ODST de la NightRat. C’était un vrai bain de sang. Les corps covenants gisaient sur le sol, les murs étaient repeint de sang frais. Tout cela sous la lueurs de nos lampes torches, car les générateurs de la base ne fonctionnais plus et tout était plongé dans le noir. Mais cela ne m’empêcha pas de voir l’ennemis ! Je tira à bout portant une chevrotine dans le torse d’un Elite. Mon bouclier grésilla, je me retourna et aperçus trois Grunts. Les deux de derrière poussaient devant eux le troisième pour ce protéger, mais il n’y eu bientôt plus rien pour les couvrir. Mon arme cracha encore trois fois et trois cadavres de plus couvraient la salle.
Je rechargea à nouveau mon arme et défonça la porte suivante. A chaque fois c’était le même refrain : on arrive, on neutralise et on continue.
Au bout d’un moment, nous arrivions vers un escalier menant à un niveau supérieur. L’ennemis nous y attendait mais ce ne sera pas un ridicule obstacle comme celui-ci qui nous empêchera d’éliminer leur chef ! Rechargé en grenade, j’en dégoupilla une et attendit trois seconde. A la quatrième je le lançais en hauteur et à la cinquième, elle explosa. Des cris de douleur et un hurlement alien signifiait que la vois était libre. Remplis de covenant mais libre. Je grimpa à mi-niveau de l’escalier et lança une nouvelle grenade dans la masse covies. Elle explosa elle aussi, puis je fini le travail à grand coup de canon scié. A Chaque fois que je faisais feu, les couloir étaient illuminé par les flammes du canon. Les parois métallique prenaient des teintes violettes après mon passage.
Et enfin, au bout d’un couloir et derrière le dernier sas, l’objectif se présentait. La salle de commandement. Les forces ennemies sont maintenant quasiment inexistante mais le chef covenant doit sûrement être bien escorté. Avec quelques signes de la main, j’indiqua à mes hommes de prendre position de part et d’autre de la porte et le long du couloir.
Le sas était bien évidemment verrouillé, le panneau de commande étant grillé et un Marines plaça sur la porte une petite charge de C-12.
D’un signe de la main, j’ordonna à mes hommes se s’accroupir. J’appuya sur le détonateur et le verrou de la porte éclata, puis le sas s’ouvrit. Tous les ODST présent ouvrirent aussitôt le feu en direction de la pièce de commandement. J’ordonna à trois de mes hommes d’entrer dans la salle. Taylor et Andersen étaient derrière moi et attendaient eux-aussi. Les trois Marines entrèrent. Quelques secondes passèrent sans un bruit lorsque l’un des soldats fut éjecté en dehors de la salle, sans sa tête. Plusieurs tirs d’arme automatique illuminèrent l’intérieur de la pièce, puis plus rien.
-Ils sont morts ! Envoyé les grenades !
Cinq grenades furent envoyés dans la petite pièce et cinq explosion suivirent. Au bord de la porte, un Elite s’écroula. Malheureusement ce n’était pas le Général. Je pénétra à l’intérieur de la petite salle. La lampe torche intégré au casque n’était pas suffisant et j’alluma la seconde. Au centre, une grande plaque de verre brisé désignait autrefois des schéma et des cartes holographique. Sur les murs, des écrans en miettes et partout ailleurs, des silhouettes transparentes.
-Et merde ! M’exclamais-je.
Je fis un bond en arrière, l’arme pointé vers avant en tirant. Six rafales de plasma furent tiré de nulle part dans ma direction, plusieurs s’écrasèrent contre mon bouclier, le déchargeant de trois quart. Je fis feu une seconde fois et un guerrier covenant tomba à terre. Je roula sur le côté pour évité de nouveau tir puis tira une troisième fois. Un des fusils à plasma d’un Elite surchauffa, le trahissant sur sa véritable position et j’en profita pour lui collé du plomb entre les deux yeux. Ce fusil à pompe était vraiment redoutable car les boucliers énergétique des Elites lâchaient brusquement à chaque coups. Je sauta à nouveau en avant pour esquiver une grenade. Cette dernière sauta à trois mètre de moi, déchargeant de moitié ma protection. Les ODST pénétrèrent dans la pièce et ouvrirent le feu dans toute les directions. Les guerriers covenants furent obligatoirement touché et deux tombèrent. Il n’en restait plus qu’un et je l’acheva en lui ouvrant le ventre.
-Ou est le Général Covies ? Dis-je, énervé.
A ce moment là, une épée de plasma covenant zébra l’air, tuant sur le coup un Marnes, puis un deuxième.
-Feu ! Défendez-vous soldats !
Mais l’Elite était invisible. Un ODST près de la porte fut tué à son tour.
-Merde il s’échappe ! Abattez-le c’est un ordre !
Mais trop tard, le Général ennemis pris le couloir de droite et grimpa sur le niveau supérieur. Je le poursuivis.
-Piccoli ! Attention le secteur est devenue instable suite à l’onde de choc ! Me dit Taylor dans mon dos, mais je ne l’écoutait pas. Je sprinta en direction de la porte quand soudain, le sol trembla. De la poussière s’éleva, se qui me fit faire volte-face. Sur trois mètre derrière moi, le plafond s’était écroulé, me coupant de mes coéquipiers.
-Taylor ! Andersen ! Répondez-moi !
-ça va chef ! On est entier ! On va dégagez ce tas de décombres !
Sur ces mots, je me dirigea sur le toit. L’enceinte est comme un immeuble dans un immeuble. Le toit n’étant pas rattaché au reste de la structure et de là-haut, tout l’intérieur du deuxième niveau de la base était visible ou presque.
La lumière s’alluma, les équipes techniques ayant sûrement remis en route le réacteur principal après avoir éteint l’incendies dans le troisième niveau.
J’activa mon interCOM et appela le Caporal-chef DarkWarrior. Son signal m’indiquait qu’il rejoignait la surface.
-Caporal-chef, c’est Tripp. Le général Covenant ne se rendra pas. Détruisez son croiseur avec…notre coup surprise.
-A vos ordres !
J’arriva enfin sur le toit. Je regarda l’état de mes armes. Je n’avais plus mon BR ni mon sniper. J’avais également laisser mon M6-D et il ne me restait plus que deux cartouches dans mon fusil et il ne me restait qu’une grenade.
Le toit était parfaitement plat sur une centaine de mètres carrés et il semblait désert, du moins en apparence. Il était là et il m’attendait. Je dégoupilla une grenade et l’envoya dans un endroit suspect. Elle explosa sans que rien ne se produise. Un bruit derrière moi me fit retourner et en un mouvement du bras droit, tira vers l’origine du bruit. Une cartouche.
-Idiot ! Pensais-je. Réfléchissons. Avec quoi pourrais-je le voir ?
L’idée me vint en un éclair et j’activa ma thermovision. Je fus très surpris car l’Elite ce trouvais juste devant moi. Je fis un bond en arrière et tira ma dernière cartouche. Son camouflage optique céda et, plasma sword à la main, se rua sur moi. J’eu à peine le temps de faire un pas de côté que son arme me toucha, déchargeant instantanément tout mon bouclier. Je lâcha mon fusil et dans un même mouvement, lui saisit le bras pour le forcer à lâcher son épée.
Sa force était prodigieuse, ça n’a absolument rien à voir avec les autres Elites ! Malgré mon armure et ma force décuplé, il était plus fort que moi. Je lui assena un coup de genoux dans le ventre, mais il ne lâcha toujours pas prise. Je me balança en arrière, puis en avant et lui donna un coup de tête. Cette fois-ci, il lâcha son arme et, toujours en lui maintenant les mains, donna un coup de pied dans le manche de l’épée. Cette dernière vola en direction du vide.
Mais l’Elite tira un coup sec sur ses membres, me déstabilisant et il me frappa la tête avec un monumental crochet du droit. Mon bouclier avait maintenus une bonne partis du choc mais le fut terrible quand même. Je me redressa et lui assena de trois coupe de coude dans les côtes. Le guerrier cracha du sang, puis sans crier gare, m’abaissa la tête en avant et me frappa du coude gauche dans le dos, ce qui me plaqua au sol. Il s’apprêta à me saisir en se baissant mais je me relevait d’un seul coup, le frappant à nouveau avec mon casque dans les mâchoires puis je lui donna un crochet du gauche. L’Elite recula et l’ombre d’un Pélican se dessina autour de nous. Le soldat tenant la tourelle arrière donna un coup de semonce derrière le covenant. Il était cerné. Au loin, une explosion détonna : le croiseur covenant était détruit.