le projectile meurtrier, d´accord
son
un chambre
fais vite est aussi bien
une être
Tu t´attache a Kermus, toi aussi? J´ai une de mes copines uqi la lit qui le déteste
Merci pour les nombre, qui releve les lignes, je crois?
C´est pas que je m´attache a lui mais un chapitre sans c´est bizzare j´étais pas habitué et cette histoire de bateau avc des cadavres c´est captivant.
Et effectivement les numéros reléves les lignes : j´avais mis un "l" devant pour "ligne"
je vais paraitre chiant mais... elle en est ou la suite ? :D
La suite sera composé apres un chapitre de parodie.
Igor, j´ai trouvé ton identité: AMIR!!!!!!!
Mais nous on veut la suite maintenant nondijou !
Lol^^
Prunelle!!!! Rondjudju de rondjuju de nondjidjou!
Allez, un petit chapitre plein de dialogue qui j´espere, seront intéressants.
Chapitre 18 : Conversation nocturne
Trois gros Hyliens musclés vêtus de noir se tenait dans la ruelle. Un quatrième individu, celui qui avait attrapé Kef et Tiko, bloquait la sortie. Le plus grand des trois s’avança.
-Comme ça, tu vends d’la potion contre les démons, c’est ç’la?
-Euh, oui, monsieur, acquiesça nerveusement Tiko, seulement trente rubis. Non, pour vous, qui me semblez si aimable, ce ne sera que 15 rubis, un prix d’amis.
-Non.
-Vous avez raison! Je donne un échantillon gratuit, j’espère que vous apprécierez.
-Je veux tout ton sac!
-Euh…je ne crois pas que ce sera possible, monsieur. Si vous n’y voyez pas d’objection, je suis contraint de retourner au marché pour atteindre mon quotas de vente, je dois vivre, moi aussi.
Le chef de la bande dégaina une épée courte et d’un geste, il trancha le vendeur en deux. Kef, voyant le coup venir, avait propulser son ami juste assez haut pour éviter la lame. Le bas du pardessus glissa, révélant le kokiri. Tiko atterrit, les pieds bien campés sur les solides paumes de son compagnon.
-Vous devriez avoir honte de vous attaquer à des enfants, articula lentement Kef.
Profitant de la confusion totale, ils armèrent leur arbalète. Tiko, sur les épaules de Kef, fit volte-face et décocha un carreau dans la jambe de celui qui faisait le guet. L’autre kokiri envoya deux flèche dans le bras droit du chef, l’obligeant à lâcher son arme. Un des deux autre prit la fuite, mais l’autre sauta sur Tiko, qui lui envoya un projectile dans le cœur. Le corps retomba sur le petit garçon, lui rendant toute mobilité impossible. Kef, grimpa debout sur le torse du chef et pointa son arbalète sous sa gorge.
-Alors, on importune les marchands ambulants et on agresse les petits gamins de six ans?
-Les kokiri n’ont que six ans que physiquement, jeunes amis, vous devriez le savoir. Tu as peut-être soixante ans, qui sait?
Une voix fusa du fond de la ruelle. Tiko ne put voir qu’une paire de jambe l’enjamber. Kef, quant à lui, ne se retourna pas, gardant le bandit en joue.
-Ne vous inquiétez pas pour le bandit de l’entrée, je l’ai achevé. Et le fuyard ne doit même pas songer à croiser votre route de nouveau.
-…
-Vous n’êtes pas bavards, dites-donc.
La lame d’une fine rapière effleura la joue du chef, toujours tenu en respect par le kokiri. Il devint très blême et s’évanouit.
-Qui…êtes…vous? Articula lentement Kef.
-Je suis un fin escrimeur.
-Votre nom… reprit-il.
-Et le vôtre?
-En quoi peut-il vous être utile?
-Et le mien?
Tiko voyait que ce jeu risquait de durer longtemps, car Kef ne dirait rien. Ce n’était pas qu’une question de prudence, l’individu n’aurait rien pu faire contre lui, mais son ami était très orgueilleux, et perdre cet affront psychologique ne lui ferais pas plaisir. Il décida alors de mettre un terme à ce duel mental.
-Il s’appèle Kef, et moi c’est Tiko. Maintenant, dites nous qui vous êtes!
-Que faites vous ici? Demanda calmement l’inconnu, toujours hors du champ de vision des deux compagnons.
-Nous vendons de la potion, nous voulons sauver Hyrule, mais vous ne me croyez sûrement pas.
-Continuer…
-Une chose vêtue de noir qui possède une arme destructrice sème la terreur, c’est ce qu’il m’a dit, je ne suis dans le coup que depuis hier, moi.
-Et en attendant, vous avez décidé de tuer de petit brigands pour le plaisir?
-Non, c’est de la légitime défense.
-Moi, je tue pour le plaisir, parfois. Vous devriez essayer.
-Qui êtes vous, redemanda patiemment Kef, transpirant, les yeux fixés sur le corps du bandit, refusant obstinément de se retourner et de faire face au potentiel ennemi.
-Je me nomme Kermus, mais je ne crois guère que ce nom ne vous dise quelque chose.
***
Link se réveilla en pleine nuit. Un système d’aération souterrain lui avait porté le hululement des chouettes, l’aidant à se repérer dans le temps. Skrilf ronflait bruyamment. Il se leva et se dirigea à l’extérieur. Debout, en plein milieu de la rampe, le jeune homme se laissa guider par vers la place publique par de brillantes améthystes incrustées dans les parois. Arrivé en bas, il se dirigea vers une des magnifiques fontaines qui ornaient la place. De petits saphirs incrustés sur le rebord du bassin s’illuminèrent à son approche. Dans l’eau, plusieurs pièces d’or attendaient qu’on les ramasse. Lorsque Link effleura l’onde pure de sa main, le fond de la fontaine, fait de saphir bleu aussi, se mit à briller lui aussi. Visiblement, les joyaux détectaient les présences et s’allumaient au moindre mouvement. Plus loin, une autre fontaine luisait d’un doux éclats bleuté. Le jeune homme décida de s’en approcher.
Lorsqu’il s’aperçut qu’il s’agissait de Mohas et de Jane, il ne fit plus un geste, de peur d’être repérer à cause des cristaux scintillants.
-Tu es vraiment sûre qu’il s’agit du Héros du Temps, tu sais, celui d’Hyrule?
-Mais oui, en quoi est-ce dur à croire?
-Et bien, le fait qu’il visite notre ville, tu te rend compte!? Ma ville! Mornanra, la modeste ville marchande, cachée sous terre! Tu crois qu’il accepterait que je vous accompagne?
-Ça je ne sais pas, nous sommes pressés, même moi, on faisant le tour des villes, je le ralentit, et je ne veux absolument pas lui nuire! Je n’aurais jamais dû accepter de venir avec lui, il a tant à faire.
Elle soupira.
-Tu as un faible pour lui, n’est-ce pas? Se moqua gentiment le villageois, accompagnant sa remarque d’un coup de coude.
-EH! Mêle-toi de ce qui te regarde, Mohas, répliqua-t-elle en lui assénant une petite claque derrière la tête.
-Aller, tu peux tout me dire, on se connaît depuis que nous sommes tout petit déjà.
-Il est mignon, c’est vrai, mais de toute façon, je suis une princesse, aussi, ne l’oublie pas. Fhevyut n’a pas un protocole très stricte, mais le mariage entre personnages de la royauté en fait tout de même partie. Alors fiche-moi la paix avec ça.
-D’accord, d’accord… Mais tu es sûre qu’il ne voudrait pas de moi? Je sais me battre avec un marteau et avec un arc, dit-il fièrement. Je pourrais même cuisiner les repas, il semblait avoir apprécié ça. Il est partit parce qu’il avait trop mangé, je crois.
La femme rit.
-Mo’ tu sais, en fait, il est plus poli que goinfre, il a tout vomi à la seconde où il est entré dans sa chambre. Je crois que vous devriez consommer plus de nourriture importée…
-Bah, peut-être que la brochette d’estomacs d’Yrnikaux étaient un peu inappropriés, vu la bataille récente, mais…
-Tu as osé servir cette horreur?!? HA HA HA! Je n’arrive pas à y croire qu’il a réussi à en manger!
-En fait, l’assiette est arrivé et il est subitement partit.
Son amie se remit à rire de plus belle. Elle lui promit qu’elle glisserait un mot à Link à propos de son admission dans l’équipe, mais elle ne pouvait rien lui garantir.
-Si il refuse, je m’occuperais de planter les tête d’Yrnikaux une par une sur les nouvelles routes de commerce. Je pourrais avertir les autres populations à ta place, vous progresseriez plus vite, et…
-Écoute, je vais lui en parler.
-Si il accepte, je demanderais à un autre de le faire à ma place, tu sais que je ne te laisserai pas tomber.
-Bon, je dois aller dormir, Mo’.
Les deux amis s’enlacèrent sur le banc près de la fontaine. À ce moment, Link commençait déjà à regagner sa chambre, constatant plusieurs choses, entre autre la solide amitié de Mohas et Jane.
Vous etes un petit peu long, je trouve, un peu de vigueur, juste un chapitre a lire et vous retourner faire ce que vous faites, d´accord?
mdr je crois que d´autres textes valent aussi le coup non?
laisse nous au moins le temps de rentrer et de nous poser :p sinon, j´aime bien ^^
ceci est un post non-construit qui vous donnera votre prochaine mission : créer la suite de cette fic dans la semaine a venir. Ce message s´auto-détruira dans 1 minute.
Je n´ai relevée qu´une faute (mais je n´estpas super bien regardé, s´il il y´en a d´autre elle ne géne pas la lecture je pense) :
"le jeune homme se laissa guider par vers la place publique" le "par"...(Paragraphe 2, ligne 4)
Sinon je me suis bien maré sur la fin,j´ai beaucoup aprécié.
super fic
super bien imaginée comme d´habitude ^^
vraiment super
le "par" était de trop, eliwood. Merci GPC (si possible, faire un commentaire plus concret)
Il ne reste q´un com d´Igor (je crois savoir c´est qui, et il a déja posté pour ce chapitre)
EH! Un nouveau pseudo, et ca ne compte pas comme double-poste, yipeeee!!!!
cool il est mieux ce pseudo ^^
sinon pour ta fic je trouve vraiment rien a redire
elle est...comment dire...elle frôle la perfection^^
je trouve que ca à dire
Mieux? Tu me niaise? Malade, c´est ma marque, celui la il est fait pour dire des conneries mais bon, il fait plus classe, aussi.
tu écris encore cette fic malade ? presque plus personne la suit en faite...