ehh ba non j'ai eu le reoit a une deuxieme chance danc la c'est limite desolé pour la fausse joir
fallait pas te sentir obligé de revenir...
Bah, si un clash peut faire vivre un peu le topic...
l'encourage pas non plus!!
Parce qu'il faudra bien que je la poste un jour...
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----------CHAT-PITRE XIV----------
Les yeux rivés sur la cité lointaine, nous descendîmes lentement la colline pour éviter de glisser sur l’herbe grasse. La traversée de la vallée nous prit moins d’une journée, durant laquelle nous nous arrêtâmes manger un morceau. Juji avait cessé de parler.
Les remparts étaient encore plus impressionnants vus de près. Logique.
Ils devaient faire une bonne vingtaine de mètres de hauteur, et une dizaine de mètres de largeur à la base –tout du moins au niveau des portes–. Les portes, justement, étaient en bois massif renforcé de nombreuses lamelles de métal. Les gardes de faction paraissaient alertes et réveillés malgré l’heure tardive, et nous dûmes décliner notre identité ainsi que le motif de notre visite. Juji annonça fièrement devant le garde impavide qu’il "revenait d’une mission pour le compte de la Guilde des Chasseurs", ce qui ne lui valu rien d’autre qu’un regard blasé de l’autre. Pris quelque pris au dépourvu par la question, je répondis pour ma part, plutôt maladroitement, que je venais "rendre visite à des amis". Le garde paraissait s’en carrer l’oignon, mais alors, violemment. Je pensai alors que des quidams inintéressants dans notre genre, il devait en voir des centaines par jour, et puisqu’on ne devait pas lui paraître plus suspect qu’un autre, il nous laissa entrer sans question supplémentaire.
Nous entendîmes les lourdes portes se refermer pour la nuit derrière nous, et c’est à la lueur des torches que nous parcourûmes les dix mètres nous séparant de la ville-même.
L’organisation des bâtiments de Dondruma était des plus classiques: quatre grandes avenues partaient de la place centrale pour rejoindre les différentes portes de la ville. Celle sur laquelle nous venions d’arriver était la plus large des quatre: le Boulevard des Trois Marcheurs. Pourquoi "trois marcheurs" seulement, alors qu’on pouvait en aligner beaucoup plus, cela restait pour moi un mystère. Mais passons. Les quatre avenues menaient donc ବ –ou partaient de, c’est selon– la Grande Place de la ville, autour de laquelle se trouvaient les principaux bâtiments administratif de la cité, ainsi que l’incontournable comptoir de la Guilde –des chasseurs, cela va de soi–. On y trouvait également le palais du Gouverneur, mandaté par le régent de Gardemine, un temple en hommage à Nakôbha –en gros, le dieu d’un peu tout les trucs biens, n’étant pas très calé théologie, je n’en sais pas beaucoup plus–, et… c’était tout pour les bâtiments intéressants. Mais ils prenaient déjà pas mal de place, il aurait donc été difficile d’en placer d’autres…
En parcourant l’avenue en compagnie de Juji, je m’aperçu de deux choses: premièrement, les rues étaient encore très animées malgré l’heure tardive, signe de l’importance de Dondruma. Deuxièmement, et c’était là le plus important, les toits des maisons étaient tous plats; de plus, la ville étant bâtie sur une colline, les maisons semblaient former une sorte d’escalier. Considérant ce que j’avais déjà pu voir de la défense de la ville, à savoir la porte et les remparts, je me fis la réflexion que la Cité Grise était taillée pour la guerre, et possédait une défense solide. En effet, les toits plats permettaient aux archers de se positionner dessus, et leur disposition "en escalier" leur évitait de se prendre les flèches de leurs camarades.
Mais ce dernier point, vous vous doutez bien que je ne l’ai pas deviné tout seul. C’est un insupportable félyne travaillant pour la Guilde à mi-temps qui me l’a expliqué, avec force mimique me signifiant clairement que "c’est ma ville qu’elle est la mieux". Je le regardais avec une expression qui signifiait simplement que "en fait non". Il m’expliquait donc ceci pendant que Juji draguait une serveuse de la Guilde, et qu’il se faisait rembarrer pour la troisième fois –pour mon plus grand amusement, un peu moins pour le sien…–. Le félyne, qui s’appelait… nan, on s’en fiche, en fait. Le félyne, donc, commença à me parler enfin d’un truc intéressant, qui s’appelait… "la mer". Il parait que c’est fait avec beaucoup d’eau, que cette eau est salée –allez savoir pourquoi– et qu’elle s’étend à perte de vue. Mon seul commentaire intelligent? « Ah ouais, ça fait grand, nya… » C’est vous dire la qualité de mes autres paroles…
Juji revenant vers moi, j’abandonnais avec soulagement mon interlocuteur –enfin, mon locuteur– pour l’entendre dire qu’il repartirait bientôt en quête de gloire et de fortune –choses qu’il ne trouverait pas en travaillant pour la Guilde, mais Chut! c’est un secret…–, et c’est à mon grand regret –nan, je plaisante– que je lui annonçai devoir rester ici.
« J’attends des amis, nya.» lui ai-je dit pour seule explication. C’eu l’air de lui suffire, puisqu’il repartit sans autres questions, auxquelles je n’aurais de toute façon pas répondu. Non mais.
Je parvins à me faire embaucher par la Guilde des Chasseurs en tant qu’apprenti cuisinier. Et pour apprendre, j’appris! Le pied de dragon arrosé de vin béni –très cher, car le vin était béni par les prêtres de Nakôbha, qui le vendaient à prix d’or–, le fromage au lait de kirin, succulent accompagné d’un pichet de boisson d’or, ou encore la dinde royale farcie aux champidémons. Il ne me fallut qu’une semaine pour apprendre tout ça, au lieu d’un mois entier, mais ça, c’était parce que j’étais doué, tout simplement. J’avais aussi un sacré maître. Enfin, une sacrée maitresse.
Syane, félyne de son état. Elle travaillait à Dondruma pour le compte de la Guilde depuis quatre ans, sans la moindre intention de quitter son poste de Chef-cuisinier du comptoir de la Guilde des Chasseurs de Dondruma. Le titre complet étant un peu long, je me contenterai à l’avenir de Chef-cuisinier. Syane, c’était tout un caractère. Perfectionniste à l’extrême, elle voulait que le moindre plat soit parfait pour des clients qui n’en n’avaient cure. Mais comme la perfection n’est pas de ce monde, c’est bien connu, ses feulements résonnaient dans la cuisine à longueur de journée. Alors oui, elle était franchement agaçante. Mais, par le Grand Félyne, qu’est-ce qu’elle était belle!
Elle avait fière allure, et du moindre de ses pas émanait une certaine grâce –non, je ne vous ferais pas le coup de la "certaine grâce, ou plutôt une grâce certaine"; c’est une certaine grâce, point barre–. Son pelage était d’un blanc neigeux moucheté de roux, et elle avait d’immenses yeux verts, que l’on pouvait apercevoir les rares fois où elle ne les fronçait pas. J’aurais aimé me plonger dans ses yeux, mais cela impliquait qu’elle me regarde pour autre chose qu’une brimade ou un reproche, et ça, c’était une autre paire de manches.
Au cours de ma première semaine de travail à la Guilde, une bagarre éclata dans le réfectoire entre un chasseur très typé brute épaisse –chauve mais barbu, armure diablos, grande épée, tout ça…– et un gamin d’une quinzaine d’années aux cheveux verts, qui était aussi apparemment un… chasseur?! A quinze ans?! Où va le monde, vraiment ?... Lui portait une armure faite en rathalos azur, l’armure "âme rathalos", et, accroché dans son dos, un katana pourpre, certainement aussi en composants de rathalos. A voir la situation, sa lame risquait fort de ne plus y rester longtemps, dans son dos. Je me demandai ce que faisaient les agents de sécurité, mais réalisai bien vite que toutes les personnes présentes avaient en fait hâte de voir comment un môme qui provoquait quelqu’un sous prétexte qu’il avait renversé sa limonade pourrait se débrouiller face à un type lourdement armé et pas futé pour deux zenis. Comment ça finirait, certains le savaient déjà. L’un des cuisiniers vint se placer à côté de moi pour observer la scène, et en profita pour me dire:
« Le gosse aux cheveux verts, c’est Smaug, nya. C’est un peu notre "phénomène local", tu vois. Il ne supporte pas d’être contrarié, et ici, au comptoir de la Guilde, des contrariétés y’en a pas mal, miaou. C’est loin d’être le premier chasseur qu’il provoque pour un prétexte futile, et à mon avis c’est pas le dernier, nya.
– Et ça se finit comment, en général, miaou?
– En prison.
– Ah ny’Okay… Pour qui, en fait? »
Il rit: « Pour Smaug, bien sûr! On n’arrête pas quelqu’un parce qu’il a renversé de la limonade, nya! » Pas bête.
Et en effet, alors que le dénommé Smaug venait tout juste de dégainer son arme, les gardes de la Guilde intervinrent. Un bon coup sec derrière la nuque.
Le lendemain, une permission me fut facilement accordée, les cuisiniers de la Guilde étant loin d’être en sous-nombre. J’en profitais pour faire une promenade dans le quartier Nord, réputé pour la compétence de ses artisans. J’espérais, avec le petit, très petit même, pécule que j’avais commencé à amasser, pouvoir me faire fabriquer une arme sympa où une armure pas trop pourrie pour pas trop cher. J’avais mille trois cents quarante-deux zenis en comptant les pourboires et arrangements moyennement honnêtes –nooooon, pas frauduleux, j’ai pas dit ça !–. Ça devrait aller pour me faire quelque chose de correct.
Le quartier Nord était celui des artisans, armuriers et autres forgerons, le quartier Ouest celui des bourgeois et commerces de luxe, le quartier Est celui des commerces en tout genre et des entrepôts, et on n’y trouvait que peu d’habitations, et enfin le quartier Sud, celui des basses classes, des pauvres, de la plèbe, de tout ça. A la réflexion, c’était probablement dans ce dernier quartier que j’avais le plus de chance de rencontrer des Partisans, voire peut-être même le Sagace ou l’un de ses généraux. Réflexion que je me fis avant de me rappeler que la Guilde des Voleurs avait été dissoute, momentanément ou pas, et que par conséquent quiconque à qui je poserais la question nierait qu’elle ait jamais existé.
Je continuai donc ma marche dans le quartier Nord, allant d’un forgeron à l’autre. D’une façon générale, les réactions restaient les mêmes. « Pour qui tu travailles? », « C’est une blague? », « Dégages, j’ai pas de temps à perdre! » et autre « Restes pas là, petit, on croirait que t’es un client. » Mais j’ETAIS un client, andouille ! Pas très commerçants, les forgerons, ici…
Je finis enfin par en trouver un qui écouta ce que j’avais à lui dire au bout de deux bonnes heures d’errance. La forge de l’homme était adossée aux impressionnantes murailles de la ville, qui paraissaient écraser la boutique sous leur taille… écrasante. La boutique possédait un comptoir ouvert directement sur la rue, ainsi qu’un deuxième dans le magasin-même. Un client s’en allait avec sa commande récupérée sur le comptoir extérieur à mon arrivée. Je poussai la porte, heureusement légère, et reçu une bouffée de chaleur en pleine figure. Je ressorti, respirai un grand coup, et re-rentrai. Ce n’étais pas la première fois que je pénétrais dans une forge, mais c’était la première fois que j’en voyais une aussi petite, et donc par conséquent, avec les fourneaux aussi rapprochés de l’entrée. Il régnait dans le magasin une chaleur étouffante. Mon pelage commençait déjà à coller. Après quelques minutes dans cette fournaise, je dégoulinais de sueur. Je me signalai au forgeron, qui dû se pencher par-dessus le comptoir pour me voir. Je lui exposai mes quelques besoins, pas originaux pour deux zenis: une arme correcte et une armure avec le reste de mon argent, si possible. Je lui précisai bien que je n’avais aucun composant particulier à lui soumettre, remarque à laquelle il ne fit qu’hocher la tête.
Il me montra son catalogue, me proposa différentes armes appropriées à ma taille. Il me confia que la clientèle lynienne n’était pas chose courante dans son commerce, mais que « peu importe le client, tant qu’il paye ». Ça, c’était un vrai commerçant! Il me confectionna une sorte d’épée courte en version miniature, sans le bouclier, en puisant dans ses réserves de métaux, ainsi qu’un plastron en cuir et un casque en fer. Attirail certes léger pour aller combattre, mais au moins j’étais armé, et être armé, c’était bien. Point barre.
En revenant au comptoir de la Guilde, je vis une vieille, très vieille femme dans une ruelle perpendiculaire à la mienne. Elle portait un sac énorme sur le dos. Genre vraiment énorme. Elle était entourée de plusieurs cages, d’où sortaient des… miaulements?! Des félynes !
Je m’arrêtai net, sans toutefois me faire remarquer. Les lyniens n’acceptent que rarement de se faire mettre en cage. Donc… en toute logique, cette petite vieille vivait du braconnage de mes congénères. Je dégainai lentement mon tout nouveau coutelas, et passai la tête dans la ruelle.
J’entendis alors une voix sortir d’une des cages: « Zeck ?! »
Ben bon sang, si je m’étais attendu à ça ! Kian !
Oh oui ! La suite !
Merci Jojo' !
ayé enfin!!!
zzzz toujours aussi barbant
Akastki Plait-il?
oui ;)
Je vomit comme çà
On appelle ça baver, en général.
aucun rapport
Comme d'habitude, tu comprends pas.
Ca change pas beaucoup, tiens...
heureusement sinon je n'aurais aucune raison de m'emmerder dans un forum dead donc plus je vous emmerde plus ca m"amuse
Toujours aussi con, donc.
ta gueule chté pas insulté bouffon mais je ne vais pas rentrer dans ton jeu c'est fini je vais vous emmerder tout le temps
oaic
Pauvre garçon ...
Ta vie doit être bien triste et sans interet pour attacher autant d'importance à faire chier tout un forum que toi-même tu appelles "mort".
si il etait pas mort je vous ferez pas chiez et comme il est mort j'ai le libre arbitre comme je ne fais rien de mal si vous allez au forum assassins creed 2 vous verez la difference