J'attends Tales of the Abyss.
Me saoule, j'ai perdu des feuilles que j'avais écrit à Londres, j'ai perdu toute la description que j'avais faite du Buckingham palace et de ses alentours, je raj
J'avais pas vu, il a l'air pas mal!
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Si tu lis ces mots, c'est que je viens de poster.
Je recopie maintenant ou pas ma rédac?
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Si tu lis ces mots, c'est que je viens de poster.
Non, tu attends demain à 1h00 du mat' quand tu seras bien crevé et que tu n'auras plus le choix.
(Bien sûr que tu termines le plus vite possible )
(sans bâcler, évidemment)
Sinon, je sais pas si t'as vu, il est possible que TotA ne soit pas trad' en français.
L'anglais ne me dérange pas, mais je ne sais pas si c'est ton cas.
Ouhla, je viens de me rendre compte, que j'ai écris un peu beaucoup de texte...
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Si tu lis ces mots, c'est que je viens de poster.
Mes deux derniers messages ont complètement bidé
Débide d'Alex.
Tamito, mets ta rédac ici s'il te plaaaaiiiiiittttt .
Pff, quelle bonne journée pour moi !
C'est trop beau, le soleil reflète les feuilles mortes des arbres bien dégagés leur donnant un aspect orange vif.
Ça à l'air chouette .
Ca m'a l'air d'arbres.
J'ai changé des trucs.
Après avoir dépassé la troupe de soldat, qui ne semblaient pas aimer les officiers, nous poursuivîmes notre route.
-Tenent… euh… Ferdinand, ne vaudrez-t-il pas mieux trouver un endroit où se reposer? Demanda Piani.
-Où vois-tu une ferme, ou un village? Lui répondit-je sèchement.
Je remarquait un soupir de la part de Piani.
-Vous savez, il ne faut pas se tracasser à cause de ce que ces soldats on-dit, il suffit de cacher votre identité. Dit le soldat doucement
-Tu as raison, mais ce qu’ils on dit m’a quand même fait peur, si ils avaient découverts mon identité, qui sais si je ne me serrai pas fait tuer! Lui répondit-je en serrant les poings.
Nous marchâmes pendant une, ou deux heure, le temps ne comptait plus vraiment pour nous deux. J’aperçus alors dans l’obscurité ce qui semblait être une grange.
-Regarde là-bas, il y a une ferme! Dis-je à Piani en pointant du doigt le bâtiment.
-Vous avez raison, nous devons nous y rendre au plus vite!
J’allais plutôt vite, malgré la douleur que j’avait à la jambe. Nous étions à peine arrivé qu’un homme plutôt grand, au ventre rebondie et à la moustache rondouillarde sortit d’une maison, un fusil à la main.
-Qui êtes-vous, des allemands? Demanda l’homme.
-Nous sommes des soldats Italiens, nous ne vous voulons aucun mal, nous demandons juste de pouvoir dormir une nuit ici.
L’homme sembla hésiter un moment. Il alors d’une grosse voix, tourné vers la porte d’entrée.
-Berta, on a des invités.
Une femme rondouillarde, au visage rond et au cheveux brun en cascade sur ses épaules sortit de la maisonnette.
-Oh, vous êtes des soldats, entrez donc, vous devez être épuisés!
A peine j’vais passé le seuil de la porte qu’une douce odeur vint me chatouiller les narines, je me souvint alors que je n’avait pas mangé depuis une semaine. L’intérieur de la maison était propre, les murs étaient tapissés d’un papier-peint bleu . On pouvait entendre le crépitement du feu dans la cheminée, un chien dormait au pied de celle-ci.
-J’ai fait de la soupe, venez donc vous asseoir! Dit Berta avec un large sourire.
Je m’était à peine assis, que tout sembla se déformer, les visages, les murs, je voyais flou, il fit tout d’un coup noir, puis je rouvris les yeux.
Je me trouvais dans une clairière, avec un feu de camp. Piani me regarda, il semblait troublé.
-Tu t’es beaucoup agité pendant ton sommeil, tous va bien? Me demanda le soldat.
Je me souvins que nous nous étions arrêtés dans une clairière pour la nuit et que je m’étais endormi.
-Rien, c’était juste… un rêve.
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Si tu lis ces mots, c'est que je viens de poster.
C'est la suite d'un texte non, c'est pas mal, manque d'action, m'enfin c'est normal je suppose .
PS: j'ai corrigé des fautes sur papier!
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Si tu lis ces mots, c'est que je viens de poster.
Pas mal de fautes d'orthographe/grammaire/conjugaison.
Piani et Ferdinand sont des déserteurs ?
J'ai envie de péter un câble.
J'ai de l'argent. JE L'AI, MERDE.
J'ai envie de le dépenser. Je dis à mon père qui va à Auchan de m'acheter Xenoblade (c'est lui qui dispose de mon argent en ce moment).
Au retour, il n'a rien acheté. Je lui demande pourquoi. Il me dit qu'en 2nde, je dois utiliser mon argent pour des "préoccupations intéressantes". Je lui demande lesquelles. Il me dit "des livres, des romans, des bouquins, des préoccupations intéressantes". Comprenez, que des livres de son point de vue. Je lui réponds que la médiathèque (à laquelle je vais 2 fois par semaine) est là pour ça. Il m'ignore.
A la place, il me dit que j'ai "plein" (comprenez une petite vingtaine tous supports confondus) de jeux. Je lui réponds que s'il a acheté 20 films, il en achètera d'autres plutôt que de les revoir indéfiniment. Il m'ignore.
J'ai envie de péter un câble, vraiment.
Tue-le!