Prends ton temps, bâcle pas ta lecture .
Je vais tenter de le terminer pour samedi. Mais rien n'est sûr ! :3
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Par la rémige du Pygargue !
sweet.
Chachaw Moi perso j'ai mis une semaine a tout lire (enfin, un mercredi aprèm' et un week-end) parce-que je lisais aussi les com' mais y avait aussi moi de chapitres
Peto Ce serait trop cool (même un dimanche )
Croco2000 Moi je dirais plutôt :
Sweet !
(Plus qu'un jour pour présenter sa nouvelle au Prix Clara)
Et vive la magniFic de Peto \ / !
T'as participé ou non, Alex, me souviens plus...
Non j'avais commencé à écrire mais trop tôt donc je pense que je participerai l'année prochaine pour pas envoyer un nouvelle bâclée au concours.
Ouille ! j'ai une entorse à la cheville.
Pourrais-tu sortir une sweet Peto
Hier, Drygan m'a invité et j'ai pas pu refuser...
Mais là j'ai pas mal de temps devant moi, donc c'est faisable. Je vous la fais dès que je peux.
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Par la rémige du Pygargue !
Alex Stop de prendre Payto pour une machine à chapitres.
+1.
Et voilà !
Chapitre 80 : Dans les couloirs de métal
Résumé : Tandis qu'Ethan révèle la véritable couleur de son pelage à Alex et à Lucas, Falco se rend compte qu'il est revenu à son insu sur Smashbros, pour son plus grand malheur.
21h08. QG de la Police Subspatiale.
Les appartements des soldats se remplissaient lentement. Jade faisait les cent pas dans sa chambre, attendant une quelconque nouvelle susceptible de la faire sortir de cette prison d'acier. Depuis sa courte mission au Stade Suspendu, elle s'ennuyait royalement. Elle regrettait tellement de ne pas avoir pu sortir, à ce moment-là... saleté de militaires ! S'ils ne l'avaient pas retenue dans l'hélicoptère, elle aurait pu assassiner sa cible comme elle rêvait de le faire depuis maintenant neuf mois... tout le temps des affrontements, elle avait été contrainte à rester passive, observant la scène depuis la vitre de l'hélicoptère. C'était à peine si elle avait pu fracasser le carreau pour empêcher Samus de le tuer à sa place... cet acte lui avait d'ailleurs coûté une sévère punition. Mais qu'est-ce que ça pouvait lui faire ? S'ils savaient ce qu'elle ressentait, ils comprendraient peut-être...
Bref. Maintenant qu'elle s'était associée à la Police Subspatiale, elle devait se plier à ses exigences. Son alliance était une lame à double tranchant : en échange d'un système de repérage bien plus performant, elle était entravée dans ses mouvements. De toutes façons, tout ce qu'elle cherchait, c'était à ce que l'honneur des Chrysætos soit lavé. Par la main de la dernière survivante.
Tout à coup, un déclic se fit dans son encéphale. Elle sursauta. Elle sentait qu'il était là, dans la cinquantaine de kilomètres alentours. Elle en était sûre. Quelque part, du côté du Sud. Que faire ? Tenter une évasion, ou rester ici, à laisser passer ? Le choix était vite fait.
D'un geste vif, l'aigle aux yeux verts attrapa sur la table un crayon et une feuille de papier qui traînaient là, puis griffonna à la hâte quelques mots explicatifs. Elle partait. Son message achevé, elle referma sa veste ouvrante et resserra sa ceinture de cuir. Sa fuite à l'improviste du QG n'allait pas être une partie de plaisir, vu le dédale de métal qu'étaient les couloirs. Heureusement, elle avait eu le temps de ruminer un plan, au cas où. La procédure était la suivante : retirer ses blasters et ses sabres à l'entrepôt, se rendre au hangar des Arwings, voler un appareil et quitter le QG. C'était mal, mais il n'existait de meilleure solution.
Pour l'instant, il s'agissait d'ouvrir la porte de métal coulissante qui la séparait du couloir. Impossible de la bouger seulement à l'aide de ses biceps ; impossible de sortir sans faire de casse. Certes, elle disposait d'un système d'alerte, installé dans la perspective de prévenir quelqu'un en cas de problème. Mais cela n'actionnait pas l'ouverture de la porte, il ne faisait qu'envoyer un bataillon de soldats vérifier ce qui se passait. Tant pis, elle allait utiliser une méthode moins subtile : enfoncer l'obstacle.
Jade s'approcha de l'ouvrage d'acier, déterminée. Plaça son pied droit en arrière. Se concentra quelques secondes. Inspira. Relâcha tout d'un coup.
« Chrysætos calcitrare ! »
La tôle se tordit violemment sous la puissance de l'impact. Un trou béant se forma à l'endroit où la guerrière avait enfoncé sa botte de cuir.
« Parfait. »
En un clin d'œil, Jade s'engouffra dans l'ouverture et passa de l'autre côté. Elle allait devoir faire vite. Sans perdre de temps, elle s'élança à travers les conduits de métal monotones. Un garde passait justement en sens inverse, à une dizaine de mètres. Quand celui-ci aperçut la captive, une réaction instinctive le poussa à porter sa main à sa ceinture, où se trouvait un pistolet.
« Jade ! Ne m'obligez pas à tirer ! Regagnez votre... »
Sa phrase se perdit dans un gémissement de douleur. En l'espace d'un instant, il tomba à genoux, sentit une main derrière son crâne le plaquer à terre. Il n'avait rien vu venir.
« Jade... si vous faites ça, je...
- Je ne vais pas te tuer, rassure-toi. Fais juste passer le message que j'ai décidé d'accomplir ma vengeance seule. »
L'aigle se releva vivement et continua son chemin en courant. D'après ses observations, il y avait plusieurs centaines de mètres de couloirs avant le dépôt tant convoité. La difficulté étant de l'atteindre avant que l'autre soldat ne cafte à ses supérieurs. Le combat à mains nues n'était vraiment pas son fort. Elle privilégiait les échanges à distance, dans laquelle elle était imbattable. Sa vue perçante combinée à ses dons de tireuse lui avaient déjà valu de nombreux prix. Son exploit le plus connu restait sans contexte la fois où, au championnat galactique, elle avait éteint une cigarette à un kilomètre de distance. Cette prouesse lui avait d'ailleurs valu le sobriquet d' "impératrice du blaster". Et pourtant, dans le clan des Chrysætos se trouvaient des personnes encore plus fortes qu'elle... mais ça, c'était avant que...
Des larmes de rage embuaient la vision de l'oiseau. La haine grandissait en elle. La vengeance brouillait tous ses sens. Une seule pensée, une seule idée : le tuer. Lui, le responsable de ce massacre.
Sur le chemin de la réserve, elle croisa trois soldats, qu'elle mit à terre sans ménagement. Enfin, la porte de la salle des armes s'offrait à elle. Aucune sentinelle. L'ouverture se fit d'un simple contact digital avec une plaque contre le mur. Le rideau métallique se leva alors sur une pièce mal éclairée où une multitude d'armes étaient regroupées sans classification apparente. Sol de laine noire, murs d'acier. Armes à feu et armes blanches se côtoyaient dans un camaïeu d'instruments guerriers. Jade ne s'éternisa pas ici et chercha des yeux ce qu'elle était venue chercher. Il ne lui fallut pas longtemps pour dénicher dans le tas ses blasters ainsi que ses deux sabres, Ignis et Venenum. La jeune femme quitta le dépôt sans prendre la peine de fermer la porte.
Tout se déroulait comme prévu. Le hangar, maintenant.
. . .
Suite à une minute et des poussières passées à foncer à travers les conduits, elle arriva à destination. Sur le chemin, elle n'avait croisé qu'une dizaine de gardes, qu'elle ne s'était pas donné la peine de neutraliser. Elle n'avait fait que les semer grâce à sa vitesse surhumaine.
L'obstacle actuel était de voler un Arwing tout en ouvrant les portes assez largement pour pouvoir passer. La salle de contrôle des départs était occupée par trois humains à l'apparence grassouillette. Les assommer serait un jeu d'enfant. Suffirait alors d'ouvrir la porte coulissante donnant sur le dehors, d'entrer dans un Arwing et de sortir définitivement.
« Salut, tout baigne ? »
L'aigle se retourna vivement, surprise, et pointa le tireur de son blaster sur l'intrus. Celui-ci n'était autre qu'un humanoïde bleu de sa taille, vêtu d'un short rouge. Il avait un nez en forme de branchies, des nageoires en guise d'oreilles.
« Abyss, maugréa la jeune femme entre ses dents.
- Relax, range donc cette arme, pria le nouveau venu en déviant de sa main le bout du pistolet posé sur lui. Tu risques de te faire mal.
- Qui t'a envoyé ici ? interrogea Jade en portant une main au manche de son sabre. Pourquoi n'es-tu pas dans ta cellule ?
- Je suis là de ma propre initiative, répondit l'humanoïde d'une voix chantante. J'ai l'impression que toi non plus n'est pas totalement dans les règles. Besoin d'aide ?
- Retourne d'où tu viens. Je n'ai pas besoin de toi.
- Tu es sûre ? Tu ne veux pas que j'aille t'ouvrir la porte du hangar pendant que tu voles un Arwing ? »
Le visage de l'oiseau se fendit en une moue agacée. Elle détestait cette attitude d'Abyss de faire comme s'il lisait dans les pensées des gens.
« Vas-y, dit fermement la jeune femme en fixant son compagnon dans les yeux. Mais pas de coup fourré.
- Entendu. »
Sans prendre soin de vérifier les actions de son partenaire, Jade reprit sa course et arriva dans le couloir qui menait au hangar. Avait-elle bien fait de remettre le sort de son évasion à un énergumène aussi imprévisible que désagréable ? Le pari était risqué, mais c'était sûrement la meilleure solution.
Le rapace se reconcentra sur son objectif. Deux factionnaires contrôlaient les allées et venues. Une fraction de seconde plus tard, ils apercevaient la fugitive.
« Jade ! somma la première sentinelle. Plus un pas ou... »
Il eut droit au même traitement que les autres soldats avant lui : balayette, plaquage au sol. L'autre garde sortit d'instinct son arme, un pistolet miniature, et le pointa sur l'ennemie. Il n'eut pas le temps d'appuyer sur la gâchette que l'aigle avait abattu son aile sur sa nuque. Il tomba au sol, estourbi. L'entrée était dégagée.
Quand elle déboucha dans la salle, la porte coulissante commençait déjà à s'ouvrir. Abyss avait fait vite. Sans perdre une seconde, elle courut jusqu'à l'Arwing le plus proche de la sortie et monta à son bord. Ses réflexes de pilote intergalactique affluaient dans son esprit. Réglage des commandes. Vérification de la pression à l'intérieur de l'appareil. Test des moteurs. Tout était OK. Elle expira un grand coup et effleura les manettes du bout des ailes. Démarra. Prit de l'élan. Sortit du hangar sans se retourner. Elle était dehors.
* * *
« Non, c'est impossible... »
Falco tomba à genoux. Comment se faisait-il qu'il était revenu ici, loin d'Eagleland ? Pourquoi s'était-il retrouvé là, sur Smashbros, la planète de la Police Subspatiale ? Là où les criminels restaient le moins longtemps en liberté, tous astres confondus ? Et surtout... pourquoi là, à l'endroit exact où son Arwing s'était écrasé ? Rêvait-il ? Tout était trop réel pour n'être qu'un univers onirique. Une illusion, alors ? Venant de Drygan, cela l'étonnerait fortement. Que diable s'était-il passé ?
« Falco ? Ça va ? s'enquit Onyx.
- Nous ne sommes pas à Eagleland... nous sommes à Smashbros... »
L'élémentaliste regarda son compagnon, incrédule. Le faucon paraissait être en transe : son regard était figé, d'infimes tremblements le parcouraient. Il délirait sûrement.
« Falco, réveille-toi ! lança l'Eaglelandais en agitant sa main devant le faciès de son comparse. Tu n'es pas dans ton état norm...
- Je vais très bien, merci ! s'indigna le rapace en repoussant le membre de son ami. Tu n'as pas l'impression que quelque chose a changé depuis que tu t'es "endormi" ? Comment expliques-tu cette carcasse d'Arwing ?
- Eh, reste tranquille ! Expose-moi clairement le problème, veux-tu ? »
Falco ravala sa colère. La situation était critique mais perdre de son calme était sûrement la pire chose à faire. Dans l'immédiat, le plus urgent restait d'éviter de se faire repérer. Si une patrouille ou même un simple passant venait à l'identifier, c'en était fini de sa fuite. Néanmoins, il ne devait pas oublier Onyx. Lui n'était pas recherché. Ou, du moins, il était irréprochable du moment qu'il n'était pas aperçu aux côtés d'un dangereux criminel.
. . .
L'oiseau de proie passa les dix minutes qui suivirent à expliciter la délicate situation dans laquelle il se trouvait à son camarade. Ce dernier se montra compréhensif et comprit immédiatement l'aspect critique du contexte.
« Ah ouais, on est profondément dans la mouise, là, commenta l'humain.
- Moi plus que toi, je ne sais pas si tu t'en rends compte, fit remarquer le faucon.
- Vraiment ? Et mes blessures, qu'est-ce que tu en fais ? »
Falco recula d'un pas pour mieux contempler son interlocuteur. Il n'y avait pas fait attention, mais son ami disait vrai : sous ses vêtements déchirés s'accumulaient les hématomes et les ecchymoses. Son épée, rangée dans son dos, semblait lui peser lourd. Autre chose l'handicapait : au niveau de son mollet s'étendait une large entaille qui l'obligeait à boiter. Le sang avait eu le temps de se coaguler autour de la plaie, mais celle-ci était loin d'être cicatrisée.
« D'accord, on est à peu près au même point, accorda l'oiseau. Mais allons au plus sérieux : que décidons-nous ?
- Je ne vois que deux solutions, proposa Onyx. Soit nous trouvons un vaisseau et nous rentrons à Eagleland - ce qui implique l'idée d'un vol, donc d'un crime - soit nous nous rendons. »
Ces deux suggestions laissèrent l'animal pensif. La première lui permettait de regagner une contrée où il était en sécurité, mais cela rajoutait un nouveau délit à son actif. Sur sa liste, il avait déjà détruit un portail spatio-temporel, s'était introduit ans autorisation dans le Stade Suspendu, avait percuté un appareil et de ce fait failli commettre un homicide involontaire. Même s'il sortait du malentendu qui l'entourait, tout ça ne lui vaudrait rien de bon...
Concernant la seconde proposition, elle n'était pas totalement à rejeter, après tout. S'il se rendait, il aurait un vrai procès, avec une audience. Peut-être avait-il une chance d'être innocenté. Le risque étant que, tout comme l'entrevue avec Bridgess, tout se termine par un manque de preuves. A moins que... que... ça y est, il avait sa solution !
« Ça y est, Onyx, j'ai trouvé ! Puisque nous sommes sur Smashbros, autant en profiter : nous allons partir sur le Stade Suspendu amasser les preuves de mon innocence !
- Des preuves ? De ton... je ne te suis pas, là. »
Falco ravala sa bonne humeur. Il avait oublié que son comparse était absent lors de la réunion avec Bridgess.
« En fait, quand nous sommes arrivés sur Eagleland, Bridgess a accepté de nous juger pour notre pseudo-crime. La séance a été levée après qu'elle ait décrété que nous manquions de pièces à conviction. Or, je me souviens avoir trouvé dans le bureau de l'organisateur une version non trafiquée de la plainte du Primide Géant !
- Je saisis pas tout, mais en gros tu veux aller au Stade Suspendu pour prouver que l'affaire dans laquelle tu es impliqué n'est qu'un malentendu. Je suis prêt à te suivre.
- Tu en es sûr ?
- Autant qu'on puisse l'être. Quand un guerrier cherche à laver son honneur sali, je suis de la partie.
- Parfait. Dis, est-ce que tu as une attaque qui te permette de voler ?
- Heu... je peux renforcer un saut avec mon énergie et atteindre une trentaine de mètres... mais pourquoi cette question ?
- Je voulais savoir si on pouvait aller sur le Stade Suspendu sans engin. Manifestement, non. On risque donc d'être obligés de voler un appareil.
- Oui. Enfin, voler... on peut juste en emprunter un...
- Là n'est pas la question. Le véritable problème, c'est comment nous allons nous le procurer.
- Ah. Mais... tu n'entends pas comme un bruit ?
- Je n'ai pas l'ouïe fine, mais maintenant que tu le dis... je sens une grande puissance, aussi ! »
* * *
Excellent. Sa sortie du QG s'était déroulée sans accroc. La partie compliquée du plan était réalisée. Retrouver sa proie et l'éliminer était facile, en comparaison.
« Salut », lança une voix derrière elle.
L'aigle se retourna, horrifiée. Elle avait embarqué un passager ?
« Tu es bonne pilote, chantonna le clandestin assis sur un siège arrière.. Je ne savais pas que tu allais démarrer aussi vite, tu as failli m'apercevoir.
- Abyss ? s'exclama Jade en identifiant l'intrus. Comment es-tu monté ?
- Un tour de magie n'est pas intéressant si on en révèle les trucages », se contenta de répondre l'humanoïde de son habituelle voix chantante.
La jeune femme se reconcentra sur le pilotage de l'appareil. Qui savait de quoi Abyss était capable ? Allait-il la poignarder par derrière ? Ou alors avait-il l'intention de lui mettre des bâtons dans les roues ?
« Que viens-tu faire ici ? demanda l'oiseau d'un ton froid.
- Pareil que toi, la captivité m'insupporte, siffla le passager. Et d'un autre côté, si tu pensais que j'allais te laisser Falco pour toi toute seule...
- Falco est à moi ! mugit le pilote. Si tu le tues, je crible ta face de poiscaille de trous !
- Houlà, tu aurais bien besoin d'une bonne relaxation, toi, apaisa l'humanoïde. De toutes façons, aucune chance que je le tue, mon associé le veut vivant. »
Abyss tendit ses bras pour masser les épaules de l'aigle. Celle-ci repoussa son geste de sa main droite avant qu'il ait eu le temps de la toucher.
« Tu sais, ton associé, tu te le mets où je pense ! s'écria la furie. Je dois tuer Falco par moi-même, point !
- Et en quel honneur, je vous prie ?
- Le clan Chrysætos, ça te dit quelque chose ? Je suis la dernière survivante du drame d'il y a neuf mois !
- Toi qui es molle comme une limace, tu fais partie de ce clan prestigieux ? Je vois... tu veux bien parler des gars assassinés dont on n'a jamais retrouvé les meurtriers ?
- Eux-mêmes.
- C'est bête, je connais le coupable et ce n'est pas Falco. Et ça se dit avoir un instinct infailli-
- Nous sommes arrivés ! »
Jade freina brusquement, coupant du même coup la phrase d'Abyss. Elle se positionna ensuite à quelques dizaines de mètres de l'emplacement du tueur présumé. Elle ne prit même pas la peine d'atterrir en douceur, déposant sans subtilité l'Arwing sur la canopée de la forêt, tout en espérant que les arbres soient assez robustes pour soutenir le vaisseau. Elle sortit alors et se précipita sans plus attendre vers l'endroit où elle pensait trouver Falco.
« Tu vas regretter de t'en être pris aux Chrysætos, fumier... »
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Par la rémige du Pygargue !
J'ai bien aimé.
Accentuation au niveau de l'esprit et des émotions de tes personnages, peut-être ?
J'ai trouvé quelques phrases bizarre, par contre...
" Comment se faisait-il qu'il était revenu ici, [..]" . Je sais pas pourquoi, mais dans ma tête, "qu'il soit revenu" ou "qu'il fût revenu" sonne mieux.
Et un autre truc aussi :
"Qui l'obligeait à boiter". Là, j'imagine une blessure qui réduit le perso en soumission.
"Faisait boiter" ou un truc du genre aurait fait moins artificiel, je trouve.
Mais après, c'est qu'un avis subjectif...
Continue comme ça ! /
Ouaip, j'suis plutôt content de la personnalité d'Abyss, Jade un peu moins mais pas mal aussi.
" " Comment se faisait-il qu'il était revenu ici, [..]" . Je sais pas pourquoi, mais dans ma tête, "qu'il soit revenu" ou "qu'il fût revenu" sonne mieux. " >>> Tu as parfaitement raison, et c'est d'autant plus vrai qu'en français, le subjonctif est la leçon du moment... honte sur moi !
Et merci pour ton com', aussi.
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Par la rémige du Pygargue !
Chouette, un chapitre ! / /
La première chose qui m'est venue à l'esprit, c'est "J'ai vraiment des progrès à faire"...
Enfin, sinon, j'ay beaucoup aymay, SWEET ! :voldesmiley:
Pourquoi "des progrès à faire" ?
T'as rien à nous envier, t'as juste un style différent du nôtre...
Moi aussi, je rage de Peto quand il utilise des mots que je comprends pas, et pourtant, en fait, le niveau est le même...
C'est juste le style qui change.
Je rage parce que j'arrive pas à faire les descriptions.
Grrr.
J'ai beaucoup aimé ce chapitre et j'ai pas remarqué autre chose qui n'a pas été dit.
J'espère que Falco ne mourra pas
Sweet !