Les esperia... Non, je sais pas qui c'est. Pour ça que j'ai pas compris : J'ai dû le savoir un jour, mais... Le problème d'une histoire pareille, c'est que souvent y a plein de mini-histoires dans l'histoire, et ça m'embrouille
moi je pense que tout le monde se battra contre tout le monde et pi cé tou
+1 lento. Mais en général, je me rappelle de ces petits détails là.
Là, si des gentils était dans le camp des méchants, c'est clair que ça aurait la classe
Mais bon, a part si y a des clones maléfiques, je pense que ça sera pas le cas. M'enfin qui sait, on n'est pas a l'abri d'une surprise. L'histoire est tellement partie un peu partout dans tout les sens que je suis sûr qu'y a moyen
J'ai lu !
Alors sache déjà que j'ai adoré tes résumés, ils sont super bien construit et personnellement j'ai totalement accroché.
Sinon l'histoire avance bien, j'attends la sweet !
J'espère que tu vas pas tarder à dévoiler le "truc" Meracx
Le donnera peut être des indices ?
Fin bref comme c'est des résumés je ne peux pas prévoir mais je pense à un combat en particulier
Merci Mario !
Lilian, pour le truc, si vous faites le lien entre différentes informations, il y a peut-être moyen de le deviner !
Dis le combat auquel tu penses, j'aime voir vos points de vues !
J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle !
La bonne, c'est que j'ai fini le chapitre au lycée ce midi, il faut juste que je revois certains passages et que je me relise !
La mauvaise, c'est que j'ai oublié de le mettre sur ma clef, donc je pourrais pas le poster ce week-end !
Pète bonbon ça !
A l'avenir, fais comme moi : Tu te l'envoie via E-mail. ça marche bien quant ta clef est pas là ou si tu veut faire une sauvegarde
C'est toujours sympathique.
Meracx, regarde tes MP par contre.
Je faisais comme toi en fait, mais la clé USB était une métaphore symbolisant tous les moyens pour ramener le chapitre !
En fait c'est Internet qu'à fais des caprices juste avant que je me connecte, et je devais aller en cours !
Yep ! Pour ça que j'ai ET LA CLEF ET LE MAIL chez moi
Au pire, le support papier, y a que ça de vrai pour le transport
Bon, voici le chapitre !
Encore une fois, comme tous les chapitres en ce moment, j'ai insisté sur les émotions, et il y en a des négatives cette fois lento !
Dites-moi si je fais ça correctement, car c'est vraiment un aspect que j'ai envie de travailler encore et encore !
Petit message perso pour Sam' : si t'as récupéré ton ordi, essayes de lire le 53 avec les musiques avant d'attaquer celui-là !
Chapitre 54 : La fin d’un sage
Lucario s’approcha alors du vieil homme qui lui faisait signe, toujours suivi par Aïto, qui voulait visiblement toujours veiller sur le convalescent. Tous les Esperias s’écartèrent devant le renard afin de lui ouvrir le passage, qui ne manqua pas de les remercier rapidement d’un hochement de tête. Une fois arrivée devant Siwan, ce dernier lui demanda immédiatement :
« Es-tu bel et bien remis ? Ressens-tu encore quelque douleur ?
- Je ne ressens pas de douleur physique, affirma le pokémon. Seulement, j’ai l’impression que depuis ma rencontre avec Enzoul, mon esprit est embrumé, et refuse de voir les bons côtés de la vie.
Le Roi des Mers, à l’entente de cette déclaration, soupira profondément, accusant encore plus sa fatigue et son teint terne qui s’étaient accentués depuis leur mésaventure sur l’Île du Lézard.
- C’est parfaitement normal, expliqua-t-il tristement. Les coups que portent Enzoul ne font aucun mal au corps lui-même. En revanche, tous les dégâts normalement reçus par l’organisme sont infligés à l’âme de la victime. En te plantant son épée ténébreuse dans le cœur, c’est comme s’il avait tranché tes rêves et tes espoirs eux-mêmes. Ce sont ces capacités dignes des démons qui sont la véritable raison de sa puissance, car des blessures psychologiques sont bien plus ardues à guérir, et contre toute attente, se relèvent encore plus dévastatrices.
- Pourtant, s’il m’avait frappé en pleine poitrine avec une épée classique, je ne serais pas là pour en parler aujourd’hui, contra Lucario. Même si mon moral est actuellement à zéro, je suis au moins toujours en vie !
- Cette remarque est très juste, admit Siwan. Seulement, as-tu pensé un instant que tu pourrais leur être plus utile vivant que mort ?
Le visé plissa les yeux, apparemment dérouté par la phrase de son interlocuteur. Après un petit instant de réflexion, il affirma son ignorance en dodelinant de la tête.
- Si tu ne vois pas, alors, rappelle-toi des autres facultés d’Enzoul et de Bellum. Souviens-toi qu’ils peuvent lire les pensées de ceux qui ont le cœur obscurci aussi facilement qu’ils parcourent un simple roman. Si tu te retrouves à nouveau contre eux, penses-tu que tu les combattrais comme si de rien n’était ? Penses-tu que tu ne serais pas terrifié par ton ancien bourreau ? Penses-tu pouvoir bloquer tes pensées assez facilement pour protéger tes compagnons ?
Bien qu’attentif pendant la totalité du discours, Lucario écarquilla brusquement les yeux lorsqu’il saisit cette dernière phrase. Il n’aurait jamais pu penser que ses traumatismes personnels pourraient également nuire à ses amis.
- Cela est navrant, j’en suis parfaitement conscient, confirma le Roi des Mers en voyant l’air coupable affiché par son protégé. Mais tu dois te rendre à l’évidence, si le Prince des Ténèbres croise une nouvelle fois ta route dans ton état actuel, il serait en mesure de te soutirer des informations qui pourraient nous conduire à la défaite. Par exemple, il pourrait obtenir les détails d’un plan que nous aurions conçu pour les arrêter.
Toujours organisés en cercle, les Esperias observaient attentivement la scène, sans vraiment en comprendre l’intégralité du sens. Il en valait de même pour Aïto, qui pointait désormais ses yeux sur le pokémon, en lui portant un regard mêlant pitié et questionnement. Les seuls à véritablement saisir l’ampleur et la gravité du dialogue étaient Jugula ainsi que le reste des combattants. Seulement, ces derniers n’osaient pas intervenir dans le débat, de peur d’envenimer la situation. Ils se contentaient donc de fixer le sol en tendant les oreilles.
- Je…je ne veux pas vous faire courir de risques ! se lamenta Lucario. Mon seul désir est de vous aider à triompher de nos ennemis, mais je ne veux pas vous handicaper encore plus sous cet état !
Sa tristesse, survenue avec une brutalité inouïe, était déjà à un stade fort avancé : les larmes commençaient déjà à lui monter aux yeux. Alors qu’il semblait en pleine forme il y avait de cela quelques minutes, voilà qu’il recommençait à flancher, sous les regards compatissants des spectateurs.
- Tuez-moi ! lâcha-t-il sur le coup. C’est le seul moyen qui existe pour annihiler toute chance qu’Enzoul m’utilise !
Cette déclaration provoqua une vague d’effroi parmi l’assemblée : les indigènes reculèrent tous d’un pas en poussant de violents « Oh » de surprise. Ses amis, imités en cela par le guerrier ressuscité, relevèrent les yeux devant celui qui venait de demander la mort, ne comprenant pas ses motivations en ce sens.
- Non ! trancha Siwan. Tu es un élément bien trop important dans notre lutte, et nous perdrions un élément de poids en t’éliminant. Mais surtout, tu es notre ami ! Tu fais partie des nôtres, de cette grande famille que nous formons contre le mal, et l’on ne se débarrasse pas d’un membre de sa famille de cette façon !
Cette phrase eut l’effet d’une violente onde de choc sur Lucario. Dès qu’elle se termina, son visage défaitiste et ses larmes s’évaporèrent, comme aspirés par une force mystique.
- Tu ne dois pas, et tu ne veux pas mourir, déclara le sage. Encore une fois, ce sont les influences maléfiques d’Enzoul qui brouillent ton jugement, et qui te poussent à prononcer de telles sornettes !
- Mais alors, que dois-je faire pour m’en débarrasser ? Et surtout, que puis-je faire pour m’assurer que je ne serais d’aucun danger pour vous ?
- Il y a deux solutions à cela. La première est que nous t’excluons de nos combats et que nous ne te mettions pas au courant de nos stratégies, ce qui est hors de question compte tenu de ton importance. Il reste alors la deuxième, qui permettrait de résoudre tous tes problèmes d’un seul coup. Il faudrait que tu parviennes à te débarrasser part toi-même du mal qui te ronge, que tu décides toi-même de l’expulser de ton corps, que tu reprennes le contrôle de ton âme, afin que tu recouvres toute ta lucidité et ta puissance.
La proposition de Siwan jeta un froid sur l’ensemble du groupe, et plus particulièrement sur Lucario, qui semblait avoir perdu toutes ses émotions. Toutefois, il parvint tout de même à répondre :
- Il est certain que cette solution est probablement la meilleure, mais…comment vais-je m’y prendre si mon esprit est désormais l’esclave des ombres ?
L’ombre d’un sourire éclaira alors le visage vieux et sombre de l’entité marine.
- C’est à ce niveau que j’entre en scène ! »
http://www.youtube.com/watch?v=uyX_0Ug7mcE
« Désormais, ce pays représente le dernier espoir de la Terre. Nous sommes le dernier rempart qui protègera le monde du Seigneur du Mal. S’il parvient à nous détruire, son emprise se répondra telle une infection à travers l’univers.
Les regards se détournèrent instantanément du garçon pour se tourner vers le vieil homme. Bien que l’air profondément affaibli, il dégageait encore un charisme solennel capable de captiver le plus désintéressé des hommes.
- Maintenir ce mur ne sera pas facile, il devra faire face aux déchaînements des forces maléfiques qui chercheront à l’escalader, ou même le démolir. Heureusement, de nouveaux amis vous rejoindront bientôt, et seront d’autant plus de pierres qui fortifieront la muraille de l’espoir. Oui, dans un jour très proche, les meilleurs combattants du monde entier seront tous regroupés sur cette île, et formeront avec vous l’armée de Raguad.
- L’armée de Raguad ? l’interrogea Shadow depuis le public. Qu’est-ce que cela signifie ?
- Raguad est légende se transmettant de générations en générations chez les Esperias, lui répondit Siwan. Cette île paradisiaque aurait été bâtie par les Meracx, afin qu’un espace de pureté subsiste à jamais sur cette planète. Elle symbolise la vie, l’espoir d’une utopie permanente. On raconte également que seule une âme vide de tous pêchés pourra y accéder, en étant guider par le gardien des lieux. C’est donc un nom convenant parfaitement à notre rassemblement. »
Dans la foule, les dialogues commençaient à fuser de tous les côtés. La plupart des Esperias débattaient sur le fait d’accueillir des étrangers dans leur patrie. La quasi-totalité n’était pas contre, mais craignaient qu’ils ne détruisent la nature qui maintenait ses pleins droits depuis des lustres.
Lucario, quand à lui, restait totalement interdit depuis les dernières phrases du Roi des Mers. Une terre perdue, un paysage paradisiaque, un gardien mystérieux. Tous ces éléments avaient déclenchés quelque chose dans son esprit, un mécanisme, qui dans son activation, chassa ses soucis de son esprit pendant un certain temps.
Max.
Il le sentait. Celui qui veillait sur ce lieu de légende, et y conduisait parfois quelques élus, c’était lui. Il sut également que Raguad était en fait l’endroit où il avait passé la majorité de sa vie, en compagnie de son mentor.
Les yeux baissés, ne prononçant plus un seul mot, il se mit à réfléchir à sa condition et ses prétendus acquis. Son cœur était-il réellement si pur ? L’île de la légende était-elle bien celle qu’il croyait ? Toutes ces questions lui taraudaient la tête, et il ne parvenait plus à s’en défaire.
http://www.youtube.com/watch?v=Vu_Lp51wyao
De la colère. Une profonde et violente colère qui ne demandait qu’à s’exprimer. Et c’est ce qui finit par arriver.
Le silence qui régnait d’habitude sur cette île avait cédé sa place à un gigantesque vacarme mêlant cri et jérémiades. Cela ne faisait donc qu’aggraver la fureur qui dormait au fond du guerrier.
« FERMEZ-LA ! » hurla celui-ci, arrivé au bout de ses limites.
L’intonation qu’il avait employée était si puissante qu’elle couvrit tous les autres bruits actuels, tout en terrifiant instantanément les pauvres Esperias. Tel un éclair, cette remarque violente paralysa tout le public, sans exception. La comparaison avec la foudre n’était d’ailleurs pas anodine, car avec ce simple cri, Jugula semblait avoir couvert le ciel de nuages gris, alors qu’une étendue azurée et dégagée les éclairaient encore quelques instants plus tôt.
« Croyez-vous que c’est cela le souhait de Siwan ? Une bande de pleurnichards qui s’apitoient sur leur sort à la moindre perte ? Croyez-vous que c’est pour que vous baissiez les bras qu’il vous a laissés ? Croyez-vous lui rendre hommage en vous affaiblissant vous-même, en vous changeant en proie facile pour Bellum ?
Se mordant les lèvres pour contenir son courroux, il ramassa le sceptre du défunt, le pointa vers ses descendants, et acheva d’un ton violent :
- Croyez-vous que c’est ça, la véritable armée de Raguad ?
Avec cette simple remarque, il avait réussit l’exploit de sécher toutes les larmes et de lever un vaste vent de honte qui engloba tout le monde. Même si ses paroles avaient été sèches et désagréables, tous réalisèrent qu’il avait raison : si le Roi des Mers avait rendu son corps au ciel, c’était pour leur donner de l’espoir, et non du pessimisme.
- N’ayez crainte, continua le meneur. Même si mes mots étaient durs, ils n’avaient pour but que de vous remettre sur le bon chemin. Quoi qu’il arrivera, et malgré les âges, vous serez toujours mon peuple, ma famille ! C’est ensemble que nous remporterons la victoire, et que nous vaincrons notre oppresseur de jadis !
Ce discours d’encouragement achevé, il leva triomphalement son poing libre vers le ciel. Ce dernier gronda face à ce geste, sous l’incompréhension de l’assemblée. Mais tout à coup, à la surprise général, un éclair fendant les cieux, et tomba droit sur le bras de Jugula.
Mais ils ne lui causèrent nul dommage ou blessure.
La charge électrique, en s’écrasant, avait formé une sorte de champ de force d’énergie, qui entourait à présent le poing gauche de Jugula, lui donnant un air plus mystique que jamais.
- Moi, Jugula, manieur de foudre et faiseur d’orages, jurent de défendre cette planète jusqu’à ma mort ! »
A suivre…
Voilà, en espérant que vous aimerez !
J'ai revu plein de fautes en me relisant après avoir posté !
Bon, ça sera un test pour voir si vous les retrouverez !
Par contre, dans cette phrase :
"les seuls à y couper étaient Shadow, Olimar, Ness, Lucas et Jugula"
C'est pas Lucas, mais Lucario !
Des... Dégâts a l'âme... Ouais... Je sais pas trop quoi en penser. Autant une blessure psychologie, genre un traumatisme, je vois parfaitement, mais... Je trouve ça bizarre si c'est des blessures qui peuvent guérir, et aussi facilement de surcroit.
En plus, je sais toujours pas vraiment où on est, parce que depuis le temps je sais plus du tout a quoi ça correspond, tout ça
"Penses-tu pouvoir bloquer tes pensées assez facilement pour protéger tes compagnons ? "
Tss ! Frixt lit mieux que tous les pensées des autres ! Enzoul peut aller se rhabiller !
"- Je…je ne veux pas vous faire courir de risques ! se lamenta Lucario. Mon seul désir est de vous aider à triompher de nos ennemis, mais je ne veux pas vous handicaper encore plus sous cet état !"
Merde ! Il s'est choppé la Samiite ? J'espère que c'est que passager, parce que sinon... Il va perdre en épic.
"- Tuez-moi ! lâcha-t-il sur le coup. C’est le seul moyen qui existe pour annihiler toute chance qu’Enzoul m’utilise ! "
Et là, ses amis font "d'accord", lui coupent la tête et puis voila ça serait vraiment tordant !
Et hop ! Encore des trucs mystiques d'introspection que j'aime pas ET des discours sur des notions de pas abandonner et tout ! J'aime pas... Pas du tout ! Et pareil pour ce petit paragraphe.
"Les yeux baissés, ne prononçant plus un seul mot, il se mit à réfléchir à sa condition et ses prétendus acquis. Son cœur était-il réellement si pur ? L’île de la légende était-elle bien celle qu’il croyait ? Toutes ces questions lui taraudaient la tête, et il ne parvenait plus à s’en défaire."
Désolé, mais même si c'est très bien écrit, je me suis déjà bien perdu avec toutes ces histoires secondaires et tout ces personnages qui se recoupent, ce qui m'empêche de bien saisir le tout, et en plus y a le genre de magie et de trucs que je déteste voir, surtout le truc a la fin avec les discours du "meneur" (Je sais pas qui c'est, au passage, depuis le temps qu'il a été introduit...).
"Finalement, dans une violente explosion, le corps du vieil homme se désintégra. Ce déchaînement d’énergie eut des répercussions pendant quelques instants, et mis du temps avant de s’étendre totalement."
Mais ça, au moins, ça m'aura fait bien rire Même si il donne son pouvoir a "Lucas" qui n'est pas là je crois... Donc c'est Lucario... Autant des petits fautes, ça va, mais se planter de nom de personnage...
Me voilà ! Et avec un paragraphe en plus dans mon com' !
Je tiens à préciser que lorsque j'ai vu le topic des chapitres de Mer en haut du forum du club, je me suis dit "Chouette ! Il l'a pondu vite, celui-là ! Je vais me régaler ! "
À toute vitesse, je vais sur le fofo d'SSBB, clique sur le topic, dernière page, puis...
"Petit message perso pour Sam' : si t'as récupéré ton ordi, essayes de lire le 53 avec les musiques avant d'attaquer celui-là ! "
Et là, mon sourire disparaît.
"Quel fourbe, ce Mer, ai-je pensé, il veut faire retarder mon plaisir ! Pourvu que mon ordi n'est toujours pas arrivé !"
Espoir particulièrement inutile, d'autant plus qu'il était à côté de moi.
"Grmbl, bon, allez, refaisons-nous un petit coup du chap' 53 ! Youpi ! "
Et c'est ainsi, que le preux et valeureux Sam de mit en quête de défaire le terrible chapitre 53, une bonne fois pour toutes.
Et là, LÀ, j'ai découvert un tout nouveau monde.
Les musiques, mais les musiques ! Elles étaient tout simplement excellentes. Elles collaient toutes super bien au texte, surtout celle d'Ooshima !
Toutes ? Non !
LE BONHEUR était un peu décalée (oui, le bonheur, c'est masculin, mais la musique, c'est féminin ) par rapport au passage du chapitre où l'on doit l'écouter. Décalée, dans le sens où une meilleure musique aurait convenu. J'aurais choisi pour ma part un truc un peu plus... qui exprime un peu plus l'espoir, la volonté.
Mais sinon, c'était vraiment super !
Bon, je vais pioncer un peu, et je reviens pour le com' du chapitre 54.
Bon !
Scénario Le coup du vieillard qui se sacrifie, ça s'est vu et revu au fil des séries, mais bizarrement, j'ai particulièrement été étonné de la mort de Siwan. T'as réussi à caser ce moment à l'endroit où l'on s'y attendait le moins, et au moment où l'on commençait à le connaître un peu plus. J'ai été très étonné par ce passage, même si j'y étais habitué, chapeau !
Sinon, j'ai beaucoup aimé également cette perspective des guerriers de Raguad. On dirait la fin d'Avatar ( le maître de l'air, pardi ), où plusieurs personnes se joignent à eux pour la bataille finale. Le seul truc assez zarb', c'est qu'il n'y a que Max qui vit sur Raguad, et que pour un seul guerrier tout le groupe se fait baptiser "les guerriers de Raguad". Encore, si ils se seraient baptisés comme étant les "guerriers de l'île du Lézard", j'aurais compris, mais là...
Je vois bien la scène :
Siwan, devant toute l'assemblée : Bon, alors vous voulez vous baptiser comment ?
Tous : Les guerriers de l'île au Lézard !
Max : Les guerriers de Raguad !
Siwan : Ok, va pour Raguad.
J'ai par contre trouvé un peu dur Jugula : on dirait que c'est un mur, dépourvu de sentiments. Je l'aurais fait un peu plus affecté par la mort de Siwan, et aurait un peu modéré sa colère envers les Esperias.
Descriptions Pas de descriptions, mais c'est bien.
Musiques Alors, je ne vais pas te cacher le fait que j'ai vraiment pas apprécié la première musique ( celle de Sheik ), que j'ai vraiment trouvé inconsistante, et ne correspondant pas tellement au passage qui lui a été assigné. Par contre, la deuxième ( Unforgotten ) était très classe, et collait très bien. Et la troisième...
C'est l'une des excellentes musiques de Two Steps From Hell ! Comment ne pas aimer ?
D'autant plus que je l'interprète exactement de la même façon que toi : pour moi, Atlantis est une musique qui exprime l'espoir, et la volonté de se battre malgré les difficultés. Chapeau !
Ortho / Conju / Ponctu
Très bon chapitre, donc, on attend la sweet avec impatience !
Même si je comprend pas bien... Pourquoi le vieux devait faire le terroriste pour transmettre son savoir ? Y pouvais pas faire bêtement comme Spock, toucher le type en face de lui pour faire un petit transfert de mémoire ?
L'explosion était surtout due au transfert de force, il me semble.