Mon dieu, mais qu'est ce ? Oh non, une autre fic !?
Bah oui 
. En fait avec toutes ces parodies sur le forum, je n'ai pas pu résister à la tentation d'en faire une moi même 
. L'histoire n'a au début aucun rapport avec ssb, mais par la suite oui, alors vous en faites pas.
Comme toutes les parodies qui hantent ce forum, l'histoire commence chez moi. Ben oui, en même temps ça n’allait pas commencer au collège, hein…
Ma foi… pourquoi pas ? Par soucis d’originalité, me voilà donc en train de m’emmerder en cours de techno. En fait, la techno me faisait particulièrement chier, c’est pourquoi mes yeux étaient à demi-clos. Le prof entamait juste une leçon sur les résistances, de quoi donner de l’entrain à ma somnolence. Ma somnolence s’appelle Paulette. Fallait bien que je lui donne un nom, elle qui vient me rendre visite tous les jours 
.
Paulette : Lalalalala (on dirait pas comme ça, mais c’est une
berceuse).
Goulou : Voui… Mrrr…
Je frottai ma tête contre la table. J’aurai juré que mon voisin m’eut regardé d’un oeuil étrange. Sans doute ne fut-ce qu’une impression.
Prof. : Mmh… Vous savez ce qui vous attends si vous continuez à faire le guignole Mr Goulou (oui, ça fait moins
autoritaire, d’un coup avec le pseudo à deux balles)…
Je me redressai, droit comme un piquet et agitai la tête de gauche à droite.
Goulou : Gné ?
Paulette : n’y prète pas attention, continues à dormir, là…
Goulou : Mrrr…
Prof. : Goulou, si vous continuez je sens que je vais m’énerver ! Sors-moi ton carnet !
Mais il était trop tard, nous avions dépassé un stade où la somnolence avait pris le dessus. Paulette était vraiment trop forte.
Goulou : Mrrr…
Le prof fronça les sourcils, puis se dirigea vers son bureau et en sortit une règle. Il s’en munit et se dirigea à pas saccadé là où se trouvait ma carcasse désormais possédée par Paulette. Comme par hasard, mes doigts étaient bien en vu. Et puis, ben paf quoi…
Goulou : GHHHYYYAAAA !!!!
Je tenais entre mes doigts valides les autre, douloureux, désormais rouge.
Goulou : PUTAIN DE BORDEL DE SACREBLEU DU CUL DU CHIEN DE MA GRAND MERE, ENFER ET DAMNE MYOPES DEGOULINANT DE CERVELLE MOISI DES MOUCHES DE MON ANCETRE HANTANT LE CUL DE SATAN DE NOM DE DIEU DE…
Prof. : Hum !
Goulou (essayant de se rattraper désespérément) : Euh… Fichtre 
?
Prof. : Je suis sympathique, vous n’aurez que 5 heures de colles.
Il me gratifia d’un sourire éclatant.
Goulou : Mais… monsieur… C’est Paulette.
Prof. : Ah oui ? Dis moi Goulou, tu es amoureux d’une fille et c’est ça qui te déconcentre ?
Son air était tout d’un coup beaucoup plus sérieux, comme si il venait d’avoir une révélation. Je me chargeai de le ramener à la réalité.
Goulou : Nan, c’est ma chienne, elle est morte.
Ben oui, j’allai pas lui dire que Paulette était en fait ma somnolence…
Celle-ci tentait d’ailleurs à tous moments de s’infiltrer à travers mes défenses pour me refaire fermer les yeux, mais par une vivacité hors du commun, je réussis à la tenir à distance.
Mais soudain devant mes yeux ébahit, derrière le prof, apparut l’élément déclencheur de l’histoire. Ah merde je suis pas en cours de français . Cette élément déclencheur était tout à fait particulier. A vrai dire, c’était un point noir. Mais pas les points de quand tu crois voir une mouche, non non. C’était un vrai point parfaitement rond, parfaitement noir, d’une taille d’à peu près 2cm de diamètre.
Goulou : Un point noir !
Je tendai le doigt en sa direction. Il virevoltait dans les airs mais personne, à part moi, ne dirigeai son regard vers cet endroit précis de la salle. Par conséquent personne ne le voyait. Les nazes… Le prof se tourna mais le point noir se tourna lui aussi de sorte qu’il fut encore derrière le dos du prof. Oh oh ! Ce point noir était malicieux. Mais j’allais le mater moi ce petit.
Goulou : Yaaaaah !
Je me mis debout sur ma chaise et me jetai vers ce couillon. Mais ce fut ce moment là que choisit Paulette pour reprendre le dessus, et je m’effondrai, le corps sur la table, et la tête pendouillant dans les airs.
Paulette : Mwarf… J’l’aurai eu à ct’enculay .
Un noeliste ! Ce signal fut tout de suite une sorte de réveil, et je me redressai de ma longue torpeur (tout est relatif, on vous a pas appris ça ? ). Je hais les noelistes. J’adressai aussitôt à Paulette qui était désormais enfouie dans ma conscience un message morse avec mes yeux. Paulette ne comprenait que les messages morses pas les messages normaux, comme toutes les somnolences. Voici en quelques mots le message que je lui adressai : . Elle fut complètement terrassée.
Mais pendant que j’avais l’air d’un parfait abruti fini devant les membres de ma classe qui regardait la scène d’un air rieur, le point tournait au coin de la porte pour aller se promener dans les couloirs.
J’allais pas le laisser partir comme çe salaud! Je me mis debout sur ma table, glissai sur ma trousse, tombai, me retrouvai l’estomac complètement détruit par l’angle du meuble, fut emporté par celui-ci qui tomba à la renverse, puis écrasé par cette même table. Je ne pris pas le temps de prendre note de ma situation et je m’empressai de me sortir d’entre les griffes de l’instrument de torture et du sol. Je courai à moitié accroupis puis tournai en dérapant et en me cognant contre le coin du bureau du professeur en passant, et enfin fonçai dans les couloirs, en laissant là mon prof avec mon carnet dans ses mains.
Goulou : Ah ! Le voilà ce couillou ! Viens par ici ! Petit petit petit !
J’avais l’air d’un con à courir en tendant les bras comme ça, dans le couloir, mais je m’en foutai, il n’y avait personne pour me voir, tous le monde avait cours.
Le point noir était donc parfaitement visible, à 10 mètres de moi. Je savais même pas pourquoi je suivais cet élément déclencheur, peut être parce que justement c’en était un… Mais c’était mon devoir de le faire. Il le fallait.
J’eu soudain une remontée d’adrénaline et sprintai vers le point noir. Mais il tourna vers les escaliers. Je le suivis de plus en plus motivé. Mais un auteur est un auteur, on ne peut pas l’empêcher d’être sadique. A son plus grand bonheur, je trébuchai. Où ? je ne sais pas, mais je trébuchai. Je dévalai les marches en boules. A chaque bosse, ma détermination grandissait. Ce putain de point noir m’en faisait vivre des problèmes ! Quand enfin je me retrouvai le corps en croix sur le sol de ma cour, et le corps traversé de vifs éclairs de douleurs, il se mit à pleuvoir. Je restai là, consterné par le sadisme de l’auteur. Mes cheveux mouillés tombaient sur mes yeux. Ca piquait, mais je m’en foutais. Le monde était si cruel !
Goulou : Bouhouhouhou !
Un grand moment passa.
Puis soudain, je le vis. L’élément déclencheur. Oui, le point se jouait de moi, il voletait tout autour de ma tête partait un peu plus loin puis revenait me titiller les oreilles. On aurait dit qu’il voulait que je le suive.
Goulou : Bah ouais, ok.
Quoi, vous vous attendiez à des réfléxions de dix lignes sur le fait que j’hésite à suivre le point noir ? Nannnn, je suis trop simplet pour ça.
Je traversai donc la cour en courant (warf warf, notez le jeu de mot excellent) et escaladai le portail. Evidemment, c’est parce que le point avait fait le même trajet que moi. Celui-ci continua sa route et suivit l’allée bordant le collège. Je le suivis. J’en étais presque à haleter et à courir sans me poser de question. En fait je courais sans me poser de question mais je ne haletai pas.
J’étais loin de me douter que… mon robinet fuyait.
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Voilà :--) . Je tiens à vous dire que je débute dans le milieu, faites moi des critiques constructives au lieu de me défoncer :o) . Et à tous ceux qui me diraient que je dois continuer mon autre fic, je leur dirai que ce sera fait ce week end :- p .
Je veux la suite 
tronche de pancake, c'est à cause des gens comme toi que tout le monde râle car il y a trop de fics.
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