Chapitre 1 (et désolé pour les formes de Midona je n’ai pas fait attention^^)
-Princesse Midona, les monstres progressent ! Ils vont bientôt s’emparer de la partie est du château !
Midona, tremblante, s’assit sur son trône. Le chevalier releva la tête et regarda longtemps sa souveraine…
-Je vais me joindre au combat, dit-elle soudain. Retournez au combat. Ces monstres n’atteindront pas cette partie de la tour vivants !
Sur ce, elle réfléchit à la situation. Elle avait été dérangée par une explosion plus bas. Elle avait ensuite entendu des grognements, des bruits d’épées et des cris, et maintenant elle en était là ! Elle prit son épée et regarda le garde partir pour renforcer la défense. Puis la princesse courut le suivre. Elle entendit une détonation et vit un pan de mur s’écrouler sur elle. Midona créa un bouclier pour les protéger et vit ce qui arrivait par le trou dans le mur… Et elle fut saisie d’effroi, et entendit son garde déglutir. Ce qui venait d’arriver n’était autre qu’un monstre du crépuscule, identique a ceux qui avaient attaqué Zelda et surtout, ceux sur qui elle pensait avoir du contrôle !
Ils sautèrent sur le garde.
Midona leva la main pour vérifier que ses pouvoirs marchaient encore.
Un monstre leva la griffe.
L’abaissa.
Le garde se fit ouvrir le ventre.
Midona, paniquée, cria néanmoins :
-Flammes sombres ! hurla Midona.
Tous les monstres s’écroulèrent, submergés par un océan de flammes noires incandescentes, mais d’autres arrivèrent.
-À moi, mes gardes ! cria la princesse.
Des gardes arrivèrent de tous les côtés et se ruèrent sur les serviteurs du maître des ténèbres. L’un des monstres se fit égorger, un autre empalé et l’un des gardes décapité. Il y avait des morts en abondance dans les deux camps, et bientôt la quantité des hommes de Midona diminua de façon critique. Pourtant, d’autres gardes arrivèrent. L ‘un d’eux attrapa une torche accrochée au mur et s’en servit pour frapper un monstre en criant :
-Tu veux du feu ?
Il faut croire qu’il n’en voulait pas car il se tordit de douleur et tomba sur le sol, en flammes.
Les gardes imitèrent l’autre en s’emparant des torches et bientôt ce fut eux qui eurent l’avantage. Pour achever les autres, on apporta une marmite d’huile bouillante que l’on déversa sur les créatures, avant de jeter les torche dans le liquide. À vous d’imaginer le résultat…
Au bout d’un moment, le sol trembla, se fissura et s’écroula : une catapulte avait tiré et visiblement atteint son but. L’huile et « les pierres de feu » s’écroulèrent sur quelques dizaines de monstres en contrebas.
Midona fit léviter une autre marmite d’huile jusqu'à elle et la déversa sur les créatures survivantes, avant d’utiliser sa capacité : flammes sombres, ce qui fut mortellement efficace, vous en conviendrez…
Après ce très cour combat, on entendit des bruits d’une ampleur spectaculaire, ce qui laissait prévoir une attaque imminente. Aussi décidèrent-ils décidèrent de s’enfuir.
-Venez, mes gardes ! Suivez-moi, je connais un passage qui nous conduira a un passage qui nous mènera ensuite au monde de la Lumière, en Hyrule. Ensuite…
-Non.
-Qui a parlé ? dit Midona en se retournant brusquement.
-Moi, princesse, dit l’un des gardes.
Le soldat se transforma en un homme encapuchonné qui s’avança lentement vers Midona. Il s’arrêta, fit un geste de la main et tous les gardes s’écroulèrent, foudroyés et raides morts.
-Mes hommes ! Que leur avez-vous fait, espèce de…
L’homme porta la main à sa ceinture, et en ressortit une épée qui ressemblait beaucoup a Excalibur, mais le pommeau était noir et la lame, plus sombre que l’épée de légende. Seul, le symbole de la Triforce brillait d’un éclat doré.
-Mais serait-ce…
-Ça, vous ne le serez jamais, princesse.
Et il abaissa son capuchon. La frayeur de Midona fut plus grande que tout ce qu’elle avait ressenti auparavant.
-LINK, NON !
-Si ! hurla celui qui ressemblait a Link. SI ! SI ! SIII !
Il leva la main. Un éclair rouge en sortit.
-NN…
-Trop tard !
Slash !
À suivre…
Pas notre faute si ton horizon culturel est limité hein... On va pas se borner à ton type de fic scabreuse juste pour te faire plaisir. Culture mon gars, culture.
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