J'aime bien mais trop court le moment ou il dit "j'étais l'un d'eux". On croit vraiment qu'il se transforme en zombie tu devrais insister sur ce fait pour que l'impression soit d'autant plus grande a moins qu'il soit réellement devenu un zombie et dans ce cas je n'ai rien compris
C'est la fin du cauchemar de Rod, alors ça part en live, le persos qui raconte n'importe quoi est une sorte d'"avatar" de Rod, et sa mort met fin au cauchemar.
Dis tout de suite que je suis tordu!
Et, en effet, c'est un peu court
Comme promis, voilà la suite
Personnellement, je la trouve pas mal, à vous de juger
Partie II.
Chapitre10: Le Bon, la Brute et le Truand.
Résumé: Après un interminable cauchemar à base de morts-vivants et après un triste épilogue à cet atroce songe, Rod se réveille dans le château de Ryû. Situé derrière la terre sacrée. Il s'agit d'une imposante forteresse dominée par trois tours formants un triangle menaçant. D'imposantes meurtrières depuis lesquelles un observateur avisé tend la corde de son arc trônent sur les différentes tours. Les murailles, d'un gris bleuté inquiétant entourent fièrement le lieu. Le mur Nord-Ouest est tombé durant une fantastique bataille menée par les soldats du Royaume volcanique et par les alliés de Rod. Ce dernier est sortit de sa cellule, est et parvenu jusqu'à l'armurerie, d'ou il ressort, lourdement armé...
J'ai récupéré trois arquebuses dans l'armurerie, accompagnées de deux épées longues et trois dagues d'assassin. Autant vous dire que se déplacer dans cette tenue n'était pas très aisé. Cependant, la présence ennemie était amoindrie à cause de la formidable bataille qui faisait rage dehors.
J'avançais tant bien que mal vers les murailles de la citadelle, les gardes mitraillaient mes alliés depuis ces dernières. Ils étaient trop nombreux pour me permettre de passer, même avec mon atiraille. Je devais opter pour le déplacement silencieux et l'infiltration. J'ai donc enfilé une armure en Devil Jho qui traînait dans l'armurerie afin d'optimiser la compacité avec laquelle je me déplaçais. Laissant par la même mes deux arquebuses ainsi qu'un sabre et mes deux dagues. J'ai cependant pris une arbalète pour descendre silencieusement mes adversaires.
Après quelques minutes de marche à travers un corridor éclairé par une torchère à résine. J'ai collé mon œil à la serrure rouillée, sans doute dégradée par le temps et l'utilisation intensive. J'en déduisis donc qu'une salle d'importance se trouvait derrière la porte. Depuis ma cachette, je voyais un genre de salle du trône éclairé par de larges vitraux qui reflétaient une inquiétante lueur violette du plus mauvais goût. Le propriétaire -Ryû- avait des habitudes quelques peu incompréhensibles. Mais bon, les tentures accrochées aux murs étaient richement décorées, toujours de mauvais goût.
Je vérifiais la stabilité de quelques pierres étranges et branlantes pour déceler d'éventuels pièges, je jetais un dernier coup d'œil à la salle du trône, la peinture blanche qui tapissait les murs formait un étrange contraste avec les salles externes. A première vue, aucune porte ne se trouvait de l'autre côté. Après ma détection des pièges, je me décidais à tourner la poignée.
Hélas, la porte était fermée à clé, je n'avais absolument aucune idée de l'endroit ou se trouvait cette foutue clé. Alors que j'allais rebrousser chemin, une ombre se dessina timidement sur le mur de pierres inégales, dans un geste rapide, je me plaçais derrière une caisse de bonne taille qui offrait une cachette appréciable. C'était un garde, de grande taille est de constitution impressionnante, il avait un glaive dans un fourreau pauvrement élaboré de peaux de Kelbis.
Je devais trouver un moyen de prendre l'initiative. Une idée me vint soudain en tête: je saisis d'un geste précis mon arbalète. J'ajustais le tir en direction de la torche de l'autre côté du couloir, le carreau transperça la torche qui tomba au sol dans un bruit de résonnance dû aux pierres de piètre qualité qui formaient le sol. Le garde se retourna vivement pour de quoi il en retournait, je sortais promptement de mon abris de fortune et attirais son attention.
_Bouges pas!
Le garde hurla de façon étonnement fluette en tombant au sol, il reculait et se heurta au mur, retrouvant ma bonne humeur, je renchéris.
_Pauvre con! après quoi je décochais un carreau acéré dans son crâne. Il s'écroula dans un fracas résonant dans la tour.
Je récupérais les clés qu'il portait et les ajoutais à mon trousseau, préalablement volé sur le cadavre du geôlier. Visiblement, il possédait la clé du sanctuaire interdit. Une clé massive en argent, visiblement crée par un forgeron de talent, elle était décorée des armes du seigneur du Donjon. La queue d’un dragon se prolongeait jusqu’au bout de l’ouvrage, deux lames entrecroisée ornaient la partie large de cette clé.
Je la plaçais dans la serrure, après un crissement atroce et surtout très discret, je tournais la poignée et poussait la lourde porte en fer forgé qui séparait le sombre couloir du lieu majestueux qu’était la salle du trône. Un tapis vert bordé de liserés dorés se présentait à moi, par pur instinct, je me plaquais au mur et avançais discrètement, quand tout à coup…
…depuis une tribune installée près des grandes orgues, une flèche vint se planter à quelques centimètres de mon pied gauche, je reculais vivement et dégainais mon arquebuse. Ryû se tenait sur la tribune, assit sur un tabouret qui servait à l’organiste, il tenait fermement un arc, son visage était neutre, bien que marqué par une intense fatigue. Ce devait être le résultat de la patience dont il avait fait preuve lors du siège.
Aucun sourire n’éclaira son visage, il tira une flèche de son carquois accroché à son épaule et la plaça sur la corde. J’avais tassé la poudre dans le canon de l’arquebuse, je plaçais la balle et ajustais mon tir. J’en avais assez de parlementer avec des tarés, il était peut-être la raison de ma quête, mais maintenant, il était devenu la cible prioritaire.
Le siège central explosa subitement, Natsu surgit, l’épée au poing.
_Alors, mon pote, ça faisait une paie ! déclara-t-il avec enthousiasme.
_Tu l’as dit, rétorquais-je, si tu savais ce qui m’est arrivé pendant que vous vous battiez ! lançais-je avec un sourire en coin tout en faisant feu sur Ryû.
_On poireauteras plus tard, je vais l’allumer avec mon arquebuse !
Je constatais avec étonnement que Natsu était suffisamment patient pour ajuster un tir précis, cependant, la balle ne fit qu’effleurer le bras de Ryû, ce qui eu pour effet de lui faire lâcher son arme, j’allais tirer lorsque la détonation de l’arme de mon compère se fit entendre, j’ai donc raté la tête pour atteindre sa jambe droite, c’était quand même un joli tir.
Mon ennemi fuit derrière l’imposant instrument de musique, avant même d’entamer la discussion, les murs commencèrent à trembler, des miettes de plafond tombaient au sol, les vitres éclataient, un érudit traversa la salle à vive allure, il était vêtu d’une robe de mage vert de gris. Il chercha Ryû des yeux, ne le voyant pas, il se décida cependant à exprimer sa joie :
_Maître ! Exulta le mage, maître, Il est réveillé ! Le voilà, Il arrivera dans quelques heures, le dernier !
Ne comprenant pas le sens de ces paroles, je le saisissais au bras et lui fis les gros yeux. Il m’expliqua que le dernier Monstre Roi venait d’émerger d’un long sommeil, il sortait du château de Greil…
C’était une imposante bâtisse située à quelques kilomètres du château dans lequel je me trouvais. Alors que le fort s’effondrait, je fonçais vers le trône avec mon ami, nous devions rallier la salle de réception située au Nord de la citadelle. Nous traversâmes plusieurs salles sans grand intérêt, tirants à vue sur les larbins de Ryû. Ces derniers essayaient de fuir en nous balançant des objets en tout genre, preuve de la mauvaise qualité du personnel, mais que voulez-vous, quand on est un seigneur du mal, il faut faire avec ce qu’on a !
Après la course effrénée qui nous fit traverser la plupart des salles du château, nous arrivâmes dans la salle de réception que nous traversâmes promptement. Mes compagnons et moi-même avions fuis le donjon, puis la cour intérieure. Les armées affectées à cette forteresse étaient démantibulées depuis longtemps, la retraite s’opéra sans grand mal. Après une fuite d’une bonne dizaine de kilomètres à travers la campagne et les villages miteux peuplés d’habitants hostiles, nous arrivâmes devant un château dont les tours immenses et noires semblaient nous regarder d’un air de défi. Un homme venait de se retourner dans un impressionnant mouvement de cape, un rire sourd retentit et les portes du château s’ouvrirent avec fracas, le pont-levis se baissa…
à suivre…
commentez
tropeco
Aaaaahhhh
Merci, mais tu peux préciser
La suite arrive ce soir ou la semaine prochaine!
La suite ce soir!
super c quand la suite merci d'avance
Voici la fin de mon récit:
Partie II
Chapitre 11 : Le Château de Greil.
Résumé du chapitre précédent : Rod s’est enfui du château de Ryû, accompagné de Natsu, après une fuite à travers la campagne et plusieurs altercations sans grande importance, ses compagnons et lui-même montent un bivouac à quelques kilomètres du château de Greil. Autour d’un feu de camp apaisant, notre héros raconte son rêve cauchemardesque qui l’a conduit sur une île abandonnée peuplée de morts venus écraser les vivants, il raconte également à quoi ressemblait le monstre roi dans son rêve. Kristos annonce qu’il a trouvé un parchemin dans un buffet de la salle de réception du château. Il n’a pas encore ouvert ce dernier.
Kristos se leva et entreprit d’ouvrir le parchemin scellé. Il utilisa une lame chauffée à blanc pour faire fondre ce sceau sombre. Selon cet écrit, le dernier monstre roi se trouverait dans ce château multimillénaire oublié depuis des milliers d’années. Il a également lu un texte, sans grande conviction.
Il ne s’intéressait qu’au sens pratique du texte : un moyen de connaître le point faible du monstre ? Ou encore une description précise de la bête ? Quoi qu’il en soit, il s’éclaircit la voix et commença la lecture à haute voix :
_Il était là au commencement du monde, connu sous le nom de Greil. Génie du mal à l’apparence humaine, affrontez-le et assumez vos actes, son pouvoir et souverain. Des monstres rois il est le maître, sa magie est hors du commun. L’attaquer sans se préparer reviens à se suicider. Il se rit de l’épée et de la flèche lorsqu’il est transformé. Seul un glyphe oublié enfoui dans sa demeure peut causer sa perte. Toi qui lis ce texte, armes-toi de l’épée longue antique, et tranche le glyphe de sa lame acérée !
J’étais stupéfait, Greil était dieu antique représentant le mal dans ce monde ! Il fallait s’introduire dans son château pour récupérer un sort oublié depuis des siècles et anéantir ce fou furieux. Le parchemin contenait un plan de la forteresse, elle était minuscule, à l’intérieur. Quatre salles, situées à la base du temple. Je faisais signe à mes compagnons de me suivre.
« _Venez ! Ceci est la dernière ligne droite, je sais que beaucoup d’entre vous rêvent de rentrer chez eux, afin de dire d’éventuels adieux à leur famille, pour ma part, je n’en ai point.
_Ma famille mourra si nous ne faisons rien. Lança Aline, avec un ton plein d’espoir et d’animosité.
_La fuite ne m’apportera rien, et je ne suis pas prêt à me défiler devant cette pourriture ! Renchérit le manieur d’épée lourde.
_Mon statut m’interdit toute forme de lâcheté. Reconnu le jeune nobliau.
_Si je laisse tomber le Prince, je laisserais également tomber mon emploi. S’indigna Kyra. »
J’approuvais leur réaction d’un signe de tête quasi-imperceptible, je m’enfonçais dans l’ombre épaisse de ce château. Les murs étaient de marbre, le plafond jaune ocre luisait de quelques éclaboussures de sang. En effet, il dominait seulement à trois mètres du sol. Nous fûmes accueillis par Ryû. Ce dernier semblait troublé, Natsu empoigna son arme avec force et avait fondu en quelques secondes sur le nobliau pâle. Ce dernier encaissa la lame en travers de son flan droit. J’eu l’impression qu’il sortait d’un long sommeil lorsqu’il reçu l’attaque. Il partit en courant vers une autre salle, les murs et les tableaux étaient tâchés de sang, ces tableaux étaient des huiles sur toiles représentants des batailles épiques entre deux peuples humains.
Je pris la direction de la seconde salle, d’après le plan, il s’agissait d’une salle de culte. Ryû priait devant un autel baigné de larmes, il soubresautait et respirait bruyamment, il se retourna vivement en nous entendant arriver. Ses yeux étaient rouges, il semblait terrifié, il partit de nouveau vers une autre salle, en gémissant plus qu’il ne dit :
« _ Laissez moi en paix, je ne voulais pas, il m’à forcé ! ».
Je ne compris pas le sens de cette phrase, cependant, je le suivais, inlassablement. Il entra dans une antichambre éclairée par deux lanternes accrochées au plafond. Deux portes se trouvaient de l’autre côté. L’une renvoyait à la salle suivante, l’autre à un balcon de cette même salle. Le fuyard partit vers cette dernière porte. Nous empruntâmes l’autre, derrière cette dernière ce trouvait la fin de mon récit. Je mettais ma main sur la poignée, mon cœur palpitait, je transpirais atrocement, mon armure aurait rouillée. J’appuyais sur la poignée, poussant la porte avec émoi. Un grincement retentit.
Geil se tenait là, guerroyant contre Ryû, à mains nues, ils y allaient de coups de poings aux coups de pieds. Greil sortit sa dague et la planta dans le cœur de Ryû. Ce dernier tomba, mort, je chargeais mon arme à feu et tirais vers Greil, alors que le corps de l’autre finissait de soubresauter dans une flaque de sang. Le projectile transperça la tête de Greil, il tomba.
Je l’avais tué, Greil était mort.
Epilogue :
Le silence revint dans la pièce : le sol était blanc nacré, les murs étaient bleus ciel et se rejoignaient en une coupole imposante. Ces couleurs clairs étaient inhabituelles pour Greil, le sombre lui allait mieux.
Un manuscrit trônait sur une table basse ouvragée. Je lu, à haute voix :
« _ Jours quarante, dix-huit heures, le plan et terminé, je pourrais mourir que tout se déroulerait sans accro. Les dieux vont descendre, ils détruiront mes ennemis, me feront lieutenant de leurs maîtres et m’élèveront au rang de demi-dieu. Je reviendrais, encore et toujours, ma mort n’est qu’un répit de courte durée. Lorsque la lune sera pleine et que les dieux, invisibles mais présents, descendront des cieux pour baigner les humains dans leur aura lumineuse ou sombre, mon âme sortira des limbes et trouvera un hôte pour recommencer une nouvelle vie. Ainsi de suite jusqu’à la victoire finale, je prépare l’ultime invasion. »
Mes compagnons me regardèrent avec étonnement, Kristos eu un sourire en coin, à l’évidence, la quête ne faisait que commencer. Nous avions anéantis la source du mal, mais elle reviendrait promptement des enfers.
Et c’est ainsi que la fin de mon récit arriva, ma compassion était la source de ma quête, la vengeance était le résultat. Quelques questions subsistaient dans ma tête, les réponses suivirent bientôt. Pour les connaître, je vous invite à m’attendre, parce que là, j’ai la gorge sèche.
Et c’est la fin de cet épisode fondateur de ma quête.
FIN.
COMMENTEZ
TROPECO
MERCI POUR VOTRE SOUTIENT!
LE PROCHAIN EPISODE DE CETTE HISTOIRE ARRIVERA DANS PAS MAL DE TEMPS ! MAIS IL ARRIVERA, PATIENTEZ !
Dernier post de la journée: je vais démarrer une fiction en quatuor su Red Dead Redemption, venez nombreux pour nous soutenir! Merci d'avance!
Quelle fin
C'est un compliment?
"Seul un glyphe oublié enfoui dans sa demeure peut causer sa perte. Toi qui lis ce texte, armes-toi de l’épée longue antique, et tranche le glyphe de sa lame acérée !"
"je chargeais mon arme à feu et tirais vers Greil, alors que le corps de l’autre finissait de soubresauter dans une flaque de sang. Le projectile transperça la tête de Greil, il tomba.
Je l’avais tué, Greil était mort. "
A part cette légère incohérence, c'est une belle fin
Tu as bien lu qu'à la fin du texte, il est écrit qu'il revient à la vie, donc le tir n'a pas causé sa perte, préssé par l'urgence, Rod voulait en finir vite, il se contenta de le neutraliser temporairement.
C'est vrai que j'aurais du préciser, merdeuhhh
Quand la fic est fini, plus personne n'y va J'ai ce phénomène aussi Heureusement que la fic en quatuor (si HikariOni n'est pas morte ) va nous aider
Ouaip.