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Fable II

Sujet : [FIC] 50 ans plus tard...
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sam18
Niveau 10
15 octobre 2007 à 01:18:23

Pas de suite ? :-(

Gimli07
Niveau 10
03 juillet 2008 à 00:11:11

:snif: ....
:snif2:
C'est la seule chose que je puisse faire devant d'aussi magnifiques lignes :snif:
Sérieusement moi qui ait lu quelque romans d'aventure fantastique je pense que tu peux rivaliser face à un Eragon par exemple !
Franchement je suis désolé pour ce méga up mais il faut absolument remonter ce topic !
Je ne connais personne sur ce forum mais vous avez tous l'air assez littéraire et franchement Sim... Sim... Sim(quelque chose désolé^^) ton texte m'a émerveillé, (j'irai pas jusqu'a la larme à l'oeil mais c'est pas loin !
C'est vraiment MAGNIFIQUE, désolé de radoter mais il faut le dire j'ai trouvé ton texte sublime et quelle énorme déception de ne pas voir de suite à cette histoire qui s'annonçait d'ors et déjà palpitante :ouch:
Bon voilà je fais tout mon baratin dans l'espoir de voir la suite de ta fic car ça en vaut vraiment la peine crois moi :ok:

wellan5000
Niveau 9
03 juillet 2008 à 07:57:05

Tout a fait d'accord :oui:

SimRack-
Niveau 10
03 juillet 2008 à 13:08:32

Lol merci pour votre soutient et vos avis positifs. Ca fait très plaisir. :merci:

Cela dit ce texte date maintenant presque d'un an et il n'a jamais vraiment aboutit. ^^ Je doute que je puisse le reprendre. Mais j'ai l'intention d'attaquer une nouvelle fic, qui ne sera pas cette fois si une fanfic. A priori je vous tient au courant.

Gimli07: Et bien merci. Mais tu sais, malgré tout ce que tu pourra dire, ce texte est plutôt moyen. :fou: Mon style avait à l'époque, et a encore aujourd'hui (puisque je ne me suis pas beaucoup entrainé depuis longtemps!) à s'améliorer. :)
Cela dit ça fait toujours plaisir d'avoir des commentaires comme le tient. ^^

Gimli07
Niveau 10
03 juillet 2008 à 14:49:07

Ok c'est dommage :-(
Tient nous au courant pour tes prochaines fic :ok:

dorshiffe10
Niveau 5
03 juillet 2008 à 22:27:07

Je comprends pas pourquoi mais il y a des topics vieux de 1 ans voire 2 qui apparaissent dans ma liste de topics de fable 2....
Au fait Simrack c'était sympa ton texte. Un peu cours et sans trop de réflexion sur le scénar mais tu te débrouilles pas mal.
T'as raison il faut réveiller les émotions enfouies au plus profond de nos cœurs lorsque nous avons regardé le magnifique paysage de Fable avec ses coquelicots, sa bande sonore, ses héros bien habillés, ses armes brillantes etc... pour la première fois. Ce jeu est un chef d'œuvre et j'y rejoue de temps pour me faire rêver en attendant le 2. J'ai même l'OST sur mon Ipod et aussi la vidéos de gameplay de 36 secondes où il y a le petit soziau et Bowerstone.

dorshiffe10
Niveau 5
03 juillet 2008 à 22:28:21

j'allucine il y a quelques heures ça faisait 8 mois que personne n'avait posté sur ce topic. :bave:

Argonien_bleu
Niveau 10
04 juillet 2008 à 02:28:45

Belle fic, fais nous un suite, avec ton niveau qui a augmenté, ça va être géant.

SimRack-
Niveau 10
07 juillet 2008 à 17:55:49

Bon alors je n'ai pas de suite à vous proposer mais un autre texte sur le thème de Fable que j'ai écrit ces deux derniers jours. Ce texte est donc plus représentatif de mon niveau actuel. :)

Bonne lecture. (Ca fait environ 3 pages Word :ok: )

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L’homme, dont le visage était dissimulé par un capuchon noirâtre et poussiéreux pénétra dans l’obscurité maladive de la fin de soirée, abandonnant sans regrets l’auberge piteuse et mal entretenue d’où s’échappaient encore en cette heure tardive des rires gras et des chants paillards. Son long manteau de toile rapiécée et sa cape en partie recouverte de terre et de boue virevoltaient au grès des courants d’air humide qui effleuraient les dalles ébréchées et faisaient s’élever des nuages de saleté jaunâtre. Quelques lanternes accrochées au mur opposaient leur maigre clarté à la noirceur des ruelles de Bowerstone, luttant poussivement contre les assauts de la nuit, qui chaque heure durant gagnait du terrain, envahissant les moindres interstices de la citée.

Le personnage silencieux traversa la rue pavée, enjambant d’un petit pas la rigole d’écoulement pleine d’ordures que les rats s’empressaient de dévorer et d’où s’échappaient des relents pestilentiels et fétides de pourriture stagnante. Sous l’effet de la chaleur des derniers jours, l’atmosphère de la ville était saturée de nuages répugnants et odorants dont la moiteur était presque palpable, s’insinuant sous les habits et dans chaque parcelle de pierre. Armand, car tel était son nom, quitta l’allée principale pour s’enfoncer dans les ruelles secondaires ; un véritable labyrinthe s’émancipant sur toute la ville et plongé dans un silence oppressant seulement brisé par quelques rares résonances lointaines de la vie citadine. Ce dédale urbain, le héros le connaissait sur le bout des doigts, il l’avait exploré dans ses moindres détails alors qu’il était jeune, avant que la guilde ne le prenne sous son aile et que sa vie prenne un nouveau départ. Maintenant qu’il avait obtenu son diplôme, il pouvait revenir à Bowerstone, après des années où les seuls endroits où il avait eut la possibilité de baguenauder étaient les cours de l’imposant domaine des héros.

C’est donc avec une certaine joie qu’il pouvait à nouveau déambuler entre ces bâtiments compactés et entassés à outrance au fil des ages selon les évolutions de la ville et les besoins de ses habitants. Ici, dans ces passages exigus dont seules quelques rares personnes pouvaient prétendre maîtriser tous les méandres, il retrouvait une partie de lui-même, un morceau de son enfance qu’il avait abandonné ici pour se consacrer uniquement à son apprentissage de héros. Cette résurrection intérieure faisait naître en lui une puissante impression de sérénité qui ne cessait de croître à chacun de ses pas, ici il était libre, ici il était anonyme.

Il passa quelques minutes à parcourir son chemin en silence, sous l’ombre des battisses vieillissantes, avant de se diriger non sans regret vers une des grandes rues principales de Bowerstone. Peu à peu la quiétude s’évanouit pour laisser sa place à une impression de fébrilité encore discrète mais bouillonnante qui n’attendait qu’une chose ; exploser dès les premières lueurs de l’aube.
Alors qu’il s’apprêtait à s’engager dans l’allée éclairée il remarqua un groupe de trois badauds qui discutaient entres eux à l’embranchement. L’un d’eux paraissait particulièrement imbibé d’alcool, appuyé contre le mur il menaçait de s’écrouler sur le sol sous les effets de l’absinthe et du vitriol. Un autre, plus grand portait une cape verte complètement miteuse et le dernier, un petit gros, arborait un chapeau de paille qui devait dater d’il y a plus de quelques années, à en juger par l’état de ses bords effrités. Armand leva la tête et salua le petit groupe lorsqu’il arriva à quelques mètres d’eux.

-Tient tient tient…
Le héros leva les yeux et constata que l’alcoolique s’était relevé et qu’il le lorgnait d’un œil torve. Il ralentit le pas, posant un regard discret sur le pitoyable individu, il s’agissait de ne pas le contrarier.
-J’ai dit « Tient, tient, tient » ! Qu’est ce que..qu’il va répondre l’aut’ là ?
Armand leva la tête, dévoilant une partie de son visage aux lignes subtiles et puissantes et répondit :
-Bonne soirée messieurs.
Les deux hommes encore sains d’esprit rirent doucement en lui jetant un sourire qui n’exprimait absolument aucune amabilité. Quand à l’ivrogne il se redressa totalement et parla plus fort :
-Bon’soirée ! Ouaip ! C’est l’cas d’le dire ouaip ! Surtout après quelques bières. Et dit’moi toi, qu’essee ce que tu fait si tard, le visag’ enca..encap…sous ta capuche là ?
-Je ne fais que passer, répondit Armand calmement.
Il s’approcha des trois étrangers et s’apprêtait à tracer sa route lorsqu’un bras lui barra le chemin.
-Nan ! Ca sc’pas z’une réponse m’sieur !
Le héros recula de deux pas et fixa les trois hommes.
-J’ai dit la vérité, maintenant laissez moi passer je vous prie. Dis t-il.
Ils ricanèrent alors franchement, lui faisant face et obstruant le passage. L’homme à la cape verte se campa devant Armand et dit d’un ton goguenard :
-Je crois bien que tu as contrarié notre ami…
-Je m’en excuse si je vous ai vexé, mais en toute honnêteté, je ne pense pas qu’il soit en état d’émettre un jugement objectif pour le moment. Répliqua calmement Armand.
Il fit mine de dépasser le groupe mais les inconnus lui barrèrent immédiatement la route.
-Bon écoute moi bien, ne commence pas à jouer au plus malin… Nous on aime pas trop les gens qui se prennent pour plus qu’ils ne le sont réellement…
-Très bien, dans ce cas je vais trouver un autre chemin, je ne désirais pas vous importuner.
Le héros se détourna et commença à s’enfoncer dans la petite ruelle mais il s’aperçu que les trois individus le suivaient.

-Hep ! On n’en a pas fini avec toi ! Pour qui tu te prends ? Tu crois que tu peux venir comme ça dans nos rues, et que tu peux commencer à manquer de envers respects les gens ?
Armand s’arrêta, se retourna et répliqua :
-Ecoutez, je ne désire aucun conflit, j’ai dit que j’allais m’en aller, c’est ici que s’arrête cette histoire.
Et sur ce il quitta le petit groupe en accélérant le pas. Mais comme il s’en doutait, les malfrats ne le lâchèrent pas.
-Tu restes ici ! Tu es dans notre ville ! Et tu vas devoir payer ton passage ici, tu ne cacherais pas une bourse bien pleine toute prête à être allégée sous ton manteau?
Demanda l’homme au chapeau d’un ton raillard.
-Rien pour vous. Maintenant allez vous-en, c’est un conseil…
Ils s’en allèrent d’un rire franc.
-Et tu penses que tu vas nous faire quoi ? Nous attaquer peut-être ?
L’homme à la cape verte plongea sa main dans son manteau et dégaina une longue lame, quand à son camarde, il sortit de son pantalon une petite hache grossière.
-Et maintenant, dit-il, tu vas gentiment nous laisser ton or par terre et on te laissera partir sans problème…
Armand se raidit brusquement, ses réflexes de héros prenant le dessus. Ils étaient armés, la situation commençait à devenir dangereuse. Il s’arrêta de marcher et se retourna, tous ses sens en alerte. D’un coup d’œil vif et rapide il évalua la situation. L’homme à la cape s’approchaient de lui, un sourire au lèvre, quand au corpulent individu, il restait en retrait tout en avançant et en faisant claquer le manche de son dangereux instrument dans le creux de sa paume.
-N’engagez pas le combat, rangez ces armes, sinon vous allez perdre… dit Armand.
Les deux inconnus se jetèrent un regard éloquent et ricanèrent.
-Si tu ne veux pas nous donner ton or, alors nous allons le prendre sur ton cadavre, imbécile…
Le temps n’était plus à la diplomatie : Armand enfonça sa main sous sa cape et n’eut pas à chercher plus d’un dixième de seconde avant de ressentir un contact froid et sec, le pommeau d’acier d’une épée. Il dégaina, faisant étinceler une longue lame effilée qui brilla froidement à la lueur d’une lanterne distance. Il empoignât fermement son arme de ses deux mains et la leva au dessus de sa tête tout en fléchissant ses genoux, la posture élémentaire, la « garde du faucon ». Les deux malfrats firent une pose, légèrement surpris par l’assurance de leur adversaire, puis s’approchèrent prudemment. Armand les jaugea du regard, le petit gros ne poserait pas de soucis, à un juger par ses mouvements mal avisés et son manque de technique dans ses gestes il ne maîtrisait pas l’art de la hache. L’homme à la cape verte, en revanche, paraissait beaucoup plus habile, sa lame parfaitement positionnée devant lui témoignait de compétences de bretteur avérées, où tout du moins d’une certaine expérience au combat.

Le héros planta son regard dans le sien et tenta d’analyser son adversaire. Il y lu une certaine détermination et de la concentration, mais surtout, une lueur de sarcasme ironique. Il sentit tressaillir l’autre acolyte à la hache qui s’approchait dangereusement. Armand l’observa à son tour. Il déchiffrait les pensées de ses ennemis comme on lui avait appris à faire. Un frisson… Un léger mouvement au coin de l’œil… Un tremblement presque inaudible au niveau des doigts… Maintenant ! Il esquiva avec une bonne marge le coup de hache soudain qu’avait tenté de lui asséner son ennemi. Armand recula d’un pas puis se décala sur le côté pour éviter le second coup de la lourde lame adverse. Il frappait fort mais avec brusquerie, ce serait sa faille. Le héros s’avança promptement et abattu sa lame, de biais, sur les flancs de son ennemi. Dans un craquement sonore ses cottes se brisèrent et ses intestins éclatèrent, il s’effondra en avant avec un hoquet de surprise et de douleur alors que du sang se répandait de sa bouche ouverte. Retirant d’un geste brusque l’acier de ses chairs lacérées, Armand l’acheva en lui fracassant le crâne d’un violent coup vertical.

L’homme à la cape verte, immobile, observa la scène avec une surprise non feinte, ses bottes maculées par l’épaisse flaque pourpre qui se répandait sur les dalles de pierre. Il resta inerte un instant, puis leva la tête. Quittant son manteau et sa cape qui dissimulait des plaques de cuir rigide dont la solidité offrait une efficiente protection à son corps râblé, il leva son épée, et s’avança doucement vers Armant.
-Héros, à ce que je vois… Dit-il.
-Si tu l’as compris, alors va t-en, tu en as l’occasion… dit Armand tout en se décalant lentement sur le côté.
-Oh non… Certainement pas…

Il fit un bond en avant tout en imprimant un large mouvement circulaire à son épée. Celle s’y manqua de peu l’épaule du héros qui perçu le sifflement glacial de la lame lui frôler le corps. Mais il n’eut pas le temps de se remettre en position car l’inconnu projeta sa lame en estoc, droit sur son ventre. Armand ressentit le choc de la pointe de l’épée et fut projeté en arrière, par chance, les mailles de son haubergeons avaient mis fin à la course de l’acier acéré. Il se stabilisa et changea de garde, rectifiant sa posture en position offensive, plus appropriée à ce type de combat. Pointe en avant, sa flamberge dirigée vers le visage du belligérant, il fit deux pas en avant. L’inconnu plaça son épée transversalement, prêt à contrer un coup d’estoc, mais ce fut une large et puissante tranche horizontale qui alla s’écraser sur ses flancs. La victime de cette botte inattendue se retrouva plaquée au mur de la ruelle sous l’effet du choc, ses protections ventrales fendues en une crevasse nette. Le héros ne lui laissa pas le temps de se replacer et poursuivit son assaut d’un moulinet en direction de la tête. Le sinistre chuintement de l’arme prévint la victime de cette attaque et elle eut le réflexe de se jeter en arrière avant de se relever rapidement.

Espacés de deux mètres, un silence de marbre s’imposa entre les deux hommes. Puis la joute recommença dans un nuage de poussière où virevoltaient les deux lames. Le métal contre le métal, les parades se succédaient l’une après l’autre dans un grincement d’acier. Puis vint le moment décisif, le point du combat qui en déterminerai la fin. Armand asséna un coup d’estoc puis fit tournoyer sa lame, frappant du tranchant de sa lame la main nue de son adversaire. Son index mutilé se détacha du reste de son membre et une terrassante douleur parcourut tout le corps du blessé. Avec un cri de souffrance il laissa tomber son épée et ses dernières pensées furent tournées vers l’insupportable sensation de froid brûlant transperçant son corps et dévorant ses entrailles qu’il ressentit une seconde plus tard.

Plus loin dans la rue, l’ivrogne, qui n’avait pas participé au combat, poussa un cri et s’enfuit en hurlant de terreur. La silhouette sombre d’un héros à l’épée maculée de sang s’enfonçait dans la nuit.

__________________________________________________

Mimthegamer
Niveau 10
07 juillet 2008 à 18:27:12

C'est toujours aussi excellent, les descriptions y sont nombreuses et précisent, c'est du grand Simrack. Décrire un combat est assez dur, mais tu y arrivent avec brio. La seule chose qui faudrait peut-être revoir (mais bon, je suis mal placé pour donner des conseils), c'est le combat, en essayant de privilégier des phrases courtes pour accentuer le rythme de l'action. Si tu mets trop de descriptions dans un combat, tu risques de plomber le rythme. Mais c'est quand même du grand art. Tu mérites bien ton titre de "scribe du forum" :)

SimRack-
Niveau 10
07 juillet 2008 à 18:34:12

Merci pour ton avis! :)

Pour ce qui du combat j'ai volontairement fait des phrases longues dans le but de "détacher" le point de vu de l'action. Ce n'est pas un combat difficile pour un héros façe à deux malfrats, donc il devait y avoir une sorte de "tranquilité" dans la lutte. Le héros ne se laisse pas aller à ses émotions, il est calme, il pose un rythme lent et réfléchis. Il ne faut pas oublier qu'il sort à peine de la guilde, il a donc un style très "théorique", presque comme si c'était un entrainement. ^^
Les seuls moment réellement combattifs sont quand il les achève, où on peux sentir la violence de la chose. :)

Donc c'est un choix, que j'ai peut-être mal su gérer. ^^ En tout cas tous les combats ne seront pas pareil. Là ce n'était pas un combat réellement violent.

Mimthegamer
Niveau 10
07 juillet 2008 à 19:16:54

On voit surtout cette tranquillité dans le premier combat, ou le heros est sur de lui, concentré.

Dans le 2eme combat, en revanche, il devrait etre beaucoup moins tranquille. Il se fait toucher et c'est grâce à son armure qu'il n'a aucune blessure. Et à ce moment, il aurait peut-être du ressentir de la peur, en sachant que comparer à la guilde, sa vie était en jeu. Certes, il s'en débarrasse facilement mais son etat d'esprit aurait du changer (enfin, c'est ce que j'aurais fais, le talent en moins). DOnc ok pour la tranquilité pour le premier combat, mais pour le 2eme, ce sentiment ne s'imposait pas. C'est, au risque de me repeter, c'est toujours genial :coeur:

SimRack-
Niveau 10
07 juillet 2008 à 19:25:00

Oui tu as sans doute raison. ^^
Le plus dur est de saisir le ton juste dans un combat. Il faut trouver le juste milieu entre la poussivité et le manque d'explications. :ok:

wellan5000
Niveau 9
07 juillet 2008 à 21:04:46

Magnifique!

-GoldRoger-
Niveau 10
07 juillet 2008 à 21:35:18

Très bien, vraiment bien, je ne dirais que cela, je suis trop mal placé pour réellement juger un texte mais c'est à un niveau très élevé.

Gimli07
Niveau 10
10 juillet 2008 à 13:02:45

Encore mieux que le premier (encore faut-il que ce soit possible :fou: )
C'est franchement du grand art ! Continue :bravo: :bravo:

SimRack-
Niveau 10
14 juillet 2008 à 18:22:29

Merci pour vos commentaires. J'en tiendrai compte. :)

wellan5000
Niveau 9
26 juillet 2008 à 09:20:40

C'estpour quand le prochaine épisode?

SimRack-
Niveau 10
27 juillet 2008 à 06:57:33

Il n'y aura pas de prochain épisode puisque ce texte n'était qu'un one-shoot sans imbrication dans un quelconque scénario et juste destiné à m'exercer un peu. ^^

Mais là je suis en train de réfléchir à une éventuelle nouvelle que je pourrait attaquer à écrire d'ici peu. Je compte m'ouvrir à de nouveaux styles et à de nouvelles méthodes. Mais rassurez vous amis de la fantasy, vous ne serez pas dépaysés. ^^

Argonien_bleu
Niveau 10
27 juillet 2008 à 13:23:09

Si tu pouvais raconter la vie de Ronald...

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Sujet : [FIC] 50 ans plus tard...
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