Amis forumeurs, amis fableurs!
Pendant toute la première semaine des vacances ,vos compatriotes Simrack et veluxman ont travaillé d’arrache pieds pour vous concocter une petite merveille!
Ces deux jeunes talents ont eu l’audace ,pour vous, de préparer un récit illustré digne de ce nom!
Vous le savez peut-être déjà mais un petit rappel et peut-être nécessaire!
Simrack ,grand écrivain de renom vous à déjà montrer ses preuves qui vous certifient qu’il n’est pas qu’un simple Scribe mais bien plus!
Veluxman ,lui ,à su vous montrer la hauteur de son talent notamment grâce à sa BD fable-uleuse!
Vous l’avez donc compris que ce qui suit n’est pas seulement un simple récit illustré mais une véritable œuvre ,alors mes amis, visualisez ,lisez ,rêvez pour un moment certes mais c’est déjà ça.
D’autres épopées vont sûrement apparaître,car ce duo de choc n’est pas ,mais alors surtout pas,d’une simple durée!
Après on met le texte avec le lien des dessins à son emplacement précis
On met une conclusion (du genre : bonne année bonne santé )et on poste et ils réagissent et on verra la suite………………..;et voilà!
Voici le texte….
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_Il ne me semble pas que vous ayez eu l’autorisation d’amarrer ici.
_Il ne me semble pas non qu’il soit explicitement indiqué que c’est
nécessaire de le faire. Répliqua l’homme. Le garde recula d’un pas face à
l’autorité que son interlocuteur dégageait. Il essaya néanmoins de conserver
son calme, comme le devaient les gardes de la prestigieuse caserne de
Bowerstone.
_Bien, mais il vous faudra repartir à l’aube, car un important convois en
provenance de Solstheim doit décharger ici demain matin, et il serait
fâcheux qu’il n’aie pas de quai où accoster. Un sourire carnassier se forma
sur le visage du marin.
_N’ayez aucun souci, dit-t-il, demain matin, je serai déjà loin…
_Et bien… cela me convient. Euh… Il reste encore deux petits détails à
régler avant que je vous laisse entrer en ville… Déclara le garde d’une voix
peu assurée.
_Lesquels sont t-ils?
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_Tout d´abord, les frais d´accostage. Il est de votre devoir de sujet du
maire de payer dix écus d´or à la couronne pour avoir le droit de laisser
votre navire sur le port durant la nuit.
_Est-ce que… C´est vraiment nécessaire? Et en disant cela sa main glissa
sous son manteau de cuir. Le garde pâlit légèrement.
_Assurément, c´est la règle. Le marin poussa un long soupir, sortit de ses
poches intérieures une bourse en cuir et en retira dix petites pièces dorées
avant de les tendre au garde.
_Le Maire vous en sera très reconnaissant. Lui dit celui-ci.
_C´est cela oui, mais désormais j´aimerais passer. Déclara l´homme.
_C´est-à-dire que… vous devez d´abord déposer vos armes car elles sont
interdites dans la cité. Il lui sembla alors vraiment que le marin
commençait à perdre patience. C´est… C´est la loi, lui dit-t-il.
_Et bien cette loi est exigeante! Croyez vous qu´à Solstheim nous avons
besoin d´abandonner notre meilleur moyen de protection?
_Je ne fais qu´appliquer les désirs de mon Seigneur. Donnez moi vos armes ou
repartez.
Dans un grognement rempli de dédain le marin, qui selon le garde ressemblait
plus à un pirate, tendit son épée et son mousquet à ce dernier.
_Parfait. Maintenant, vous pouvez entrer dans Bowerstone. Qu´en est t-il de
votre équipage?
_Il resterons dans le navire.
_Durant la nuit? Pourquoi cela?
_Pour… monter la garde bien sûr.
_Cela ira. Allez, circulez désormais
L´homme s´exécuta et pénétra dans la ville avec un petit rire goguenard.
Ce jour là, peu de personnes ne prêtèrent attention à cet homme, car on ne
prête pas attention à un clochard. Du moins c´est ce qu´ils pensaient qu´il
était. Avec son long manteau de cuir, ses bottes et ses gants d´un marron
morne et son chapeau dépareillé, il n´avait rien pour attirer l´œil. Si ce
n´est son visage, car c´était bien son visage qui faisait de lui un être
particulier. Il avait, comme gravé au couteau sur la peau, un tatouage
représentant un signe inconnu qui lui traversait la moitié du visage. Il se
laissait également pousser une petite barbe hirsute qui lui
donnait un air tout à fait impressionnant. Et, comme pour compléter un
tableau déjà bien abîmé, en plein milieu de sa face terne, ses yeux d´un
noir de jais jetaient un profond malaise sur quiconque les observait de plus
près. Il n´avait pas une allure spécialement malveillante, ni une silhouette
apaisante, mais quelque chose de spécial, comme des années d´expériences et
une vie difficile jetant sur lui une ombre effrayante.
Il traversa les rues, passant toujours par celle les moins exposées et
visitées, les plus étroites. Ainsi arriva t-il à onze heure du matin à la
taverne. A l´heure ou seul les alcooliques notables s´y trouvaient encore.
Il ne dit un mot et alla à la rencontre du barman qui était occupé à
nettoyer les derniers verres de la veille.
_Que puis-je faire pour vous mon brave homme? Désirez vous une chope, un
bol, un repas chaux ou bien peut-être préférez vous…
_Je veut rencontrer Neil. Le coupa le marin.
_Oh… Je vois. Le jeune homme qui a travaillé ici il y a quelques années?
_Oui. C´est avec lui que je désire m´entretenir.
_Je vais peut-être vous décevoir, mais il n´est plus employé chez moi. Il a
ouvert sa propre boutique dans le quartier Nord, comme Barbier. Il tourne
assez bien à ce qu´on raconte, mais pour ma part, je n´ai plus eu de
nouvelles de lui depuis quelques mois déjà. Il ne vient plus jamais se
désaltérer ici. C´est fort dommage, car c´était un garçon fort appréciable
et poli.
_Je le sais.
_Oh vous le connaissez? Et bien si vous arrivez à le revoir, passez lui
mes hommages! Les hommes comme lui sont rares de nos jours. D´ailleurs vous
avez l´air nouveau ici, je suppose que vous n´avez pas entendu parler des
nouvelles restrictions sur l´…
_Vous parlez trop. Déclara le marin, un peu amusé. Et je suis pressé. Mais
ce soir je reviendrai et nous pourrons parler à nouveau. J´ai fort à faire
dans la journée…
_Soit. Et bien dans ce cas à ce soir.
_Oui. Au revoir.
Et sur ce il s´en alla. Sur les indications des passants, il arriva enfin,
après maintes recherches, à sa destination.
Sur le panneau placardé à l´entrée de la boutique de barbier, on pouvait
lire, inscrits en lettres dorées : "Chez Neil". Il pénétra dans la fraîcheur
du bâtiment. La pièce était lumineuse et bien décorée. Tout le long des
murs, des dessins et des cartes représentant diverses coiffures ou modèles
de barbes étaient affichés. Et également des armes, des épées, et quelques
pistolets. Les temps évoluaient, et les armes à poudre commençaient à se
répandre en ville. La salle était vide. Un jeune homme descendit dans cette
pièce par un escalier en colimaçon:
<<Bienvenu! Bienvenu chez moi! Asseyez vous, asseyez vous donc! Vous êtes
venus pour une coiffure ou pour votre barb... Il s´arrêta net.
_Bonjour Neil.
_ Je… Par Skorm… C´est… Riskarf? Riskarf c´est toi?
_Ne me reconnais-tu point?
_Par tous les dieux c´est toi! Riskarf! Riskarf! Il couru vers le marin et
l´étreignit dans ses bras. Tu ne peux pas savoir comme cela me fait plaisir
de te voir! L´autre se dégagea de cette étreinte et lui lança un sourire un
peu pincé, cela faisait longtemps qu´il n´avait pas souri.
_ Oui. Oui c´est moi en effet. Fit t-il.
_Tant d´année ont passé! C´est incroyable de te revoir! J´attendais ce
moment depuis si longtemps! S´écria Neil.
_Oui. Moi aussi. Mais je suis revenu. Répondit Riskarf.
_Allons! Viens t´asseoir! Je ferme la boutique et nous allons boire à ta
santé!
_Plus tard, plus tard. Il faut que nous parlions d´abord.
_Bien. Mais accepte au moins de t´asseoir. Tu seras ainsi plus à ton aise.
Ils s´assirent alors autour d´une table et Riskarf prit la parole.
_ Je vais être bref et direct. Tu te souviens certainement de la raison de mon
départ, il y a dix-sept ans? Demanda t-il à Neil.
_ J´étais très jeune à l´époque. Mais il me semble que c´était une question
d´argent.
_En effet. Pendant des années je vous ai fait vivre et je vous ai envoyé
l´argent nécessaire à votre survie, à toi et à Maria.
_Je ne savais pas cela… Je croyais qu´elle travaillait dans le tissu…
_C´est ce qu´elle t´a raconté. Mais en réalité elle était contrainte de se
prostituer pour subvenir à tes besoins… Vous étiez pauvres Neil, très
pauvres. Et c´est pour cela que je suis parti, à l´age de seize ans, et que
je me suis engagé dans la marine.
_La marine… royale? Riskarf eut une exclamation de dédain.
_La marine… ou plutôt… la piraterie… Neil se leva d´un bond.
_La… La quoi? Hurla t-il.
_Tu a bien entendu ne fait pas l´idiot! Répliqua
Riskarf.
http://img396.imageshack.us/img396/6179/nu
mriser0007lq3.jpg
_Mais… Mais enfin… Les pirates sont des…
_Des criminels oui! C´est sans importance.
_Non ce n´est pas sans importance! Au contraire, c´est de la toute première
importance! Comment as tu pu faire cela! T´engager parmi ces… monstres
sanguinaires! Des pilleurs et destructeurs des mercenaires, des… des
flibustiers!
_N´exagère rien!
_Mais… mais… Les pirates… Enfin, c´est insensé… Ils massacrent et pillent
les navires marchands!
_Oui! Je sais cela! Et en disant cela Riskarf se leva à son tour. Oui j´ai
du piller! Oui j´ai du tuer!
http://img462.imageshack.us/img462/1781/numriser0008in8.jpg Mais j´ai fait ça pour toi! Parce que ta mère
n´était bonne qu´à se dénuder, Neil!
_ Comment ose tu ainsi faire insulte à sa mémoire! C´était une femme noble!
Qui a travaillé toute sa vie durant! Moi qui croyais que tu étais revenu
pour t´installer avec moi à Bowerstone! Pendant des années j´ai cru en ton
retour, et le jour venu, je ne reconnais plus le garçon que j´ai en face de
moi!
_Ne te montre pas insultant! Tu sais que j´ai raison à propos de Maria!
Essaie de comprendre que je t´aime et que j´ai fait tous ça pour toi!
_Mais enfin… Les pirates… Balbutia Neil en se rasseyant.
_J´y ai été contraint. Si tu crois que je l´ai fait de mon plein gré , tu te
trompe.
_Mais… Et Maman dans l´histoire.
_C´était une catin irresponsable. Oublie là.
_Mais enfin… C´était ma mère… Notre mère!
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Voilà ,c´est terminé,nous éspérons sincerement que ça vous a plu et ne vous inquiétez pas d´autres aventures viendront aussi.
En tout cas ,nous vous souhaitons un bonne année(en esperant pouvoir jouer à Fable 2 bientôt)et aussi ,une très bonne santé...