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Grand Theft Auto : Vice City Stories

Sujet : $$-Fic.the VCS-$$
Ryan-Cooper
Niveau 9
21 janvier 2008 à 19:23:56

Je suis du même avis que Scarfou ^^

Il faudrait que les épisodes soit 4 fois moins long :ok:
Je sais ça parait peut-être excessif mais ça inciterait plus les gens à lire :-)))

Crash-Manu
Niveau 10
02 février 2008 à 01:09:36

Salut ! Aujourd'hui, je poste l'épisode final de l'histoire 3 de THE VCS, ce qui signifie le début d'une nouvelle histoire la semaine prochaine. Et excusez moi pour l'absence du week-end dernier.
Please enjoy !
Cette histoire est totalement fictive et inventée de toute pièce, elle n'a aucun lien avec la vie réelle.

HISTOIRE TROIS : 1970

DEUX FLICS A VICE CITY

EPISODE VI : Vice City, une place en moins au classement...

Trevston est allongé sur la route, le torse renfoncé, les chevilles broyées, il gémit, il agonise. Forbes descend du véhicule et s'approche de sa victime en armant son 1911.

Forbes : « Tu vas mourir pourriture, mais je vais pas te laissait souffrir, je vais t'achever ! »
Trevston : « Impossible ! T'est un flic, t'est soumis à la loi, et même moi j'ai des droits ! »
Forbes : « Certes, mais c'est ici que la loi s'arrête et que moi, j'interviens ! »

L'officier de police presse la détente. Trevston est mort !

Plus tard au commissariat, Berteau entre en furie et hurle après Forbes.

Berteau : « Vous avez un sérieux problème Forbes, vous êtes malade, vous avez abattu plus de monde en moins d'une semaine que moi dans toute ma carrière ! »
Forbes : « J'ai nettoyé cette ville de quelques ordures, contribué à votre protection, convaincu le maire de construire d'autres commissariats, et d'engager de nombreux flics, et ça ne vous plaît pas ? »
Berteau : « Bien sur que si, mes vous utilisez des moyens peu acceptables ! »
Forbes : « Les criminels changent, mais pas la police, c'est pourquoi elle est inefficace de nos jours. Alors, j'ai décidé de faire changer la police, ce qui implique de nouvelles méthodes. Les criminels doivent avoir peur de nous, ils doivent nous craindre ! Ah si seulement je pouvais créer une nouvelle force de police, plus violente et plus répressive... »
Berteau : « Vous êtes fou ! Quoi qu'il en soit, des vermines se mettent à bouger grâce à vous. Alors prenez Da Costa et Tenpenny et allez me coffrer du criminel ! »

Les trois flics repartent alors à nouveau dans les rues de Vice City. Dans leur nouvelle voiture de fonction aux couleurs de la police, les représentants de la loi s'exhibent avec leurs uniformes beige et marron. Ce jour là devra rester dans les mémoires, comme le jour où de nombreux criminels furent arrêtés par les forces de l'ordre. Vols à mains armées, braquages, rixes, émeutes, furent mis en échec par la police de Vice. Ainsi, la violence qui sévissait en ville, fut, non pas éradiquée, mais apaisée.

Une semaine plus tard, Vice City perd une place au classement. Auparavant perçue comme la ville la plus dangereuse des USA, Vice City occupe désormais la seconde position, juste derrière Liberty City, du moins selon les statistiques et sondages de la presse.

Aujourd'hui, Vice Beach accueille une fête grandiose en l'honneur de quatre policiers de la ville.

Mayor Dawner : « Bonjour à tous, et merci d'être venus aussi nombreux pour féliciter nos héros, vous vous demandez sans doute pourquoi fête t-on cet événement ici, sur la plage ? Hé bien c'est parce que c'est tout simplement le plus bel endroit de notre ville, c'est aussi celui qui fait notre fierté, et également celui qui accueille le plus de monde, et cela tous les jours ! »

La foule entre en délire et acclame le maire de la ville. Le champagne coule à flot, et la musique raisonne de partout, ce qui entraîne les invités à danser. Le maire s'approche des quatre policiers et commence son discours :

Mayor Dawner : « Commissaire Berteau, Officiers Da Costa et Tenpenny, et enfin, Agent Forbes, j'ai l'honneur de vous remettre ces médailles pour votre courage, votre volonté dévotion envers notre belle ville de Vice City, messieurs, mes félicitations ! »

Et la foule en remet une couche, les « HOURA » et les « BRAVO » couvrent le volume de la musique par leur intensité. Les quatre policiers ne tardent pas à se faire appeler : « Les flics chéris de Vice »

Après les acclamations de la foule, le calme sonore revient à peu près, et les quatre héros du jour discutent entre eux :

Berteau : « Petits, bravo, vous avez faits du bon boulot. Que comptez vous faire maintenant ? »
Da Costa : « J'ai eu mon lot d'horreur et de tristesse en tant que flic, et j'en veux pas davantage, alors vous aurez ma démission sur votre bureau demain matin. »
Berteau : « C'est bien dommage, mais je comprend, vous êtes encore assez jeune, que ferez vous une fois sorti du domaine judiciaire ? »
Da Costa : « Je vais bosser avec mon frère dans son café, je serai moins bien payé, mais plus tranquille. »
Tenpenny : « Moi je part, on m'a offert un poste à Los Santos, San Andreas. J'aurai un meilleur poste la-bas. »
Berteau : « Bien joué Frank, je savais que tu irais loin ! Quant à vous Forbes ? »
Forbes : « J'ai bien assez de boulot ici ! Ouvrir une académie de police pour former des jeunes flics c'est pas de tout repos. Puis, je suis bien ici, j'aime la ville, c'est pourquoi je reste en tant que flic. Et vous commissaire ? »
Berteau : « Ma femme et moi avons décider de repartir pour Liberty City, le coût de la vie y est moins élevé. Je vais travailler encore deux ans sur la vallée de Shoreside, où j'ai d'ailleurs trouvé un logement pour deux, puis je prendrai ma retraite. »

Pour fêter cela, les quatre flics prennent un verre au serveur qui passe, et trinquent entre eux.

Les quatre policiers étaient donc fixés sur leur futur, mais cette expérience les aura tous bouleversés, car :
-Da Costa se sent sale et ressent désormais la peur.
-Tenpenny se balance entre une vie tranquille avec un salaire raisonnable ou une vie avec un salaire plus élevé grâce aux pots de vin.
-Forbes ne le montre pas, mais il est bouleversé par ses actes, mais en même tant, il est sur de leur nécéssité.
-Berteau constate que la vie n'est pas rose de nos jours, que le crime augmente et frappe dorénavant tout le monde, quelque soit le métier choisi.

----- THE END -----

Prochainement : Les femmes en haut de l'affiche...

1990, Laura, la première dame de la ville, est accusée de meurtre, et les preuves l'envoient en prison malgré son innocence. Y a t-il un homme de loi assez expérimenté pour la sortir de là et déjouer le complot dont elle est victime ?

A voir dans NO PITY, histoire 4 de THE VCS ! ! !

astro11
Niveau 10
02 février 2008 à 10:28:32

Super la fin !
Félicitation !
Je reprend ma fic bientôt !

bs17
Niveau 10
02 février 2008 à 12:49:10

Trop bien, j'appelle Canal + pour qu'ils adaptent cette Fic. à une série télévisée :o))

Crash-Manu
Niveau 10
09 février 2008 à 19:08:08

Je suis en train de mettre sur pied la prochaine histoire, m'accordez vous un peu de patience ?
En attendant allez voir la fic de Astro, ça vous plaira !

[[Don[-]Alex]]
Niveau 10
10 février 2008 à 16:33:30

El les honneurs à Wiilmore ? :snif:

Oh puis merde, s'te raclure de bidet sté un corrompu :noel:
J'écris moi aussi une fic. Elle sera assez courtes, mais j'ai pas bien le temps de vivre ces temps-ci...

J'espère que ta nouvelle histoire commencera bientôt Crash !

Crash-Manu
Niveau 10
10 février 2008 à 16:45:58

Si tout va bien, elle commence dimanche soir (quand je vais rentrer de week)
Bonne chance Don !

bs17
Niveau 10
11 février 2008 à 18:42:08

C'était hier soir :-(

Ou Dimanche prochain ? :(

Crash-Manu
Niveau 10
24 février 2008 à 18:20:31

Salut à tous ! J'espère que vous allez bien, pour ma part c'est OK. Voici l'histoire 4 de ma fic THE VCS !
Please enjoy !
Cette histoire est totalement fictive et inventée de toute pièce, elle n'a aucun lien avec la vie réelle.

HISTOIRE QUATRE : 1990

NO PITY

EPISODE I : Accusée à tort

12 Mai, 1990
Nous sommes samedi, et il fait beau à Vice City. La pluie n'a pas mis en échec les habitudes de la population depuis au moins deux mois. Cette situation profite à de nombreuses personnes, les sauveteurs ont du boulot, les vendeurs de glace font des profits, les agences de tourisme s'en mettent plein les poches, et les célébrités se font remarquer.

16 h 00
Les vieilles habitudes ont la peau dure, Laura passe une journée type comme elle en a l'habitude. Shopping, discussions, soins et bronzage sont au programme !
Assistée par ses employés, elle en fait le moins possible.
-Elle ne conduit pas, c'est son chauffeur qui se charge de la stretch.
-Elle n'entretient ni sa maison, ni son jardin, elle laisse ses besognes à la bonne et au jardinier.
-Elle ne cuisine pas puisque son traiteur s'en occupe.

Elle se croit, et d'ailleurs elle l'est, au dessus des lois, en effet, les connaissances de son mari, monsieur Shrub le maire, la couvre au moindre faux pas.
Bref, une vie de rêve dans une ville de rêve (pour 30 % de la population bien sûr), mais malgré cela, Laura a le sentiment de vide, son mari n'est jamais là, et elle a tout sans aucun effort. C'est peut-être cela qui à pousser la première dame de la ville à tromper son mari avec un homme plus présent et plus débrouillard, mais moins riche, Peter Santorro, dit « San Pete » dans son milieu professionnel.

Laura et Peter discutent sur la plage :
Peter : « Ce que je suis heureux avec toi, je t'aime ! »
Laura : « Non mais que fait tu là, tu voudrais que tout le monde entende ? »
Peter : « Pourquoi pas, ne tient tu pas à moi ? »
Laura : « Bien sûr que si mais j'ai un mari et je ne veux pas le quitter pour l'instant. »
Peter : « Je te fais confiance, huumm, l'amour rend aveugle ! Je peux reprendre un de tes délicieux cocktails ? »
Laura : « Une tequilla sunrise ? Bien sûr ! Je crois qu'il faut ralentir chéri... »
Peter : « Comment ça ? »
Laura : « On se voit beaucoup trop, limitons nos rencontres, ce sera plus passionnant ! »
Peter : « Tu veux annuler notre sortie au Malibu de ce soir ? »
Laura : « Non, je parler juste de l'avenir proche... »
Peter : « D'accord chérie ! Je dois y aller, j'ai du boulot. A ce soir 21 heures au Malibu ! Bise ! »

Ainsi les tourtereaux se séparent pour éviter tout malentendu. Sans compagnie, donc relaxée et tranquille, Laura reste sur la plage jusqu'à 19 h 30, heure à laquelle elle rejoint son mari pour un dîner hâtif et une discussion professionnelle barbante. 20 h 45, le maire quitte sa femme et sa résidence pour aller jouer au poker avec des relations de travail. Quant à elle, Laura part immédiatement au Malibu.

21 h 22
Laura attend son « compagnon », mais ce dernier ne se montre pas, madame Shrub, sur son 31, attire alors des touristes curieux et obsédés...

Touriste 1 : « Salut poupée ! »
Touriste 2 : « On te paye un verre chez nous, ça te dit ? »
Laura : « Nan, pas le moins du monde ! »
Touriste 1 : « Quoi ? On est pas assez bien pour Barbie ? »

Une voix menaçante et terrifiante se met alors à retentir : « FOUTEZ LUI LA PAIX ET CASSEZ VOUS BANDES DE MER*EUX ! ! ! »

Les deux touristes ivres, apeurés, décampent instantanément. Le sauveur, si on peut le dire ainsi, n'est autre que le gérant du club Malibu.

Laura : « Merci Tommy ! On est plus en sécurité nulle part ! »
Tommy : « Ici tu risque rien tant que je te vois, alors te fait pas de bile ! »

21 h 46
Le retard de Peter est impardonnable aux yeux de Laura, qui quitte le club et rentre chez elle en taxi, car pas de chauffeur personnel pour ce genre de rendez-vous.

La course n'est ni longue, ni exorbitante, car du Malibu à Starfish Island il n'y a pas loin. Laura paye le taxi driver Kaufman et fais quelques pas jusqu'à chez elle. Avant de passer la barrière, elle aperçoit des lumières rouges et bleues qui éclairent son jardin et la façade de sa maison. C'est la police ! Laura se presse d'aller voir :

Laura : « Que se passe t-il monsieur l'agent ? »
Policier : « Ha madame Shrub ! Vous tombez bien, c'est pour vous qu'on est là... »
Laura : « Quoi ? »
Policier : « Vous êtes en état d'arrestation pour le meurtre de Peter Santoro et complicité dans une affaire de stupéfiants, vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous, vous avez le droit à un avocat, si vous n'en avait pas, alors la cour vous en commettra un d'office. »

Ainsi l'agent passe les menottes à Laura qui nie son implication dans cette histoire.

22 h 07
Laura est jetée en cellule dans le commissariat de Ocean Beach. Le gardien passe sa matraque contre les barreaux, ce qui agace les prisonniers, déjà excités par la venue d'une jolie femme dans un endroit pareil.

13 mai 1990
Laura : « Monsieur l'agent, puis-je téléphoner ? »
Gardien : « Un seul coup de fil, okay ? »
Laura : « D'accord ! »

La prisonnière utilise donc le téléphone de la prison afin de contacter son avocat. Ce dernier décroche à temps.

Secrétaire : « Lawyer's office, que pouvons nous faire pour vous ? »
Laura : « J'ai besoin d'un avocat, passez moi Maître Rosenberg ! »

TO BE CONTINUED ! A demain pour la suite de THE VCS !

Et essayez de deviner qui est l'assassin !

astro11
Niveau 10
24 février 2008 à 19:06:26

Vraiment génial le premier épisode mais je n'ai pas encore d'idée précise à propos de l'assassin !

bs17
Niveau 10
24 février 2008 à 21:35:21

Putain on n'a de la lecture :ouch2:

:merci: ^^

Crash-Manu
Niveau 10
25 février 2008 à 10:16:04

Désolé pour la longueur, mais j'ai tant de choses à dire en six chapitres, alors je peux pas faire autrement.
A moins que vous vouliez que je coupe les épisodes en deux ?

VOTE :
OUI ou NON pour couper chaque épisode en deux.

[[Don[-]Alex]]
Niveau 10
25 février 2008 à 13:55:50

NON, je kiffe trop :bave:

Crash-Manu
Niveau 10
25 février 2008 à 17:43:59

J'ai besoin de plus de votes.
:merci: Don !

bs17
Niveau 10
25 février 2008 à 18:38:49

Oui :ok:

:bave:

Comme même :coeur:

BenTheKiller
Niveau 10
25 février 2008 à 18:39:44

Bien :ok:

Crash-Manu
Niveau 10
25 février 2008 à 22:39:01

Sinon, combien de temps entre la publication de chaque partie d'un épisode ?

Rendez-vous demain soir pour la suite de THE VCS ! ! !

Crash-Manu
Niveau 10
26 février 2008 à 19:48:20

Salut les amis ! Voici la suite de THE VCS, les prochains épisodes seront coupés en deux comme me l'ont demandé quelques forumeurs. Please enjoy !
Cette histoire est totalement fictive et inventée de toute pièce, elle n'a aucun lien avec la vie réelle.

HISTOIRE QUATRE : 1990

NO PITY

EPISODE II : Ken à la rescousse !

Secrétaire : « Il s'est absenté, dites moi qui vous êtes et où vous êtes et je lui ferai la commission. »
Laura : « Laura Shrub, femme du maire, je suis au commissariat de Ocean Beach. »
Secrétaire : « C'est noté, au revoir. »

Laura tourne en rond dans sa cellule, elle répète : « J'ai fait une connerie, mer*e, ça devait pas se passer comme ça ! Quelle idiote je fais ! »
Soudain, la gardien s'adresse à elle : « De la visite pour m'dame Shrub ! »

Laura : « Bonjour Alex... »
Alex : « Tu est vraiment dégoûtante, répugnante, et je pourrai trouver plus ! Je demande le divorce ! »
Laura : « AL ! NON ! »
Alex : « D'abord je suis ruiné et ensuite ma femme est une tueuse ! Tu as pensé a mon image ? »
Laura : « Je n'ai tué personne ! Et comment ça ruiné ? »
Alex : « J'ai joué aux casinos de Las Venturas pour une oeuvre caritative, et j'ai tout perdu ! »
Laura : « Ho mon dieu ! »
Alex : « Je ne veux plus te voir, adieu ! »

C'est ainsi que les époux se quittent, ils ne se reverront qu'au tribunal...

14 h 54
Gardien : « Encore de la visite pour Shrub ! »
Laura : « Ken ! Je suis si heureuse de te voir ! »
Ken : « Moi de même ! Ma secrétaire m'a transmis ton message. Que s'est il passé ? »
Laura : « J'ai trompé Al avec Peter Santoro, et ce dernier à été assassiné ! »
Ken : « Je vais te sortir de là ! »
Laura : « J'ai pourtant un alibi. »
Ken : « Oui, mais si tu est là c'est qu'il y a une raison ! »
Laura : « C'est un coup monté pour me mettre hors d'état de nuire ! »
Ken : « Il y a des gens qui t'en veulent ? »
Laura : « Je pense que oui, j'ai quatre pistes :
-André Velmont, mon traiteur. J'ai souvent fais des remarques désagréables sur sa nourriture, il a même était traîné en justice pour manque d'hygiène et par ma faute. Il a perdu gros, très gros !
-Greg Van De Furz, mon chauffeur. A cause de moi, il a perdu sa femme au cours d'un divorce et n'a pas eu la garde, ni un droit de visite pour ses enfants.
-Julio Ribeiro, mon jardinier. Je le fais chanter pour moins le payer, avec des photos compromettantes, il est gay.
-Alera Steponav, ma bonne. Je l'entretient dans des conditions déplorables car je sais qu'elle ne dira rien, elle est clandestine.

Ken prend un air éffrayé.

Ken : « En effet ! »
Laura : « Ne me juge pas si vite Ken, j'étais riche, donc désagréable, hautaine et tout ce qu'on pourrait mettre avec. »
Ken : « Peut-être mais de là à se comporter de cette façon... Pfiou ! Bon, il ont un motif, reste à voir si ils ont un alibi. Étaient-ils au courant de ta relation ? »
Laura : « Je crois que oui, ici tout se sait ! »
Ken : « D'accord, je vais m'en occuper. Je vais mettre un ami sur l'enquête. »
Laura : « Qui ? »
Ken : « Paul Kent, il est clean. C'est un anglais. Je part, tient le coup ! »
Laura : « Bye Ken ! »

L'avocat sort du commissariat et se dirige vers le club Malibu. Il y rencontre le gérant Tommy Vercetti et lui demande si il a vu Paul, qui a l'habitude de fréquenter la boîte. Vercetti acquiesce et lui montre l'anglais à une table et entouré de jolies demoiselles. Ken part dans sa direction.

Paul : « Hé Ken viens boire un coup ! »
Ken : « Pas le temps, j'ai du boulot. Tu veux te faire 1000 dollars ? »
Paul : « Je roule ! Haha ! Peut-importe la mission, pour mille billets je prend. »

Ken lui explique la situation et lui demande d'enquêter parallèlement à la police, l'anglais accepte de jouer les détectives privés.

15 mai 1990
Paul Kent rend son premier rapport par courrier à l'avocat :

------------------------------------------------

Le 15 mai 1990, 7 h 45

Cher Ken, je travaille sur ce que tu m'as demandé depuis deux jours, et voilà les premiers résultats de mon enquête.
Tout d'abord, monsieur Santoro, dit « San Pete », était un gros fournisseur de drogues de Las Venturas. Il est arrivé ici il y a six mois. Il était à la tête d'une fortune énorme et était très apprécié dans les casinos de LV.
Cause de sa mort : empoisonnement à une toxine expérimentale à base de gelée verte. Quand j'ai questionné des gens susceptibles de m'en apprendre plus sur ce poison, on m'a dit de ne pas m'en mêler et depuis deux types me suivent. Je sais juste par analyse qu'un des ingrédients est fabriqué à base de colorants alimentaires et de conservateurs TH547 et BX7I9.
Heure du décès : entre 16 h 20 et 16 h 40
Sur les lieux du crime j'ai trouvé des traces de pneus de voiture, il conduisait pourtant une moto, mais ça ne veut rien dire.
J'ai également trouvé des lettres d'amour particulières émanant d'un homme, San Pete n'était pas homosexuel mais un certain Ribeiro l'admirait : exemple

Pourquoi tu me rejette ? Je ne fais rien de mal, par pitié répond moi !
RibeiRo

D'autres lettres, du même expéditeur, menacent de mort la victime.
Je crois qu'il s'agit du jardinier de ta cliente, je l'interrogerai demain.
La bonne de Laura est aussi liée à la victime, car en plus d'être dealer, San Pete était passeur, et madame Steponav lui devait une grosse somme d'argent pour l'avoir amenée ici. Selon son compte en banque, elle n'aurait jamais pu le payer, d'ailleurs elle a inscrit un faux nom et une fausse nationalité sur ce compte, mais je l'ai trouvé quand même grâce aux traces des transactions. Étant clandestine, elle ne pouvait pas donner les vraies informations.

Cela ne faisait que sept mois qu'ils se connaissaient, et San Pete avait déjà rédigé son testament dans lequel il lègue toute sa fortune ( 7 543 718 dollars ) à Laura Shrub.
Voilà pourquoi la police a coffré Laura, un peu hâtif, mais c'est compréhensible.
J'ai donc deux suspects : Julio Ribeiro et Alera Steponav
Je poursuit l'enquête, au revoir.

Kent Paul

--------------------------------------

Le 16 mai 1990, 10 h 04

Kent Paul se rend à la demeure des Shrub pour y interroger Alera et Julio, la bonne et le jardinier.
L'anglais patiente dans le salon, la bonne est bientôt en pause. Il regarde les photos du maire et de sa femme, ils ont l'air heureux. La pendule attire son attention, énorme et ornée de fresque moyen-âgeuses, elle affiche 10 h 34, Paul compare donc avec sa montre qui dit 10 h 04, et en conclue que l'horloge du salon a du retard.

To be continued...

A dimanche pour la suite de THE VCS story 4.

bs17
Niveau 10
26 février 2008 à 20:04:35

J'ai déjà pas lu celui de hier alors, je ne pourrais pas tout lire ce soir :-)

:hap:

Crash-Manu
Niveau 10
27 février 2008 à 01:08:44

Les suivants seront entrecoupés (selon la demande de plusieurs forumeurs)
Je poste trop vite ?

Sujet : $$-Fic.the VCS-$$
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