DON Je suis pas en vacances, j´ai l´école ! ! !
Samedi à 15h, ça te va ?
De nom, vous ne connaissez pas le héros, mais vous ferez vite le lien entre lui et un autre héros...
THE VCS
HISTOIRE DEUX : 1980
AMERICAN DREAM
EPISODE I : Clandestinité massive...
Le communisme cubain de Fidel Castro enclenche une vague d´immigration massive en 1980 principalement. En plus de leur famille, le dictateur oblige les possesseurs de bateaux s´en allant aux Etats-Unis, à emmener la pègre des prisons de l´île. C´est un « trafic juteux » pour les passeurs comme Troy (un ami de Marty).
Aujourd´hui, ce passeur grimpe dans son yola. Il s´équipe de son scorpion et va au large de Vice City. Des bateaux arrivent en masse et Troy joue aux pirates, il aborde les embarcations des honnêtes gens, les tuent tous sans exception puis les dépouille de leurs biens, argent, bijoux, mais les immigrés sont, en partie, tous pauvres, le butin est alors limite. Cette raclure de Troy est capable d´attaquer le tiers des bateaux cubains arrivant à Vice.
C´est de la façon la plus idiote possible qu´un cubain échappe à cet « ouragan », Paco Jovengo, croit y passer, Troy le met en joue, presse la détente mais rien ne se passe !
Troy : « MERDE, MERDE, ET MERDE ! »
Paco : « No me mata por favor ! »
Troy : « Quoi ? Je piges quedal ! »
C´est alors que cet idiot de passeur à une idée !
Troy : « Hi hi ! Tu vas bosser pour moi ? »
Paco : « No entiendo ! »
Troy : « Heu ! Trabajar para mi ? »
Paco : « Soy de acuerdo contigo. »
Troy : « Bueno ! Mon accent doit être horrible ! »
Les deux nouveaux acolytes remontent dans le yola et repartent vers Vice City, une fois au port, le bateau est interpellé par trois flics dans un bateau.
Troy (en sautant à l´eau) : « Ho non v´la les condés ! Y m´auront pas ! »
Reefer (police) : « Les mains en l´air ! »
Troy réussi à s´en tirer, mais Paco se fait coffrer.
Flic : « C´est quoi ton nom l´étranger ? »
Paco : « Jovengo ! »
Flic : « Envoyez moi ce macaque en camp de regroupement ! »
La police l´envoie dans le camp de réfugiés cubains, s´étendant du chantier naval aux barrières d´entrée de Vice Port, et sur tout le parking des poids lourds de la zone. Ce camp comporte plus de six cent réfugiés tassés comme des sardines, la vie y est difficile, et la nourriture est toujours la même : du poulpe.
Deux mois ont passé, et Paco parle davantage la langue américaine, mais conserve un accent et des expressions cubaines. Le maire, Alex Schrub, décide, en parallèle avec le gouvernement, d´intégrer totalement la population cubaine aux Etats-Unis. Les immigrés s´installent alors dans un quartier de Vice West, rebaptisé à l´occasion : Little Havana. Mais le chômage élevé pousse une grande partie des cubains en dessous du seuil de pauvreté, ceux qui réussissent aux USA partent de Little Havana pour Ocean Beach, voire le Centre. Ce nouveau quartier, étant pauvre, est alors exploité par les Cholos, un vieux gang de Vice. Les cholos rackettent les commerçants cubains, prostituent leurs femmes et utilisent leurs enfants pour le trafic de drogue. Mais les « cubanos » ne tardent pas à se rebeller et fondent le gang des cubains, et c´est le fils de Robina, très connu à Cuba pour ses actes dans les sixties, qui est désigné à la tête de la bande. Cet homme se nomme Umberto, mais il n´a pas les mêmes capacités que son paternel.
Trois mois passèrent, les cubains se sont imposés, ont une réputation mais ne sont pas assez nombreux pour chasser définitivement les cholos. Leurs effectifs capables de se battre sont faibles et former des gangstas est une tâche très longue. Pour cela, Umberto à besoin de durs à cuire, alors il recrute, mais Paco est refusé !
Paco : « Yé besoin d´oune trabajo monsieur Robina ! »
Umberto : « T´as pas de réputation, t´est pas musclé, et t´as pas le cran ! En gros, t´as pas ce qui te faut dans le pantalon ! »
Paco : « Please ! Demande moi quelqué chose et yé lé fait ! »
Umberto : « On va voir ! Voilà le topo : on n´a pas de caisses, les cholos ont leurs sabre, nous on a quedal ! Va voir BJ Smith à sunshine et commande trente hermes blanches, pour finir, démerde toi pour nous les amener ici, à Little Havana ! »
Paco : « Il faudra payer ? »
Umberto : « Bien sur banane, mais je te donne rien ! Ramène les caisses par tes propres moyens et tu sera mon capitaine ! Ho et prends quand même ce pager pour être joignable n´importe où ! »
Paco part alors vers sunshine autos qui n´est pas trop loin de son quartier...
...à suivre dans l´EPISODE II : Talents cachés !
Plus de fans ? Plus d´audience ?
J´arrête la fic ?
et t arrete pas ok (j etait a mon stage de foot)
Crach !
J´ai lu les deux derniers épisodes que je n´avais pas lu. C´est bien continue comme cela !
Cette phrase là ma frappée car elle est tiré du "Retour de l´Inspecteur Harry" avec Clint Eastwood. Tu l´as prise de là, pas vrai ?
Tommy : « Pour moi t’est qu’une merde pas un boss, une merde qui traîne sur le trottoir et si je te croise, je te marche dessus et je t’étale sur le sol, alors un conseil choisi bien où on te chiera ! ! ! »
c´est bien cette fic hein!! jovengo c´est le gars qui creve au debut de VCS ?
Astro Oui cette phrase vient de l´inspecteur Harry, c´était un petit hommage à Eastwood, j´en avais fait un à Pacino aussi...
NGC Dévoile la fin pendant que t´y est !
je l´a connait pas la fin et regarde encore mon message manu c´etait une question
Tu le sais puisque je te l´ai dit, PFFFF
Tu parles !!
sympa
L´audimat est tellement bas... La suite n´est pas prête d´arriver !
anti-flood
anti-flood
Je verrai cet été si je ne peux pas continuez un peu la fic que j´avais commencé
Scarface, mais tu la publieras ou ?
Si j´ai des encouragements, je continue.
Moi c´est pas des encouragements, c´est des menaces: Si tu continue pas ta fic j´te bute
nan, trop la classe cette fic ! Je suis arrivé ici il n´y a pas longtemps mais je préfère rattraper le temps perdu
Et si tu reposte pas, peut être que tu peux, enfin, je pense quoi, juste comme ça quoi, juste pour te demander le petit service, tout petit, de m´envoyer, peut-être, ta fic sur msn, enfin, je t´oblige pas quoi, un petit service quoi
Okay, je vais continuer...
La suite : Demain à 16 heures !
Ca faisait trop longtemps
HISTOIRE DEUX : 1980
AMERICAN DREAM
EPISODE II : Talents cachés !
Après un quart d´heure de marche, Paco arrive enfin à sunshine autos, une petite concession automobile sur la route de Vice Port. Il entre.
BJ Smith : « Hello brother ! »
Paco : « Bone journo ! »
BJ : « Que puis-je faire pour vous ? »
Paco : « J´aimerai passer oune commande. »
BJ : « Parfait ! Venez ! »
Paco suit BJ dans son bureau.
BJ : « Asseyez vous ! Un cigare, cubain ? »
Paco : « Sans façone ! »
BJ : « Alors de quoi s´agit il ? »
Paco réfléchie et se dit que si il n´a pas l´argent, il ne faut pas qu´il dise le motif de la commande, et qu´il négocie le « paiement ».
Paco : « Trente hermes ! »
BJ : « C´est ce que vous voulez ? »
Paco : « Oui, et grises si possible ! »
BJ : « C´est pris en note ! Je passe commande ce soir par téléphone à Las Venturras ! Elles arriveront par conteneurs d´ici deux, trois semaines. Puis elles seront déposées à la fourrière des autorités locales... »
Paco lui coupe la parole.
Paco : « QUOI ? »
BJ : « C´est obligatoire, puis c´est pour une meilleure sécurité. C´est toujours de cette façon que ça se passe, d´ailleurs, pour vous mettre en confiance, c´est là bas que vous me paierais ! »
Paco : « Combien se sera ? »
BJ : « Heu... une seconde, je vous fait la pièce à huit mille dollars, et le transport, c´est cadeau ! Donc en gros, le prix sera de 240 mille dollars. »
Paco : « A plousieures reprises quand même ? »
BJ : « En trois mois maximum, vous savez, c´est Vice City ! »
Paco et BJ se serrent la main, puis échangent leurs numéros de pager pour que le vendeur puisse prévenir le cubain de l´arrivée des véhicules.
Paco sort puis retourne chez lui, un petit appartement situé à Little Havana, près de chez Stonewall J´s. C´est un taudis mais c´est mieux que rien !
Soudain Paco à une idée ! Il emprunte un bmx et se dirige vers le chantier situé entre Little Haiti et le Centre, sur la route principale. Une fois sur place il se renseigne par les ouvriers, sur la peinture qu´ils utilisent, et apprend que c´est le centre commercial de Vice Point, qui les livre par camions. Paco retourne à Little Havana, puis se renseigne par les cubains sur ce Troy qu´il a rencontré, et apprend qu´il travaille avec un certain Marty, et qu´il loge dans une caravane derrière sunshine autos. Le cubain commence a se faire connaître et commence à connaître la ville et ses habitants...
...à suivre dans l´EPISODE III : Alliances et détournements
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La suite : ça dépend de l´audimat !