Bonjour à tous !
Comme promis voici la suite et la fin de American dream ! Je vous laisse lire et voter pour l´histoire suivante.
Cette histoire est totalement fictive et inventée de toute pièce, elle n´a aucun lien avec la vie réelle.
HISTOIRE DEUX : 1980-1984
AMERICAN DREAM
EPISODE VI : Say goodnight to Mister Coke !
Quatre ans ont passé, Paco Jovengo est aujourd´hui un des hommes les plus riches de Vice City. Partit de rien pour arriver au pouvoir, il a vécu le rêve américain. Tout à commencé ce fameux jour où il a aidé Phil Cassidy à sauver Louise, sa soeur. En effet, il trouva une grosse quantité de coke, puis il épongea ses dettes auprès de Marty Williams. Paco quitta alors le gang des cubains pour trafiquer cette coke, ce qui éveilla les soupçons car il avait travaillé dur pour l´intégrer. Manolito fit de même pour rester avec son ami. Au bout de quatre ans, fortune était faite, Paco est le boss d´une trentaine d´hommes, des bodyguards, des vallets, des comptables, et Manolito est commandant en second. Notre cubain mène alors une belle vie sur Starfish island, dans une luxueuse villa.
Il est midi, Paco et ses hommes mettent au point une grosse affaire avec les frères Mendez, des trafiquants, il est en concurrence directe avec Diaz Ricardo, un autre trafiquant qui habite d´ailleurs, juste à côté de chez lui.
Paco : « Écoutez moi tous ! En ce moment, le business est difficile, l´industrie regorge de criminels, de petits dealers très ambitieux, alors chaque coup qu´on peut faire, on le fait. Manolito, une bande de seconde classe nous concurrence face aux Mendez, et je ne veux pas rater le coup mis en oeuvre avec eux. »
Manolito : « Je fais quoi ? »
Paco : « Leur QG est au sud de Vice Est, dans une villa, tu peux pas te tromper, c´est la maison la plus au sud (la future propriété de Lance). Tu prends dix hommes armés et tu nettoie tout ! »
Manolito : « C´est parti ! »
Paco : « André ! Appelez moi un avocat et fixez un rendez-vous, ensuite faites de même avec les Mendez. »
André : « Bien monsieur ! »
Deux heures plus tard, Manolito revient et explique comment il a accompli sa tâche, Paco le félicite.
Paco : « Prends ton après-midi, tu l´as bien mérité ! »
Manolito : « Merci boss ! »
Manolito pars précipitamment, puis Paco s´adresse à son major d´homme.
Paco : « Alors ? »
André : « Maître Rosenberg va vous recevoir demain à 8 heures du matin, quant à monsieur Mendez, c´est à 18 heures cet après-midi même. »
Paco : « Très bien, je vous remercie, vous pouvez disposez. »
André : « Merci monsieur, mais que dois-je faire de la veste de monsieur Vasquezio qu´il à oublié ? »
Paco : « Sacré Manolito, il est toujours trop pressé, laissez là ici, au cas ou il repasserait. »
André « Très bien monsieur. »
Le major d´homme quitte la salle pour retourner à ses labeurs. Paco se sert un verre et allume la télévision.
TV : « Vous regardez actuellement les infos de 14 heures sur VCFL TV, la chaîne de l´actualité ! C´est dans deux jours enfin, les soldes au centre commercial de Vice Point, il ne faut pas rater ça, en plus Derek le dodo fera une apparition pour parler des armes aux enfants, soyez-là ! Un officier de police critiqué par le maire pour une affaire qui traîne, corruption ou manque de moyens ? Les résidents d´une villa assassinés de sang froid par des rivaux sûrement... »
Paco : « J´étais sûr que sa passerait ! »
Brrriiiiinnngggg !
Paco : « Kesako ? »
Le son provient de la veste de Manolito, Paco fouille et trouve un pager.
Pager :
On.me.critique.car.l.affaire.traine.grouilles.toi.
de.me.filer.d.autres.tuyaux.concernant.ton.pote.si
gné.Forbes.
Paco : « Ho non Manolito ! Pas toi ! Mais... C´est un micro, il m´espionne ! ANDRE !! ! Ha vous voilà, faites une recherche sur un certain Forbes, je crois que c´est un flic et que Manolito bosse pour lui. »
André : « S´en est un monsieur,j´était serveur à la fête en son honneur, il y a 14 ans. Etes vous sur pour Manolito ? »
Paco : « On va vite le savoir ! »
Trente minutes plus tard, Manolito revient chercher sa veste, quelque peu paniqué. Les portes de la salle se referment derrière lui et il se retrouve entouré par les hommes de Paco.
Paco : « Que se passe t-il Mano ? Tu paniques ? On est entre amis ! »
Manolito : « Je... Je... J´avais peur d´avoir oublié ma veste ! »
Paco : « Ho oui ta veste ! Tiens, elle est là avec le microphone et le pager, sale traître ! »
Manolito : « Ho non Paco, je suis désolé, j´étais obligé, il m´avait dit qu´il ferait rapatrié ma famille ici ! »
Paco : « Je m´en fous ! Tuez-le ! »
Manolito : « Attends !! ! »
Paco : « Quoi ? »
Manolito : « Si tu me tue ici, t´ira en tôle, la maison est pleine de mouchards, de plus me tuer t´amènera à rien car c´est trop tard, ils ont assez de preuves contre toi, la machine est lancée et ce flic te suit depuis que t´est à Vice, t´est foutu. »
Paco attrape le revolver d´un de ses hommes.
Paco : « Et toi, t´est mort ! ! ! »
Dans un vacarme assourdissant, Manolito tombe et son sang se répand sur le tapis, il est mort.
Garde : « Les flics vont se ramener ! »
Paco : « Tout le monde est licencié ! Je met la maison en vente et je me planque assez longtemps ! »
André : « Mais monsieur ! »
Paco : « EXECUTION ! »
Tout le petit personnel du cubain quitte alors la villa. Paco va dans son bureau prend les clés de sa stretch et de son marquis, un voilier de luxe, puis il récupère un paquet dans son coffre.
Paco : « Je dois fourguer son matos à Jerry, il m´a payé et en plus c´est lui qui m´a aidé à me lancer. »
Paco prend son pager et envoie un message à Martinez, lui demandant le lieu de l´échange, et à peine dix minutes plus tard, Martinez lui répond.
Pager :
Salut.Paco.soit.au.terminal.des.VIP.de.l.aéroport.
Escobar.dans.une.heure.pour.que.j.envoie.quelqu.un
.signé.Jerry.Martinez.
Paco sort de chez lui, monte dans sa voiture et part en direction des quais de Ocean Beach. Sur la route, il s´arrête pour prendre deux prostituées qui travaillent pour lui. Une fois au quai numéro 2, Paco et ses deux amies montent dans son voilier et partent vers Escobar aiport.
Le marquis est amarré au quai du terminal des VIP de l´aéroport, et Paco attend face à son jet. Un homme de race noire arrive à moto, il en descend et s´avance vers Paco. C´est un militaire de toute évidence.
Paco : « Hé le bidasse ! C´est Jerry qui t´envoie ? »
Militaire : « Jerry ? Hummm, le sergent Martinez ? Ouais bien sur ! »
Paco : « Ha ha ha ! Viens avec moi soldat, j´ai un truc pour ton boss. »
Puis Paco enmène le militaire à son marquis non loin de là. Les prostituées bronzent en petites tenues et l´une d´elles salue Paco.
Militaire : « Hé t´as la belle vie toi ! »
Paco : « Hé hé ! Viens, on va faire un tour ! »
Les deux hommes montent alors sur le voilier qui ne tarde pas à démarrer, une fois le trajet engagé la conversation reprend.
Paco : « Tiens ! C´est le matos de Jerry, et dit lui que je prendrai plus cher la prochaine fois, Vice City devient trop peligroso pour des indépendants comme nous. »
Deux vedettes rapides s´approchent, dans chacune il y a deux hommes, l´un d´eux crie à l´autre bateau : « C´est le type que Forbes nous à décrit ! On le bute ! »
Paco : « En parlant de ça on a de la compagnie, prend ce flingue et bute les tous ! »
Le militaire prend le M-16 que lui tend Paco, et mitraille les assaillants, mais ces derniers sont plus forts !
Le marquis prend feu, l´une des prostituées pousse un cri de terreur.
Paco : « Abandonnez le bateau ! »
Les deux hommes se jettent à l´eau sous le feu nourri des assaillants, puis le voilier explose. Paco et le militaire nagent vers la rive non loin du fort Baxter, mais seul le soldat sortira de l´eau...
Deux heures plus tard dans le bureau du maire de Vice City, Alex Shrub.
Shrub : « Annie ! Allez me chercher un café ! »
Annie : « Toute suite monsieur. »
DRRRRRIIIINGGG, c´est le téléphone. Le maire décroche.
Shrub : « Allo ? »
Inconnu : « Bonjour monsieur, c´est Forbes. »
Shrub : « Que voulez-vous ? »
Forbes : « Paco Jovengo, c´est du passé ! »
Shrub : « C´est pas trop tôt ! Vous n´avez plus qu´à vous trouver un autre gibier. »
Forbes : « J´y travaille, mais cette fois pas d´indics, mais de l´infiltration. »
Shrub : « C´est ça ! Au revoir ! »
Le rêve américain se termine parfois tragiquement, l´argent et le pouvoir éblouissent tout le monde et on ne peux plus faire confiance à personne...
THE END
Alors qu´en pensez vous ?
Astro ! Voici mon adresse : manukf@hotmail.fr
