La 1-) avec M249-SAW, SPAS 12, et Mac 10.
Vous lui prenez un nouveau lot d'armes complet, et rangez l'ancien dans le coffre de votre voiture.
Vous lui remettez 45 diamants, de sorte à ce que maintenant il vous en reste 53. Vous partez en le saluant et prenez la route en direction de l'aéroport de Emekesta, à une centaine de kilomètres à l'ouest. Tout en conduisant, vous sortez votre téléphone portable et contactez Baline.
-Ici Rail Baline, j'écoute ? fit la voix crachotante de celui-ci, transformée par l'appareil.
-C'est moi, lui annoncez-vous. Je suis prêt pour l'arène Dead Battle, on se retrouve à l'aéroport de Emekesta ?
-D'accord. On se voit là-bas dans une heure et demi, sous la grande horloge. On prendra un avion pour le port d'Amboim, sur la côte ouest d'Angola, puis un bateau spécial nous emmènera sur l'île de l'arène. A plus tard.
Vous raccrochez, et poursuivez votre route, quand soudain votre radar de diamants s'est affolé. Il y avait, juste derrière la colline bordant la route, une masse de points verts clignotant. Vous garant sur le coté, vous descendez du véhicule et entreprenez de gravir la minuscule colline vous séparant de cette fortune de diamants.
Une sorte de grand hangar entouré de barbelés se dressait devant vous. Étrange... personne en vu. Vous approchez prudemment, pistolet à la main, quand soudain un alerte retentit.
Une voix féminine métallique sortie d'un haut-parleur annonça :
-Attention. Attention. Vous entrez en zone interdite. Veuillez reculer. Nous sommes autorisés à ouvrir le feu si vous avancez davantage.
Ignorant cette injonction, vous tentez tout de même de faire quelques pas en avant. Grossière erreur.
Aussitôt, une rangée de tourelles ont surgi du sol dans un ensemble parfaitement synchronisés et vous on pointé de leur laser rouge. Plusieurs dizaines de soldats en uniformes militaires sont sortis du bâtiment et se sont accroupis, vous visant de leurs M16.
-Reculez ! a aboyé l'un des soldat. Immédiatement !
-Ok, on se calme, avez vous plaidez. Je... je ne savais pas d'accord ?
Puis vous vous êtes retourné et avez prit les jambes à votre cou. Vous êtes reparti en trombe vers l'aéroport. Curieux. Ce hangar était visiblement très protégé. Mais comment pouvait-il contenir autant de soldats ? Il faudrait y retourner, un de ces jours. Vos pensées furent interrompues par un panneau annonçant "Aéroport Emekesta : 1 kilomètre".
Après avoir tourné pendant une éternité à la recherche d'une place pour vous garer, vous pénétrez dans l'aéroport. Celui-ci était assez grand, et une grosse activité régnait en ce Samedi de printemps. Vous plaçant sous la grande horloge, vous attendez Baline quelques minutes. Celui-ci arriva avec un monceau de papiers à la main.
-Tiens, ton nouveau passe-port, a-t-il dit en vous tendant un petit carnet marron.
Vous l'ouvrez et lisez les informations s'y trouvant.
-Joe Bob ? vous écriez-vous. J'ai l'air de m'appeler Joe Bob ?
-Moi je trouve que ça te va bien. Allez, suis-moi.
Vous vous engagez, éberlué, derrière-lui, jusqu'au portique de détection.
-Attends, je suis couvert d'armes ! le retenez-vous avant qu'il ne s'engage dans la file.
-T'inquiète pas, mon gars. J'ai des ressources.
Nerveux, vous suivez Baline. Ce dernier sortit un papier et le tendit innocemment à un vigile. Celui-ci s'est penché et a chuchoté quelque chose au gardien, qui a blêmi et a désactivé le portique, nous laissant tous les deux passer.
Une fois éloigné des vigiles, vous demandez à Baline :
-Bordel, mais comment t'as fait ?
-Faux papiers. Ils nous prennent pour des espions en mission secrète pour l'état. Mais on devrait se dépêcher avant qu'il ne remarque que ma date de naissance est le 28 juin 2004.
Hélas, quelques instants plus tard, une flopée d'armoires à glace au regard féroce a déboulé en se dirigeant vers vous.
-Je ne crois pas que ces types à la mine patibulaire sont là pour nous souhaiter la bienvenue, a-t-il constaté. Suis-moi et... cours.
Vous ne vous êtes pas fait prier. Suivant une fois de plus Baline, vous commencez à sprinter sous le regard surpris des clients, suivi de près par un régiment de vigiles. Un gamin a même crié à sa mère :
-Maman, maman, 'agade la course poursuite !
-Mais oui mon chéri, laisse maman lire le magazine.
Continuant de courir, vous avez fini par débouler sur les pistes de l'aéroport.
-Et maintenant, génie ? avez-vous haleté à Baline.
-J'espère que tu sais piloter un avion, parce qu'on va en avoir besoin.
Il s'est engagé dans un petit avion bleu dans lequel un homme en tenue de pilote venait de sortir et s'apprêtait à refermer la porte.
-Eh, a protesté l'homme, vous n'avez pas le...
Il fut interrompu par une bourrade de votre part. Mieux valait éviter d'être poursuivi jusque dans l'avion. Après avoir verrouillé la porte, votre coéquipier a annoncé :
-Personne dans l'avion. Tu sais piloter ?
La réponse était non, bien sûr. Même pas une petite heure de simulateur de vol. Réfléchissant, vous décidez :
1-)De rouvrir la porte et d'emporter le pilote avec vous.
2-)De demander à Baline de piloter, tout en lui lisant un manuel de pilotage.
3-)De tenter le tout pour le tout et de piloter.
!
(enfin lire) donc je dit 3 !! 
