Ha ouais quand même !!
Il y pas moyen de le mettre entière sur un topic ? Ou sur Skyrock ?
Parce que je suis curieux là
bah comme les autres enfin si on peux 3 puis 2 mais sinon 2
FPS
FPS : de l’anglais « First-Person Shooter »
Peut se traduire par « vue en caméra subjective »
ou « tir à la première personne »
Type de jeu vidéo dans lequel le joueur incarne un personnage dont on n’aperçoit généralement que l’arrière du dos, des épaules ou simplement l’avant-bras.
Ce procédé est utilisé dans les jeux de guerre ou d’action
pour renforcer l’immersivité et le réalisme du jeu.
Ce matin, je les ai à nouveau croisés. Ils étaient cinq ou six, comme d’habitude. Ils sont passés si près de moi que j’ai pu sentir leur odeur de poudre et de mort. L'espace d'un instant leurs silhouettes lourdement harnachées ont jeté de l’ombre sur l’habitacle du véhicule dans lequel je m’étais couché, avant de poursuivre leur déambulation entre les épaves calcinées et les ruines des bâtiments.
Quand je me suis relevé après leur passage, j’ai cru distinguer un nouveau personnage dans le groupe qui s’éloignait au détour d’une rue. Une silhouette haute et maigre, d’origine non humaine visiblement. Probablement un mercenaire d’un autre monde. Une nouvelle difficulté.
J’ai perdu toute notion du temps réel. J’erre depuis si longtemps dans ces champs de ruines et ces décombres, véritable décor d’apocalypse. Peut-être que tout ce que je ressens depuis des semaines, ou des mois, ou des années, n’est en réalité qu'un rêve qui n'en finit pas, fruit d’une imagination torturée. Mais des bribes de souvenirs me rappellent que j’ai eu pourtant une autre vie, une vie paisible et ordinaire. Dans ce cas, il est possible que je sois en ce moment cloué dans un lit d’hôpital, maintenu artificiellement en vie sous respirateur et perfusions. Ce que je crois vivre chaque jour, l’immense cauchemar dans lequel je me réveille chaque matin, ne serait alors que le film de mes années de guerre rejoué par un inconscient malade.
Ma jambe gauche me tiraille toujours un peu. Si j’ai réussi à en extraire cette nuit deux balles de Dragunov et mon tibia réduit en charpie a fini par se reconstituer, je dois surtout remercier la providence d’être tombé sur ces médikits éparpillés aux abords de la voie ferrée.
Rien de ceci ne serait arrivé si la veille je ne m’étais retrouvé malgré moi au centre d’une fusillade gigantesque à Fulton Street, cette station où l’on m’a pourtant bien gardé de traîner, surtout la nuit. Cette fois, l’impression de réalité n’a jamais été aussi forte...
Fulton Street. Deux heures vingt du matin. Quand Jack Carver arriva sur les lieux, encore dans les brumes d'une soirée trop alcoolisée, sa collègue de la Criminelle était déjà là, accroupie près d'un des nombreux cadavres qui jonchaient le quai du métro.
- Salut Serpico... lui lança-t-elle sans relever la tête, tandis qu'elle fouillait un type allongé face contre terre.
- Retire les mains des poches de ce pauvre homme, Dina, se contenta-t-il de lui répondre en allumant une clope, avant d'ajouter : ils sont tous dans cet état ?
- Oui, on dirait bien. Tous réduits en charpie...
- Des témoins ? demanda Jack.
- Oui, le type là-bas, répondit-elle en pointant du doigt ce qui ressemblait fort à un clochard, à moitié allongé sur une banquette, l'air goguenard.
- C'est déjà ça... Les caméras de sécurité ?
- J'ai demandé à la sécurité de la ligne de nous les faire porter dans la matinée...
Jack arpenta le quai dans un sens, puis le redescendit, pour mieux se rendre compte de l'ampleur de l'affrontement qui avait eu lieu ici. Parler de fusillade était un euphémisme. Car ce qui frappait le plus n'était pas tant le nombre de morts que l'incroyable déchaînement de violence qui avait du se déployer ici pour créer autant de dégâts sur le décor... Rien ne semblait avoir été épargné ! Les murs carrelés de Fulton Street étaient littéralement zébrés d'impacts de balles et le sol recouvert d'éclats de carreaux et de centaines de douilles de divers calibres. En face, un pan de mur s'était même effondré, probablement sous l'impact d'un puissant explosif, faisant apparaître quelques badauds dans l'allée de sortie située derrière le quai. Un des panneaux de publicité avait été décroché et gisait coupé en deux, transpercé de toutes parts, sur les rails, tandis qu'un distributeur de confiseries éventré avait déversé tout son contenu sur une dizaine de mètres tout autour de lui. Les cadavres, eux, gisaient tous à moitié désarticulés dans d'énormes flaques de sang.
- Et bien, la semaine commence fort, se contenta de marmonner Jack, qui avait fini son tour et s'était posté à nouveau près de sa collègue. Cause des décès ? ironisa-t-il.
- Multiples lésions externes et internes par balles, tu t'en doutes. Tiens, celui-là par exemple, il a eu le crâne défoncé par une balle de 9 mm, qui est ressortie, et une autre s'est logée dans son épaule. Le thorax a également été touché, mais par un calibre plus gros, un pompe sûrement. Je miserais sur un XXXXXXXXXXX.
- Impressionnant, lâcha Carver.
En quinze ans de Section Criminelle, il en avait vu des tueries, des fusillades, des règlements de compte. De braves types, ou moins braves du reste, troués de balles, retrouvés égorgés comme des lapins dans leur coffre de bagnole, bref, tout ce qui fait l'ordinaire d'un inspecteur de police. Jack pensait avoir fait le tour de la question, mais la scène qu'il avait sous les yeux, pour laquelle on l'avait arraché de son sommeil, avait quelque chose d'anormal, d'atypique, d'inédit. Non pas dans l'atrocité même de la tuerie, mais dans sa force qui la faisait ressembler à une véritable scène de guerre. L'accoutrement des types allongés par terre dans leur sang était étrange aussi. On aurait dit des militaires, mais d'une armée inconnue, ou une milice, mais ce n'était en aucun cas des types ordinaires. Apparemment la confrontation, qui avait eu lieu à une heure de fermeture du public, ne semblait avoir concerné que les protagonistes eux-mêmes.
Dès lors, plusieurs questions venaient à l'esprit.
euh t
dsl je reprend
euh ton histoire est cool mais tu pourrai creer un topic expres que pour ton histoire ^^
En effet, c'est sympa mais un peu HS...
Bref, la suite avec la 2 !
-Ça ira, je vais bien. Montre-nous ta planque d'armes, James, ça se révèlera utile.
Il acquiesça et vous demanda de le suivre. Après avoir traversé plusieurs couloirs et descendu un escalier, vous débouchez dans une chambre qui n'avait visiblement pas servie depuis longtemps. James se dirigea vers un mur seulement ornementé d'un petit chandelier. Il tira le chandelier en avant, et le mur s'ouvrit pour laisser place à un escalier secret descendant dans le noir. Une énième précaution pour protéger sa sécurité...
L'escalier descendait à une grande pièce rectangulaire accompagnée d'un éclaire bleutée. Sur les murs étaient accrochés des armes en tout genre : fusils d'assaut, fusils de combat, armes lourdes, mines, grenades...
-Voici mon armurerie, déclara James en écartant les bras. J'en suis assez fier. Vous pouvez vous servir.
Baline se dirigea vers une étagère de fusils de chasse, tandis que vous examiniez une rangée de fusils d'assaut. Un M16 vous faisaient envie : il avait une lunette, tirait en rafales très puissantes, avait une bonne capacité de chargeur...
Après avoir regardé quelques autres modèles, vous décidez d'abandonner votre SPAS12 pour prendre le M16, ainsi qu'un silencieux qui allait avec. Vous vous emparez également de quelques grenades à fragmentation et de munitions pour vos armes. Balien vous tendit un gilet par-balles et en enfila lui même un exemplaire.
-Je pense que nous sommes prêts, annonça Baline. Y a-t-il d'autres choses utiles à savoir sur le repaire, James ?
Celui-ci parût réfléchir et répondit :
-Juste que la base est presque entièrement souterraine. C'est là-bas que Matador vit, coordonne ses opérations, et entrepose ses gains en diamant. La base est gigantesque, et est sans doute remplie de l'élite des mercenaires de Matador. Des vétérans autrefois au service de Tamanos. Bref, je ne peux que vous souhaiter bonne chance.
Après avoir dit au-revoir à James, vous quittez la villa et partez en direction de l'aéroport de la ville à bord d'une limousine conduite par un chauffeur de James.
Baline se tourna vers vous et annonça :
-Bon, bien sûr on ne va pas atterrir à Emekesta, mais à une ville un peu plus loin du repaire. Le chemin sera plus long, mais plus sûr. Je pense à la ville de Omnisae. On passera par la route abandonnée que tu as emprunté en venant à Emekesta.
Le chauffeur sortit un portable et parla à quelqu'un, mais les voix étaient inaudibles du fait de la vitre vous séparant de l'avant de la limousine. Baline fronça les sourcils, l'air perplexe.
-Tiens ? Qu'est ce qu'il fait...
Le chauffeur rangea son portable et fit une brusque embardée en travers de la route. Deux 4X4 débarquèrent et se plantèrent devant la limousine, bloquant l'accès à la route. Des hommes armés de fusils d'assaut sortirent des 4X4 et se mirent à couvert derrière leurs véhicules, pointant leurs canons vers la limousine. Le chauffeur descendit calmement pour aller parler à l'un des hommes armés, puis rentra dans l'un des 4X4.
-Merde ! jura Baline. Le chauffeur est complice avec ces mecs ! Dépêchons-nous de sortir, ils dégoupillent une grenade !
Mais les portières étaient fermées. Empoignant votre MAC10, vous videz un chargeur sur la poignée de la porte. Celle-ci tomba en morceau, vous laissant sortir vous et Baline de ce cercueil roulant. Le cercueil en question explosa peu après, vous projetant à terre. Des débris retombèrent et des balles commencèrent à fuser. La carcasse en flamme de la limousine retomba lourdement en travers de la route, vous offrant une couverture pour riposter aux tirs.
Baline tira par intermittence vers les 4X4, tandis que vous faisiez de votre mieux pour viser malgré vos blessures. Néanmoins, certaines rafales meurtrières éliminèrent des ennemis. L'un d'eux sortit du coffre de l'un des véhicules un lance-roquette.
-A terre !! avez-vous crié.
La roquette passa en fumant juste au dessus de la limousine pour exploser un peu plus loin. C'était heureusement un modèle peu précis. Vous relevant, vous reprenez votre M16 et tirez deux rafales en direction de l'homme au lance-roquette. Celui-ci tomba à terre, mort. Baline dégoupilla une grenade et la jeta par-dessus la limousine en flamme après avoir compté jusqu'à trois. L'un des 4X4 explosa en une gerbe de flamme, faisant quelques victimes de plus parmi les ennemis. Il n'en restait plus que trois, à présent. Ils furent rapidement éliminés, trop sonnés par l'explosion de l'un des véhicules pour se défendre correctement.
Les ennemis blessés furent achevés, et vous vous dirigeasse vers le 4X4 encore à peu près intact. La portière du véhicule s'ouvrit pour laisser passer un chauffeur terrifié et blessé à l'épaule. Sans doute une balle perdue.
Baline le rattrapa et le plaqua contre le 4X4.
-On en fait quoi ? demanda Baline.
Vous lui demandez de :
1-) Le tuer pour éviter qu'il raconte ce qu'il a vu à son employeur.
2-) L'interroger, puis le tuer en espérant qu'il n'ait pas menti.
3-) L'interroger, puis le laisser en vie pour s'assurer de la vérité de ses dires.
3-)
Il y a déjà eu assez de mort
Quel grand cœur tu as !
Je sais
Mais comme ca si le chauffeur nous raconte des carabistouille on peut toujours revenir le voir !
1, faut se dépêcher je pense^^
Pas con ikinowax, je vais dire 3) aussi
2
Ah, je suis content, j'ai réussi à rééquilibré les choix pour vous faire douter.
Humm oui , mais le 3) l'emporte... pour l'instant.
Hé hé c'est parce que j'ai fais une belle argumentation que le 3 l'emporte !!
Oui ,
mais ça n'a pas marché pour tout le monde
2) un truc que j'ai appris dans AC, c'est qu'il faut jamais laisser vivre les informateurs.
"-De quelle couleur est la lune ?
-Sanguine, mon frère."
c'était pas la nuit,plutot?
bravo d'avoir réussi a le caser en tout cas
C'est la lune, j'en suis sûr et certain.
Il faut le laisser vivre même s'il se rebelle et qu'il nous envoie des gars sur le dos sa fera de l'action sa peu etre marrant !
ca m'étonnerait quand même:
qu'est ce que sithis en a foutre de la lune? en plus la confrérie vénère la "mère de la nuit",c'est pas pour rien.