ooooooo NON abusé!!!
stp stp jim ne tue pas les parents de ron stp !!
quelle suite mais sérieu le moment pour couper n´étais pas le bon moment par ce que c´est trop horrible d´attendre pour savoir ce qui va se passer mais stp jim ne les tue pas !
et j´espére la suite trés vite méme plus vite que d´habitude par ce que là l´attente est encor pire que d´habitude
bravo tu a trop géré pour cette suite
OH MY GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOD!!!!!!!!! Pourquoi tu coupes maintenant????
STP TUE PAS LES WEASLEYS
Ah là là jim t´es vraiment sadique En tout cas tu écris toujours aussi bien et vraiment quel intense suspence, bravo bravo !!
Sinon je pense que le fait que Harry retrouve sa vraie baguette va influencer pour le sortilège d´Inertie Magique Par contre pourquoi Voldemort lui rendrait-il sa baguette d´origine? Pour voir de quoi est vraiment capable Potter??
Enfin le titre du chapitre m´a laissé penser au Sortilège de la Foudre, je penserai que Harry l´aurait utilisé contre Voldemort après avoir utilisé sa baguette mais en fait, je sais pas si tu as fait exprès, le titre était un piège
En tout cas EXCELLENT
Je suis sur que voldemort a demandé a Ollivender
de trafiquer la baguette de harry et qu´il va lui arrivé quelque chose dés qu´il va vouloir s´en servir
stp jim une suite vite stp je veux étre sur au moins que tu n´es pas sadique et que tu n´a pas tué les Weasley stp la suite !
qu´il meurent ou pas ils restent des personnages secondaires... mais les faire mourir pourrais changer bien des choses dans les relations entre Harry Ron et Ginny... Je me réjouis de voir les retombée qu´il y aura après cela...
VOnt-ils en vouloir a Harry? ou au contraire les liens vont-ils se resserer?
à vous pour vos coms .
Vous vous posez beaucoup de questions, auxquelles les réponses viendront dans les derniers chapitres de cette fic . En effet, selon mes calculs, il ne me reste plus que 10 chapitres à écrire et poster avant que Harry Potter et la Guerre des Sages ne soit achevé .
tu penses pouvoir poster une suite quand stp ? parce qu´il me tarde trop
Génial ta fic ... Et oui, à quand la suite ?
Et bé .... waou ..... je pense pas que Madame Weasley va mourir par contre Arthur .....
Fin voila .... j´espere qu´on aura la suite Jim ^^
Pour la suite, il faudra attendre... que Microsoft Word soit installé sur mon nouveau pc -_-´. C´est chiant d´avoir envie d´écrire et de pas pouvoir, lol. Mais les logiciels qu´il me faut seront bientôt installés je pense .
Ba moi quand ca m´a fait ca j´ai ecrit sur feuille , au moin tu perds pas tes idées et tout , et quand tu reecrit tu peux ajouter des trucs pour que ca donne mieu et tout .
Même si j´avoue que c´est chiant de recopier a chaque fois ^^
Kiss et j´espere que bientot la suite
Merci de tes suggestions Rookwood mais... je veux word, c´est tout . En réalité, je dissimule un caractère très flemmard . Mais bon, si je considère l´absence de Word sur mon pc comme une raison suffisante pour arrêter d´écrire, c´est que Word arrivera sur mon pc bientôt XD.
Parce que je compte bien écrire Harry Potter et la Guerre des Sages jusqu´au bout .
Encore heureux
Oué encore heureux ... sinon la je serais deja deriere toi avec la batte de base-ball .
Tu es sur que tu vas pas la finir Jim ?? ??
ptdr
jim tu penses pouvoir poster la suite quand stp ? je veux savoir la suite
Bonne lecture...
27
Deuil et rupture
Harry se réveilla en sursaut. Il venait de faire un terrible cauchemar… mais son sentiment d’être en état de choc et sa migraine persistante lui donnaient la nette et horrible impression qu’il ne s’agissait pas d’un rêve. Il était même persuadé que tout ses souvenirs, si distincts, appartenaient bel et bien à la réalité…
Il ouvrit les yeux, se sentant parfaitement réveillé. Ce plafond n’était ni celui de Ste Mangouste, ni celui de son dortoir. En regardant autour de lui, il constata qu’il se trouvait dans l’infirmerie de Poudlard. Il faisait nuit.
Il se redressa brusquement et s’aperçut qu’il portait toujours le même pyjama. En reniflant, il sentait encore une légère odeur de vomi… En regardant à sa gauche, en direction de la porte, il vit trois personnes en pleine conversation – mais une conversation silencieuse.
Parmi elles, il reconnut le professeur McGonagall et Mme Pomfresh. Les deux femmes chuchotaient précipitamment, d’un ton apparemment très tendu, avec un homme vêtu d’une robe verte de Ste Mangouste.
Harry se leva d’un bond et courut vers eux. Ils se tournèrent vers lui, l’air surpris – Harry remarqua la pâleur du professeur McGonagall. Harry s’arrêta en face d’elle et demanda, d’une voix tremblante :
– Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi est-ce que je suis ici ?
– Que faites-vous, enfin, Potter ? répliqua McGonagall d’un ton qu’elle aurait voulu sec mais qui était en réalité chagriné. Rallongez-vous, vous avez déjà subi suffisamment de choses en peu de temps cette nuit…
– Alors ce n’était pas un cauchemar…, marmonna Harry, désespéré.
– Potter, vous avez besoin de…, commença l’infirmière.
– J’ai besoin de TOUT sauf de repos ! la coupa Harry avec fureur. Ce dont j’ai besoin, c’est de savoir comment vont Mr et Mrs Weasley ! J’ai besoin d’aller les voir à Ste Mangouste !
– Harry, je vous promets que vous serez tenus informés, déclara le professeur McGonagall. Mais pour l’instant…
– NON ! s´exclama Harry, complètement sur les nerfs. Je ne veux pas me reposer en attendant que… Je ne pourrai pas le supporter encore une fois ! Professeur…, ajouta-t-il en prenant un ton et un visage presque suppliants, s´il vous plaît…
Le professeur McGonagall le dévisagea un instant avec une émotion contenue : elle avait rarement paru aussi anxieuse. Elle sembla réfléchir à toute vitesse jusqu’à ce qu’elle lâche :
– Très bien, Harry. Ronald et Ginny Weasley viennent de partir pour Ste Mangouste, déclara-t-elle. J’ai également autorisé Hermione et Neville à les accompagner.
Elle sortit et agita d´un geste rapide sa baguette magique. La malle de Harry se matérialisa aussitôt à ses pieds.
– Vous allez prendre une douche et vous habiller, dicta-t-elle. Ensuite seulement, je vous autoriserai à les rejoindre et à attendre avec eux.
Il sembla que Mme Pomfresh allait protester, mais elle se ravisa. Le professeur McGonagall fixa Harry pendant quelques secondes avant de rajouter :
– Les Weasley seront certainement heureux d´avoir un soutien supplémentaire, mais je ne suis pas certaine qu´ils approuvent votre venue : ils se faisaient beaucoup de soucis pour vous et préféreraient sans aucun doute vous savoir en sécurité à Poudlard.
L´estomac contracté, Harry ressentit un infime soulagement : on ne lui en voulait pas, apparemment. Mais qu’en serait-il si le pire arrivait ?… Il ne valait mieux pas y penser… Les Weasley devaient survivre, il était impossible qu’ils ne vivent pas… Après la mort de Dumbledore, voir les Weasley disparaître serait la chose la plus horrible qui puisse lui arriver…
Une demi-heure plus tard, frais, propre, mais toujours aussi perturbé – son état de choc s’était à peine atténué depuis qu´il avait vu Voldemort agressé les Weasley –, Harry franchissait le portail du château en compagnie de la directrice. Il s’était douché et habillé le plus vite possible, et avait attendu que McGonagall lui concède enfin, après un examen minutieux de Mme Pomfresh, de le laisser se rendre à Ste Mangouste. Mais elle avait absolument tenu à l´accompagner : « Je suis déjà suffisamment irresponsable comme ça en vous laissant partir, je ne vais pas en plus vous donner la possibilité de disparaître dans la nature », avait-elle dit.
Une fois parvenus au dehors de l´enceinte, ils transplanèrent aussitôt dans le hall de l’hôpital. La même femme se trouvait à l’accueil, l’air inquiète, mais il y avait également deux autres personnes en face d’elle : deux hommes, visiblement des Aurors. L’un d’eux se retourna et Harry reconnut Kingsley Shacklebolt. Son compagnon, un homme de grande taille au visage un peu froid, l’imita et son regard se posa immédiatement sur Harry.
– Mr Potter ! dit-il avec un faux soulagement.
Il s’avança, tendant une main que Harry serra sans savoir à quoi s’attendre. Le professeur McGonagall semblait perplexe.
– Vous êtes déjà sur pieds ! Justement, mon collègue et moi-même vous cherchions. Vous êtes le seul témoin de l’agression d’Arthur et Molly Weasley et, par conséquent, vous vous doutez bien que nous avons quelques questions à vous poser.
– Picord, intervint Kingsley, je ne crois pas que ce soit tout à fait le moment pour ça. Mr Potter a assisté à tout cela il y a une heure à peine, il doit être en état de choc…
– S’il a été suffisamment robuste pour se réveiller et venir ici si vite, c’est qu’il peut répondre tout de suite à quelques questions…
– Je suis venu parce que je ne supportais pas de rester allongé sans savoir ce qui allait arriver aux Weasley, déclara Harry, énervé. Et je ne suis pas du tout d’humeur à raconter ce que Voldemort a fait.
Il s’aperçut soudain qu’il tremblait légèrement à la seule pensée de ce souvenir qu’on lui demandait de raconter si tôt.
– Ecoute, Picord, reprit Kingsley d’un ton las, nous n’avons qu’à l’interroger plus tard. Pour l’instant, laissons-le rejoindre la famille Weasley, tu sais qu’il fait partie de leurs amis.
Picord abandonna ses airs faussement conciliants et retrouva ses traits froids.
– Très bien, céda-t-il. Mais n’oubliez que nous devrons absolument vous interroger dans les prochains jours, Mr Potter. En revanche, il y a quelque chose qu’il ne servirait à rien de reporter.
Il sortit une baguette magique de la poche droite de sa robe noire et tendit le manche à Harry qui eut l’impression que l’objet lui était familier.
– Est-ce que vous reconnaissez ceci ? demanda l’Auror.
Harry saisit la baguette et n’eut alors plus aucun doute. Même après plus de quatre mois de séparation, il reconnaissait sans problème la baguette magique qu’il avait perdue lors de la prise de Pré-au-Lard par les Mangemorts…
– C’est… c’est ma baguette magique, répondit-il avec un sentiment de confusion. Mais, comment… ?
– Apparemment, vous l’aviez laissée dans la maison des Weasley – dont nous revenions mon collègue et moi-même au moment où vous êtes arrivés, répondit Picord. J’imagine que vous étiez trop préoccupé pour la ramasser…
Il semblait que l’Auror ignorait que Harry avait perdu sa baguette magique depuis déjà plusieurs mois – et il ne comptait pas le lui dire pour le presser davantage de poser ses questions. Harry savait qu’il s’agissait de l’objet que Voldemort avait laissé tomber exprès pour lui, et auquel le jeune homme n’avait pas accordé la moindre attention sur le moment. Mais il se poserait des questions au sujet de sa baguette plus tard : il avait d’autres choses plus importantes en tête, et il en avait sérieusement marre d’être ainsi retardé en permanence…
Sans un mot de plus pour les deux Aurors, Harry marcha d’un pas vif en direction des escaliers. Mais avant de quitter le hall, il se retourna vers l’accueil, étonné : McGonagall ne le suivait pas, elle était restée en face de Kingsley et Picord. La directrice lui fit signe de continuer, et Harry se hâta de monter les marches jusqu’au quatrième étage.
Il s’avança dans le couloir et vit six silhouettes rousses regroupées devant une des chambres.
– Harry !
Neville se précipita vers lui tandis que Harry rejoignait le groupe. Les visages accablés des jumeaux et de Bill – ce dernier s’était tout juste interrompu de faire les cents pas – pivotèrent dans sa direction.
– Qu’est-ce que tu fais là ? Pourquoi as-tu quitté l’infirmerie ?…
– Disons que… je n’aurais pas supporté d’être ailleurs qu’ici, répondit Harry sur un ton hésitant. Même si… être ici doit aussi être insupportable, ajouta-t-il.
– Tu aurais mieux fait de rester là-bas, rétorqua Bill d’un ton brusque.
Harry se tourna vers lui, avec le sentiment d’avoir reçu un seau d’eau glacée. Les traits barrés de cicatrices de l’aîné des Weasley se détendirent légèrement.
– Excuse-moi. Je suis un peu… énervé, dit-il.
– Il n’y a pas de mal, assura Harry, lui-même rassuré.
– Tu es sûr que ça va ? demanda Hermione, angoissée.
– Je ne pense pas me sentir tellement plus mal que vous tous, dit simplement Harry.
Bill eut un étrange rire amer, et fit apparaître une chaise avec sa baguette.
– Assis-toi, l’invita-t-il d’un ton plus poli.
Harry ne protesta pas et s’installa le moins confortablement possible contre le dossier de bois.
Puis le silence s’installa.
Il s’écoula ainsi près d’une demi-heure supplémentaire, pendant laquelle tous attendirent en silence d’avoir du nouveau de la part des guérisseurs. Bill s’était remis à faire les cent pas, suivi par le regard anxieux de son épouse ; Fred et George restaient assis côte à côte contre le mur, les yeux résolument orientés vers le sol propre de l’hôpital ; Neville, lui, s’était assis sur une chaise à l’aspect aussi inconfortable que celle de Harry, mais bien entendu, ça ne devait pas être son principal souci, même s’il connaissait moins bien les Weasley que Harry et Hermione. Cette dernière était toujours debout, à demi enlacée avec Ron, dont elle caressait doucement les cheveux ; Ron, qui n’avait rien dit depuis l’arrivée de Harry, était très pâle. Ginny attendait dos au mur derrière lequel se trouvaient probablement ses parents, en jetant de temps à autres un coup d’œil rapide à Harry, qui se sentit d’autant plus embarrassé ; tandis que Percy, lui aussi debout, restait à l’écart des autres.
Puis, brusquement, l’interminable attente prit fin. La porte s’ouvrit, et un jeune homme habillé d’une robe verte sortit dans le couloir avec une très, très mauvaise mine.
Fred et George bondirent aussitôt ; Ron, Hermione, Ginny, Bill et Fleur s’approchèrent du guérisseur ; Harry, qui n’avait que très rarement été aussi anxieux dans sa vie, se leva en même temps que Neville. Percy fit un pas vers le groupe, pâle et attentif.
– Comment vont-ils ? demanda Bill.
On aurait dit qu’il parlait au nom de tous, comme un chef de clan – ce clan solide qu’était celui des Weasley, et que Harry souhaitait voir vivre encore très longtemps…
Le guérisseur hésita, comme s’il ne savait pas comment dire ce qu’il avait à dire.
– Eh bien…, commença-t-il. Vous vous doutez que… nous avons fait tout notre possible pour les sauver tous les deux.
Cette déclaration fut suivie d’un long – et terrible – silence.
– Et vous… vous avez réussi, n’est-ce pas ? demanda Bill, dont la voix tremblait.
Les traits de l’homme se crispèrent.
– Eh bien… votre père avait perdu beaucoup de sang – énormément de sang –, et… son cœur battait difficilement… Il s’est arrêté plusieurs fois au cours de ces dernières demi-heures, et nous l’avons ranimé plusieurs fois, mais…
Et à ce moment-ci, il parut extrêmement affligé. Il semblait que tous avaient cessé de respirer.
– Nous n’avons pas réussi à le faire repartir une dernière fois, déclara-t-il. Arthur Weasley est… décédé.
Dans un intervalle de cinq secondes, et dans un silence mortuaire, Harry sentit son sang se glacer, son cœur s’arrêter, puis battre à la chamade dans sa poitrine. Ron laissa échapper une sorte de gémissement indéfinissable, et dans un geste presque nerveux, Hermione le serra contre lui. D’un mouvement presque simultané, Fred et George s’affalèrent de nouveau contre le mur et enfouirent leurs visages dans leurs mains. Une larme coula le long de la joue droite de Percy…
Et soudain, sans prévenir, Ginny laissa échapper un sanglot déchirant et se jeta presque sur Harry, pour pleurer sur son tee-shirt, les bras étreignant son cou avec force. Sans y penser, Harry enlaça la taille de la jeune fille et sentit que ses yeux lâchaient eux aussi des larmes épaisses, coulant comme des fontaines… Il n’avait jamais ressenti un tel chagrin… ni une telle colère. Une fureur bouillonnante contre lui-même, et contre Voldemort…
D’une voix plus aiguë qu’à l’ordinaire, et qui ne lui allait pas du tout au vu de son visage lacéré et quasi-bestial, Bill demanda :
– Et Maman ?…
– Votre mère est en vie, annonça le guérisseur. A priori, même si elle est loin d’être parfaite actuellement, nous devrions pouvoir rétablir tôt ou tard sa santé physique. Cependant… elle n’a pas repris conscience depuis son arrivée, et pour l’instant, nous ignorons totalement si elle a gardé des séquelles… mentales.
Il jeta un coup d’œil imperceptible en direction de Neville, dont les yeux s’étaient semble-t-il irrémédiablement fixés sur le sol.
– Je suis désolé de vous dire ça après la perte que vous venez de subir, mais… il ne servirait à rien d’attendre encore ici jusqu’à ce que l’état de Mrs Weasley change, ce qui pourrait prendre un temps très long, déclara le guérisseur. Par conséquent, je pense que vous devriez rentrer chez vous. Bien entendu, vous serez informés de toute évolution et… et si vous le souhaitez, l’hôpital peut conserver le corps de votre père jusqu’à l’enterrement.
Bill acquiesça, le regard vide.
– Vous savez, reprit le guérisseur, j’avais beaucoup de respect pour Arthur Weasley. Il y a deux ans, quand il avait été hospitalisé, il m’avait parlé de sa passion pour l’artisanat moldu et… j’ai eu le bref aperçu d’un homme très généreux et qui n’avait rien de mauvais en lui. Si c’est pour ça que Vous-Savez-Qui l’a tué, même s’il n’y a pas lieu de se réjouir, je pense que vous pouvez être fier de lui… Excusez-moi, je me mêle de ce qui ne me regarde pas, dit-il soudain, les joues rouges.
Personne ne répondit, et il rentra dans la salle où gisait sans doute le corps de Mr Weasley.
Noooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooon Jim
Tu vas me le payer Bon ok Ginny se chagrine avec Harry, mais mais mais, tu as tué Arthur
De toute façon, rien qu´en lisant le titre du chapitre, j´étais certain que ça allait être déprimant...
M´enfin bon t´écris toujours aussi bien, toujours aussi dans l´ambiance Harry Potter, j´adooore toujours Jim, je t´aime
UNE SUITE
jim je te déteste (pour l´instant ) t´abuse de tuer mr weasley mais bon il n y a pas toujours que du bonheur mais sinon niveau qualité c´est toujours aussi bien et les descriptions et les dialogues quasi-parfaits
j´espére vrément qu´il va y avoir une vengance et un gros énervement de harry qui va aller détruire quelques mangemorts tout seul pour se défouler et qu´il est quelques blessures faut bien que ca fasse héroïques
j´espére aussi la suite dans pas trop longtemps pas comme celle-la
NOOOoooooon! Pourquoi Arthur c´est si triste. Enfin, les morts sont des maux parfois nécessaires. d´avoir osé!
vous trois
Tati XD.
Becks Tu dis que j´abuse alors je voudrais préciser que le but final de ma fic n´est pas de poursuivre sans fin cette succession de morts et de malheur, elle est un peu plus complexe et la mort d´Arthur ouvre sur un tournant de ma fic .
Cependant, cette mort, je la voulais (pour mon histoire, pas parce que j´aimais pas ce pauvre Arthur ), et je ne m´excuse pas le moins du monde d´avoir osé .