Chapitre 28 : Je suis tellement heureux
Je le regardais. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il faisait. Puis, quand il se leva et qu'il mit ses deux mains sur le couteau de cuisine, orientant ce dernier vers son corps, je compris qu'il voulait ce faire hara-kiri*. Avant que la pointe de l'instrument atteigne son ventrek, j'eus le temps de prononcer une formule l'arrêtant en pleine action. Il tourna son visage triste vers moi et me demanda pourquoi. Je ne sus pas vraiment quoi répondre. Voyant mon silence, il commença à m'insulter, me traitant de tout les noms, disant que sa vie était inutile et plein d'autre ânerie encore. Il luttait contre mon sort pour pouvoir s'enfoncer la lame dans le ventre et ainsi quittait notre monde.
Je ne comprenais pas pourquoi il agissait de la sorte et la seule façon de le savoir était de le lui demander.
"- Pourquoi veux-tu en finir ?
- Dégages ! Laisses moi !
- Arnaud, ce n'est pas comme ça que l'on règle les problèmes, avais-je dit en paniquant : il ne fallait pas qu'il meurt, pas maintenant !
- Ce n'est pas d'un coups de baguette magique non plus !
- Je t'aime.
- Quoi ?
- Je t'aime et je veux vivre à tes côtés."
Je ne sais pas comment j'avais pu lui dire ça. Comment j'avais pu dire mes sentiments à VS. Je ne pouvais aimer VS. Love ne pouvait pas mais Princesse Sorcière le pouvait. Je crois que c'est pour ça que je lui avais dévoilé mon coeur.
D'ailleurs, il lâcha le couteau et me regarda d'un regard remplis de tendresse. Il se jeta dans mes bras, en larmes. Il disait qu'il était désolé d'avoir dit ce qu'il avait dit. Que lui aussi était tombé amoureux de moi.
C'est plus tards que j'appris la raison de sa tentative de hara-kiri : sa mère était décédée à cause d'une maladie trop chère à soigner, son fère mort de chagrin et son père assassiné.
Quand je rentrai dans ma petite cabane, je découvris Bathis au dessus de mon chaudron en train de verser des gouttes de sirops de pattes de rats dans celui-ci. Quand il me vit, il se retourna tellement vite qu'il tomba de l'escabeau permettant d'accéder à mon chaudron.
"- Je suis tellement heureux."
M'avait-il dit, les fesses par terre.
TROTRO,CONTINUES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
!!!!!!!!
Suite.
Chapitre 29 : Nouvelles
Je le ragardais, l'air étonné et lui me fixait d'un air rêveur. Je ne comprenais pas la signification de ce regard et je me trouve bête de ne pas avoir compris. Il me dit que la dame blanch de la dernière fois viendrait dans la soirée du lendemain m'annoncer deux nouvelles, une me remplissant de joie et l'autre atténuant cette joie. Je passai toute la nuit et la journée à me demander quelle pouvait bien être ces nouvelles.
J'allai rendre visite à Arnaud pour voir comment il se portait. Son regard était doux. Il avait acheté une brebis. Il me demanda comment je voulais l'appeller, à moi. Je ne sais plus quel nom j'avais choisi mais je me souviens que ce nom nous avait fait beaucoup rire. C'est ce jour-là qu'il m'apprit à tondre la laine des moutons ou plutôt des brebis. Puis, nous étions allés ramasser les oeufs dans le poulailler et nous eûmes découvert un charmant poussin. Il était adorabl, ses petites plumes jaunes me faisaient rire. Lui, je lui choisis un nom.
J'étais merveilleusement bien avec Arnaud mais il me fallait rentrer pour la dame blanche, cette femme responsable de tous mes enuis.
Quand j'entra dans ma petite cabane, elle y était déjà. Bathis n'était pas encore rentré. Nous l'attendîmes dans le silence.
Une fois qu'il fut rentré, la dame blanche annonça :
"- Je suis venue aujourd'hui pour vous annoncer deux nouvelles. Bathis, tu connait la bonne mais pas les mauvaise.
- Il y a plusieurs mauvaises nouvelles ?!
- Ne t'en fais pas Bathis, elle ne te concerne pas. La première, celle que tu connais, vous concerne tout les deux. Dans huit ans, vous vous marierez.
- Huit ans !? Pourquoi un si grand délai ?! s'exclama Bathis.
- C'est le temps qu'il va falloir pour que notre plan réussisse.
- Huit ans...dis-je. Pourquoi un si long délai pour la réussite de ce plan ? Je croyais que l'affaire serait close dans quelques mois...
- Nous le croyons aussi mais suite à certain calcul, nous avons conclus qu'il nous faudrait deux autres victimes. Une âgée de huit ans et l'autre de cinq.
- Et vous êtes pas fichus d'en trouver ?! s'énerva Bathis.
- Si. Mais il faut que ces enfants viennent de toi, Love.
- Eh bien, marions nous maintenant et dans huit ans, nous les aurons, ces enfants ! Je ne comprends pas pourquoi il faudrait attendre alors que...
- Tais-toi ! Bathis, j'ai beaucoup de respect pour toi et saches que j'ai eu la même réaction que toi lorsque l'on m'a appris les nouvelles que voici : Love, tu vas te marier avec VS et...
- Avec Vs ?! m'étonnais-je, croyant rêver.
- Oui, ces deux enfants doivents venir de toi et de la victime.
- QUOI !?!?!"
La conversation se termina sur le "cri de désespoir" de Bathis. Moi, au contraire, j'étais heureuse. Dans huit ans, je devrais épousé cet homme mais en attendant, j'allais vivre les plus belles années de ma vie au côté d'Arnaud.
Quelqu'un ?
v ivement la suite !
c'est génial !
Mici
Suite !
Suite!
La suite prochainement
Chapitre 30 : Accouchement
Voilà où j'en étais. Je devais lier de puissants lien avec Arnaud pour qu'il me demande en mariage cette même année. Il fallait également que j'ai deux enfants. Un absolument cette année-là, et l'autre, trois ans plus tards.
Bathis était déçu, terriblement déçu. Moi, Love, devait se marier avec VS et avoir deux enfants de lui. Cette idée le répugnait. Moi, je faisais semblant d'être dégoutée mais j'étais vraiment heureuse. Le plus dur resté à faire : Arnaud devait me faire sa demande avant la fin de l'année.
J'allai donc le voir. Je l'aidais dans sa vie à la ferme en arrosant les plantes, en nourissant les bêtes... Tout les soirs, quand je retournais en ma demeure, j'étais triste de le quitté. Je crois que lui aussi avait de la peine. Mais nous savions que nous nous retrouverons le lendemain.
La nuit, je rêvais de lui. Il m'arrivait même de faire des rêves prémonitoire, prédisant ainsi la journée qui allait suivre. Je lui racontais alors ce rêve et il riait. Nous discutions de tout et de rien. Il me racontait sa vie passait, quand il travaillait à la ferme de ses parents puis quand il est partis et ainsi de suite. Moi, je ne pouvais pas lui raconter ma vie. Bien entendu, il connaissait mon enfance, comme je la connais moi, mais il ne savait rien de son destin. J'aurais tellement aimé le lui dire.
Un jour, je crois bien que c'était un mardi, Vache accoucha d'un magnifique voeu. Ce jour-là, pendant la venue au monde du petit animal, Arnaud me demanda en mariage. Dans ses mains, il n'y avait pas de bagues mais le nouveau né. Il n'était pas vêtu d'un smocking mais d'une vielle salopette couverte de plasma. Nous n'étions pas dans un resto super chic mais dans une étable en train d'aider Vache à accoucher.
C'était inattendu. Je ne sais plus du tout comment j'avais réagis à cette demande à un tel moment. Je me souviens juste de ma réponse : "- Comment on va l'appeler ?"
mdr
suuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiittttt
ttttttttttteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Suiiite de tout mon
Suite!
Suiiiiite !!
C'est trop bien !
Moi j'ai mis ma suite aussi, désolée d'avoir été aussi longue... Bisous :bisou:
J'ai pas trop d'inspi o_O
Mais j'aimerais que vous réflechissiez à la question suivante : pourquoi la Princesse Sorcière va-t-elle mourir ?
Chapitre 31 : La giffle
Il m'avait regardé avec des yeux de merland fris. Moi, j'attendais la réponse comme si de rien n'était. Comme s'il ne m'avait rien dit. Il baissa les yeux, s'occupa de Vache puis sortit de l'étable. Je le suivais et il me dit "- Désolé." en souriant.
Je rentrais donc chez moi, comme tout les soirs et je fus accueuillis par une énorme giffle de la part de Bathis. Il me cria dessus en disant que même si je ne voulais pas de ce moldus, je devais l'épouser. Il me le dit dans toutes les langues qu'il connaissait. Moi, ne comprenant rien, lui demanda des explications.
C'est ainsi que je retournai à le ferme, demander à Arnaud si sa demande tenait toujours. Je lui dis que je n'avais pas bien entendu sa demande et que, maintenant que j'y avais réflechis, j'acceptais volontiers de devenir sa femme.
Deux semaines plutards, un grand évènement arrivait à la paisible Vallée des Myosotis : le mariage de la Princesse Sorcière et du jeune fermier Arnaud. Nous fîmes la une de l'hebdomadaire de Mineral Town "Le Mineral". C'est d'ailleurs un jeune homme que j'avais rencontré précedemment qui avait fait cet article spécialement pour moi.
Et, comme le veut la coutume, après le mariage, la nuit de noce.