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Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 3

Sujet : [Fic] La Quête Ultime
Supras76
Niveau 10
20 avril 2008 à 21:10:09

Master18 : Moi comme tu le sais, j'attends toujours la saison, et je ne suis pas escl4ever comme tu le supposais ! Hâte de la lire !

master18
Niveau 10
21 avril 2008 à 12:03:35

Ah oui, merde :p)

la suite, prochainement... demain ou aujourd'hui...

Yaassine
Niveau 7
21 avril 2008 à 15:18:39

c super comme d'habitude merci

escl4ever
Niveau 10
21 avril 2008 à 17:19:58

Lol, je suis pas supras :)
Super chapitre, dire qu'il est pas fini... :)

master18
Niveau 10
22 avril 2008 à 14:13:18

Supras :d) Je crois qu'il y a un problème avec ton adresse msn. Je vais réesayer quand même t'envoyer le truc.

la suite c'est pour aujourd'hui...

master18
Niveau 10
22 avril 2008 à 14:59:53

**

Une nuée d´oiseaux noirs s´envola dans les airs, répandant un sillage de poussière macabre sur les ruines ensanglantées de Rucchia, qui avait été autrefois la Dimension Interdite...jusqu'à ce que le Chaos la transforme en un Enfer.

**

Une larme perla, brillante dans tout ce gris endeuillé, puis coula sur la pommette de la jeune femme. Elle creusa un sillon pâle dans la suie qui encrassait son visage fin, rendant encore plus insoutenable l´éclat désormais terni de ses yeux d´améthyste. Une large cicatrice balafrait sa joue droite, mal refermée et suintant encore d´un sang devenu noir.
Elle n´avait pas songé à la nettoyer et maintenant, l´infection la menaçait, embrassant déjà son corps d´une fièvre maligne qui troublait sa vue et affaiblissait ses membres.
Elle baissa la tête, ses épaules affaissées autour de la grande épée qu´elle serrait contre elle. Ses mains recouvertes de bandages à moitié défaits agrippaient la double lame acérée, se souciant peu de la cruelle morsure du métal sur ses plaies.

Sept jours.

Sept jours étaient passés depuis la victoire des élus. La plupart des victimes du Chaos été ressuscité. Il n’en fit rien pour les six élus.
Bulma porta son regard sur les débris à ses pieds, puis vers une main qui dépassait d´un rocher, délicatement posée sur une large flaque de sang bruni comme sur un doux coussin de velours cramoisi.

Elle plissa les yeux.

Devant elle, s´étalait la dévastation suprême. La débâcle avait débuté par la destruction systématique de toutes les planètes. Puis, un massacre généré par Shenron, s'en était suivi.
Détruire pour mieux reconstruire. Tel avait été le mot d'ordre du Dragon Sacré.
Bulma ne s’en souciait guère. Ses amis ainsi que sa famille avaient été parmi les premiers et les derniers à mourir.

**

Elle ne comprenait pas pourquoi le Grand Créateur ne lui avait pas rendu son époux, ses fils, ses amis : Goku, Gohan, Chichi et tant d’autres. Pourquoi donc ?! Pourquoi ?
Si Shibito avait beau lui avoir expliqué que les élus n'appartenaient au monde des vivants elle ne pouvait se faire à cette idée. A l’idée que plus jamais, elle ne pourrait serrer son mari dans ses bras. Plus jamais, elle ne pourrait se moquer de San Goku ou plaisanter avec Krillin. Jamais.

Bulma ignorait être restée en en état de choc depuis le jour où elle était revenu à la vie, sur cette planète, il y avait maintenant quatre jours. Elle tourna péniblement son visage pâle vers le ciel, fixant quelque chose. Un reflet de ce qui ressemblait à du bonheur, si incongru dans son regard profond comme les abîmes du désespoir.
Puis la tristesse et la résignation revinrent, reprenant leurs droits sur son corps proche de la mort. Un faible sourire, à peine esquissée et qui disparaissait ensuite, n´ayant pas eu le temps de s´accrocher.

**

Le silence était comme une chape de plomb. L´air était brûlant comme par une fournaise d´été. Son épée reposait à ses côtés, enveloppé dans son linceul rouge désormais gris de cendres et rouge de sang.

Puis, tout s´était fondu dans un voile noir.

Et il s´était retrouvé ici. Tout ce qui restait des décombres du palais du Chaos, au sommet duquel ce dernier s'était jadis tenu, dans cette planète immense, sombre et lumineuse tout à la fois.

A présent, des amas d´acier tordu et de béton effrités entouraient l'individu, lui souhaitant la bienvenue.
Ni obscurité, ni lumière. Juste de la poussière sous un jour gris d´automne.
Le nouvel arrivant ne savait pas où étaient passés les autres. Il ne savait pas non plus ce qui se passerait bientôt, lorsque le moment tant attendu devrait arriver…

Une larme traça un nouveau sillon sur la joue intacte du Grand Créateur.
Cette fois-ci, il l´essuya. Ses lèvres s´entrouvrirent, aspirant une goulée d´air frais. Un air étrangement pur. Son regard s´affermit et il reprit à nouveau le courage de voir ce qui l´entourait.

La vermine grouillait dans les flaques de sang, dans les ventres béants et dégoulinants de viscères gonflées et immondes, foisonnait même sur les visages pétrifiés d´horreur et figés dans l´agonie atroce de leurs corps. La chaleur et la puanteur étaient telles que s´il avait été dans un état d´esprit normal, il n´aurait pu le supporter.

Il en avait d´ailleurs déjà trop vu. En effet, il avait vu des choses qu´un être humain normal, même un esprit n´aurait pu tolérer, ni même assimiler dans son intégralité. Jamais Hommes n’avait eu – et n’aurait - à endurer une telle torture guerrière.
Parfois, il se demandait s'il était conscient de ce qui se passait; si sa raison ne s´était pas déjà détériorée sous l´impact de l´implacable vérité: il allait mourir.
Dans cet univers dragonballesque, Humains ou Dieux, ils étaient tous semblables devant le malheur, devant la Mort.

Secouant la tête pour couper court à ses pensées mélancoliques, il se retrouva en train de gravir marche par marche un escalier. Il finit par comprendre qu´il était entré dans le seul immeuble encore debout.
Il s'agissait pourtant d'une grave erreur, car si le tremblement de terre qui avait détruit ce quartier avait duré un peu plus longtemps, cette bâtisse se serait écroulée comme les autres. Des fissures striaient les murs et un peu de poussière tombait du plafond, annonçant probablement des chutes plus sérieuses.
Mais ce destin tellement honni ne le laisserait jamais faire.
Il poursuivit donc son ascension et enjamba d´autres cadavres, dont une petite vieille en kimono qui s´était brisée la nuque, vraisemblablement en chutant dans l´escalier. Mais elle avait les yeux fermés et une sorte de sérénité errait sur son visage. Il s´arrêta pour la regarder.

Était t-elle heureuse, là où elle se trouvait maintenant ?

Elle tenait une clé, sans doute d´appartement, dans sa main. Celle-ci était à moitié ouverte et l´objet métallique s´en échappait. Il s´inclina et la ramassa, ne manquant pas d´invoquer une courte prière pour le repos de l´âme de cette femme qu´il ne connaissait pas.
Il aboutit, en sortant de l´escalier, à un corridor sombre. Des portes et encore des portes. Il regarda la clé, à laquelle était accrochée une étiquette en plastique. Il y lut le numéro de l´appartement. Tournant la tête de part et d´autre du couloir, il longea les portes, à la recherche de celle qui portait le chiffre "7".

Hasard ou Destin ? Il ne le saurait probablement jamais.

Il parvint à ce qu´il cherchait et l´ouvrit, insérant la clé dans la serrure d´une main légèrement tremblante.
Stupéfait, il entendit une musique, une mélodie étrange, effrayante, qui provoquait en lui des frissons le long de l’échine.
Les cheveux du septième élu se dressèrent sur sa tête, et il lui sembla que son cœur avait doublé de volume. Bientôt, la musique atteignait une telle intensité que l’Ange de la Lumière la sentait vibrer dans sa poitrine. C’est alors que surgirent des flammes au sommet de la cheminée la plus proche.
Un oiseau écarlate, de la taille d’un cygne, venait d’apparaître et lançait son chant étrange sous la voûte de la pièce. Les plumes de sa queue, aussi longues que celles d’un paon, brillaient d’une lueur dorée.

Le phénix leva son museau vers lui et laissa échapper une note douce, comme un tremolo qui semblait frémir dans l’air. L’Ange eut alors l’impression d’avoir avalé une gorgée de liquide tiède dont la chaleur répandait en lui de nouvelles forces.
Un sourire étira, sans qu´il ne s´en rende compte, ses lèvres. Il lui paraissait avoir souri il y a plusieurs millénaires.
Les larmes salées picotaient sa plaie à la joue, l´élançant du feu lancinant de l´infection. Il plissa les yeux.
Titubant un peu, il s´agenouilla vers ce qu´il pensait être la cage d’un phénix, l’ouvrit et remplir la gamelle du phénix de graines. Il savait qu´il n´en resservirait pas d´autres à l´animal, puisqu´il partirait après.

Puissent les corbeaux, immondes charognards, l´épargner.

Laissant le petit animal affamé se jeter avec appétit sur la poussière, il se redressa et passa dans le salon, regardant autour de lui. Sur un meuble, une pile de vêtements était posée. Il s´avança pour voir ce dont il s’agissait, et en prit un qui se déplia, laissant révéler une veste noire. C´était un uniforme de lycéen. Ses yeux se portèrent sur un petit cadre dont le verre était brisé. Entre les fêlures, il distingua le visage souriant d´un adolescent.

Mort comme tous les autres.

L’Ange de la Lumière se dirigea alors vers le lavabo et ouvrit le robinet. Un peu d´eau coula dans ses mains avant qu´elle que le robinet ne s´épuise. De toute évidence, aucun tuyau ne marchant. Il passa alors ses main mouillées sur ses joues sales, touchant avec précaution l’une de ses plaies. Elle était gonflée et douloureuse, mais qu´importe.
S´il survivait, il aurait tout le temps de la soigner après.

Une heure plus tard, il quitta le petit studio, la main ferme sur la poignée de sa longue épée, nettoyée du mieux qu´il avait pu. Un rituel parfaitement inutile et qui lui avait fait perdre du temps. Tout cela n´avait plus aucun sens désormais.

Il avait l´éternité devant lui.

Quittant l´immeuble et marchant à nouveau parmi les gravats, il s´arrêta cependant un moment pour se retourner. Le phénix l´avait suivi.
Il ressentit comme un choc, puis une tristesse si profonde qu´il en aurait pleuré une nouvelle fois.

- Va-t-en, s´il te plaît. chuchota-t-il à l´oiseau rouge et or. Va-t-en, loin de ces ruines !

Il parvint à un endroit dégagé, reste visible d´une grande place. Là, les corps y étaient présents en moindre quantité sans qu´aucune raison logique ne puisse l´expliquer. Il trouva un banc au bord d´une faille gigantesque, tracée d´un coup de couteau négligé par les séismes de la semaine dernière. Il s´assit dessus, posant sa longue épée sur le sol. Le phénix vint se frotter contre ses jambes. Il le prit ensuite dans ses bras, laissant ses mains s´attarder sur le pelage écarlate de l’animal comme s’il s’agissait de la plus belle chose qu´il n’eut jamais touchée depuis longtemps.
Il se laissa aller à pleurer un peu.
Contre sa poitrine, il sentait le dos chatoyant de l’animal. Un peu de réconfort dans un monde devenu complètement démentiel.

Un rayon de soleil sembla percer le lourd voile de tristesse qui régnait sur la planète détruite, et sembla l’illuminer. L’élu leva les yeux, conscient que ce n´était qu´une illusion.

Et pourtant...

La journée passa, longue et courte tout à la fois. Il avait perdu toute notion du temps. Le petit phénix refusait de le quitter, passant le plus clair de son temps pelotonné contre lui, à pleurer.
Quelques corbeaux, à l´hideux plumage noir, passaient sur la place, non loin d´eux. Ils se disputaient les cadavres, déchiquetant leur chair tendre et les transformant en d´informes carcasses méconnaissables. Ils ne s´étaient pas approchés une seule fois des Kaioh, comme si ceux-ci étaient entourés d´un halo d´invulnérabilité qui les rendait intouchables.
Mais ce n´était pas le cas. Les corbeaux n´attaquaient pas les Kaioh car ils savaient qu´ils étaient réservés à un autre. A une entité supérieure dont ils ignoraient l’identité mais dont ils avaient pourtant tout à craindre. Mais pour l´instant... ils avaient autre chose à faire.

La journée s´approchait de sa fin, longue, infinie. Curieusement, le soleil, camouflé derrière les nuages, s´était mis à rougeoyer. Une légère brise d’air frais se leva, emportant avec elle un peu de poussière et quelques feuilles mortes. Il plissa les yeux. Il savourait cette attente interminable, appréciant les quelques instants de quiétude dans cet endroit où la Mort régnait en maîtresse.

Puis, finalement, l’animal qui reposait sur ses genoux, redressa son museau et huma doucement l´air.

Il sentait.

Il savait.

Les corbeaux s´étaient envolés depuis déjà un moment, abandonnant leur festin macabre. Le petit félin au pelage flamboyant et aux yeux dorés descendit souplement à terre, s´arrachant à l´étreinte désespérée du septième élu.

Trop tôt. Trop tôt... mais il savait qu´il était désormais trop tard.

Plus la peine d´essayer de rattraper ces dernières minutes de paix, de vie.

Il ne laissa aucune larme couler une nouvelle fois sur ses joues, ravalant intérieurement son amertume et son immense détresse. Il sentait, malgré lui, que son destin était tracé en lettres de sang et qu´il ne pourrait rien faire d´autre que de s´y plier.

Alors...mourir.

C´était la seule solution qui lui restait. La seule alternative. Il devait bien ça aux autres élus. Ils s´étaient battus jusqu´au bout. Pour lui et pour les autres. Ils s´étaient battus pour et contre ce destin maudit, damné. Ils étaient morts sans laisser le temps à la fatalité de les détruire.
L’Ange de la Lumière regarda le phénix, parfaitement calme, qui le fixait de ses grandes pupilles d´or clair.

- Adieu, souffla-t-il à l´animal. Va ton chemin... et vis !

Celui-ci se détourna et s´éloigna, s´arrêtant juste un moment pour le voir une dernière fois. Puis, il s´enfuit comme l´avaient fait les corbeaux.

La forme humaine du Grand Créateur se redressa lentement sur ses pieds, attrapant son arme magnifique.
Pour la première fois depuis ce matin, il se sentait prêt. Cette pensée lui parut tellement naturelle qu´il en oublia le but de ce combat, ce défi prévu depuis déjà si longtemps. Il repensa aux élus qui s´étaient sacrifiée pour l’Humanité.

L’Eternel était deux.

Il était aussi un.

Il tomba à genoux sur le sol poussiéreux, suffoquant de chagrin et d´horreur. Les larmes remplirent ses yeux et il finit par rejeter sa tête en arrière pour hurler, face à toute la désolation qui s´étendait devant lui. Face à Rucchia, planète déchue.
Ses cris résonnèrent contre les parois rocheuses encore debout, se répercutant en un écho lugubre. Le phénix qu’il avait rencontré peu de temps auparavant et qui se trouvait non loin de là, plaqua ses oreilles en arrière, effarouché. Cela continua longtemps.

Et puis, ce fut le silence.

master18
Niveau 10
22 avril 2008 à 15:00:32

**

- Ah, je ne peux pas voir ça. Je ne peux pas regarder ce spectacle, déclara San Gohan, l’air affligé. C’est affreux.
- Maître, pourquoi avoir reconstruit les planètes puis avoir demandé à Shenron de le déteriorer. Pourquoi laisser l’Univers dans cet état ? interrogea Goku, intrigué. C’est horrible.
- C’est pour que les mortels sachent qu’aussi longtemps qu’ils ne seront pas unis, ils ne feront que s’autodétruire. Et puis, vous ne serez pas toujours là pour les protéger.
- C’est vrai, reprit San Goten, mais qu’adviendra t-il de l’Ange de la Lumière ? Je n’ai pas très bien compris qui il était.
- C’est assez compliqué, répondit le Grand Créateur, l’air songeur. Reprenons depuis le début : le Chaos et moi ne formions qu’une seule et même personne. Puis, nous nous sommes séparés. Après quoi, j’ai décidé de donner naissance à une forme disons quelque peu humaine : l’Ange de la Lumière. En fusionnant les uns les autres si je peux dire, vous avez réveillé son pouvoir, et il vous a permit de venir à bout du Chaos.
- Oui, puis on est morts en le vainquant, mais ce que je ne comprends pas, poursuivit Goten, c’est la raison pour laquelle vous l’avez ramené à la vie, et qu’à présent, il doive mourir. Et puis, s’il meurt, pourquoi pas nous ?
- Parce que j’avais besoin de sa puissance pour restituer l’Univers et l’Autre Monde. A présent, qu’il ne m’est plus utile, il faut qu’il meure. C’est le prix à payer pour être intervenu dans le conflit, et avoir utilisé la Lumière Infinie.
- Je n’y comprends décidément rien ! s’exclama Chibi Trunks, désappointé.
- Dans tous les cas, désormais, votre puissance sera considérablement diminuée puisque une partie de vous-même a été détruite, fit remarquer Miraï Trunks, amer.
- Mais ce n’était pas tout ! A cause de cela, c’est tout l’Equilibre Cosmique qui est bouleversé.
- Quoi ?!
- C’est simple, Goku. L´Équilibre établit un lien entre les deux opposés. Regarde-toi, tu peux aussi bien détruire que créer. L’énergie est une balance entre les deux pouvoirs, qui assure une équité.
- Mais qu’est-ce que ça veut dire ?! interrogea San Goten, incrédule.
- C’est très simple, poursuivit le Grand Créateur. Aucun des deux opposés, le Yin et le Yang n´a été créé pour faire le mal. Mais il est vrai que le pouvoir de la Destruction est puissant et dangereux, s´il est mal utilisé. Il s´avère que, le temps passant, les hommes furent de plus en plus attirés par le Yang et le déséquilibre, ainsi créé, fit apparaître une nouvelle force. Un pouvoir magique sans commune mesure, voué uniquement à l’anéantissement de toute vie. On le nomma : Chaos. Pour assurer sa pérennité, il s´incarna sous la forme d´un être humain. Il pensait ainsi atteindre une ascendance sans égale sur l´Homme. Devenir un dieu vivant. Et ce fut son erreur. Car en devenant homme, il en prit les faiblesses. Il pouvait désormais être blessé, il pouvait être battu. Mais ce ne fut pas tâche facile et beaucoup de valeureux guerriers périrent en l´affrontant. Quand les énergies s´inverseront, quand le Bien deviendra Mal, et vice-versa, il sera en mesure de renaître. Il viendra semer destruction et désolation, il viendra offrir la mort. Mais il ne sera pas encore tout à fait libre, car seul du sang de la puissance viendra le sang de sa puissance, le sang du Chaos. Avant que la coupe ne déborde, il devra le combattre et le vaincre. Car de l´Équilibre vient sa renaissance, de l´Équilibre seulement viendra également sa destruction. Telle est la prophétie. Tel est le temps du changement. Tel est le temps des sacrifices. Voila ce que raconte le Manuscrit de l’Apocalypse, celui-là même qui raconte tous les évènements du Monde.
- Ah, je vois, fit laconiquement Miraï Trunks. Si l’Equilibre des Forces s’inverse, le Chaos pourra renaître. Mais pour cela, il faut remplir la coupe de son sang et le mêler au votre ?! N’est-ce pas cela que vous avez voulu nous expliquer ?
- Oui, tout à fait. Tu comprends vite, à ce que je vois, rétorqua l’Eternel, avec un sourire. Bon, il est temps de partir.
- Mais où ça ?
- J’ai beau avoir refait l’Univers, ressuscité les trois quarts des victimes du Chaos, il n’en reste pas moins que cette Grande Guerre laissera des cicatrices qui mettront beaucoup de temps à se renfermer. Vous allez donc voyager à travers le temps et l’espace pour essayer de réparer tout ce que le Chaos a malheureusement détruit.
- Entendu.
- De nouvelles aventures vous attendent, mes amis. C’est une nouvelle vie qui s’offre à vous.
- Mais, qui s’occupera de vous, maître ? interrogea Goku, dubitatif.
- Ne t’en fais pas pour moi. Et puis, comme je te l’ai dit, il y a beaucoup à faire.
- Et nos familles ? nos amis ?! Je vous signale que ma femme est enceinte, maître. S’il vous plaît, laissez-moi redescendre, implora Sangoten.
- Non !
- Mais pourquoi ?! J’ai pourtant sauvé le monde, moi aussi ! Et puis, je ne veux pas que mon fils reçoive la même éducation que j’aie reçue : celle d’un père quasiment inexistant.
- Arrête, Goten ! s’écria Goku comprit l’allusion de fils. Remuer le passé ne sert à rien !
- Ne vous inquiétez pas : vous reverrez très bientôt vos familles et vos amis. Si ce n’est pas sur Terre, ce sera dans l’Autre Monde. Je vous le promets !
- Maître, étant donné que nous avons vaincu le Chaos, qui était la dernière entité maléfique, cela signifie-t-il que le Mal n’existe plus ?
- C’est justement le but de votre prochaine mission. En attendant, il est l’heure d’y aller. Allez, en route.

**

Drapés dans de longs draps semblables aux couleurs de l’arc en ciel, les six élus s’envolèrent à la recherche de nouvelles aventures…
Au delà des ruines, et dans la lumière, Ainsi s’achevait leur destinée…

master18
Niveau 10
22 avril 2008 à 15:01:56

C'est terminé. C'est ainsi que s'ahcève leur destinée. Au passage, il y a une grosse incohérence. Celui la trouve a droit un carambar :dehors: :dehors:

:bye:

Yaassine
Niveau 7
22 avril 2008 à 18:53:21

cette fic ets sensationelle il y a rien a dire

Supras76
Niveau 10
22 avril 2008 à 18:59:12

Attends master18, je te passe mon MSN, c'est supras76300@hotmail.fr
Tu pourras me passer la Saison 1 via msn, et comme tu as l'air sympa, on pourra parler d'autres choses !

-Majin
Niveau 13
22 avril 2008 à 19:10:07

Bravo...

-Ichigo_
Niveau 10
22 avril 2008 à 20:36:23

:ouch: Je resté estomaqué, totalement paralysé. Mais comment il fait pour écrire ses merveilleux chapitres, commment il fait et dire que c'est la fin :snif: Vivement la saison 3 et si t'as du temps libre, y'a ma fiction dérisoire qui t'attends, dérisoire comparé a la tienne, bien sur :o)) : https://m.jeuxvideo.com/[...]47198-1-0-1-0-0.htm

Kinroi
Niveau 10
22 avril 2008 à 23:06:48

...

guti_14
Niveau 7
23 avril 2008 à 12:05:11

c'était long et....bon. Extra. :ok:

master18
Niveau 10
23 avril 2008 à 20:40:37

La suite, bientôt...en début de semaine prochaine. Normalement, lundi. Entre-tps, petit aperçu de ce qui se passera dans cette saison 3 tant attendue...

Et supras :d) bizarre mais y a un pb avec ton adresse...

bn :bye:
@+all,

Supras76
Niveau 10
23 avril 2008 à 21:17:10

Pourtant, mon adresse est compatible puisque beaucoup m'ont rentrés, sans souci(s) !

master18
Niveau 10
24 avril 2008 à 14:04:00

Le prologue de la saison 3(oav) demain ou ce week-end...

et puis, supras76, je vais réssayer...

-Majin
Niveau 13
24 avril 2008 à 14:08:58

Je suis pressé de voir cette saison 3. :bave:

escl4ever
Niveau 10
24 avril 2008 à 21:48:52

Lol, pas grand chose à dire, si ce n'est : Bravo !

escl4ever
Niveau 10
27 avril 2008 à 20:59:42

Ca a l'ar de déchirer vivement que ça commence

Sujet : [Fic] La Quête Ultime
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