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Fire Emblem : Shadow Dragon

Sujet : [Jeu] Les mercenaires d'Orion
Sir-Ike
Niveau 10
01 juin 2010 à 22:49:37

Merci je suis chanceux d'avoir une mission à l'extérieur, personne ne va intervenir :merci:

Et il faut attendre que tout le monde ait fini sa mission avant d'avoir la B2, parce que si oui avertissez :svp:

Et superbe mission Levail! :fete:

Lutialoe
Niveau 8
02 juin 2010 à 11:57:11

Mais, euh, comment je fais moi, parce que si Larn s'en sort et va derrière le second mur, il va retrouver Korshard blessé ? Et Jicross va arriver, je sais pas comment, mais en plus Jicross ne va pas pouvoir retrouver Korshard blessé et à même le sol, vu qu'il s'en est sorti, et qu'il a terminé sa mission, donc je sais plus qui c'est qui va pas pouvoir le soigner, ça tourne au vinaigre, on sait pas ce que vont faire les autres... ??? :question:

Lutialoe
Niveau 8
02 juin 2010 à 12:12:21

Bah, je me débrouille, en fait :) . Mais, au fait, y'a combien d'étages ? :question:

DARK-ZIHARK
Niveau 9
02 juin 2010 à 13:33:43

Il y à 14 étages, puisque le 15ième est en ruines. Mais le 14ièm est interdit pour l'instant.

Lutialoe
Niveau 8
02 juin 2010 à 14:05:41

Ben, comment on fait pour aller tuer les ennemis sur les remparts, alors ?

Lutialoe
Niveau 8
02 juin 2010 à 14:24:44

Hé, une autre question : est-ce qu'on peut inventer, par exemple, un chevalier pégase avec son conducteur et un archer dessus qui tire des flèches ?

Lutialoe
Niveau 8
02 juin 2010 à 14:25:43

Le forum est drôlement inactif aujourd'hui :question: comparé à d'habitude :ouch2:

DARK-ZIHARK
Niveau 9
02 juin 2010 à 15:27:41

Alors je vais tenter de t'éclairer ma chère.

Alors lorsque tu passe l'entré de la Tour tu tombe en fait sur la 1er cour avec un mur d'enceinte. Franchit une porte et tu te retrouve sur une seconde cour, séparé de la première par un gigantesque mur. L'entré véritable de la tour est dans la 2ième cour. Pour accéder au mur, et donc au rempart, il y à des accès au 2ième, 5ièm; et 7ièm étage. En ce moment le perso de Levail ( Korshard ) est donc bloqué dans la cour numéro 2 et le rempart en question de ta mission correspond au mur séparant la cour 1 et la cour 2.

Voila j'espère que ça va t'aider. Et oui j'avoue que ya pas beaucoup de monde aujourd'hui et même tbbw ça fait plusieurs jours qu'il est pas venu.

DARK-ZIHARK
Niveau 9
02 juin 2010 à 15:35:43

Oui tu peux l'inventer si ça t'es utile. Et pour les ennemis sur les remparts c'est parce qu'ils sont munis d échelles j'aurais dut le préciser mais ça me paraissait logique désolé.

Lutialoe
Niveau 8
02 juin 2010 à 15:55:27

Ok ok, merci beaucoup... et oui, je --enfin j'imaginais bien que les ennemis avaient des échelles. Mais euhhh oui, il y a des escaliers... puisque c'est une tour :) bon ben parfait...
Ah mais donc, c'est pas... enfin moi, j'avais compris les remparts, c'est-à-dire tout en haut de la tour ! Ouf, ben heureusement que tu me l'as dit, voila, merci :-)

DARK-ZIHARK
Niveau 9
02 juin 2010 à 16:06:33

Normal t'inquiète pas je suis la. Pis vu qu'on est que tous les deux j'ai du temps à te consacrer :lol:

BloodSword
Niveau 10
02 juin 2010 à 16:07:29

je poste bientôt ma mission Lutialoe tu pourras faire la tienne à se moment là, Korshard sera présent :oui:

Lutialoe
Niveau 8
02 juin 2010 à 16:12:35

Ah ! Merci BloddSword, et Zihark aussi :rire2: parfait, parce que moi aussi j'arrive à la fin de ma mission, je vais pouvoir la modeler un peu selon la tienne ^^]

Lutialoe
Niveau 8
02 juin 2010 à 16:13:23

Pas qu'un peu d'ailleurs :rire:

tbbw
Niveau 10
02 juin 2010 à 16:39:05

Bien voilà ma mission avant la mission co:

Bisout marchait.
Ou plutôt il courrait.
Il faut dire que Marie avait quinze mètres d’avance…
Battu par une fille!
A la course en plus!
Mais il faut dire qu’elle était bien mieux taillée que lui pour le sport. Lui avait passé sa vie derrière ses bouquins, elle sur le derrière d’un cheval.
Et la nuit tombait…
Il allait falloir trouver une auberge.
Pas trop chère de préférence.
« Bon qu’est ce que tu fais? » lui cria t-elle en haut d’une butte, lui étant en bas :o)) .
« Je me dit qu’il faut que j’invente une PUTAIN de technique de téléportation. J’en ai marre de courir! »
« Ne t’inquiète pas, il y a une auberge en bas »
Enfin une bonne nouvelle…

Après une bonne heure de marche, accompagnée de joyeux « elle est loin cette connasse d’auberge! », ils arrivèrent (enfin) à « l’auberge du lac ».
« Sauf que le premier lac est à des kilomètres d’ici » se moqua Marie.
Ils pénétrèrent dans une salle surchauffée. Beaucoup de monde par terre, encore plus accoudé au comptoir.
« ‘Jour » grogna le propriétaire des lieux, un sympathique croisement entre un doberman et un crapaud avec des yeux injectés de sang.
« Bonjour, nous aimerions une chambre s’il vous plait » lui indiqua Bisout.
« Une? »
« Chambre. Oui. Et une seule. C’est ce que je viens de dire. Vous êtes bouché ou quoi? »
« S’bon mon gars, ‘faut pas t’nerver cont’le vieux Tom »
« Oui je m’en fous de Tom, je veux une chambre »
« Ok ok »
Le barman lui donna une vieille clé rouillée avec le numéro 10 dessus.
« Tout en haut, premiere port’a droite. ‘Pouvez pas la manquer. Mais étranger, ici on paye avant de dormir. »
« Très bien combien? » maugréa Bisout.
Le type allait probablement lui sortir un prix exorbitant.
« 10 pièces d’or »
Ah tiens non. C’était pas si cher. Il donna 10 pièces au vieux barman et se dirigea en compagnie de Marie vers l’escalier.

Dans son lit (enfin leur lit :o)) ) Bisout réfléchissait.
Après avoir tué Hans, il avait craint des représailles. On les avait remarqué, c’était obligatoire. Un groupe de 7 personnes armées qui entrent dans une ville et repartent juste après un assassinat ça se voyait.
Au lieu de cela, il n’avait rien eu.
Il s’était convaincu que grâce a Orion il était protégé, les mercenaires avaient bonne réputation, on ne pouvait imaginer un meurtrier parmi eux.
L’inquiétude demeurait.
Il avait accepté cette mission tout simplement parce qu’elle allait lui permettre de passer un peu de temps avec Marie.
Et parce qu’elle était lucrative aussi.
Malgré tout il craignait une attaque. Hans Spemman était la deuxième personne d’une des villes principales des îles. Son supérieur allait envoyer ses limiers…
Au milieu de sa réflexion, Marie lui donna un coup de poing en plein dans son sommeil.
Il ne pouvait plus dormir et se leva. Il pensa alors a la mission.
« C’est simple » avait dit Orion « Des mercenaires attaquent un fort. Tu dois aider ceux qui sont assiégés. C’est tout bête. Le fort est à Worde et il est commandé par le général Arthuros. »
Ils s’étaient mis en route dès le lendemain.
Et ils avaient fini par trouver cette auberge crasseuse et…
Bisout se senti soudainement fatigué.
Il posa la tête contre le bord du fauteuil et s’endormit.

Ils se levèrent de bonne heure le lendemain (« qu’est ce que tu foutais sur ce fauteuil? ») et partirent tôt après un solide petit déjeuner. Au bout de plusieurs heures de marche, il finirent par atteindre un vieux fort délabré entouré par des hommes en armes.
« Bon genre on fait quoi? »
Bisout se tourna vers Marie
« T’as un plan? »
« Non »
« Ca tombe bien moi non plus. Bien dans ce cas je propose qu’on attende jusqu’à la nuit et qu’on se glisse discrètement jusque dans le fort. »
« Ok ça me va »
Ils s’allongèrent dans l’herbe.
« Pfiouh…. On ferait quand même mieux de les prévenir quand même » soupira Marie
« Et tu comptes faire comment? » lui demanda Bisout
« Eh bien je pensais tirer une flèche avec un message dans le château. »
« … Pas con. »
Elle sortit deux pièces de bois de son sac, les assembla, attacha une corde à un bout avant de le fixer à l’autre, testa la solidité de son étrange arc et empoigna une flèche.
L’arc semblait un peu hétéroclite quand même.
« Tu me fais le message? C’est toi le cerveau après tout »
Il grogna.
« Ouais Ok je vais le faire. »
Il sortit un bout de parchemin, griffonna rapidement un mot et le lui donna.
Elle l’attacha au bout de sa flèche et d’un geste plein de grâce, amena la flèche jusqu’à sa joue et lâcha les doigts.
L’arme était exceptionnelle et c’était une remarquable tireuse. La flèche suivit une trajectoire parabolique avant d’atteindre le fort.
« Bien voilà ils l’ont maintenant. Nous n’avons plus qu’à attendre »
Ce qu’ils firent.

Après une longue attente, la nuit tomba.
« Eh bah c’est pas trop tôt! Je commençais a me les geler ici! » murmura Bisout.
Ils avancèrent prudemment jusqu’à la limite du campement ennemi. Furtivement, ils se glissèrent, ombres parmi les ombres, à travers le campement.
Soudain Marie qui marchait devant fit un geste éloquent à Bisout.
La clarté de la lune laissait entre apercevoir une sentinelle.
Déjà Marie se glissait derrière une tente….
Bisout ,lui, avança.
Marie le rejoint quelques minutes après.
D’un signe de tête, ils continuèrent.
Comme des ombres dans la nuit.

Dans un fourré, un homme gît.
Nu comme un ver.

Ils finirent par traverser le no mans’ land et atteignirent la porte du fort.
« Halte! Qui vient là? »
Un homme sur le chemin de ronde. Le veilleur.
« Nous sommes les mercenaires d’Orion » annonça Bisout « et nous avons affaires a traiter avec le général Arthuros. »
L’homme hocha la tête. Ils avaient eu le message.
Il descendit et la porte s’ouvrit, laissant passer une petite troupe en armes.
L’un des hommes s’adressa alors a Bisout:
« Le général vous attend. Suivez moi »
Pas d’autres mots.
En marchant, Bisout observa le campement.
Pas de tentes, les hommes dormaient sous un toit. Les feux étaient éteints depuis longtemps. Pas d’armes au sol, pas de saletés. Les sentinelles étaient silencieuses sur les murailles. Pas un bruit ne s’échappait du campement. Et même en observant les combattants, Bisout remarque qu’aucun d’entre eux n’avaient d’accessoires ayant une utilisation autre que pour la bataille.
Pas de fioriture.
Des professionnels. Simplement des pros. Avec des consignes de sécurité incroyable. Cet Arthuros devait être un marrant.
C’est avec cette pensée que Bisout pénétra dans la tente que lui indiquait le soldat.
« Soyez les bienvenus dans ce fort »
Ainsi c’était lui Arthuros….
Grand, mince, les yeux et les cheveux gris, tout en lui inspirait respect. De son visage sec à ses traits harmonieux, ses cheveux courts et son expression d’oiseau de proie sur le visage, tout son être auréolait une aura de commandement .
Le regard de Bisout s’attarda alors sur les mains de son interlocuteur. Des cals puissants aux creux des mains l’étonnèrent. Il releva la tête et aperçut les muscles saillants du général. Un rapide coup d’œil à l’épée du prétendu magicien acheva de gommer ses doutes. Le pommeau de la lame était poli, poli par la sueur que seules des heures acharnées d’entraînement pouvaient faire couler.
Arthuros était un prédateur.
Un tueur.
Aussi bien avec une épée qu‘avec un tome, ses yeux respirant l’intelligence.
Yeux fixés sur lui.
« Alors vous êtes venus nous aider. C’est très aimable de la part d’Orion d’avoir accepté. Vous le remercierez de ma part s’il vous plait? »
« Nous lui transmettrons vos mots ,monsieur » lui répondit Marie
« Ici on m’appelle général. Est ce que c’est clair? »
La voie ne souffrait aucune contradiction.
Bisout en fut stupéfait.
« Eh c’est à moi de parler comme ça » se dit il…
« C’est clair? » continua Arthuros, apparemment peu satisfait de leur silence.
« Non » rétorqua Bisout, piqué au vif par l’agressivité du général, « nous ne sommes pas vos hommes, bien que nous soyons sous votre commandement. Nous n’avons donc pas à vous appeler comme ça. Et je ne puis tolérer que vous me parliez sur ce ton. Me suis je fais comprendre? »
Les yeux gris d’Arthuros lançaient des éclairs.
« Et moi je ne puis tolérer que vous ma parliez de la sorte, pour reprendre vos termes, je suis votre supérieur, j’exiger donc une marque de respect. »
« Vous ne… »
« Bon ça suffit! » s’écria Marie « nous avons des intérêts communs. Cessez donc vos enfantillages! »
Les deux hommes se regardèrent.
« Très bien »siffla Arthuros, visiblement agacé, « je vous prierais donc d’aller vous reposer. L’assaut sera donné demain de leur part, nous aurons une rude journée. »
Et d’un geste, il les congédia.
En sortant, Bisout tenta de suivre Marie qui marchait d’un pas énervé en direction de leur abri.
« Non mais pour qui il se prend? »
« Je ne sais pas » avoua t-elle « mais il ne m’a pas fait bonne impression. Et il est dangereux, c’est une certitude. »
« Oui c’est également le constat où je suis arrivé. »
« Je me demande quel est son plan » murmura t-elle songeuse.
« Je ne sais pas, mais c’est sûr qu’il aurait pu nous le dire. »
« Vu la manière dont vous avez l’air de vous aimer, on sera probablement les derniers avertis » se moqua t-elle
« Très drôle! Je meurs de rire » répliqua t-il d’un aire narquois.
Soudain il se retourna et scruta un point derrière eux.
Un homme roux s’enfuyait.
« Il nous observait? » demanda Marie.
« J’en ai peur…. »
« Euh, s’il vous plait? »
La personne qui venait de les interpeller était la sentinelle.
« Oui? » répondit sèchement Bisout
« Je vous demande d’aller vous coucher et de faire le moins de bruit possible. Les hommes aimeraient dormir. »
Après un petit moment d’hésitation, Bisout opina. Ils se dirigèrent vers leur lit, et s’endormirent rapidement.

Le lendemain, une sentinelle vint les réveiller. Ils se levèrent, prirent un rapide petit déjeuner et s’apprêtèrent. Les préparatifs terminés, ils se hâtèrent vers le centre du fort où une foule nombreuse écoutait Arthuros les haranguer.
« Bien » lui dit Bisout quand il eu finit et que chacun se soit mis a son poste, « que faisons nous nous? »
« Vous? » répondit sèchement arthuros « Je n ‘ai pas besoin de vous en fait. Vous pouvez partir. »
Bisout le regarda, abasourdi.
« Je vous demande pardon? »
« Je viens de vous demander de partir il me semble » continua Arthuros avec un regard méprisant.
Bisout explosa.
« ALORS LA C’EST FORT! ON SE TAPPE TOUT LE CHEMIN JUSQU’ICI POUR VOUS AIDER ,A VOTRE DEMANDE JE VOUS RAPPELLE, ET QUAND ON EST LA MONSIEUR DECRETE QUE NOUS NE SOMMES PLUS NECESSAIRES? NON MAIS VOUS ETES CON OU VOUS LE FAITES EXPRES? »
« Je suis très sain d’esprit, merci »
« LA FERME! C’EST VRAIMENT DU GRAND N’IMPORTE QUOI! CONNARD! VOUS VOUS ETES BIEN FOUTU DE NOTRE GUEULE! »
« Non, puisque je vais vous payer »
« Hein? »
« Vous avez très bien entendu. Je vous paye et vous partez. Maintenant. »
Bisout et Marie le regardèrent avec des yeux ronds.
« Et ça rimait à quoi ça? »
« Il se trouve que pendant la nuit mes assaillants sont partis »
« Hein? »
« Oui. Donc vous pouvez partir s’il vous plait, vous empestez. »
Ravalant sa rage, Bisout pris la bourse que lui tendait le général, puis suivit de Marie, parti.

La nuit suivante.
Une ombre se glisse dans le fort.
Frappe dans l’obscurité.
Sans un bruit, la sentinelle s’effondre. Il ne verra pas l’aube, tout comme les autres.
L’ombre se glisse jusqu’à la foret où l’attend une troupe en arme.
Pas de blason, pas de symboles.
Un Homme s’avance.
« Alors ils sont parti? »
« Oui »
« Et? »
« J’ai pu les observer grâce à ton stratagème. Dis au maître au je prends. Je suis d’accord. »
« Très bien, tu as fait le bon choix. Et les autres dans le fort? »
« Tuez les. Ils sont insignifiants. »
« Très bien »
Sans un bruit, les ombres s’avancent….

tbbw
Niveau 10
02 juin 2010 à 16:39:25

Encore un message "trop long" :(

tbbw
Niveau 10
02 juin 2010 à 16:43:24

Alors Zihark tu peux juste me réexpliquer ce que je dois faire stp, j'ai raté des choses importantes apparemment.
Oh et je viens de tomber sur les compliments de Blood, c'eest très sympa de ta part :fier: . Et non je n'ecris pas beaucoup, mais je suis un très grand lecteur, ça aide :ok:

BloodSword
Niveau 10
02 juin 2010 à 17:10:42

et tbbw je sais pas si ta remarqué mais ta mission 5 est exactement la même que ma mission 2 :doute:

tbbw
Niveau 10
02 juin 2010 à 18:11:44

Nope j'avais pas remarqué Blood :)
Mais écoute c'est sympa ce que tu dis. Je m'inspire quand même beaucoup dans le style d'un auteur que j'aime bien.

BloodSword
Niveau 10
02 juin 2010 à 18:30:51

Jicross (2) : Ce "survivant" ne vous à rien appris d'utile sur le sort de résurrection, et vous aimeriez continuer vos recherche mais une mission urgente vous attend. Vous devez vous rendre dans un fort près de Worde, à Lycia. La-bas retrouvez un chevalier mage et son unité et repoussez l'assaut des mercenaires qui les agressent.
Gain : 750 écus

d'ailleur c'est moi qui ai inventé Arthurios :ok:
heureusement ta description correspond bien avec la mienne :rire:

Sujet : [Jeu] Les mercenaires d'Orion
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