Quel position de quoi ? Et t'es sur de vouloir l'affronter pour ta mission X, il a quand même l'air puissant ?
Et je refais pas une maj pour ta mission Levail, je la juste comme ça.
Korshard (X-2) : Invités par Matthis à la fête prévue chez les Butana, vous et Hellein vous rendez à Sacae. Lors de la fête, vous sympathiser avec un archer d'élite qui décide de vous apprendre son art.
Gain : 500 écus, 5 XP, + 1 catégorie d'arme
Si j'ai comprit je dois la faire et avant c'était juste pour le contexte en faite
Levail On dirait malheureusement
DZ Oui je veux le battre pour ma mission X, il en est digne, un démon! Et Levail va aimer le voir mourir N'est-ce pas?
D-Z: ouai ca me va mais demain: j'ai pas envie d'écrire à 10H 30 du soir moi (vais encore m'esquiter les yeux )
Sir-Ike: Oaui ben demain parce que là commence à faire tard pour voir du sang
Jain, TUER, VENGEAIS la pauvre Julie SANG
Bisout mission 7 ou 8 jsplus
Huit heures qu’ils galopaient.
Dans la nuit en plus.
Pas de pluie heureusement, mais un vent sec et glacé à la place.
Même si Bisout devenait de plus en plus à l’aise à cheval, ça commencait à faire beaucoup.
Surtout pour la peau de ses fesses en fait .
Donc forcément, il en avait marre.
Mais ils avaient décidé de galoper toute la nuit.
Le temps pressait.
Il fallait retrouver tout les membres de l’expédition. Harvey savait où se trouvait Léon, mais retrouver les autres allait peut être s’avérer délicat. Et il allait falloir convaincre cette tête de pioche qu’était Léon. Le vieux marin borné allait encore les défier à un de ces stupides jeux de hasard à la con.
Heureusement que Marie était là, puisqu’elle est la seule de mémoire de Bisout à avoir battu Léon.
Donc sur ce plan là pas de problèmes.
Le problème c’est que Thyi lui avait dit que les membres de son expédition allaient être traqués. Si jamais cette organisation là, machin…., bon bref il avait oublié le nom, si cette organisation était si puissante, elle aurait des contacts jusque dans le rivage des îles occidentales.
Donc il fallait se grouiller.
Quelques heures après, alors que l’aube venait, ils décidèrent de faire une courte halte. Leurs muscles en feu ne leur laissaient pas d’autres solutions. Après avoir dormi trois heures, et après avoir avalé un rapide petit déjeuné, ils se remirent en route.
Quelques heures après (encore ) ils atteignirent enfin leur destination: le petit village d’Ecart’ipe, célèbre pour son génie des Maths, Vall Erron, retrouvé mort tragiquement pendu par…. (Ok je m’arrête je vais en choquer :noël: )
Ils traversèrent le pont, et un petit pêcheur les salua.
« Qu’il aille se faire outre ce gland! »
Une fois dans le village, il fallait encore trouver Léon…
« Et tu penses qu’il est où? » demanda Bisout à Harvey, qui miraculeusement n’avait pas ouvert la bouche du voyage.
Il s’était contenté de regards amusés.
Le petit con…
« La taverne je dirais . »
Il indiqua du doigt une maison un peu à l’écart du village.
« Il devrait être là. Enfin je pense. »
Ils attachèrent leurs montures, puis entrèrent.
La taverne pour le coup n’avait rien en commun avec toutes celles qu’ils avaient pu voir. Grande, lumineuse, et surtout propre. Pas de vieux débauché dans un coin, ni de mec bourré en train de vomir par terre.
Des gens buvaient sur des tables PROPRES (si si j’insiste ) et le barman avait l’air sympa.
« Messieurs? Madame? Que puis je fair pour vous? »
« Oui voilà, on cher… » commença Bisout
« On cherche Léon. » le coupa Harvey
« Tiens salut canaille » dit le barman avec un air amusé « qu’est ce que tu lui veux au vieux Léon? »
« C’est que… bin… »
« C’est personnel. » le coupa Bisout avant d’ajouter « Désolé »
Vous l’aurez compris le désolé c’est pour le barman. Il en a rien à foutre d’avoir coupé Harvey.
Au contraire .
Le barman eut un geste rassurant de la main.
« Non non ne vous inquiétez pas… C’est juste que vous êtes les deuxièmes dans la journée à me demander ça. »
…
« Hein? »
« Quoi? »
« Pardon? »
Les trois avaient parlé en même temps.
« Oui » renchérit le propriétaire « Des types peu aimables sont venu y’a quoi…Dix minutes? »
« Où est t-il? » se dépêcha Marie
« Qui? »
« Léon! »
« Ah il pêche sur la rivière au sud du village »
« PUTAIN! On se grouille! » cria Bisout à l’adresse des deux autres.
Ils se mirent à courir à toute vitesse. Léon était fort, mais les tueurs aussi, c’était certain.
Ils tournèrent à gauche, puis virent enfin la rivière.
Pas d’agitation.
C’était pas bon tout ça….
Pourtant ils virent le gars en train de pêcher tranquillement.
« Putain Léon! LEON! Dégage t’es en danger! »
Le pêcheur se tourna vers eux.
Avec sa satanée pipe à la main.
Et son sourire idiot!
« Quoi? Qu’est ce qui se passe? »
Léon…
Toujours aussi lent ce mec….
« DEGAGE TU VAS TE FAIRE BUTER! »
« Tais toi Bisout, tu effraies le poisson »
Hein?
Il venait de quoi là? Il venait de dire quoi?
« Heu je crois que t’as pas tout compris Léon… »
Puis il s’arrêta.
Léon avait sa hache posée à coté de lui.
Rouge vif.
Et malgré son ton joyeux, son visage était dûr.
Et il n’avait pas remarqué qu’une main dépassait du buisson.
« Heu? »
« Oui » reprit Léon en mâchant sa pipe « je suis vieux, mais ils étaient nuls ces jeunets… »
RESPECT!
Dix minutes après, quand il eut fini avec son poisson (« Mais pourquoi tu pêches? Le poisson c’est dégueu, ça pue et y’a plein d’arrêtes! »), ils lui expliquèrent la situation.
Cela leur prit une bonne heure.
Après avoir écouté, il hocha la tête, bourra sa pipe qui dégageait une fumée verte (« PUTAIN MAIS C’EST QUOI CETTE CONNERIE QUE TU FUMES LA? ») et se pencha vers eux.
« Très bien je viens, comme la dernière fois. L’affaire est trop grave pour que je la joue. On y va immédiatement. Maï est dans un village juste au nord d’d’i, je vous emmène. »
Ouf, déjà ça c’était une bonne chose. Il savait où était Maï et en plus il ne voulait pas jouer…
Et en plus il se grouillait.
Il rentra rapidement chez lui, prit quelques affaires, scella son cheval et il les rejoignit sur le bord de la route.
Ils se mirent en mouvement.
Peu de temps après, au milieu du galop effréné des chevaux, Bisout se pencha vers Léon, qui regardait la route d’un air concentré.
« Où habite Maï? Et comment ça se fait que tu sache où il habite justement? »
« Eh bien comme on est pas loin tout les deux, on s’est croisé un jours. On était vachement surpris, faut le dire. Depuis on reste un peu en contact, on fait des parties de cartes, on boit ensemble, bref la belle vie quoi…. »
« Ah oui Harvey nous avait dit que tu avais bu ta part »
Léon sourit.
« Il t’a dit ce qu’il avait fait du sien? »
« Heu…non…Il m’a dit qu’il avait voulu faire la peau d’un riche et qu’il était donc coursé par les flics. »
Léon éclata de rire.
« La vrai raison, c’est que le petit… »
« LEON TA GUEULE! »
Faisant fi de l’interruption, Léon continua.
Tout en souriant.
« C’est que le petit est allé boire à la taverne, qu’il a provoqué un seigneur en duel, ce qui aurait pu être marrant si on ne l’avait pas retrouvé le matin suivant dans le lit de… »
« LA FERME! LA FERME OU JE T’EXPLOSE, FIENTE D’ORC! »
« …La femme du dit seigneur. A poil. »
Bisout se tourna vers Harvey, qui avait l’air furieux, avec un petit sourire en coin.
« Nooooooooooon? Qui l‘eut cru? Et après tu me fais des remarques sur moi et Marie? »
« Tu sais on dit Marie et Moi dans la bonne société » reprit l’intéressée.
Bisout jura.
Harvey aussi.
Ils atteignirent le village indiqué par Léon en une petite heure.
Pas le temps d’admirer le paysage.
Ils bousculèrent une petite vieille qui sortait ses poules (« VOYOUS! »), puis suivrent le cheval de Léon qui était le seul à savoir où habitait Maï.
« C’est là » indiqua t-il en haletant.
Une vieille baraque.
La porte arrachée.
« MERDE! »
Ils sautèrent de cheval avec leurs armes à la main, puis s’engouffrèrent dans la maison…
…Avant de tomber nez à nez avec un Maï stupéfait.
En train d’éplucher des haricots.
« Qu’est ce que vous FOUTEZ là ? »
Maï avait brisé le silence le premier.
En froncant les sourcils.
« Bah c’est que…Ta porte… »
« Oui Ok Tom l’a arrachée hier soir, il était bourré ce con, mais il va la remettre. Pourquoi toute cette précipitation, cré ’vin dieu? »
Bisout soupira.
Ils allaient encore devoir passer deux ans à parler.
Ce qu’ils firent.
« Ouais Ok on part tout de suite. »
Pas d’autres questions.
Juste cette affirmation.
Toujours aussi direct, le vieux Maï .
Tandis qu’ils se reposaient un peu dans le jardin (enfin le pseudo jardin), Maï prenait ses affaires, sa lame puis allât voir sa femme.
Plus lentement.
Ils n’entendirent rien pendant deux minutes.
Le calme avant la tempête .
Soudain il jaillit hors de la pièce, alors qu’une amphore explosait à coté de lui.
« DEGAGE! J’AI SACRIFIEE LES MEILLEURES ANNEES DE MA VIE POUR UN SANGLIER QUI NE PENSE QU’A BOIRE ET A MANGER! MA MERE M’AVAIT PREVENUE! SI TU VEUX ALLER BOIRE, TROUVE UNE AUTRE EXCUSE! »
« Mais minime… »
« DEGAGE! »
Il ne se fit pas prier. Il se mit à cheval rapidement alors qu’une caraphe passait à trois centimètres de sa tête.
« Pas de commentaires » marmonna t-il.
Surtout à l’égard de Bisout et de Harvey.
Morts de rire tout les deux.
« Elle a bonne mine ta femme dis donc! »
« AH TA GUEULE HEIN? Elle me prend à bras raccourcit chaque fois »
(Vive Astérix )
Puis ils se mirent en route.
Tout en évitant les cailloux.
Et en se dépêchant.
Maï savait où se trouvaient les deux autres, à savoir Pier et Andrev. Heureusement, ils habitaient le même village.
Plusieurs heures après cet incident, ils atteignirent le dit village.
Ils trouvèrent leur deux compagnons aux champs. Pier en profita pour montrer le splendide attelage qu’il s’était offert avec l’argent du raid.
Puis lorsqu’ils leurs expliquèrent la raison de leur présence, toute bonhomie disparue de leurs visages. Ils se hâtèrent de prendre leurs armes, scellèrent leurs montures et écrivirent un mot à leurs femmes respectives, puisqu‘elles n‘étaient pas là.
La troupe se mit alors en route vers la base de l’organisation de Thyi dont ils ne savaient toujours pas le nom.
On était le 14 juin.
Et l’été allait être… chaud bouillant.
Avec un soleil couleur sang…
Ah dsl dble post mais de demain à Jeudio je vais chez un pote. JE serais donc moins présent
J'ai vraiment ris au bout "RESPECT", trop drôle!
Encore une fois ton style est épatant Respect
Respect aussi: toujours aussi marrant la bande à Bisout.
J'ai beaucoup rit avec Léon et Harvey aussi
Si tu veux lire la mienne elle est sur la page précedente
Ouais merci
Korshard mission X-2
"Cher Korshard.
Suite à ta récente victoire sur les bandits les plus dangereux de tout Elibe, vous êtes cordialement inviter, toi et Hellein, à la fête qui se déroulera le 15 juin au soir à la tribut des Butana. Pas besoin de m’énoncer ta réponse je ne la connaît déjà .
Sincère salutation.
Matthis."
Korshard avait lut la lettre, non sans sourire, mais pourquoi voulait-il inviter Hellein ? Elle lui plaisait tant que ça ?
«Le 15 juin … on est le combien aujourd’hui ? »
Il regarda le calendrier des missions d’Orion, depuis qu’il était entrait chez les mercenaires.
«Putain on est le 15 déjà, cette andouille ne pouvait pas me prévenir un ou deux jours avants ? »
Il mit de l’ordre dans sa chambre et hésita à prendre son fer léthal, finalement il le prit quand même : on ne sait jamais.
«Enfin, je vais pouvoir prendre du bon temps. La dernière fois que j’en ai prit j’ai faillit être par cet assassin. »
Il regarda le soleil : il n’était pas très haut, c’était le matin il avait le temps mais il décida quand même à y aller dés maintenant.
Il chercha Hellein pendant plus d’une bonne demi-heure.
«Incroyable, quand c’est elle qui me cherche, elle me trouve au bout de cinq minutes mais quand c’est moi … je mets une éternité. »
Finalement il la trouva dans la cour intérieur, profitant du beau temps.
-Hellein, Matthis nous invite ce soir à une … soirée.
-Une fête tu veux dire. En quel honneur ?
«Depuis quand elle est perspicace ? »
-Ben, en l’honneur de ma victoire sur les bandits. J’y vais maintenant, si tu veux rester …
-Non, je viens. Mais laisse-moi seulement aller chercher mon bâton vitalis.
«Eh bien ça promet »
Ils passèrent leur journée à Sacae et, quand le soleil commencer à atteindre l’horizon, ils arrivèrent au village des Butana.
-Ah, Korshard, s’exclama Matthis qui était venus à leur rencontre. Ca fait plaisir de te voir et je vois que tu as aussi amener Hellein.
«Mais pourquoi est-ce qu’a chaque fois il le fait remarquer ? »
-Bon quoiqu’il en soit, continua Matthis. On ne t’attendait pas te voir aussi tôt : la fête débute dans deux heures.
-Bon d’accord je vais un peu revisiter le village. Hellein il y a des boutiques de toutes sortes là –bas, va y faire un tour, si tu veux.
Puis il s’engouffra, seul, à travers les maisons du village. Il sembler tous de même assez grand et, au bout de cinq minutes à peine, il tomba sur un stand de tir à l’arc. Le maître d’arme était venu le voir.
-A une nouvelle tête, ca fait plaisir. Qu’est ce qui t’amène ?
-Ben, je me balader et, balbutia l’épéiste. C’est quoi tout c’est arc ? C’est n’est pourtant pas un magasin ici.
-Avant c’était une école de tir à l’arc et tout ce que j’ai entraîné sont dehors sur les tours de guet.
-Quoi ? Les archers d’élites de l’entrée du village ? Mais ce sont des monstres au tir à l’arc.
-Et oui, affirma le maître d’arme avec satisfaction.
-Bon je veux bien essayer.
Il prit un arc de fer, pour commencer, et commença à viser les différentes cibles qui se trouvaient sur le stand, sous les conseils du maître archer. Inutile de dire qu’au début ce fut une calamiter : aucunes de ces flèches ne touchèrent les cibles mais, peu à peu, c’est dire furent plus précis. Et il s’entraina, comme il avait l’habitude de s’entrainait à l’épée. Au bout d’une bonne heure le maître archer lui fit quelques démonstration et Korshard essaya de l’imiter. A la fin des deux heures d’entrainement il était parvenu à toucher les cibles, à quelques centimètres de leur centre.
La cloche du village sonna et tout le monde s’était réunit autour d’un banquet (façon Astérix) et le chef, après son discourt, déclara la soirée commencer.
«Génial , le meilleur moment d’une soirée : la bouffe. »
Korshard prit un énorme cerf qui gisait prêt de sa place, bien cuit, et l’avala tout entier très rapidement.
Hellein, assise à coté de lui, le réprimanda :
-Tu ne pourrais pas manger de façon plus calme, ou du moins moins férocement ?
-Désoler, répondit Korshard avec à présent une cote de porc entre ces dents. Mais s’il y a une chose pour laquelle je ne peux pas me contrôler : c’est la nourriture.
Hellein leva les yeux au ciel et se mis à manger. A coté de l’épéiste on aurait dit Elimine en personne .
-Ben dis donc, fit remarquer Matthis. Je ne savais pas que tu aimé autant manger et surtout que tu manger autant.
-Matthis, on a rien inventé de mieux au monde, pour rendre les hommes heureux, que la bonne nourriture.
Korshard fut l’un des dernier à finir son repas et on leva les verres pour sa victoire. Trinquant et buvant à sa santé, la fête se termina vers minuit.
La pauvre Hellein due ramener un Korshard qui ne savait même plus comment il s’appelait à la tour des mercenaires. Le voyage dura plus longtemps que prévu mais ils arrivèrent à la tour avant le petit matin.
Bilan : -maniement des arcs
-Et une cuite une
Ah flute j'ai pris le pseudo de mon pote. Les lisithea de ce fofo c'ets moi je me suis trompé.
le ending je mis attendait pas
Vraiment c'est haletant jusqu'au bout camarade mercenaire
le but c'était de surprendre merci du compliment
ta mission était très bien aussi Korshard c'est vengé
UNE DRACOPIERRE!!! Malade comme idée
Donc là, puisque l'on connait notre prochaine mission, je vais l'écrire de ce pas Je fais la 1re partie et je la poste bientôt, je saurai le bilan avec le post de DZ, ça marche?
Ouai a mon avis attend le retour du commandant la MAJ
Je l'écris pareil
Et il va y avoir du sang
Celui de Jain ?
800e post!
Celui de tout le monde Tu vas voir ce soir dès que DZ aura posté la maj
Ben moi j'attend la MAJ pour connaitre ma prochaine mission.
Pourvu que la prochaine mission soit celle que je veus, sinon j'aurai écrit pour rien
En passant Levail, Jain va beaucoup perdre de sang et je risque enfin d'avoir le message trop long