Voici le 24ème Chapitre, plein de rebondissements 
!
Bonne lecture !
Chapitre 24 : Le retour de Freezer avait totalement abattu les sayens, d’autant plus que, désormais, il était immortel.
- Je suis invincible maintenant ! se vanta le tyran. Je vais d’abord me venger de toi, Sangohan !
Il se rua sur son adversaire, sans même chercher à se protéger, et fut accueilli par un revers de Kouril qui le transperça en deux !
- Bravo Sangohan ! s’enthousiasma Sangoku.
Hélas pour eux, les deux parties séparées se remboitèrent comme par magie !
- Tu ne peux pas me tuer, sayen !
Le jeune garçon se sentait totalement impuissant et il n’avait pas tort.
- Vas-y, mon brillant fils ! dit Cold, fier comme un coq de son poulain. Extermine les derniers sayens !
S’en suivit un combat acharné entre un jeune guerrier plus fort que son opposant mais mortel, lui. Le petit combattant ne faisait que parer les assauts du tyran, toute attaque serait forcément inutile. Son père observait, à bout de forces, le courage de son enfant, lorsqu’une voix l’interpella :
- Sangoku ! Tu m’entends ?
- Maître Kaïo !? C’est bien vous ?
- Qui veux-tu que ce soit d’autre, idiot ? Bon, je vais être clair : tant que Freezer sera immortel, vous n’aurez aucune chance.
- Que faire alors ?
- Tout d’abord, fuis avec ton fils et Piccolo.
Juste après ces paroles, le Namek se distingua en balançant un Makankopossapo sur le tyran, ce qui lui perça le ventricule droit.
- Tu l’auras bien mérité, monstre ! dit dans son dernier souffle, l’alter-ego du Tout-Puissant.
Ensuite, il s’effondra pendant que Freezer se remettait sur pied.
- Maître ! C’est terrible ! Piccolo est mort !
- Non, tout mais pas ça ! Sans lui, les Dragon Balls sont inutilisables !
- Vous comptiez vous en servir pour votre plan ?
- Oui, mais maintenant c’est trop tard ! Fuis, Sangoku, fuis avec ton fils ou nos espoirs seront ruinés !
Sangohan saisit la jambe de Freezer et l’envoya s’écraser sur son père. A ce moment, il entendit la faible voix de son paternel lui dicter ces paroles :
- Sangohan, prends-moi et fuyons !
- Pas question ! protestèrent d’une même voix leurs ennemis.
Le jeune sayen les calma d’un puissant Kaméhaméha, prit son géniteur par le bras et fonça vers son vaisseau.
- Comment allons-nous les vaincre, Papa ? Freezer est invincible !
- Je n’en ai pas la moindre idée ! Pour l’instant, nous devons quitter la Terre !
Ils volèrent trois minutes avant d’arriver en vue de la navette spatiale et y pénétrèrent prestement. Sangohan rentra la première destination lui venant à l’esprit.
- J’espère que ton Kaméhaméha était assez puissant pour les retarder ! pria Sangoku.
- Je l’espère aussi !
Une voix artificielle retentit dans le cockpit :
- Décollage dans cinq secondes ! Attachez vos ceintures !
Les sayens s’exécutèrent et ils quittèrent l’esprit tourmenté et revanchard la belle planète bleue.
- Quelle destination as-tu programmé ? demanda l’ancien élève des Tortues.
Son fils mit un temps à lui répondre, larmoyant :
- Nous nous rendons sur Harnyat, la planète où j’acquis Kouril.
Deux jours s’étaient écoulés depuis le départ en catastrophe des sayens. Ils ne pouvaient s’empêcher de penser aux cadavres de Piccolo, Krilin, Yamcha, Tenshinhan, Chaozu et même Végéta qui pourrissaient sur la Terre dévastée. Le chaos allait régner dans toute la galaxie s’ils ne faisaient rien. Soudain, Sangohan fut pris d’une idée lumineuse et la révéla :
- Papa ! J’ai la solution !
Subitement réveillé de sa sieste, le fils de Baddack s’empressa d’écouter sa progéniture.
- Il faut retrouver les Nameks !
- Pourquoi ? questionna l’esprit embrumé le frère de Raditz.
- Pour utiliser leurs Dragon Balls ! De cette façon, nous pourrons certainement annuler l’immortalité de Freezer !
Suivant la discussion, maître Kaïo prit la parole :
- Ton idée est brillante, Sangohan, seulement il y a un problème de taille auquel tu n’as sans doute pas pensé.
- Et quel est-il ?
- Il n’y a plus de planète Namek. Tu l’as détruite lors de ton précédent combat contre Freezer !
Les deux sayens reçurent cette information comme un coup de massue annihilant tous leurs espoirs.
- Mais ils restent bien leurs habitants ! Donc les Dragon Balls de Namek existent encore !
- Tout à fait. Hélas, je ne peux pas les contacter du fait que je ne sais tout simplement pas où est leur nouvelle planète !
Sangoku s’immisça dans la conversation :
- Ce qui veut dire que nous allons devoir la trouver par nos propres moyens, n’est-ce pas ?
- Tu as malheureusement raison, Sangoku. Cependant, il y a peu de chances que Freezer et Cold la trouvent avant vous vu qu’ils ne doivent pas la rechercher. Vous avez donc du temps devant vous. Reposez-vous sur Harnyat quelques jours.
- C’est ce que nous comptions faire, l’en informa le jeune sayen.
- Ne perdez pas espoir ! Tout est encore possible ! Sur ce, je vous quitte, au revoir.
- Au revoir maître, saluèrent d’une même voix les guerriers.
Cinq minutes passèrent et l’ordinateur de bord avertit :
- Attention, nous approchons de la destination souhaitée ! Arrivée dans dix minutes !
L’atterrissage fut rude, le vaisseau avait semblé rentrer en contact avec quelque chose de résistant. Les deux sayens s’extirpèrent comme ils le purent de leur embarcation pour constater qu’ils s’étaient écrasés en plein milieu d’une ville ! Ils étaient entourés par des géants de deux mètres cinquante, des Harnyatos. L’un d’eux s’avança et lança en basique :
- Qui êtes-vous, étrangers ?
- Je suis Sangohan. Vous me connaissez, n’est-ce pas ?
La créature parut surprise et répondit :
- C’est donc toi le fameux sayen qui a abattu le terrible Kalerak.
- C’est bien moi. Sommes-nous dans la capitale ?
- Non, nous sommes à Gasstadt, le théâtre de tes prouesses.
Les souvenirs de son combat épique ressurgirent dans l’esprit du jeune garçon qui demanda :
- Mais au fait, qui êtes-vous ?
L’extraterrestre prit une expression attristée avant de se dévoiler :
- Je suis Andreas, le fils de Rainer.
Sangoku intervint :
- Qui est-ce Rainer ? Le roi ?
Andreas laissa échapper une larme puis confirma :
- C’était le roi. Il est mort le jour du combat contre Kalerak, terrassé par sa terrible épée.
- Donc tu es le dirigeant de cette planète désormais ? questionna Sangohan.
- Non, ce n’est pas moi. C’est mon frère ainé, Mathias. Partons le voir, si vous le voulez bien.
- D’accord. La capitale se trouve loin ?
- Nous serons à Versovia d’ici deux heures à dos de Rhinofogel.
Il montra un oiseau possédant une corne sur le front puis reprit :
- Reposez-vous une petite heure si vous le désirez.
Les deux sayens hochèrent la tête et furent conduits dans une maison aux fondations gothiques. Sangohan passa cette heure de repos à se remémorer ses souvenirs de Harnyat.
Les Dragon Balls, Sangohan et Goku vont galérer pour retrouver Namek mdr
Tu vois, j'ai trouvé une autre solution que la Dead Zone 
! C'est une belle récompense pour moi que le succès