Bah en fait, à la base ça en avait, mais effectivement, sortit de son contexte... J'ai hésité à poster le reste du texte, mais je crois que là ça s'impose; le voici donc, avec la première partie de la prophétie:
Roi des ténèbres, Mineur Eternel,
Tremblez simples mortels,
Devant Gavsorgh, le Seigneur des Quatre Terres,
Gavsorgh, La Terreur Délétère.
Semant terreur et désespoir,
Récoltant mort et chaos,
Voici Gavsorgh l’Impitoyable,
Partant tôt,
Revenant tard.
Gardez-vous bien de chercher
Cette entité à l’infini cruauté ;
Tôt ou tard il vous trouvera,
Et Gavsorgh vous damnera.
Extrait de la Prophétie de Gavsorgh.
_____________________________
--------------Chapitre I-----------------
Le gypcéros s’effondra dans un râle dans le sol spongieux du marais. Le chasseur qui avait achevé la bête se pencha à ses côté pour l’examiner, puis se tourna vers ses deux compagnons : « Eh ben, on a eut de la chance de tomber sur lui! Pour un peu on aurait dû rentrer, faute de vivres!
- Tu sais que je ne serais jamais rentré, Tarjin. On a juré de retrouvé cette tablette, alors on la retrouvera! » rétorqua l’un de ses compagnons.
« Tu sais, Mjogard, c’est pas parce qu’on retourne au village chercher des vivres qu’on abandonne notre quête. » intervint le troisième chasseur.
« Peu importe, je ne serais pas rentré!
- Là, t’es à cours d’arguments. Non, pas la peine de protester, j’ai raison, point! Et de toute façon on a de la viande, donc c’est bon. »
Le trio dépeça le gypcéros, tria la viande des parties "utiles", telles les composants d’armes et armures, et sélectionna dans cette dernière pile les morceaux revendables et faciles à transporter. Une fois ceci fait, ils mangèrent, s’endormirent, et repartirent au petit matin. Ils marchèrent plusieurs heures, faisant peu de pauses, en suivant les indications imprécises d’une carte plus très nette.
C’était une journée particulièrement pluvieuse, même pour le Marais, et cette froide humidité, alliée au paysage morne que constituait la région, rendait les chasseurs particulièrement irritables. Les disputes pour des motifs plus ou moins futiles furent fréquentes, les moments de découragement aussi, et la journée fut longue, à errer dans ce marais inhospitalier au possible à la recherche d’une relique dont l’existence restait à prouver.
La nuit tomba finalement sur le groupe, d’humeur morose, qui n’avait pas l’impression d’avoir avancé dans ses recherches.
La pluie ne vint pas perturber le lendemain, mais une épaisse brume prit sa place pour s’installer durablement. Le groupe avait maintenant la solide impression d’être perdu, aussi les chasseurs se concertèrent pour décider de la marche à suivre.
« Je propose que l’on continue jusqu’à un abri que l’on puisse reconnaître. » commença Mjogard. « Là-bas, l’un de nous, par exemple Djen, parce que c’est le meilleur pour ça, partira en reconnaissance. Quand il reviendra, et s’il a trouvé quelque chose, on repartira à la recherche de la relique. »
Le dénommé Djen se leva, et ajouta simplement: «Ça me va.»
Et Tarjin de renchérir: «Si tout le monde est d’accord, moi aussi !»
Ils partirent donc à la recherche d’un lieu où se poser, et le trouvèrent au bout de quelques heures sous la forme d’une grotte peu profonde au sol rocailleux, donc sec. Djen se sépara de ses camarades, et l’attente commença. Plusieurs heures étaient déjà passées lorsque sa silhouette perça le brouillard, pour revenir à la caverne.
« J’ai pas réussit à me repérer, mais j’ai trouvé quelque qui pourrait vraiment, vraiment vous intéresser. Essayez de repérer l’emplacement de la grotte, et suivez-moi! »
Ils le suivirent donc sur quelques kilomètres, puis s’arrêtèrent sur un signe de Djen devant un gros buisson broussailleux. Djen taillada les broussailles, qui révélèrent un passage qui allait en descendant. La luminosité était bien sûr trop faible pour pouvoir distinguer quelque chose dans la galerie, mais, pensant être sur une piste dans leur quête de la tablette de Gavsorgh, ils empruntèrent l’obscur corridor.
Ok ok, c'est bon ^^
Jey jey jorask
La peur nous tenait entre ces mains, mais si nous la laissons nous dominer, on meurt dans l'abandon, le désespoir et la solitude.
Nous étions là, face a une créature non-répertoriée par la guilde. On aurait dit un lao shang lung noir, oui, d'un noir rongé par les ténèbres, mais surtout, il ne cherchait pas a détruire un fort, main Nous!!!
nous aurions pu abandonner le combat, mais comme je vous les dit, on arrive a rien sans affronter ses peur!
J'ai donc dégainée mon arme, est mes ruée sur lui animé par la force du désespoir, suivui des mes compagnons, parcourant des cadavre qui gisant par terre, passant par les flaque de sang, le temps que nous avons mis a l'atteindre nous parus une éternité.
mais surtout, arrivé devant lui, au moment de l'attaque nous avons vu devant nous une chose qui nous expliquer le verdict du combat, cette chose, c'était la mort...
Extrait du journal "le siècle du chaos"
__________________________________________________
Voila, j'espère que vous le trouvez bien
Un ptit Up ^^
J'vais ptete écourter la durée pour les écrits et les votes.
4 Jours ça vous va ?
En gros, lundi a 17h, "fin des écrits et début des votes.
Le hunter s'équipa,
pour aller chasser.
Peur il n'a pas,
contre le petit gibier.
Mais l'immense Ukanlos,
Avec sa fourure glaçée,
Lui lui fit tellement peur,
qu'il alla chez sa mère pleurer.
Sa mère lui dit,
Reprends toi mon fils !
Alors il partit
Affronter le Fatalis !
Il le tua en peu de temps,
Et ramassa ses composants.
Il fit une armure terrible,
pour chasser L'Ukanlos, l'Invincible !
Il s'équipa de son marteau,
et pris ses objets.
Il accrocha ses joyaux,
et caressa son cochonet.
Peur il n'avait pas
Contre le petit gibier.
L'Ukanlos, il terrassa,
Et revenis a pied.
Il conta a tout le monde
Sa fabuleuse aventure.
Puis il prit sa blonde,
et l'enmena sur sa monture.
La moral de cette histoire,
C'est qu'on a toujours de l'inspiration.
Matin, midi, ou soir,
Même si on est con.
J'ai kiffer XD
C'est v'nu comme ça
jai une idée! sa serai que le gagnant choisi le prochin mot-clés, quesque vous en dites?
Ton "idée" est dans les règles...
a mince....
surpuissant
j'kiff ton poème!
Revenis ?
J'ai le droit de mettre mon fake dans le concours?
ton fake
Non.
Nan, plus sérieusement je suis en train d'écrire autre chose
Voici un cone conté par les mères -et même les mères de comtes à leurs enfants s'enpifrant de Comté, dans chaque coin du comté.
Il existait un chasseur
Du nom de Joe sans peur.
On le considérait comme le meilleur,
Beau, fort, et au grand cœur.
Après chaque chasse il revenait
Sur la place nous montrer
Ses trésors et ses trophées,
Tels une écailles arrachées.
Vint un jour où le démon,
Le Fatalis c’est son nom
Tua tout les chasseurs bons.
Joe sans peur fut appelé.
Partout on racontait
Qu’il allait le tuer, le massacrer
Mais il fut rapidement tué.
Un brave fermier
Qui s’en revenait
Entendit les faits
Surpris, il dit en effet
Que ce Joe jamais ne tuait
Trop trouillard pour s’attaquer
Même contre un mosswine bébé.
D’où, alors lui venait
Ses objets et ses trophées ?
Seulement il ramassait
Les écailles perdues, tombées.
La légende disparut
Joe sans peur n’exista plus.
Un autre apparut
Du nom de Cabru.
Les gens pourtant habitués
A ce genre de faits
Furent à nouveau aveuglé
Devant cette fausse divinité.
Et le paysan s’en alla
Triste et las
De voir un tel rat.
Alors, lui seul, le Fatalis il tua.
Excellent ton poème, je vais peut-être voter pour toi!