8h21 Du matin à Moscou.
Stanislovski se réveilla après une courte nuit de sommeil. Il se prépara à aller à son travail. A peine manger et pris quelque chose pour se tonifier il parti. En prenant sa voiture il mit la radio. Et une nouvelle passa en direct:
Radio: Bonjour chers écouteurs. A la suite de la disparition de l'A320 de l'aviation civil tchèque une enquête a été ouverte. Le QG de l'armée russe prévoit de faire des vols de reconnaissances pour repérer quelconque épaves. La voie aérienne a été sécurisé.
Stanislovski écouta sans y prêter vraiment grande attention. Enfin il arriva à son lieu de travail. Lui et ses collègues se firent un salut des plus serein.
Se mettant devant son poste pour faire son article sur "La faille de l'Europe" un de ses collègue l'apostropha:
-Hey! Syanislovski! Le grand manitou te demande!
-Mmmmmmmmmmmmmhhh..... Oka j'y vais.
Il se dirigea ensuite vers le bureau de Monsieur Gristoni Libogi. Qui lui proposa de faire enquête sur les disparitions d'avions dans l'espace aérien de Tchernobyl:
-Ah! Vous voilà enfin.
-Bonjour monsieur, Dit Stanislovski tout en restant distant.
-Et bien je tiens à vous dire que vos exploits ou plutôt articles son des plus innombrables! Vous êtes l'élite de notre bon vieux journal.
-Merci monsieur, dit-il très serein.
-Soit, je vous fais la proposition de votre carrière! Après vous être occupé de la politique il est temps pour vous de devenir un héros!
Stanislovski regarda Mr Libogi intrigué.
-Je veux dire que vous rapporterez gros en faisant cet article, rajouta Mr Libogi.
-Je ne vois pas où vous voulez en venir, lui répondit-il.
-Ne faites pas votre niais. Je sais que cela vous intéresse. Donc voilà ma proposition! Je vous propose d'enquêter sur l'affaire Tchernobyl, exclama Libogi en essayant de prendre un air mystérieux.
Rostov ne suivait plus du tout! Lui? Enquêter sur une affaire aussi perspicace? Bien qu'il avait un côté fouineur et la hargne de vouloir terminer tous ces articles à temps. Mais on ne lui avait jamais proposé une affaire de ce type!
Mr Libogi reprit:
-Bon, puisque vous n'avez pas l'air décidé je vous laisse 2 jours pour réfléchir.
-D'accord monsieur.
-N'oubliez pas que c'est peut être l'affaire de votre vie, appuya Mr libogi pour convaincre Stanislovski.
Et Rostov Stanislovski se retira du bureau.
