Blabla moins de 15 ans

J'ai fait une suite mais elle a été effacé suite SUR
____
la semaine prochaine !

Chapitre B : Japanese conquest (première partie).
1942 (date exacte inconnue).
8h 43min
Poste militaire de la base de Salamaua (Papouasie-nouvelle guinée) Pacifique.

Le corps de Matthews fût rejeté sur la plage de Pearl Harbor.
Son cadavre avait été renvoyé à sa famille.
Après Pearl Harbor, le soldat Thomas Red avait eut droit à un mois de permission, puis à des semaines et des semaines d'entraînement intensif : tir, plaçage d'explosif, commandement de soldat, survie en milieu hostile, maniement de pièce d'artillerie, pilotage de véhicule, etc...
Puis, le considérant trop abattu par la mort de son ami et de la défaite de Pearl Harbor, on l'avait envoyé à Salamaua, en Papouasie, un grand territoire, la jungle.
L'est avait déjà été envahit, Red avait du mal à comprendre comment il s'était retrouvé là, à Salamaua il n'y avait qu'une poignée de marines et de soldat australien.
Les défenses étaient maigres.
Le matin, l'aviation japonaise commença à pilonner la plage.

- Ils arrivent !!!! Tous le monde debout !!!! hurla le sergent dans le vaste dortoir. Aussitôt, les vingt marines qui y dormaient se réveillèrent. Ils s'habillèrent en moins d'une minute et ramassèrent leurs armes accrochés à leurs lits en métal.
Aussitôt, les soldats sortirent sur la plage, arme au poing, au large, des bâtiments de guerre japonais baignaient.
Derrière les soldats s'enfonçaient la forêt, avec sa jungle impénétrable.
- Tous à la ligne de défense trois dans la forêt !!!! hurla un haut gradé.
Les soldats s’entraînés tous les jours à rejoindre les lignes de défense en courant, ils connaissaient par cœur leurs positions.
La ligne de défense trois était une longue tranchée d’une cinquantaine de mètre dans la forêt, elle était renforcé de petit bunker et des mitrailleuses avaient été fixé à certains points stratégique, la seule chose qui protégeait la ligne de défense trois était la ligne de défense deux, vieille tranchée située à soixante mètre devant la trois, mais la ligne deux était bien moins défendable.
Les soldats empruntèrent un petit chemin de forêt et traversèrent la centaine de mètre jusqu’à la tranchée, ils plongèrent dedans, ils n’étaient qu’une quarantaine à tenir cette tranchée, des renforts arriveraient de camps situés dans la forêt.
Red s’empara de son pistolet-mitrailleur Thompson et alla rejoindre le caporal Brooks, un grand homme à la carrure de footballeur (ici football américain) et aux cheveux bruns rasés.
C’était le seul homme avec qui il avait noué des liens amicaux depuis la mort de Matthews.
Devant eux, un rayon de soleil traversait les arbres, on entendait les tirs d’artillerie.
Un homme, le lieutenant colonel de l’armée australienne, un certain Gabrhu passa dans la tranchée, il avait une énorme barbe et tenait un revolver qui avait sans doute déjà tué plus de japonais que tous les soldats présents dans la tranchée.
- Messieurs ! L’heure approche ! La plage est indéfendable, le seule endroit ou nous pouvons leur résister c’est ici ! ou dans les plaines de l’ouest ! Les Jap’ vont pilonner les baraquements de la plage, puis débarquer, dans une ou deux heures l’infanterie du soleil levant sera organisé et prête à charger la ligne de défense deux, elle est trop maigre, et au moindre contacte important, les soldats qui sont là-bas doivent revenir renforcer la ligne de défense trois, la nôtre ! ! ! ! L’aviation ennemi ne pourra pas nous infliger des bombardements précis à cause des arbres, mais ils essayeront, et les jap’ vont sans doute installer des mortiers et des chars d’assaut ! Si nous tombons, le seule endroit qui pourra résister c’est les résistances des plaines de l’Ouest, si vous vous perdez, rejoignez-les, les japonais vont charger, ils auront des baïonnettes au bout de leurs fusils ! C’est le moment de vous venger de vos frères d’armes ! ! ! ! ! ! !
Red repensa à Matthews, aussitôt, un sentiment de rage le parcourût, il allait se battre, jusqu’à la mort.

A SUIVRE…

Chapitre B : Japanese conquest (deuxième partie).
1942 (date exacte inconnue).
11h 55min
Forêt au sud du poste militaire, Salamaua (Papouasie-nouvelle guinée) Pacifique

Trois heures s'étaient écoulés, petit à petit, les tirs d'artillerie avait cessé, selon un groupe d'éclaireur, la plage était envahit par les japonais, ils lanceraient bientôt leurs attaques. Les pauvres hommes restés à la plage étaient morts. Ce qui intensifia la rage du soldat Red.
Un soldat dénommé Johanson observait la forêt qui s'étalait devant eux à l'aide de jumelle.
Soudain, il leva la tête.
- Un jap ! chuchota-t-il au caporal Brooks.
- Faites voir marines.
Brooks plongea ses yeux dans la paire de jumelle, un soldat japonais en tenue de camouflage progressait accrouppi vers une butte de terre.
- Abattez-le tant qu'il est à découvert, suggérra Red.
- Pourquoi pas, Johanson, allez prévenir Gabrhu, Red, passe moi le fusil de précision derrière-toi, ordonna Brooks.
- Oui monsieur, répondit Red, il se tourna et récupéra un fusil Springfiel 1903 A4. Il le tendit à Brooks.
- Non marines, c'est votre japonais.
Alors Red dirigea le canon vers le japonais et approcha son oeil de la lunette, aussitôt, l'image grossit, montrant un asiatique en tenue vert olive couverte de feuille de camouflage et tenant un fusil au bout duquelle était fixé une baïonnette.
Il dirigea la croix du viseur sur la poitrine du soldat ennemi, et son doigt carressa la détente, il bloqua sa respiration pour stabiliser sa visée.
Le japonais se figea, il l'avait vu.
Alors, le doigt du marine pressa la détente. Le fusil tréssauta, la balle traversa l'étendue de forêt et frappa comme un éclair le soldat japonais qui tomba à la renverse.
Aussitôt, des hurlements de rage parcoururent la forêt, et un autre soldat japonais se leva des fourrées, à soixante mètres de leurs position, puis un autre, et encore un autre, puis une vingtaine, quatre-vingt soldats japonais au totale se levèrent des herbes hautes et, baïonette en avant, coururent vers la tranchée en hurlant.
Une roquette siffla dans les airs et s'écrasa sur la tranchée.
- Des mortiers !!!! hurla un marine.
Mais comme les soldats japonais arrivaient, l'artillerie japonaise cessa le feu.
- Attendez pour tirer ! ordonna Brooks.
Les soldats épaulèrent leurs fusils dans la direction de la horde de japonais qui se dirigeait vers eux.
- La ligne de défense deux est tombé ! pleurnicha un soldat australien.
- FEU !!!!! hurla le lieutenant-colonel Gabrhu en arrivant revolver au poing.
Aussitôt, une pluie de balle heurta la ligne de japonais qui n'était plus qu'à vingt mètres de la tranchée.
Les premiers ennemis s'écroulèrent, mais la deuxième ligne de soldat du soleil levant ouvrit le feu, Johanson qui venait de revenir tomba à la renverse, du sang coulait abondament d'un trou dans sa poitrine.
Red épaula sa Thompson et lâcha une longue rafale, six japonais qui approchait dangereusement valsèrent et moururent dans les buissons.
Les armes autours de Red s'activaient, des éclairs foudroyaient les japonais et les soldats australiens et américains.
Red mit en joue un soldat asiatique à forte carrure qui tenait une mitraillette avec un chargeur en croissant sur le coté.
Avant de pouvoir tirer, une motte de terre se souleva à quelques centimètres de la tête du marine, le japonais avait tiré le premier.
Gabrhu se positionna derrière Red et fit feu avec son revolver.
Les japonais se rapprochaient trop, maintenant ils étaient plus d'une centaine, c'était trop pour la quarantaine de soldats Allié.
Une autre vague de japonais tomba.
Cette fois c'est les alliés qui récoltèrent une pluie de balle, des marines tombaient.
Soudain, une trompette retentit, et des soldats en uniforme des Alliés arrivèrent par derrière, ils étaient environ cinquante.
Les renforts. Ils venaient des camps militaires cachés dans la forêt.
Les alliés reprirent instantanément le dessus, l'arrivée de renfort leur ayant remonté le morale.
Mais les cadavres de marine tombaient trop facilement.
Red vida un chargeur sur la foule de japonais et constata avec réconfort qu'une demi-douzaine de soldats ennemis vacillaient, le torse constellait de tâches rouges.
Une dizaine de japonais sautèrent dans la tracnhée, baïonnette en avant.
Red reçu un coup de crosse sur le crâne et tomba par terre, il ouvrit doucement les yeux.
Un soldat japonais - un gradé sûrement - faisait face au lieutenant colonel Gabrhu, il avait un Katana (sabre japonais).
Le samouraï des temps moderne se jeta sur Gabrhu, se dernier appuya sur la détente mais la balle passa un centimètre au-dessus de l'épaule du samouraï. Ce dernier lev son sabre et l'abatit sur le flanc du lieutenant-colonel.
Alors, Red resta là, incapable de bouger, a voir son supérieur se faire latter à coups de sabre.
Un dernier coup à la gorge mit fin à sa vie.
Le samouraï se retourna vers Red, soudain Brooks apparût et lui cribla le torse avec son fusil mitrailleur BAR.
C'était la guerre.

A SUIVRE...

J'avais lu sa ce matin mais j'ai pas eu le temps de posté alors maintenant je vais te dire: Enfin t'a compris qu'il fallait des longs chapitres !! Par contre pour rester dans le fait historique, si c'est un Soldat et pas un gradé style sergent, son arme devrait être un M1 Garand ou un M1A1 mais en aucun cas une Thompson. Sinon c'est agréable à lire, mais j'ai remarqué quelque trucs de ma new fic, je t'en veut pas.

Pour la thompson, en fait, je précise dans le prochain chap que c'était celle de Matthews qui était caporale, quant à des passages de ta fic, j'aimerai que tu cites cra très sérieusement, je vois pas, d'autant plus que je n'ai dû lire que les deux ou trois premiers chap...

"Red repensa à Matthews, aussitôt, un sentiment de rage le parcourût, il allait se battre, jusqu’à la mort."

Un peu pareil que la morts des équipiers de Holden.

"Puis, le considérant trop abattu par la mort de son ami et de la défaite de Pearl Harbor, on l'avait envoyé à Salamaua, en Papouasie, un grand territoire, la jungle."

Quand il décide d'être réaffecter ailleurs. Mais je pense que tu ne la pas fait exprès vu que tu pouvait pas totalement faire autrement.

Ouai, désolé, mais je l'ai pas fait exprès
Et je voulais pas faire un truc trop classique, "guadalcanal" etc...
Les îles Salamaua et Lea ont été attaqué avec juste une maigre résistance de la part des alliés, puis ayant perdu la bataille, ces derniers se replient dans les maquis et organisent des guerilla

Ah le lieu je me fiche de sa. C'est bien choisi !

J'ai dû me renseigner pendant une heure et demie sur les batailels dans le pacifique et parfaitement étudier l'histoire de ces lieux...

up

upupupup !!!

up

Chapitre 25 : Ce n'est que le commencement. (cinquième partie)
Jeudi 14 juillet
03h 58min
Dune autour de la base terroriste, Sahara.
U.S.M.C & S.A.S

Les hommes du SAS et des marines chargés d'attaquer la base par l'arrière sous les ordres du lieutenant Jennings étaient allongés sur le sable, à quarante mètres du mur arrière.
Le lieutenant Jennings sortit sa radio :
- "Tenez-vous prêt les gars, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un, GO !!!!"
Il y eut une explosion dans l'enceinte de la base et le mur devant le quelle les marines étaient allongés partit en fumée.
Ces derniers se levèrent, fusils au poing et se dirigèrent en hurlant par la percée.
As épaula son fusil M4A1 et enjamba un restant du muret. Derrière les ruines, une dizaine de terroriste armé de fusil d'assaut étaient barricadés derrière des sacs de sable.
As se jeta par terre pour éviter un tir et lâcha une longue rafale qui fit basculer trois ennemis.
Ses coéquipiers s'agenouillèrent près de lui, Kenneth vida son chargeur sur l'une des barricades, ce qui élimina les quatre terroristes qui y étaient abrités et souleva un nuage de sable.
- GRENADE ! hurla Smith avant de rouler sur le coté. Une puissante déflagration souleva des kilos de sable quatre mètres derrière As, ce dernier sentit quelque chose de brûlant déchirer sa veste dans son dos et s'enfoncer dans sa chair : un éclat.
- AAAAHH ! hurla As avant de rouler sur le sol, il vit des balles traverser le ciel puis MacTeager se pencher sur lui.
- Ca va mec ? demanda son coéquipier.
- Non, putain, ça brûle ! gémit As. Il sentait son fusil M4A1 sous son dos.
- Tu vas t’en sortir mec, tiens le coup, un toubib ! VITE !
Un SAS que As avait vu en arrivant se pencha sur lui avec une seringue, au loin, on entendait des hurlements et des détonations.
- C’est un anti-douleur, déclara le médecin avant qu’une rafale le fasse s’effondrer sur As.
- A couvert ! hurla MacTeager avant de vider son chargeur sur un groupe d’ennemi qui arrivait.
Une fois les ennemis abattus, ce dernier repris la seringue qui traînait dans le sable et la planta dans le bras de As. Ce dernier sentit instantanément la douleur disparaître, mais il se sentait tout groggy. Il se leva péniblement et ramassa son fusil. Tous le monde était partit à part MacTeager et William Harper.
- Bon, déclara As, on va se rendre au hangar à munitions, un peu plus au nord, William, en tête, ordonna As.
William Harper fit quelque pas dans la direction du grand hangar que l’équipe devait attaquer une fois entré. Soudain, il y eut un claquement, plus proche que les détonations au loin. As regarda à gauche et à droite, puis continua ses pas, alors il vit Harper vaciller et s’effondrer lourdement sur le sable.
- MERDE ! SNIPER ! hurla-t-il avant de se jeter par terre.
Il leva les yeux, une tâche rouge s’élargissait sur la poitrine du SAS William Harper.
Il entendit le claquement du M4 de MacTeager, un groupe de cinq hommes armés d’AK-47 progressait accroupi vers eux.
As leva son arme et fit feu sur le premier qui tomba à la renverse en même temps que son doigt se crispait sur la détente, la rafale fit se soulever des nuages de sable à quatre mètres du marine.
MacTeager élimina les deux ennemis qui suivaient avant que son chargeur ne soit vide. As rechargeait également.
Un des deux derniers terroristes dirigea sa Kalachnikov vers MacTeager qui rechargeait encore et tira.
Le marine tomba à la renverse en hurlant. As n’en pouvait plus, son cœur battait la chamade, il lâcha son fusil et dégoupilla une grenade qu’il lança sur les deux tueurs. Ils disparurent dans un nuages de fumée, désintégré par la déflagration.
As enfonça un nouveau chargeur dans son fusil et hurla de rage avant de se précipiter au chevet de son ami.
- Mac ! Putain ! Ca va ? ! demanda-t-il au bord des larmes.
Son ami ouvrit ses yeux sablés.
- Putain de merde, mon Kevlar a tous pris, marmonna-t-il.
- Au merde, je suis trop content.
As aida MacTeager a se relever et les deux soldats se dirigèrent vers le cadavre de Harper.
- On peut plus rien pour lui, il est mort, allons au hangar, annonça tristement MacTeager.
- OK, dit As en fermant les yeux du mort.
Les deux marines marchèrent vers le hangar, les détonations se multipliaient, soudain, deux ennemis foncèrent sur eux.
As épaula son fusil et fit exploser la tête du premier d’un tir alors que le deuxième arrivait à sa hauteur, MacTeager épaula son fusil mais le rabaissa de peur de toucher son coéquipier.
Le terroriste enfonça la crosse de son fusil d’assaut M16 dans le ventre d’As.
Ce dernier tomba en attrapant les jambes de son adversaire qui vacilla et s’écroula dans le sable, As en profita pour sortir son couteau et se propulser vers la tête de son ennemi. Il enfonça la dague dans le cou du terroriste qui commença a s’étouffer dans son sang.
- On continue, reprit As.
- OK.
Ils arrivèrent devant le hangar, soudain, il y eut une énorme détonation et se dernier disparut dans une boule de feu, propulsant les deux amis quinze mètres en arrière.

A SUIVRE...

up

Enfin un truc long !! C'est bien mais je suis dégouté pour le pauvre William Harper qu'on à pas vu souvent.

Merci, la suite également longue et la triste fin...

Repasse demain après midi, il y aura un épisode flashback sur le Gign ou as était avant

Ok je passerai Je crois savoir la fin...

Dit

Sweet