Topic qui commençait bien Stop vos fakes
Me revoila!!
Cool alors du nouveau,
A au faite dans la vidéo que W C a poster est paranormal il manque la 5éme sec : http://www.youtube.com/watch?v=cHh1hZEKPWI
tu nous met une nouvelle histoire pliz a 19h00 je vais voir la gamescom sur jeuxcapt en live car c'est la conference de sony donc si tu en as une nouvelle met la
Le 20 mai 1981, quatre jeunes montpelliérains âgés de 17 à 25 ans décident de faire une virée à la mer. Vers 0h30, après s'être
promenés sur les quais de Palavas et avoir bu un coup, ils décident de rentrer. Sur le bord de la route, juste avant le pont
des Quatre-Canaux, ils aperçoivent une auto-stoppeuse d'une cinquantaine d'années, portant un imperméable ainsi qu'un foulard
blanc. Ils lui proposent de l'amener jusqu'à Montpellier. Elle ne répond pas mais opine de la tête, monte à l'arrière, et
s'assied entre les deux passagères. La voiture repart. La mystérieuse auto-stoppeuse ne dit toujours pas un mot. Un kilomètre
après, elle s'exclame "Attention au virage, attention au virage !". Le conducteur, surpris, lève le pied, et passe le virage
sans encombre. C'est alors au tour des passagères de crier : le mystérieux personnage a disparu ! La voiture roule toujours
à 90 km/h, les portes fermées... D'abord abasourdis, les quatre amis décident d'aller tout raconter à la police. Qui, après
avoir cru à une plaisanterie, se rend sur place, sans rien trouver ! Plusieurs convocations plus tard, la police, comme toutes
les personnes qui les interrogent, conclue à la sincérité des jeunes : leurs témoignages ne se contredisent jamais, ils ne
s'intéressent pas au spiritisme ni à aucun sujet de ce genre... Enfin, ils évitent tant que possible de parler de cette affaire.
C'est la cas de la "dame blanche" du C.H.U. de Caen (Calvados). Stoppeuse nocturne, elle apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier. Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément : "Faites attention, le virage est traître !" Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer. Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide. Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue. Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.
Ce samedi soir de décembre 1979 il est près de minuit et Michel P., de tous les amis qui sortent ensemble ce soir-là, est l'un de ceux ayant un véhicule. Il est chargé de "faire le taxi" entre le centre de Limoges, où il habite, et une boîte de nuit située à quelques kilomètres, sur la route de Naixon. En Haute-Vienne, les hivers sont rudes. C'est dans le frimas et la nuit la plus profonde qu'il effectue son second voyage vers Limoges, quand tout à coup, il aperçoit dans ses phares, à quelques centaines de mètres de la discothèque, une forme blanche plantée dans un virage. C'est une femme vêtue de blanc. Il s'arrête à sa hauteur, et lui demande où elle va. "A Limoges; si ça ne vous ennuie pas, je vais chez des amis" ; "Où à Limoges ?" demande Michel, "Laissez-moi en ville, je me débrouillerai... " précise la jeune fille. L'auto-stoppeuse s'installe à l'avant. Tout en roulant, Michel la détaille du coin de l'oeil et en silence : 20-25 ans, vêtue d'une robe blanche type année 60, très jolie... mais peu bavarde. A l'approche du pont de la Révolution, la passagère s'anime soudain : "Attention, ce tournant est dangereux !" Michel sourit, car ce virage qu'il négocie avec prudence, il le connaît bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe net sa voiture et, glacé par la peur et la surprise, fait quelques pas autour du véhicule : rien ni personne, sinon du brouillard. La belle inconnue s'est envolée.
A la gendarmerie de Limoges, où il ira faire une déposition, on lui explique qu'il n'est pas le premier à avoir vécu exactement la même aventure... Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet en auto-stop, pour disparaître au virage du pont de la Révolution, l'endroit où elle trouva la mort en voiture, 20 ans plutôt. Comme tous ceux qui vécurent l'aventure, Michel peine à s'en remettre. Plusieurs années après, il n'aime toujours pas en parler. Pourtant, il n'a passé que quelques minutes en compagnie de cet être venu d'ailleurs.
L'auto-stoppeuse fantôme du carrefour de Balleroy (Calvados) apparaît depuis 1960, année où une jeune fille se tua dans une collision à hauteur de ce très dangereux croisement dit "de l'Embranchement", situé à quelques centaines de mètres du village, au milieu de la forêt de Cerisy. Ce jour-là, on la ramenait en voiture du village. Elle habitait un petit hameau niché dans les bois. Sa vie fut coupée nette, au carrefour par un chauffard qui n'avait pas respecté la signalisation. Depuis, on a eu beau refaire plusieurs fois le carrefour, son âme y semble comme chevillée dans un éternel et triste appel au secours. A Balleroy, plusieurs personnes du village l'ont déjà prise en charge. Elle se manifeste toujours par les nuits pluvieuses, à la sortie du village, levant le pouce en direction du carrefour. Elle est immuablement vêtue de blanc et demande à être déposée à un hameau voisin du carrefour, "là où habite sa mère". Elle parait avoir un peu moins de 20 ans. Invariablement, elle montre des signes d'angoisse et de panique évidents pendant la traversée du carrefour. Mais, l'embranchement passé, elle n'est déjà plus dans la voiture. Sa dernière manifestation a été plus spectaculaire encore que les précédentes. Les deux habitants de Balleroy qui l'ont, cette nuit-là, éclairée de leurs phares l'ont vue non pas sur le bas côté, mais debout au beau milieu de la route. Il leur fallut piler net devant ce qui se révéla être encore la même jeune fille, dont la forme s'évanouit dès les portières ouvertes. A force de n'être pas entendue ou comprise, depuis près de 40 ans, cette dame blanche, dont l'appel confus semble venir d'un monde inconnu, paraît devenir plus véhémente qu'auparavant...
En faite je vous passe toutes les versions de la dame blanche...
Voici les 3 derniere:
Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. Ainsi, une auto-stoppeuse fantôme se montre volontiers, de nuit, à la sortie de Château-Bernard (Isère). Voilà plus de trente ans que cette jeune femme se manifeste ainsi, ayant pour caractéristique constante de disparaître lentement sous la forme d'un léger brouillard, et non en une fraction de secondes, comme les autres. En 1960, elle fut prise en stop et disparut à un point précis de la route, toujours après avoir prévenu le conducteur d'un danger. Ce qui poussa celui-ci à se rendre à la gendarmerie, c'est qu'il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant une main sur les jambes et, enhardi par l'absence de réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que sa passagère dégageait un froid semblable à celui du marbre. Confus, il avait attribué à ses avances la disparition soudaine de la voyageuse et venait demander si on l'avait trouvée sur la chaussée. C'est là un cas unique de contact physique avec l'un de ces êtres fantomatiques, mais dont les atomes et les molécules semblent être aussi bien liés entre eux que ceux d'un vivant.
Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture. Ce fut le cas à Chapareillan (Isère). Là, sur la N90, apparaît assez souvent une jeune "dame blanche". Ce soir de 1977, par une pluie violente, c'est un médecin grenoblois qui la prit en charge. Taciturne et très peu loquace jusqu'à un passage délicat de la route, dit Pont-au-Furet, la passagère marqua alors une grande frayeur qui s"estompa avec l'éloignement de l'obstacle. Elle se fit déposer un peu plus loin, devant une maison qu'elle dit être celle de ces parents. Comme il pleuvait toujours des cordes, le médecin lui prêta son parapluie et attendit qu'elle le lui ramène. Il suivit la fille des yeux, la vit franchir la porte d'entrée et la referma derrière elle. Une bonne dizaine de minutes passant, le médecin se décida à aller frapper à la porte de la maison, pensant qu'on l'avait oublié. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit, étonnés d'êtres dérangés à une heure si tardive. On imagine aisément la discussion qui s'ensuivit : la jeune fille décrite avait bien habité là, mais il y a des années qu'elle était enterrée ! C'était leur fille unique, morte dans un accident de moto... au Pont-du-Furet.
Bonjours je m'appelle yannick j'habite a Mirecourt dans les Vosges. Je partais en tourner de camion avec mon copain on commencer a Délirer sur la dame blanche c'étais a 3 km avant Coussey (88). Arrivant dans le village nous sommes passer sur une route remplie d 'arbres. je regarder les alentours et soudain au loin j'appercu un voile blanc . je me suis dit c'est mon imagination. Hors le voile venait vers moi. 10 seconde aprés je la voyais a coté de moi . Elle me regarder avec un air de tristesse . Elle commencais a me tendre la main pour que je la suivent.Je ne pouvais pas la suivre car on rouler. 5 Minutes aprés la dame blanche repartais. Une fois repartis le camion c'est mis a ralentir d'un coup . Une fois de retour on a été voir un copain et je lui est expliquer le cas . Lui aussi la vu sur la même route. Et il m'expliquer comment elle est morte. Aprés plusieurs minute de conversation j'ai compris pourquoi elle me tendait la main. Le jour de son accident elle mourut avec son mari et ses enfants. Elle me demander alors que je retrouve sa petite famille. Depuis je suis passer plusieurs fois sur la même route et je ne l'ai plus revus.
C'est des fake, des creepy pasta:
Les creepy-pasta sont des histoires inventées destinées a effrayer les gens.
Le plus souvent c'est des histoires genre qu'on se raconte autour d'un feu de camp.
Par contre je souligne l'imagination des auteurs,qui ne manquent pas d'inspiration
Une jeune femme doit passer la nuit seule dans sa maison, elle a pour seule compagnie, son chien fidèle. Peu de temps avant de se coucher, elle entend un bulletin à la radio, qui annonce qu'un fou dangereux c'est évadé de l'asile tout proche. Pendant son sommeil, il lui semble entendre des bruits étranges provenant de la salle de bain. Elle sors une main du lit, afin de vérifier si son chien est bien à côté d'elle. Son chien lui répond par une lèche affectueuse sur la main. Le lendemain matin, la jeune femme va dans la salle, et y trouve son chien, égorgé. Sur le miroir, il était écrit : " Les hommes aussi peuvent lécher. "
Une femme rentre chez elle. Elle retrouve au pas de sa porte son doberman en train d'étouffer. Soucieuse de son état, elle l'emmène directement chez son vétérinaire. Celui-ci, étant débordé, il lui promet de s'occuper de son chien un peu plus tard. De retour chez elle, après être passée chez son coiffeur, elle entendit sonner le téléphone alors qu'elle ouvrait sa porte. Elle décrocha. C'était le docteur. D'une voix autoritaire, il lui ordonna d'aller immédiatement chez son voisin et de le rappeler ensuite. Il ajouta que la police était en route. Surprise, elle s'exécuta aussitôt pour connaître les explications du vétérinaire. Celui-ci lui avoua qu'en examinant son animal, il avait remarqué que quelque chose était bloquée dans sa gorge. Il s'agissait en fait de trois doigts humains. Il comprit aussitôt que le chien s'était battu avec un homme qui s'était introduit dans la maison. Peut-être se trouvait-il encore à l'intérieur, ce qui était le cas. La police avait, en effet, surpris le voleur dans un placard, la main ensanglanté.
La baby-sitters effrayée
Un jour, une jeune fille qui économisait pour l'université, décide de faire un travail de surveillance à la maison d'un voisin. Le voisin, étant un docteur, lui dit de venir à 7:00 P.M.. Elle se rend à la maison et après une heure, elle reçoit un appel téléphonique. L'homme au bout du fils dit que si elle ne sort pas de la maison, il la tuera. Elle raccroche et regarde sur l'afficheur pour connaître le numéro et essayer de localiser l'appel. La personne qui téléphone utilise une ligne privée.
Après 30 minutes, elle reçoit l'appel disant encore qu'il la tuera si elle ne sort pas bientôt. Elle raccrocha et appelle l'opératrice. L'opératrice dit de garder l'homme sur la ligne pour environ une minute et elle le retracera. L'homme appelle à nouveau après 30 minutes et elle le garde sur la ligne. Il lui dit de sortir de la maison maintenant ou il la tuera. L'homme raccroche et l'opératrice rappelle aussitôt pour lui dire de sortir de la maison le plus rapidement possible puis que l'appel vient de a deuxième ligne de la maison, celle du deuxième étage, le malfaiteur étant dans la maison...
Meme si c'est des fakes, sa sert a faire peur...
Vous avez des réserves d'histoire maintenant
la seule histoire qui m'a fait fliper c'est lavanville la musique a quelque chose d'anormal elle n'a pas pu etre truquée
J'ai cherché su le net des histoire en voila :
Un femme, en rentrant des course voie son chien entrain de s'étouffer. Elle l'enmenne chez le véto celui-ci débordé lui prpose de laisser le chien là et revenir plus tard. La femme va chez le coiffeur et retourne chez elle. Le téléphone sonne et le véto dit d'une voie autoritaire et paniquée: "Allez vite vous réfugié chez un voisin dépechez-vous !!". La femme y-va et plus tard la police arrive. Le véto explique qu'il y avais 3 doigts humains dans la gorge du chiens (c'est pourquoi il s'étouffait). Il apparetenait enfaite a un tueur rentrer dnas la maison et le chien la mordus. C'est pourquoi il fallait que la femme aille chez un voisin. Les craintes fut vérifié puisqu'on retrouva l'homme dans un placard la main ensanglanté !
Tout commença par une petite soirée de spiritisme qu'on avait décidé de faire avec 5 amis à moi, chez l'un d'entre eux. Comme on délirait, on a un peu fait ça à notre sauce... Nous avons fait de la place dans le salon, et avons dessiné un pentagrame (croix à cinq pointes dans un cercle) sur le sol avec du riz coloré en rouge, et nous avons placé une bougie a chaque extrémité. Nous nous sommes ensuite assis tout autour, avec quelques coussins. Nous avions également pris soin de verrouiller les issues et les fenêtres. Alors nous avons mis la B.O. du film Dracula sur la chaîne, en sourdine, et avons commencé à lire une incantation dans un des «livre des ombres» (book of shadows).
On rigolait bien, quand soudain... Il y a eu comme un grand bruit a l'étage, le lustre bougeait, puis comme un souffle, une à une les bougies se sont éteintes, sauf celle en face de notre ami qui tenait le «livre des ombres» entre ses mains...
Nous regardions tout autour de nous, et un frisson me parcouru. Il y avait toujours cette musique, mais soudain plus rien... Puis nous entendîmes comme une voix très grave, mais nous ne comprenions pas ce qu'elle disait (un ami m'a dit que c'était du latin, mais je n'en sais rien). Puis une voix comme un petit rire satanique, et moqueur... Ma copine pleurait, mais la dernière bougie s'éteignit, et la musique se remit en route, et comme par magie, la lumière du salon s'alluma, et le riz ne formait plus un pentagrame, mais un tourbillon ! c'était cela le souffle...
Vous manquez pas de ressources.
J'en ai une bien mais je la metterai a la prochaine page, c'est un truc d'exorsiste encore
C'est la est effrayante mais mais aussi très drôle :
Un type se tient debout sur le bord de la route au milieu d'une très sombre nuit en faisant du stop. En même temps une terrible tempête se déchaîne.
Quelque temps plus tard personne ne s'est arrêté. La tempête et l'orage sont si forts qu'il est impossible de voir plus loin que 3 mètres devant soi.
Tout à coup il voit une voiture qui s'approche lentement et qui s'arrête.
Le gars sans se poser de questions monte dans la voiture et ferme la porte, lorsqu'il se retourne il se rend compte qu'il n'y a personne à la place du conducteur.
La voiture démarre doucement... puis, il voit que sur la route il y a un virage en approche ; effrayé, il commence à prier.
Mais le gars n'a pas fini d'être étonné lorsque juste avant d'arriver sur le virage, la porte du conducteur s'entre-ouvre et une main entre pour faire tourner le volant dans le virage.
Paralysé par sa peur il s'accroche avec toutes ses forces à son siège.
Il reste immobile et voit que la même chose arrive à chaque fois
qu'il y a un virage sur la route.
La tempête augmente en force, et le gars qui a sorti des forces de là où il n'en reste pas, descend de la voiture et part en courant jusqu'au village le plus proche, entre dans le bar, demande deux tequilas doubles et en tremblant commence à raconter à tous ce qui lui est arrivé.
Environ une demi-heure plus tard arrivent deux gars complètement trempés, l'air extenués et l'un dit à l'autre :
- Regarde là-bas, c'est le connard qui est monté dans la voiture pendant qu'on la poussait !
En Janvier 1949
A Mont Rainier dans le Maryland, dans une famille composé du père, de la mère, de la grand mère, d'un jeune garçon et d'une
tante n'habitant pas cette maison mais y passant beaucoup de temps et ayant de très bon rapports avec son neveu.
Cette tante, se disait médium et passait son temps à "jouer" à la Oui-Ja, et a initier le garçon à cette pratique.
Cette pratique, très dangereuse, permet à l'aide d'une planche où se trouve l'alphabet, et certains autres signes, de prendre
contact avec le monde des morts. Dans l'ancien testament cette pratique était punie de mort car permettant la venue d'un démon
en notre monde.
A la suite de ces jeux, des phénomènes étranges tel que, bruits qui n'aurait pas lieu d'être, grattement dans les murs....
Puis les bruits se furent plus insistants, continuèrent même pendant des nuits entières.
Des objets se déplaçant seuls, fruits volaient à travers la pièce, la table tournait sur elle-même... Dans la chambre du jeune
garçon l'on s'apercevaient qu'au matin son matelas portait des traces de griffes !!
Le 26 Janvier, la tante mourût. Le jeune homme en fût très affecté, et se retourna vers la planche de oui-ja de sa tante,
dans l'espoir de rentrer en contact avec elle. Il changea, devînt renfermé sur lui-même et ses nuits étaient emplis de cauchemars.
La famille ne comprenant pas cette situation qui devenait insupportable, se retourna vers l'Eglise pensant y trouver une réponse,
ils furent accueillis par le révérant Schuss.
Le révérant entretenait d'étroits rapports avec le Dr . Rhein, docteur en parapsychologie, dans un communiqué entres eux l'on
peux lire :
"La nuit du 17 au 18 Février, je pris l'enfant avec moi pour la nuit, pour constater de moi même les phénomènes en question,
l'enfant s'endormit sur un fauteuil qui peu de temps après se mît glissé seul sur le plancher de la pièce.
Je mis alors l'enfant sur le lit, qui lui aussi se mit à vibrer, le matelas fût mis par terre, et glissa latéralement, sous
le lit..."
L'enfant fût placé en institut psychiatrique sous la responsabilité du Dr. Mablerose, il y eu deux rendez-vous, il ne vînt
pas au troisième, en raison certainement de la peur des parents, peur de l'internement qui à cette époque ressemblait plus
à un enfermement qu'à un internement.
Le révérant leur proposa une autre explication : la possession.
La famille se rendit alors à l'Eglise St James, où ils rencontrèrent le père A.Hugues, jeune prêtre.
Lorsque le prêtre et le jeune homme se sont rencontré, l'enfant était non comme à son habitude grossier, le téléphone sur
le bureau du prêtre se mit à bouger tout seul, la pièce était devenu glaciale.
Effrayé, le prêtre conclu à une possession, qui incluait un exorcisme, les conditions requise n'était pas toute réunies, le
prêtre était jeune, sans expérience en la matière...
Le père Hugues se prépara malgré tout le mieux qu' il pût, il fit admettre le garçon à l'hôpital de Georgetown où devait se
dérouler l'exorcisme.
Le premier exorcisme :
Devant la très grande agitation de l'enfant, la décision de l'attaché au lit avec des sangles fût prise, Hugues commença alors
l'exorcisme...Plus l'exorcisme avançait plus l'enfant devenait violent, prononçait des paroles obscènes et blasphématoires.
Le prêtre ne se laisse pas influencer et continua sa séance, mais dans un moment de relâchement de celui-ci, le garçon réussi
à défaire une de ces sangles, arracha un ressort du sommier, et entailla le bras du prêtre de l'épaule au poignet.
Après cette première tentative, il compris qu'il était confronté au Diable en personne ; malgré sa réticence envers le phénomène
de possession, cette histoire lui fît changer d'avis du tout au tout. Le garçon une fois la crise passée, rentra chez lui.
Dès le lendemain matin, le mot "Louis" apparu sur sa poitrine marqué avec du sang comme si il avait été gratté à l'aide d'ongles
ou autre chose.
Les parents affolés, et originaires de la ville de ST Louis, se rendirent chez l'oncle du jeune homme, habitant cette ville,
malgré cela les phénomènes étranges continuèrent.
La fille de cet oncle, se rendit à l'Eglise St François Xavier pour parler aux prêtres de ce qui se passait chez elle, elle
rencontra le père Bishop qui accompagné du père W.Bowdern se rendirent chez la famille.
Au moment de leur visite le garçon était devenu très agité, blasphémait, et montrais un grand dégoût envers le prêtres et
tous les objets religieux en général.
C'est après cette première rencontre que fût écris l'un des plus complets rapports sur une possession démoniaque au
XX° siècle, le père Bowdern tenu un journal de toutes les rencontres avec le démon et de tous les faits qui se passèrent concernant
cette affaire.
Mercredi 9 Mars
"...des douleurs intenses à l'estomac semblent avoir frappé le jeune garçon, la mère ayant levé la couverture du lit et la
veste de pyjama du petit, nous vîmes de longues égratignures en zig zag sur le torse du jeune homme..."
Vendredi 11 mars
"...le garçon était endormis quand un flacon d'eau bénites posé à 60 cm de son lit, fût projeté dans l'angle opposé de la
pièce.
A notre sortie, un bruit prodigieux se fit entendre venant de la chambre, à notre arrivée, l'armoire avait glissé le long
du mur et était maintenant complètement retournée.
Une chaise se déplaça d'environ 60 cm.
Un crucifix et divers objets saints disposés sous l'oreiller, avait glissés jusqu'au pied du lit.
Quand aux reliques elles étaient éparpilles dans toute la pièce..."
Il fût décidé qu' il fallait pratiquer un exorcisme.
Mardi 15 Mars
"...le matelas se mît à vibrer, la relique de st Margarette Marie posée sur le lit fût une nouvelle fois projetée à travers
la pièce."
Bowdern, se rendit chez son archevêque, il lui conta cette histoire, l'archevêque décida de pratiquer un exorcisme... Ce sera
le père Bowdern qui pratiquera cet exorcisme, sans connaître la première tentative du père Hugues.
Mercredi 16 Mars
Le père Bowdern pris comme assistant le père Halloran, et un autre prêtre.
Ils se rendirent chez la famille en question, puis commencèrent la séance d'exorcisme.
Les premières prières provoquèrent la projection du flacon d'eau bénite contre le mur opposé, le lit se mit avoir des soubresauts.
" Le premier Precipio provoqua quand a lui chez le garçon une vive réaction.
Trois larges égratignures apparurent sur la poitrine du jeune homme, à l'énonciation des noms de Dieu, sa Sainte mère et de
St Michel
Les marques les plus profonde furent celle d'une tête de diable sur la jambe droite, l'apparition d'un homme cornu dessiné grossièrement, et l'apparition du mot "Hell" (l'enfer en anglais) sur sa poitrine."
Vendredi 18 Mars
"...le garçon a récité son rosaire en notre compagnie..."
Samedi 19 Mars
"...nous sommes arrivés à 19h00, le garçon alla se coucher à 20h00, l'exorcisme fut très violent, provoquant hurlement et ricanements diaboliques..."
Lundi 21 Mars
Il fût décidé d'emmener le garçon à l'hôpital psychiatrique pour continuer l'exorcisme.
Le langage de jeune homme devint obscène et violent, il dit avoir vu l'un des prêtres en enfer, il ne revint plus assister le père Bowdern..."Je suis surpris de te voir ici ! Que fais tu en enfer ?
Dimanche 27 Mars
"...nouvelle phase de cracha diabolique, il crachait avec une incroyable précision, à 1m50 il pouvait vous touché en plein visage, ses yeux étaient fermés et pourtant il visait parfaitement..."
Vendredi 1 Avril
pour faciliter les choses l'enfant se fut baptisé selon les rites normaux du baptême.
Samedi 2 Avril
Après le baptême, il fallu lui donner l'Eucharistie, ce fût un véritable combat , après 5 reprises où l'Hostie fût recrachée et plus de deux heures d'acharnement, le rosaire fût récité et le jeune homme avala enfin l'hostie. Dans le courant de la semaine sainte les phénomènes s'accélérèrent incroyablement, les prières qui avaient l'effet le plus important étaient celles dédies a Saint Michel.
Lundi 18 Avril
10h00 Communion plus exorcisme, le Diable s'écriait "Ca ne suffit pas... il doit prononcer un mot, un seul mot et il sera libéré, mais il ne le prononcera jamais..."
22h45 Transe mais plus calme que d'habitude pendant la prière dédiée à St Michel, puis d'un coup une voix ferme et grave sortie de la bouche du garçon, "Satan, je suis St Michel et je t'ordonne de quitter ce corps au nom de Dominus immédiatement !!"
Le garçon fût pris d'un soubresaut, un immense bruit se fît entendre.
Au même moment les prêtres présents dans l'église virent l'image de St Michel combattant le Démon dans le dôme de l'église.
L'enfant sorti de sa transe et dit : "Il est parti".
Il n'avait aucun souvenir de ce qui lui était arrivé, mais malgré cela gardait l'image de St Michel combattant le Démon.
Pour le père Halloran : "Tout ce que je sais c'est que j'y était et que je l'ai vu."
Bowdern : "N'importe quel enfant de 7 ans peux voir la différence entre un malade et un possédé." Il est mort à 86 ans en 1983.
Hugues, quand à lui est mort en 1980.
Une autre :
Il y a quelques années dans une petite ville des États-Unis dont j'ai oublié le nom, une femme (appelons la Patricia) a été retrouvée morte pendue et son corps torturé d'un façon horrible. Selon l'enquête de la police, elle aurait été tuée par un groupe fermé de femmes dont elle faisait partie. Ce groupe était une sorte de secte féminine, aux pratiques étranges et aux rites sataniques, dont il ne fallait pas parler en dehors de leurs réunions, chose que n'aurait pas respecté Patricia.
L'enquête n'a jamais atteint son terme car tous les agents de police qui s'étaient rendus sur la scène de crime se sont suicidés peu de temps avoir vu le corps de la jeune femme. On raconte depuis qu'il s'agirait d'une sorte de malédiction;quiconque verrait le corps pendu de Patricia serait prit d'une envie inexplicable de mettre fin à ses jours dans les semaines, mois, voir années qui suivent cette vision d'horreur. Les autres membres de la secte n'ont jamais été retrouvées, mais il existerait apparemment une page internet sur laquelle figure une photo du corps de Patricia.
L'adresse du site n'est pas répertoriée car certains internautes intrigués par cette affaire aurait également commis un suicide. Certains, après avoir vu la photo, transmettrait la page web à d'autres internautes via des liens cachés, un peu à la manière de la cassette dans le film "The Ring". Malheureusement, la malédiction n'a aucune issue.
L'affaire a été cachée au public pour éviter au curieux de se rendre sur le fameux site.
terrifiant